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LES PRATICIENS DE SANTE', DONNEZ VOTRE AVIS. - Page 143

  • ONU : Un camouflet pour les gouvernements liberticides et policiers, ONU organisation corrupue pas crédible,complaisante, elle participe au crimes contre humanite' au genocide ect.... organisation maffieuse.

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    Lundi 27 septembre.Coup de tonnerre dans le ciel serein de l'Assemblée générale des Nations unies à New York : les gouvernements liberticides et policiers ont perdu la partie, le Conseil des droits de l'homme venait d'adopter une résolution qui appuie «Le droit de réunion et d’association pacifiques» pour la «Promotion et (la) protection de tous les droits de l’homme, civils, politiques, économiques, sociaux et culturels, y compris le droit au développement».

    Et les Nations unies ont même décidé «de nommer pour trois ans un rapporteur spécial sur le droit de réunion et d’association pacifiques». L'administration Obama s'est fortement mobilisée pour l'adoption de cette résolution, et le discours du président américain à la tribune de l'Assemblée générale des Nations unies, quelques jours avant, était annonciateur de ce plaidoyer pour une société civile libre et indépendante, notamment dans les pays où son champ d'action est restreint par les gouvernements antidémocratiques. Quelle victoire pour la société civile de par le monde qui a enfin réussi à faire entendre sa voix ! Nous publions ci-dessous de larges extraits de cette résolution qui fera date.

    «Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies, s’inspirant de la Charte des Nations unies, de la Déclaration universelle des droits de l’homme et des autres instruments relatifs aux droits de l’homme ; réaffirmant les objectifs et les principes énoncés dans la Charte ainsi que les droits et les libertés fondamentales consacrés dans la Déclaration universelle des droits de l’homme ; rappelant que les États membres de l’Organisation des Nations unies se sont engagés à promouvoir en coopération avec l’Organisation le respect et l’exercice universels des droits de l’homme et des libertés fondamentales ; ... réaffirmant que toute personne a droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques et que nul ne peut être obligé de faire partie d’une association ; reconnaissant l’importance du droit de réunion et d’association pacifiques pour la pleine réalisation des droits civils et politiques, et des droits économiques, sociaux et culturels ; considérant que le droit de réunion et d’association pacifiques est une composante essentielle de la démocratie qui offre des possibilités inestimables, entre autres celles d’exprimer des opinions politiques, de s’adonner à des activités littéraires et artistiques et à d’autres occupations culturelles, économiques et sociales, de pratiquer sa religion ou sa croyance, de former des syndicats et des coopératives ou d’y adhérer, et de choisir pour représenter ses intérêts des dirigeants qui ont à rendre des comptes.
    Respecter et protéger le droit de réunion pacifique et de libre association
    Rappelant... que l’individu a des devoirs envers autrui et envers la collectivité à laquelle il appartient, et qu’il est tenu de s’efforcer de promouvoir et respecter les droits de l’homme et les libertés fondamentales ; considérant que l’exercice du droit de réunion et d’association pacifiques sans autres restrictions que celles qu’autorise le droit international, en particulier le droit international relatif aux droits de l’homme, est indispensable à la pleine jouissance de ce droit, en particulier là où des individus professent des convictions religieuses ou politiques minoritaires ou dissidentes. Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies demande à tous les États de respecter et protéger le droit de réunion pacifique et de libre association dont jouissent tous les individus, y compris en ce qui concerne les élections et les personnes appartenant à des minorités, professant des opinions ou des croyances minoritaires ou dissidentes, ou défendant la cause des droits de l’homme, des syndicalistes et de tous ceux qui cherchent à exercer ou promouvoir ce droit, et de faire en sorte que les restrictions éventuellement imposées au libre exercice du droit de réunion et d’association pacifiques soient conformes aux obligations que leur impose le droit international relatif aux droits de l’homme ; demande au Haut-Commissariat aux droits de l’homme d’aider les États à promouvoir et protéger le droit de réunion et d’association pacifiques, notamment par l’intermédiaire de son programme d’assistance technique, à la demande des États, et de coopérer avec les institutions internationales et les organismes des Nations unies compétents pour aider les États à promouvoir et protéger ce droit ; invite la société civile, y compris les organisations non gouvernementales et les autres parties intéressées, qui apporte un concours précieux à la réalisation des buts et des principes de l’Organisation des Nations unies, à promouvoir la jouissance du droit de réunion et d’association pacifiques.
    Signaler les violations du droit de réunion et d’association pacifiques

    Décide de nommer pour trois ans un rapporteur spécial sur le droit de réunion et d’association pacifiques, qui aura pour attributions : de rassembler les renseignements pertinents, notamment quant aux pratiques et aux acquis des États, sur la promotion et la protection du droit de réunion et d’association pacifiques, d’étudier les tendances, les faits nouveaux et les difficultés que présente l’exercice de ce droit et faire des recommandations sur les moyens de le promouvoir et de le protéger sous toutes ses formes; De faire figurer dans son premier rapport un schéma d’examen des pratiques conseillées, y compris les pratiques et les acquis des États, susceptibles de promouvoir et protéger le droit de réunion et d’association pacifiques, en prenant largement en considération les éléments de réflexion utiles dont dispose le Conseil. De solliciter des renseignements des gouvernements, des organisations non gouvernementales, des parties intéressées et des autres interlocuteurs compétents en la matière, de recevoir ces renseignements et d’y répondre, en vue de promouvoir et protéger le droit de réunion et d’association pacifiques... De signaler les violations du droit de réunion et d’association pacifiques en quelque lieu qu’elles se produisent ainsi que les faits de discrimination, de menace, de recours à la violence, de harcèlement, de persécution, d’intimidation ou de représailles qui visent les personnes exerçant ce droit, et d’attirer l’attention du Conseil et du Haut- Commissaire sur les cas particulièrement préoccupants. Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies engage les États à prêter leur concours et à offrir une coopération sans réserve au rapporteur spécial lorsqu’il exerce ses fonctions, à lui communiquer tous les renseignements qu’il réclame, à répondre rapidement à ses communications et à ses appels urgents, et à donner une suite favorable à ses demandes de visite ; prie le rapporteur spécial de faire tous les ans rapport à l’Assemblée générale et à lui-même sur les activités relevant de son mandat et décide de poursuivre l’examen de la question du droit de réunion et d’association pacifiques conformément à son programme de travail.»
    Djilali Hadjadj

    SOURCE Le Soir d'Algérie

  • Comment les Américains nous voient : « L’Algérie, un pays malheureux, Bouteflika un homme sans vision »

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    La copie corrigée - changement de classification
    NOFORN
    SIPDIS
    AEN POUR K. Harrington et M. Popal
    EO 12958: DECL: 22/02/2023
    TAGS: PREL, PGOV, AG
    OBJET: SETTER SCENE POUR UN / S VISITE EN ALGÉRIE WELCH
    ALGER A. 111: REF
    ALGER B. 110 ET 140 ALGER
    C. 07 ALGER 1806
    D. 07 ALGER 1807 et 08 ALGER 0075
    ALGER 141 E.

