Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gb

  • MISTER BEAN

    20141210 hic.jpg

  • Il faut sauver le soldat Ryan - Saving Private Ryan

    Le film de Steven Spielberg Il faut sauver le soldat Ryan est une histoire fictive mais qui est partiellement inspirée d'une histoire vraie : celle des frères Sullivan, des soldats américains morts au combat sur le même bâtiment de l'U.S. Navy dans le Pacifique.

     

    L'adaptation de cette histoire a permis au réalisateur américain de faire un film sur une période qui le touche beaucoup : la Seconde Guerre mondiale, et plus particulièrement, l'histoire de la Bataille de Normandie, dans laquelle de très nombreux soldats se sont jetés au péril de leur vie.la suite ici http://www.dday-overlord.com/il_faut_sauver_soldat_ryan.htm

     

  • la baie de Slapton Sands.

    Encyclopédie du débarquement et de la Bataille de Normandie

    Préparations de la bataille de Normandie :
    Opération Tiger

     

    Le secret du Jour J menacé

    Les familles des victimes reçoivent par la suite des faire-parts de décès sans la moindre explication : les états-majors taisent cet immense fisco. Les témoins directs sont menacés de passer en cour martiale s'ils racontent ce qui vient de se passer. Pour les généraux alliés, l'heure est d'autant plus grave que dix officiers "Bigot" américains et britanniques, engagés à bord des navires attaqués, possédaient des cartes d'Utah Beach en Normandie.

    Lorsqu'une commission d'enquête est mise en place par Montgomery aussitôt après la catastrophe, le Major Ralph Ingersoll constate que les dix officiers Bigot sont portés disparus, comme 600 autres militaires. Or, il n'est pas impossible que certains naufragés aient été recueillis par les vedettes allemandes. Ceci signifierait donc que les Allemands pourrait être en possession des plans de l'opération Overlord, ce qui serait probablement suffisant pour tout annuler.lire la suite ici http://www.dday-overlord.com/operation_tiger.htm

  • no moment

    DILEM DU 07 JUIN 2014

  • L'infinie tristesse des surlendemains

     

    Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte

    le 23.04.14 | 10h00 1 réaction

     

    Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager

     

    En ces jours d'après-plébiscite, le plus triste est ce fin mot de l'histoire, celle de délinquants recrutés par le directeur de campagne de Bouteflika à Tizi Ouzou qui n'ont pas été payés et ont profité de la marche pour casser et se venger. Entraînant une riposte extrêmement brutale de la police, au point où la DGSN a ouvert une enquête. Le régime, source de stabilité, est donc à l'origine et à la conclusion de ces tristes événements, par les délinquants qu'il paye pour assurer la sécurité de ses ministres détestés, puis par la sauvage répression qui s'abat sur des civils noyautés par les mêmes délinquants.

    Non, peut-être que le plus triste est cette version de l'histoire qui commence à être relayée par les télévisions et les journaux privés financés par l'Etat, expliquant après avoir tenté de nier que ces images viennent d'Algérie ou qu'elles viennent de 2001 (comme si c'était moins grave), que les policiers qui ont participé à ces exactions sont des individus qui ont revêtu des uniformes de police. C'est là où il devient très triste de réaliser qu'en Algérie, on peut acheter des uniformes de la police, des matraques, des casques et des bottes qui font mal dans la supérette du coin. Non, en fait, le plus triste est ce triste Ould Ali El Hadi, directeur de campagne de Bouteflika, mais dont la fonction officielle est directeur de la culture de Tizi Ouzou, ce qui renseigne tristement sur l'état de la culture.

    En réalité, non plus, le plus triste est d'assister à la vie trépidante du chef de l'Etat, venu sur sa chaise, votant assis pour repartir se coucher. Et si la véritable tristesse était cette tristesse collective qui n'en finit pas et n'est même pas récupérable ? Car si les mères et les épouses n'avaient pas décidé par lassitude d'arrêter de pleurer, l'Algérie serait l'un des pays les mieux arrosés de la planète. On aurait même pu y faire pousser des pâtes et de la joie.

