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Il faut sauver le soldat Ryan - Saving Private Ryan
Le film de Steven Spielberg Il faut sauver le soldat Ryan est une histoire fictive mais qui est partiellement inspirée d'une histoire vraie : celle des frères Sullivan, des soldats américains morts au combat sur le même bâtiment de l'U.S. Navy dans le Pacifique.
L'adaptation de cette histoire a permis au réalisateur américain de faire un film sur une période qui le touche beaucoup : la Seconde Guerre mondiale, et plus particulièrement, l'histoire de la Bataille de Normandie, dans laquelle de très nombreux soldats se sont jetés au péril de leur vie.la suite ici http://www.dday-overlord.com/il_faut_sauver_soldat_ryan.htm
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la baie de Slapton Sands.
Encyclopédie du débarquement et de la Bataille de Normandie
Préparations de la bataille de Normandie :
Opération TigerLe secret du Jour J menacé
Les familles des victimes reçoivent par la suite des faire-parts de décès sans la moindre explication : les états-majors taisent cet immense fisco. Les témoins directs sont menacés de passer en cour martiale s'ils racontent ce qui vient de se passer. Pour les généraux alliés, l'heure est d'autant plus grave que dix officiers "Bigot" américains et britanniques, engagés à bord des navires attaqués, possédaient des cartes d'Utah Beach en Normandie.
Lorsqu'une commission d'enquête est mise en place par Montgomery aussitôt après la catastrophe, le Major Ralph Ingersoll constate que les dix officiers Bigot sont portés disparus, comme 600 autres militaires. Or, il n'est pas impossible que certains naufragés aient été recueillis par les vedettes allemandes. Ceci signifierait donc que les Allemands pourrait être en possession des plans de l'opération Overlord, ce qui serait probablement suffisant pour tout annuler.lire la suite ici http://www.dday-overlord.com/operation_tiger.htm
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FABIUS FAIT UN SOMME EN ALGERIE !
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LES VERTS
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Sous le voile des femmes, les femmes
Notre maison est de verre», avait expliqué en son temps le Président quand il parlait encore. Du verre peut-être mais du verre fumé, car à l’heure de Google Earth, des satellites qui se bousculent sur l’orbite géostationnaire comme s’ils étaient sur la rue Didouche à midi et des caméras numériques embarquées partout, y compris dans les machines à laver, il est toujours aussi difficile de filmer l’Algérie. Il faut des autorisations et même avec, les milliers de policiers déployés se presseront pour imposer une autre autorisation, celle du commissariat du quartier et de la gendarmerie pour les zones rurales, voire celle de Amar Saadani, puisque le colonel Fawzi est en vacances.
C’est le syndrome du hidjab, vrai-faux voile censé cacher les formes et que seul le mari ou l’amant peut retirer pour apprécier la réalité. Après l’affaire du jeune de Tizi Ouzou arrêté par la police pour avoir fait circuler une vidéo montrant la sauvage répression qui s’était abattue sur des marcheurs, c’est à Ghardaïa qu’un quadragénaire, qui avait diffusé une vidéo montrant des policiers en train de piller un magasin, vient d’être arrêté pour «outrage à corps constitué» et «trouble à l’ordre public».
Peine encourue, 3 ans de prison ferme, le voile, obligation obligée pour celles qui se sentent obligées, devient obligatoire sur l’objectif et seul l’amant ou le mari a le droit de filmer la jolie créature nue sous son cache. Qui ? Hamel et ses caméras de surveillance, les télévisions plus ou moins agréées en caméras baissées et surtout l’ENTV, avec un budget de 12 milliards de dinars, dont 4,5 octroyés par l’Etat mais qui ne couvrent même pas la masse salariale estimée à plus de 6 milliards de dinars. C’est le moment de le rappeler encore, tout comme l’image n’est plus sacrée, le hidjab n’est pas une obligation religieuse. C’est une simple tradition, comme le couscous. Les tagliatelles, c’est bon aussi.
Chawki Amari
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Laurent Fabius attendu demain à Alger Comment éviter les sujets qui fâchent ?