    UN malheureux pays
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    2. (C) Il y a beaucoup de discussions dans les milieux politiques sur la constitution, le troisième mandat et la question de la succession , mais très peu de discussions intéressantes sur la façon de traiter l'aliénation politique et le mécontentement social dans tout le pays. Les logements manquent terriblement , tandis que chômage et sous-emploi sont endémiques (au moins 50 pour cent chez les jeunes). Il y a  un phénomène relativement nouveau, beaucoup de jeunes tentent de fuir le pays, par de petites barques si nécessaire. L'âge moyen auquel les Algériens se marient est maintenant en moyenne dans la trentaine, c'est un indicateur frappant de la façon malheureuse dont vivent les jeunes leurs vingtaine. Pendant ce temps, la hausse mondiale des prix de la plupart des alimentaires est transmises aux consommateurs algériens ce qui provoque des grèves par différents groupes de travailleurs presque chaque semaine.
    Nous nous attendons à une grève nationale des enseignants, le côté positif, les fermetures d'écoles peuvent faciliter la circulation. Presque tous les jours il ya des manifestations isolées à l'occasion le à l'intérieur de pays et les bureaux du gouvernement sont attaqués. Pendant ce temps, le taux de participation aux élections législatives de 2007 et locales était plus faible que jamais parce que les jeunes de l'Algérie ne pas voir le système politique comme ayant une pertinence pour résoudre leurs problèmes. Le gouvernement est fermement ancré. Cependant, beaucoup le sens politique et social de l'élite de L'Algérie est à la dérive

    L'absence de vision
    ----------------------
    3. (C) Alors que l'Algérie est plus riche que jamais les problèmes politiques, économiques et sociaux perdurent.
    l. Le pétrole et le secteur du gaz engendrent jusqu'à 70 milliards de dollars de recettes d'exportation en 2007, tandis que les importations ne seront environ 45 milliards USD, selon le FMI. En conséquence, le gouvernement algérien  accumule des réserves de change record, actuellement autour de 110 milliards USD. La population connaît les richesses et le gouvernement algérien est incapable de soulager les problèmes comme le logement et le chômage mettant à mla la crédibilité du gouvernement. Bouteflika et son équipe ont une seule approche pour dynamiser l'économie: dépenser des dizaines de milliards de dollars sur les infrastructures ainsi que quelques des projets grandioses pour créer des emplois et également créer un héritage politique pour Bouteflika. L'industrie de la construction est en croissance mais pas aussi rapide que dans les Etats autres pétroliers. La bureaucratie la règlementation lourde et la lenteur des projets à cause de la centralisation empêchent de nouveaux investissements privés. Le gouvernement algérien semble incapable de résoudre ces problèmes systémiques. Cette incapacité découle d'un manque de vision au sommet. Bouteflika et son équipe en sont encore à faire un choix pour savoir si l'Algérie sera une économie de marché et s'intégrer dans l'économie mondiale ou d'une économie gérée par gouvernement en poursuivant  l'ancien contrat social des Années 1960 et 1970. Nous avons de petits projets d'assistance technique pour aider le gouvernement algérien à réformer son secteur financier et de l'éducation, mais l'ineptie bureaucratique et un manque d'urgence algérien engendre la lenteur des progrès.

  • Attentat contre Habyarimana au Rwanda: six proches de Kagame mis en examen

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    Six proches du président rwandais Paul Kagame ont été mis en examen et laissés en liberté ces derniers jours dans l'enquête sur l'attentat contre l'avion de Juvénal Habyarimana en 1994, ce qui devrait entraîner la levée des mandats d'arrêt qui les visaient depuis quatre ans.