     

    Chawki Amari

     

     

     

     

     

    Vos réactions 1
  • boutef

    DILEM DU 23 AVRIL 2014

  • Abstention

     

     

     

     

    Par : Mustapha Hammouche

    “C’est nous qui avons besoin de Bouteflika.” Sellal a sans doute raison de le reconnaître, si l’on convient de ce que recoupe le “nous” au nom duquel il s’exprime. Des forces capables, grâce à une fraude portée à un niveau industriel et en dépit d’un niveau d’abstention bien supérieur à celui établi par les chiffres officiels, d’imposer sa réélection ont, en effet, encore besoin de lui.
    Au bénéfice du doute, l’on peut considérer qu’une bonne partie du quart de cette minorité qui s’est déplacée au bureau de vote s’est effectivement prononcée pour Bouteflika.
    La fraude, en revanche, empêche de mesurer la part de mobilisation pour Benflis qui, parmi les lièvres, semblait faire illusion. En gros, la situation, en termes de sociologie politique, est telle que l’Algérie ne s’exprime plus que par la voix de la minorité bénéficiaire et gardienne du système rentier.
    En quinze ans, ce système, stérile en matière de développement et maffieux dans ses pratiques, a sociologiquement transformé l’Algérie. Et s’il ne l’a pas fait plus tôt, c’est peut-être parce qu’il n’en avait pas les moyens ; son fonctionnement suppose, en effet, des ressources financières assurées autrement que par l’investissement productif et le travail, de telle sorte que le pouvoir puisse arbitrairement en orienter l’emploi.
    Le recrutement politique du système s’opère ces catégories de fonctions élevées porteuses de privilèges, “ouvrant droit” aux passe-droits ou propices à la corruption ; il fonctionne aussi dans les sphères d’activité dispensées de contribution fiscale, comme le trabendo, le commerce informel et le travail au noir, dans les secteurs qui prospèrent aux dépens des marchés publics, notamment ceux qui se déclinent en contrats de gré à gré, et dans les commerces basés sur la valorisation du patrimoine public privatisable, comme le foncier et l’immobilier. Il procède aussi par fidélisation de catégories bénéficiant de diverses dispositions de financement à perte de projets prétendument créateurs d’emplois. De même, il agit à travers le filon du “relogement” et du “logement social”, tonneau des Danaïdes où se relaient des familles en attente du toit providentiel. Ce recrutement use aussi de la permissivité de l’autorité publique vis-à-vis des petits trafics en tous genres et de l’abandon de l’espace public à la loi du plus fort, selon le principe du “tag aala men tag” qui, tacitement, fait loi et que le pouvoir lui-même applique à l’encontre de ses opposants et de ses détracteurs.
    Si le conservatisme de la minorité active, affairiste ou parasitaire, s’explique par ce clientélisme, passablement “démocratisé”, la démission silencieuse de la majorité s’explique, elle, par la peur. Au commencement, il y a eu le terrorisme islamiste. Usant dès le début de méthodes d’intimidation, avant de recourir à l’assassinat, l’islamiste a mené une guerre d’éradication de l’individu libre. À terme, l’Algérien ne conçoit plus sa citoyenneté comme expression de sa liberté : il n’y a de salut que dans la position collective, uniforme. Le pouvoir a reconduit, à des fins de domination, cette peur d’avoir une opinion qui ne soit pas celle du plus fort. Opinion que, quand nous l’avons, nous taisons, en nous réfugiant dans le silence. Dans l’abstention.
    Ainsi, un clan, parce qu’il détient les moyens de sévir, peut abuser d’un pays et tenir en respect tout un peuple.

     

    M. H.
    musthammouche@yahoo.fr

  • la table

    20140217.jpg

  • La note du DG

    L’ensemble des chaînes et stations de la Radio nationale ont été destinataires d’une note du DG de l’ENRS leur enjoignant de passer des spots à la gloire du président de la République. C’est ce que révèlent des sources informées qui indiquent que des spots élogieux quant à «l’œuvre» de Bouteflika sont actuellement diffusés sur certaines radios nationales.