Par : Azzeddine Bensouiah
Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, est attendu demain à Alger pour une visite de deux jours où les questions économiques et sécuritaires seront au menu.
À la tête d’une importante délégation d’hommes d’affaires, le ministre français devrait tenter, avec ses homologues algériens, de débloquer certains dossiers qui traînent depuis des années, ou qui risquent carrément d’être annulés, à l’image du projet de l’usine de vapocraquage d’éthane d’Arzew, où Total était impliquée, et dont le montant avoisinerait les 5 milliards de dollars.
Mais même si Total perd ce gros contrat, elle pourrait bien en décrocher d’autres, notamment dans l’exploration puis l’exploitation du gaz de schiste. Or, ce sujet, précisément, fait couler beaucoup d’encre et de salive, et en Algérie, les opposants à cette nouvelle source d’énergie sont de plus en plus nombreux à monter au front pour mettre en garde. L’opinion publique algérienne ne comprend pas pourquoi le gouvernement s’empresse d’octroyer des contrats d’exploration à des entreprises françaises, d’autant plus qu’en France, non seulement l’opinion publique, mais aussi le gouvernement sont farouchement opposés au gaz de schiste, même à titre exploratoire.
Prendre l’Algérie pour un terrain d’essais, voilà ce que les entreprises françaises voudraient visiblement faire. Si le cynisme des entreprises françaises se comprend, l’attitude du gouvernement algérien est, pour le moins, incompréhensible. Car, quand bien même on voudrait explorer cette énergie nouvelle, l’endroit le mieux indiqué pour le faire serait les États-Unis d’Amérique, qui ont une grande expérience en la matière et qui ont exploité cette énergie depuis des années. D’ailleurs, la récente visite du secrétaire américain à l’Énergie, Ernest Moniz, n’est pas étrangère à cette étrange décision algérienne. Ce dernier, qui avait été reçu par le président Bouteflika, avait clairement indiqué que les compagnies américaines sont très intéressées par l’exploitation du gaz de schiste en Algérie. “Nos compagnies sont intéressées par le marché algérien parce qu’elles ont une grande expérience en matière d’exploitation de gaz et de pétrole de schiste qui nous a permis d’assurer un boom économique et une indépendance énergétique. J’espère que l’expertise acquise durant ces dernières années sera également utilisée en Algérie.” Une mise au point américaine qui intervient quelques jours seulement après l’annonce, par Alger, de sa volonté d’explorer ses importants gisements en gaz de schiste.
Cette mise au point, ajoutée au tollé provoqué au sein de l’opinion publique, a poussé le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à temporiser les ardeurs des uns et des autres. Devant les députés, il a affirmé qu’aucun contrat n’avait été signé pour le moment et que le pays était encore au stade de l’exploration, lui qui avait prédit, la semaine dernière, la fin des exportations algériennes en hydrocarbures traditionnels d’ici à 2030 et qui avait insisté sur la nécessité de se tourner vers les énergies non conventionnelles.
Cela dit, et en dehors des nombreux dossiers économiques et de coopération bilatérale qui seront débattus lors de la visite de M. Fabius, le sujet principal qui accaparera les discussions sera, sans aucun doute, la lutte antiterroriste et la situation explosive aux frontières de l’Algérie.
Outre le dossier encore compliqué du nord du Mali, en particulier, et du Sahel, en général, où les deux pays coopèrent, non sans diverger sur la méthode, il y a lieu de relever que les deux pays sont impliqués, chacun à sa façon, dans le conflit libyen, qui s’enlise davantage vers le chaos, mais aussi la situation en Tunisie où la menace terroriste est à prendre au sérieux.
Autre sujet qui fâche les deux pays, celui de la coopération judiciaire. Le récent report de la visite du juge Trévidic, qui enquête sur la mort des moines de Tibhirine, puis le refus d’Alger d’extrader Abdelmoumène Khelifa vers la France où son procès se tient en ce moment constituent autant de sujets que les deux chefs de la diplomatie tenteront d’aplanir. -
on respecte rien!
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SAADANI
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