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    Six proches du président rwandais Paul Kagame ont été mis en examen et laissés en liberté ces derniers jours dans l'enquête sur l'attentat contre l'avion de Juvénal Habyarimana en 1994, ce qui devrait entraîner la levée des mandats d'arrêt qui les visaient depuis quatre ans.
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    Six proches du président rwandais Paul Kagame ont été mis en examen et laissés en liberté ces derniers jours dans l'enquête sur l'attentat contre l'avion de Juvénal Habyarimana en 1994, ce qui devrait entraîner la levée des mandats d'arrêt qui les visaient depuis quatre ans.
    Ces six personnes, dont l'actuel ministre rwandais de la Défense, James Kabarebe, faisaient partie des neuf proches du dirigeant rwandais visés par des mandats d'arrêt émis en 2006 par l'ancien juge Jean-Louis Bruguière.
    Ils ont été mis en examen entre les 5 et 15 décembre au Burundi par les juges d'instruction antiterroriste Marc Trevidic et Nathalie Poux pour "complicité d'assassinats en relation avec une entreprise terroriste". Ils ont été laissés en liberté sans contrôle judiciaire, selon leurs avocats, Mes Léon-Lef Forster et Bernard Maingain.
    Ces mises en examen devraient être suivies de la levée des mandats émis en 2006, qui avaient entraîné une rupture diplomatique entre Paris et Kigali. Elles permettent en outre à ces six proches de M. Kagame d'avoir accès à l'enquête judiciaire et d'éventuellement faire des demandes d'actes.
    Le soir du 6 avril 1994, l'avion transportant notamment le président Habyarimana, un Hutu, et son homologue burundais Cyprien Ntaryamira, avait été abattu en phase d'atterrissage à Kigali par au moins un missile antiaérien.
    Cet attentat est considéré comme le signal déclencheur du génocide qui fit 800.000 morts selon l'ONU, essentiellement parmi la minorité tutsi.
    Deux thèses s'affrontent dans cette enquête: la justice française -- compétente dans ce dossier en raison de la nationalité française de l'équipage de l'avion -- soupçonne un commando du Front patriotique rwandais (FPR, aujourd'hui au pouvoir) de s'être infiltré à travers le dispositif des Forces armées rwandaises (FAR), pour abattre l'avion depuis la colline de Massaka, qui surplombe l'aéroport.
    Une commission d'enquête rwandaise a au contraire imputé la responsabilité de l'attentat aux extrémistes "Hutu Power" des FAR qui auraient voulu se débarrasser du président Habyarimana, jugé trop modéré, pour faciliter un coup d'Etat.
    Outre James Kabarebe, figurent parmi les mis en examen le général Jack Nziza, le lieutenant-colonel Charles Kayonga, l'ancien militaire Jacob Tumwine, Franck Nziza, soupçonné d'être un des tireurs qui ont abattu l'avion, ainsi que Samuel Kanyemera.
    L'ancienne chef du protocole de M. Kagame, Rose Kabuye, elle aussi visée par un mandat d'arrêt, avait pour sa part été mise en examen fin 2008. Deux autres Rwandais restent visés par les mandats délivrés par M. Bruguière: Faustin Nyamwasa-Kayumba serait réfugié en Afrique du Sud, selon plusieurs sources. Eric Hakizimana serait pour sa part décédé.
    "Les explications fournies par les personnes ont donné un tout autre éclairage à ce dossier et des éléments de faits précis ont été portés à la connaissance des autorités judiciaires en vue de démontrer que la première partie de la procédure était plus le produit d'une manipulation qu'une instruction à charge et à décharge", ont indiqué dans un communiqué les avocats des mis en examen, Mes Lev Forster et Bernard Maingain.
    L'avocat de la veuve de M. Habyarimana, Me Philippe Meilhac, a pour sa part salué une "avancée attendue depuis longtemps". "Ces mises en examen auraient dû intervenir plus tôt mais elles montrent qu'on approche de la fin de l'enquête", a-t-il ajouté à l'AFP.
    Les deux magistrats avaient effectué un déplacement au Rwanda en septembre au cours duquel ils avaient notamment effectué une reconstitution de l'attentat. Une expertise, dont les résultats sont attendus en mars, doit notamment déterminer d'où provenaient les tirs.

    AFP
  • Attentat anti-chiite en Iran: 34 morts, 83 blessés selon un nouveau bilan

    Trente-quatre personnes ont été tuées et 83 blessées dans l'attentat de mercredi contre une procession religieuse chiite en Iran, revendiqué par le groupe rebelle sunnite Joundallah, selon un nouveau bilan officiel publié jeudi.


    Trente-quatre personnes ont été tuées et 83 blessées dans l'attentat mercredi contre une procession religieuse chiite en Iran, revendiqué par le groupe rebelle sunnite Joundallah, selon un nouveau bilan officiel publié jeudi.
    "Le nombre des martyrs de l'attentat terroriste de Chabahar (sud-est) est passé à 34 et six des blessés se trouvent dans un état grave", a déclaré Jalal Sayah, vice-gouverneur de la province Sistan-Balouchistan cité par l'agence Isna.
    Deux kamikazes sont impliqués dans l'attentat, le premier a été tué par l'explosion et le second par la police. Un troisième membre du groupe a été arrêté par les forces de sécurité.
    "Le troisième individu a été arrêté à la frontière avec le Pakistan et des suspects ont également été appréhendés", a ajouté le vice-gouverneur sans plus de détails. Mercredi, les autorités avaient affirmé que le troisième membre du groupe avait été arrêté alors qu'il tentait de fuir le territoire iranien.
    Jeudi, un responsable du ministère des Renseignements, cité par la télévision, a fait état de "l'arrestation de huit terroristes liés à l'attentat de Chabahar". IL n'a pas donné d'autres détails.
    L'attentat a été condamné par l'Occident, l'ONU et des pays arabes.
    Il a eu lieu à proximité de la mosquée chiite de l'Imam Hussein dans la ville de Chabahar. Le kamikaze a fait détoner sa ceinture d'explosifs lors des cérémonies de Tassoua, à la veille d'Achoura qui commémore la mort de Hussein, troisième imam du chiisme, à la bataille de Kerbala en l'an 680.
    Le groupe sunnite Joundallah, responsable de nombreux attentats depuis dix dans la province qui compte une forte minorité sunnite, a été classé par les Etats-Unis parmi les organisations terroristes.
    Le ministre iranien de l'Intérieur, Mostafa Mohammad Najar, a accusé les membres de Joundallah d'utiliser le Pakistan comme base arrière.

    AFP
  • arretez moi ca, les instances internationales ,oua, onu,ne feront rien, niet, nada,!!!!

    Côte d'Ivoire: tirs nourris entre ex-rebelles et forces pro-Gbagbo à Abidjan

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    Des éléments de l'ex-rébellion ivoirienne, protégeant le quartier général d'Alassane Ouattara à Abidjan, ont échangé des tirs nourris avec des forces fidèles à Laurent Gbagbo, a constaté une journaliste de l'AFP.
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    Des éléments de l'ex-rébellion ivoirienne, protégeant le quartier général d'Alassane Ouattara à Abidjan, ont échangé des tirs nourris avec des forces fidèles à Laurent Gbagbo, a constaté une journaliste de l'AFP.
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    Des éléments de l'ex-rébellion ivoirienne, protégeant le quartier général d'Alassane Ouattara à Abidjan, ont échangé des tirs nourris avec des forces fidèles à Laurent Gbagbo, a constaté une journaliste de l'AFP.
    Ces échanges de tirs, avec des armes de gros calibre, les détonations étant entendues à plus d'un kilomètre, se poursuivaient vers 12H00 (locales et GMT), selon la journaliste de l'AFP présente à l'hôtel du Golf qui sert de QG à Alassane Ouattara, un des deux présidents proclamés de Côte d'Ivoire.
    Les Forces nouvelles (FN, ex-rébellion), qui participent à la protection de M. Ouattara et de ses collaborateurs, ont pour objectif de libérer la route qui passe devant l'hôtel, barrée par des éléments des Forces de défense et de sécurité (FDS), fidèles à Laurent Gbagbo.
    Les partisans de M. Ouattara ont prévu de marcher vers la radio-télévision publique RTI, contrôleé par le camp Gbagbo, et plusieurs d'entre eux devaient partir de l'hôtel.

    AFP
  • Scandale humanitaire en Chine

    Des handicapés mentaux vendus comme esclaves

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    Un scandale de trafic de handicapés mentaux vient d’être mis au jour en Chine, où les victimes étaient vendues à un atelier construisant du matériel pour des entreprises de chimie.

    La police a interpellé, hier soir, le chef d’une usine chimique impliqué dans le dernier scandale d’esclavage du pays, et a libéré douze ouvriers souffrant de handicaps mentaux, qui avaient été vendus par un propriétaire d’asile dans la province du Sichuan. Ce dernier avait été arrêté le jour précédent. Son fils et sa femme ont également été arrêtés. Le 10 décembre, des journalistes du Xinjiang Metropolis News ont été prévenus que l’usine employait des handicapés cérébraux et sont  donc allés interviewer le propriétaire au sujet de la pollution, comme prétexte pour découvrir les conditions sur place.


    Ainsi, un responsable d’un centre d’accueil pour handicapés mentaux dans le sud-ouest de la Chine est soupçonné d’avoir vendu au moins 70 de ses pensionnaires, pour en faire des esclaves dans des usines, a rapporté aujourd’hui la presse officielle. Les enquêteurs ont suivi une piste depuis la région occidentale du Xinjiang, où les autorités ont imposé la fermeture d’une fabrique dans laquelle 11 ouvriers, déficients mentaux pour la plupart, étaient réduits au travail forcé. Ces 11 ouvriers, fabriquant du matériel pour des entreprise de chimie, exploités pour certains depuis plusieurs années, étaient fréquemment battus et nourris avec des aliments pour chiens.
    Les investigations ont permis de remonter jusqu’à un centre d’accueil non homologué pour handicapés mentaux, dans la province du Sichuan (sud-ouest). «Depuis 1996, son responsable a vendu au moins 70 handicapés mentaux pour qu’ils travaillent à Pékin, Tianjin et dans d’autres villes», a déclaré un fonctionnaire local, cité par le quotidien China Daily. Les enquêteurs ont trouvé le nombre de 70 dans un livre de comptes tenu par le responsable du centre d’accueil, qui a été arrêté lundi et accusé de traite d’êtres humains en vue d’esclavage. Le patron de la société du Xinjiang, produisant du matériel pour des entreprises de chimie, a également été arrêté.


    Il a relaté avoir versé 9000 yuans (environ 1000 euros) pour «acheter» cinq ouvriers, puis 300 yuans (33 euros) par personne supplémentaire, a indiqué la presse chinoise. Illustrant la face sombre du miracle économique chinois, les scandales de violation des droits des travailleurs, de travail des mineurs ou d’exploitation des personnes handicapées ne sont pas rares en Chine.
    En 2007, la découverte de centaines d’adultes et de dizaines d’enfants exploités comme esclaves dans des briqueteries et des mines dans les provinces du Shanxi et du Henan avait connu un retentissement dans le monde entier.

     
  • Attentat de Stockholm : d'autres voix seraient audibles sur le message du kamikaze

     

     

    Des pompiers tentent d'éteindre la voiture qui a pris feu, le 11 décembre 2010 à Stockholm, lors d'un attentat-suicide.

    Des pompiers tentent d'éteindre la voiture qui a pris feu, le 11 décembre 2010 à Stockholm, lors d'un attentat-suicide.REUTERS/REUTERS TV

    Selon des médias suédois, des voix de complices pourraient être audibles dans le message audio de l'auteur de l'attentat-suicide manqué de Stockholm, qui pourrait avoir eu des liens au Royaume-Uni avec l'imam radical Abou Hamza.

    "Il y a au moins deux personnes" qu'on peut entendre sur l'enregistrement audio, selon l'ingénieur du son Johan Ohgren, cité par la télévision TV4. "Il n'est pas possible de parler quand on inspire. On peut clairement entendre qu'il y a quelqu'un d'autre dans la pièce", assure-t-il.

    Les services de sécurité suédois (Säpo) et l'agence de presse TT ont reçu, quelques minutes avant l'explosion, un courriel contenant un message audio dans lequel le kamikaze présumé annonçait des "actions" contre la Suède pour son engagement en Afghanistan et son soutien au dessinateur Lars Vilks, auteur d'une caricature représentant le prophète Mahomet sous la forme d'un chien.

    La police doit encore confirmer si l'homme tué samedi 11 décembre par la détonation de ses propres explosifs, qu'elle a identifié "à 98 %" comme étant Taimour Abdulwahab, un Suédois de 28 ans, qui serait né en Irak, et résidant à Luton, au Royaume-Uni, avait des complices, ce qu'elle suspecte.

    Selon le quotidien suédois Svenska Dagbladet, qui cite des sources proches du dossier, la police britannique enquête sur un possible lien entre Taimour Abdulwahab et l'imam radical égyptien Abou Hamza, actuellement en prison au Royaume-Uni.

     

  • bréves

    1 - Pour une coopération franco-algérienne

    LE MONDE | 24 novembre 2010 | Jean-Louis Guigou | 498 mots

    Sortir des douloureux conflits de mémoire. C'est une évidence : la France et l'Algérie sont malades l'une de l'autre. Que de polémiques stériles, que de signes d'un divorce qui n'en finit pas. La liste est longue qui convainc l'observateur que les routes ne cessent de diverger alors qu'elles ne...

    2 - Refoulés à Bamako

    LE MONDE | 18 novembre 2010 | Elise Vincent | 1638 mots

    Dans les faubourgs en terre rouge de Bamako, il y a de plus en plus d'histoires tristes de jeunes gaillards, tout droit sortis du Sahara. Des migrants las, amaigris, qui refont le film de leur aventure avortée vers l'Europe.

    3 - Comment Washington enrôle Alger et Tripoli dans la lutte contre le terrorisme

    LE MONDE | 8 décembre 2010 | Philippe Bernard | 953 mots

    Les intérêts convergents de l'Algérie, de la Libye et des Etats-Unis ont permis un rapprochement justifié par la menace que constitue Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Marchons, marchons... », mais restons immobiles.

    4 - WikiLeaks : face à AQMI, Washington tisse sa toile au Maghreb et au Sahel

    LE MONDE.FR | 6 décembre 2010 | Philippe Bernard | 941 mots

    "Marchons, marchons , ... ", mais restons immobiles. Comme à l'Opéra comique, les pays riverains de la zone sahélo-saharienne proclament unanimement leur volonté farouche de lutter contre Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), mais semblent dépenser davantage d'énergie pour s'accuser mutuellement...

     | 5 - "Madame l'Afrique" réunit Algériens et Français
    LE MONDE | 14 décembre 2010 | Isabelle Mandraud (envoyée spéciale) | 412 mots
    Tout en haut de la colline de Bologhine, à Alger, surplombant la Méditerranée, la basilique Notre-Dame-d'Afrique a rassemblé, lundi 13 décembre, une petite foule inhabituelle. Tout en haut de la colline de Bologhine, à Alger, surplombant la Méditerranée, la basilique Notre-Dame-d'Afrique a...


    6 - Le Sahara occidental et l'impossible confiance entre le Maroc et l'Algérie

    LE MONDE | 5 décembre 2010 | Jean-Pierre Tuquoi | 766 mots

    Les diplomates américains qui font la navette entre Alger et Rabat recueillent les critiques mutuelles que se renvoient les deux pays concernés par cet interminable conflit. Le conflit au Sahara occidental, né il y a une quarantaine d'années, n'est pas prêt de trouver une solution.

    7 - Apprendre l'histoire en la touchant

    LE MONDE DES LIVRES | 10 décembre 2010 | Thomas Wieder | 479 mots

    Un superbe « livre-objet » offre un regard singulier sur la guerre d'Algérie. L'objet se présente sous la forme d'un mince carnet vert, facile à glisser dans la poche. Chaque appelé débarquant en Algérie était censé en recevoir un exemplaire. Son titre : Petit vocabulaire militaire d'arabe parlé.

    8 - A Alger, Ben Bella raconte le Che à François Hollande

    LE MONDE | 10 décembre 2010 | Isabelle Mandraud (Alger, envoyée spéciale | 488 mots

    Dans sa ravissante maison du Paradou, dans le quartier Hydra, sur les hauteurs d'Alger où il vit depuis son retour d'exil en 1990, Ahmed Ben Bella a accueilli, mercredi 8 décembre, le socialiste français François Hollande.

    9 - WikiLeaks : quand Algériens et Marocains se confient sur le Sahara occidental

    LE MONDE.FR | 3 décembre 2010 | Jean-Pierre Tuquoi | 738 mots

    Le conflit au Sahara occidental, né il y a une quarantaine d'années, n'est pas près de trouver une solution. Les positions sont trop éloignées, les rivalités trop profondes, les procès d'intention trop nombreux entre les deux principaux protagonistes: le Maroc, qui occupe le Sahara occidental en...

    10 - La présidence de M. Sarkozy a commencé par un « affront » à Mohammed VI

    LE MONDE | 5 décembre 2010 | Jean-Pierre Tuquoi | 294 mots

    Tout juste élu, le chef de l'Etat réserve son premier déplacement officiel à l'Algérie. Vexé, le Maroc annule la visite du président français. Nicolas Sarkozy, tout juste élu président de la République, réserve au Maghreb son premier déplacement hors d'Europe, comme avant lui Jacques Chirac.

  • De Sétif à SaÏda

     

    1 300 kilomètres pour passer un concours !

    Les 300 candidats postulants pour un poste d’inspecteur principal des prix ont affiché leur mécontentement quant au choix du lieu de déroulement du concours. En effet, après avoir déposé leur dossier de candidature, les jeunes universitaires ont appris que le concours se déroulera dans la wilaya de Saïda à l’ouest du pays. Un véritable parcours du combattant puisque les candidats doivent parcourir près de 1 300 kilomètres pour passer un examen dont les résultats ne présentent aucune garantie.

  • La compétence dans le système d’incompétence


    Il paraît que la déclaration du ministre de la Communication sur l’incompétence des journalistes de l’ENTV, déclaration sur laquelle Mehal serait revenu depuis, aurait suscité la colère des concernés.
    Il ne devrait d’ailleurs pas être difficile de consoler nos confrères de l’Unique ; il suffit de rappeler que pour l’heure, et pour des raisons “systémiques”, la compétence n’est pas à l’ordre du jour. Ni à la télévision ni dans la presse en général, ni dans aucune autre institution.
    Si la compétence constituait un souci pour nos décideurs, ils auraient mis en place le seul système qui lui permettrait d’émerger : le système de compétition, c’est-à-dire le système démocratique, au sens large. Mais alors le régime serait contraint de s’imposer un minimum de cohérence dans les nominations aux postes de responsabilité, de concevoir des grilles de sélection et d’organiser des concours pour pourvoir accéder aux fonctions publiques. Mais que faire des cousins et des copains ?
    Les journalistes de l’ENTV, avant d’exiger la reconnaissance de leur compétence, se sont-ils posé la question : dans un système de télévision unique, de quelle compétence a-t-on besoin ? Quelle autonomie intellectuelle et quelle marge d’initiative a-t-on dans le processus de sélection, de production, de formalisation et de diffusion de l’information pour que la compétence d’un journaliste de type ENTV puisse être mise à l’épreuve ?
    Dans un contexte autoritaire de production du discours unique et où la création intellectuelle est sous surveillance, la compétence, quand elle existe dans les structures officielles est une anomalie, un mal nécessaire… pour le système. Elle peut être tolérée pour ses seuls avantages pratiques et dans la seule mesure où elle ne confère aucune légitimité décisionnelle à son détenteur.
    Sinon, c’est la compétence qui doit laisser place à la raison du pouvoir. D’où ce qu’on appelle la “fuite des cerveaux” qui, en fait, n’affecte pas que les génies, mais touche les qualifications les plus élémentaires. L’ironie est, dans ce fait, que le pouvoir fait de l’appel au retour des compétences qu’il a fait fuir ; un thème de propagande politique ! Le système de rémunération qui privilégie les instances de pouvoir à celles qui font appel à la technicité exprime ouvertement le choix politique pour la filiation politique contre l’utilité sociale. La répression continue des luttes sociales dans les secteurs de la santé et de l’enseignement rappelle que le critère de promotion statutaire renvoie à des considérations d’équilibre du pouvoir et non à des préoccupations de développement.
    Quand ce n’est pas l’exil, c’est la révocation qui sanctionne la compétence insoumise. C’est ce qui est arrivé à feu Mentouri quand le Cnes, sous sa présidence, poursuivait sa mission d’évaluation de l’état économique et social du pays en faisant prévaloir la rationalité scientifique sur la raison politique.
    On ne peut pas avoir le confort d’un monopole qui nous dispense de l’épreuve de la concurrence, et la reconnaissance qui, elle, ne peut être consacrée que par le pluralisme. Au lieu de réclamer le mérite décerné, peut-être vaut-il mieux revendiquer les conditions d’une reconnaissance méritée.
    La compétence, ce n’est pas le système de cooptation ; c’est la démocratie.

  • no moment

  • L’absurde, c'est les militaires qui commandent en algerie.

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    Les militaires obéissent aux civils. En Algérie. C’est du moins ce que WikiLeaks a dû rapporter dans une de ses livraisons, cette semaine, sur une assertion de Bouteflika aux diplomates américains à Alger. La chose est d’autant plus intéressante de prime abord qu’elle a déjà fait les choux gras de la presse locale pendant des mois et à des périodes différentes de la vie politique nationale. Ainsi, WikiLeaks serait dans le cas de nous avoir apporté la preuve de ce que nous aurions bien pu supposer, soupçonner ou même tout simplement déduire de certaines lectures avisées des événements. Jusqu’à avant cette fuite d’informations, les observateurs comme les commentateurs politiques algérois se sont déjà posé la question de savoir quels seraient, à l’heure actuelle, la qualité et le niveau des  rapports entre le pouvoir des militaires et celui des dirigeants civils.

    L’opinion a donc eu droit à moult spéculations aussi superfétatoires les unes que les autres. Mais en réalité, est-il possible que toute la situation soit telle qu’elle est rapportée par le site web qui défraie la chronique mondiale en ce moment ? Est-il ainsi à ce point vrai que «toute vérité est dans ce qu’on cache», comme pourrait bien nous le suggérer le fait de mettre en ligne les câbles top secrets des ambassades de l’oncle Sam ?


    En tout cas, en ce qui concerne l’Algérie, l’équation militaire-civil semble mal posée dès le départ puisque nous ne sommes même pas dans le théorème de démocratie. La primauté de civil sur le militaire n’aurait de sens, en effet, que si le pouvoir civil, fruit d’un mandat électif, était seulement l’expression de la volonté des suffrages librement exprimés. A ce titre, il serait judicieux que le militaire soit aux ordres du civil dont le pouvoir constitue un mandat du peuple qui peut le lui reprendre à la première consultation électorale. Mais force est de reconnaître que nous en sommes bien loin tant que la chose publique continue d’être traitée en affaire privée par le cénacle de politiciens qui sont de plus en plus enclins à poser pour une photo de famille et de moins en moins prêts à accepter l’ouverture de l’espace public pour le débat franc et contradictoire.


    Que de scandales et d’affaires scabreuses n’ont-ils pas secoué le microcosme politico-militaire algérois ! Le rôle peu flatteur de l’APN, les pouvoirs de plus en plus limités des mandats électifs face à ceux de plus en plus importants de l’administration, le fer de l’état d’urgence qui reprend nombre de prérogatives aux civils, l’intrusion du sacro-saint délire sur une succession dynastique, l’infâmante exclusion des partis de toute vie politique saine, l’absence de débat sur les questions sécuritaires, économiques et sociales qui engagent le destin de tout un peuple, tout cela est là pour nous rappeler que les termes du débat sont spécieux et biaisés. Car dans cette équation d’imbrications des pouvoirs pourrait se cacher un projet sournois qui vise à porter le statut actuel du «despotisme éclairé» vers les eaux glacées d’une dictature où civils et militaires peuvent se confondre.

    Ali Benyahia
  • hanachi à vu juste, c'est un simple corrupu ce rawrawa pfafoot

    Ils se sont serré la main hier à Doha

    Raouraoua et Zaher se réconcilient

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    Le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, et son homologue de la Fédération égyptienne, Samir Zaher, se serrent à nouveau la main.

    La première depuis le caillassage sauvage au Caire du bus des Verts par des «ultras» égyptiens le 12 novembre de l’année passée et le refus du président de la FAF de serrer la main à Zaher au Soudan à la veille du match barrage qualificatif au Mondial 2010. C’est grâce donc à la médiation du président de la Confédération asiatique de football, Mohamed Benhamam, que cette action de réconciliation a pu se concrétiser.

    Profitant de la présence de Samir Zaher à Doha pour assister, demain soir, au match amical entre le Qatar et l’Egypte, le président de la Confédération asiatique a invité Raouraoua à une rencontre de réconciliation avec Zaher. Un geste fructueux dans la mesure où ces derniers ont finalement décidé d’enterrer la hache de guerre. Juste après, Raouraoua et Zaher ont animé conjointement une conférence de presse pour annoncer le retour à la «normale» de leurs relations. Le dirigeant égyptien a reconnu son erreur après l’agression du bus de l’équipe nationale, causant la blessure de certains joueurs et d’un membre du staff technique. «Je reconnais que nous avons fauté avec nos amis algériens au Caire. Si c’était à refaire, je ne commettrai jamais cette erreur», a déclaré Samir Zaher, qui n’a donc pas présenté de manière claire ses excuses à la partie algérienne. Ainsi, il précise devant un parterre de journalistes que «l’Algérie et l’Egypte demeurent des pays arabes associés par les liens de la fraternité».

    De son coté, le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, a abondé dans le même sens indiquant que «nos deux pays resteront frères», mais le dirigeant algérien a condamné de nouveau l’atteinte aux symboles de la Révolution algérienne : «Mon pays ne pardonnera pas à ceux qui ont insulté nos martyrs.» Des artistes, des journalistes et des intellectuels égyptiens n’appréciant pas la qualification algérienne (méritée) au Mondial 2010 au terme du match d’appui au Soudan le 18 novembre 2009 (victoire algérienne sur l’Egypte par 1 but à 0), ont tenu des propos injurieux à l’égard de nos valeureux martyrs. Pour sa part, le président de la Confédération asiatique, M. Benhamam, s’est félicité de la réconciliation entre les deux hommes, précisant que «cela ne pouvait se concrétiser sans les bonnes intentions de Zaher et Raouraoua qui tenaient à tourner la page de manière définitive».


    UNAF : l’Egypte lève le boycott


    Suite à cela, la Fédération égyptienne de football a décidé de réintégrer ses clubs dans les compétitions organisées par l’Union nord-africaine de football (UNAF) présidée par l’Algérien Mohamed Raouraoua. L’Egypte suspend ainsi le boycott des épreuves après l’avoir décrété depuis une année. 

    Kamel Yamine
  • la sardine n'est pas disponible, vous me parliez du thon bled miki!!!!!

    Magouilles autour du quota de thon rouge

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    Hier matin, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques (MPRH), Abdallah Khanafou, n’avait manifestement pas lu la presse avant de répondre aux questions de «Actualité» sur les ondes de la Chaîne III.

    Car, pendant qu’il s’échinait à justifier l’absence de l’Algérie à la 17e réunion extraordinaire de la Commission internationale pour la conservation du thon de l’Atlantique (Iccat) par le refus du consulat de France de délivrer des visas aux missionnaires désignés, l’ambassade, de son côté, faisait savoir par la presse que ses services consulaires n’avaient jamais reçu de demande de cette institution, ajoutant qu’elle traite toujours ces demandes dans les meilleurs délais.

     

    Ce qui semble régulier. Que s’est-il donc passé ? Avant la réunion de Paris qui s’est tenue du 17 au 27 novembre, trois cadres du MPRH avaient été désignés pour représenter l’Algérie. Comme tous les hauts fonctionnaires de cette catégorie, ils disposent de passeports spéciaux qui facilitent leurs missions et l’obtention quasi immédiate de visa. Cependant, à quelques heures de l’ouverture des travaux, contre toute attente, ils se voient refuser les ordres de mission pour des raisons qui n’ont pas été communiquées. Ils ne se rendront donc pas à Paris.
    L’affaire aurait été passée sous silence si El Watan n’avait pas donné l’information, le 25 novembre, que le quota de l’Algérie pour 2011 – 638 tonnes – a été réclamé en totalité par les Libyens. Un représentant du MPRH arrive le 26 au soir, en catastrophe. Trop tard. Les jeux sont faits.


    La réunion de Paris est prévue depuis novembre 2009. C’est une réunion annuelle de l’Iccat où on fait les bilans des activités des parties et où on ajuste définitivement les quotas de l’année suivante. Les griefs formulés à l’encontre de l’Algérie – qui n’a pas dépêché de représentant pour s’expliquer – sont l’irrespect des articles de la recommandation 08-05 : elle n’a pas fourni la liste des navires qui ont pêché le quota de 2009 avant la date limite du 15 mars 2010 et elle n’a pas remis son plan de campagne de 2011 avant le 15 octobre 2010. Elle n’a pas envoyé de représentant et il est de notoriété publique – sauf en Algérie –qu’elle ne dispose pas de thoniers pour pêcher par ses propres moyens. C’est à partir d’un calcul simple basé sur les informations sur la flottille thonière algérienne que la commission a octroyé 138,6 tonnes pour 2011. Le reste des 616 tonnes accordées en novembre 2009 a été réparti entre la Libye (300 t), la Turquie (100 t), la Croatie (78 t) et l’Egypte (30 t).
    Les parties contractantes ont également été intriguées par le rapport de janvier 2010 relatif à l’interdiction, par le ministre, d’importer des bateaux neufs et la contradiction d’un rapport presque simultané du MPRH qui indique l’introduction de 5 nouvelles unités de 24 à 40 mètres entre 2011 et 2013.


    M. Khanafou annonce des actions pour récupérer le quota initial. C’est possible, mais selon nos sources, ce ne sera pas une tâche aisée. En février 2011 à Barcelone, la Commission examinera le recours de l’Algérie qui pourra exiger une réaffectation de 450 tonnes, soit 50% du quota de 2009 qui n’a pas été pêché. Cette disposition n’existe plus depuis cette date et l’Algérie ne pourra disposer des 880 tonnes non pêchées de 2010. Dans le meilleur des cas, l’Iccat pourrait accéder à cette demande en accordant 90 tonnes en 2011, 150 t en 2012,
    150 t en 2013 et le reste en 2014. Il faudra que l’Algérie déploie d’énormes efforts diplomatiques pour obtenir le soutien des deux tiers de l’assemblée. On estime que l’UE ne s’opposera pas à sa demande, car elle bénéficie, pour ses pays de la rive nord, de 54% du quota global. Les pays qui viennent de bénéficier de la défaillance algérienne ne devraient pas non plus s’opposer. Toutefois, avertissent nos sources, il serait périlleux de faire croire à l’Iccat et aux pays membres à une utilisation de son quota par des captures avec des bateaux côtiers qui débarqueraient 680 t pour une consommation locale. Car actuellement, aucun établissement algérien n’est en mesure de traiter convenablement et qualitativement d’aussi grandes quantités. A moins que ce ne soit pas si grave puisque, comme le disait hier matin M. Khanafou, nous n’avons perdu que 7 milliards. Ce qui n’est pas faux si l’on ne tient pas compte des dizaines de milliers de tonnes allouées depuis 15 ans à l’Algérie, notamment le quota national pêché par des thoniers algériens qui n’ont jamais existé.Qui a pris les centaines de milliards de ces précédents quotas? Le MPRH n’a jamais répondu à cette question.

    Slim Sadki
  • Les SDF préfèrent la rue plus clémente

      

    Fuyant la misère et les tabous impitoyables

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       	Se déplacer en famille unie, un bonheur si simple mais si cher aux yeux de la petite Saîda blottie contre sa mère.   	 

    zoom | © Lyes H.

    Se déplacer en famille unie, un bonheur si simple mais si cher...

    Fuyant les pénibles conditions sociales de leur village, des femmes et des enfants se retrouvent livrés à eux-mêmes dans les rues d’Alger.

    Elle a tout juste 37 ans, elle est venue de Tébessa. Depuis quatre ans, elle se déplace d’une rue à une autre, mais c’est sur le trottoir du boulevard Amirouche qu’elle préfère passer ses nuits. Akila est une âme parmi les centaines des sans domicile fixe qui ont pour gîte les trottoirs de la capitale. Son visage qui rayonne de jeunesse et d’espoir renseigne pourtant sur les souffrances endurées par cette jeune maman qui ne quitte pas la main de sa fille Saïda âgée de 4 ans. Si ses malheurs sont multiples et s’enchevêtrent, son rêve est si simple : trouver un travail pour assurer un toit et préparer une scolarité normale à Saïda, puis «mordre à pleines dents une vie simple comme celle de tout le monde avec ses joies et ses difficultés».

    Le sourire ne quitte pas les lèvres de cette femme qui ne veut pas être prise en photo avec son vieux manteau. Sa fille affiche l’allure d’une gosse soignée, rangée et propre. Akila a fui, il y a quatre ans, une belle-famille sans pitié et ce, après avoir été défenestrée par son beau- frère. Les longs mois passés à l’hôpital ont permis à cette mère de famille de prendre sa décision et quitter le domicile après le divorce.

    Saïda, c’est ce qui reste donc à cette maman éplorée. Après son divorce, c’est le mari qui a obtenu la garde des trois enfants aînés. Saïda, qui avait quelques mois seulement, a été confiée à la maman et l’affaire est toujours pendante devant la justice. Akila espère récupérer la garde de ses enfants : «Je sais que ce n’est pas facile, vu ma situation actuelle.»  Qu’ils soient installés du côté de Port Saïd, sous les arcades de Belouizdad ou sur un banc d’un jardin public, les vécus racontés par les SDF sont différents mais leur rêve est le même : pouvoir bénéficier d’un toit et d’un travail. La plupart de ces personnes interrogées viennent des villes de l’intérieur du pays. Fuyant les  dures conditions sociales dans leurs villages et douars, elles se retrouvent livrées à elles-mêmes dans les rues d’Alger. Elles se réfugient à proximité des barrages de police pour éviter les agressions.

    La prise en charge prodiguée par les autorités, via le SAMU social, ne semble pas donner satisfaction, ce qui explique certainement le fait que ces personnes préfèrent la rue aux centres réalisés à cet effet.La rue est plus clémente que ces «maisons de détention», explique une femme ayant pris refuge devant la mosquée Errahma (rue Victor Hugo) : «Si j’ai quitté mon village, c’est pour me trouver de meilleures conditions de vie. La rue, ce n’est pas le modèle de vie que j’ai adopté par choix, mais je vous le dis franchement, c’est préférable aux centres de l’Etat où on nous force parfois à séjourner pendant les fêtes nationales et religieuses», lâche-t-elle en prenant le soin d’arranger son voile.«Ils nous empêchent de sortir et ne font aucune différence dans le traitement des personnes.

    Femmes âgées, handicapés, enfants, personnes agressives et les dépressifs sont tous traités de la même manière», accuse Akila qui raconte qu’elle a besoin d’avoir du temps libre durant la journée pour, dit-elle, chercher du travail. «J’en ai déjà obtenu, il y a quelque temps. J’ai travaillé pendant plus d’une année comme femme de ménage dans une institution publique, ce qui m’a permis de louer une chambre dans une pension, mais comme mon contrat n’a pas été renouvelé, je me retrouve à nouveau dans la rue. Dans le centre du SAMU, on nous oblige à y rester toute la journée, sans aucune activité, sans aucune considération de la personne et de ses besoins», ajoute Akila. Il est en effet reproché aux autorités l’absence d’un programme d’insertion de personnes aptes à travailler et à retrouver une vie «normale».

    Ces centres gérés par le SAMU social, sous la tutelle de la wilaya d’Alger, ont la tare, selon les personnes interrogées, de constituer un refuge où la cohabitation entre les différents cas a pour effet de diminuer les chances de retourner dans le giron familial pour certains ou d’ouvrir une nouvelle page dans la vie pour d’autres. L’absence des associations, dont la vocation est de venir à l’aide des femmes, est également déplorable. Les slogans de soutien à ces personnes vulnérables ne sont d’actualité que pour la collecte des aides financières et de la quête des sponsors.

    Les services du SAMU social sont également pointés du doigt. Depuis quelques jours, même la distribution de repas chauds ne sont plus assurés : «Cela fait quatre jours qu’aucun repas ne nous a été distribué par les services du SAMU, affirment plusieurs SDF. Pourtant, des repas chauds sont distribués depuis le début de l’automne. Du premier janvier au 11 décembre, ce sont 195 personnes qui ont été évacuées par les éléments de la Protection civile vers les centres du SAMU social.

    Responsables sans prérogatives

    Ces personnes sont-elles restées dans ces structures ? Ces centres ont-ils les moyens de faire face à leurs obligations ? Les responsables de ces structures, qui se sont montrés au début disponibles à nous recevoir pour répondre à ces questions, ont finalement refusé de répondre à nos sollicitations. Ils exigent l’autorisation des services de la wilaya qui n’a pas daigné répondre à notre demande. Pourquoi des «directeurs» acceptent-ils de prendre la responsabilité de la gestion d’une structure alors qu’ils ne peuvent assumer cette tâche ? C’est à se demander également, quel est le rôle d’une cellule de communication d’une wilaya si ce n’est de faciliter la tâche aux journalistes pour éclairer l’opinion publique sur les questions la concernant de près. Y a-t-il des choses à cacher ?            

    Fatima Arab
  • c'est ca qu'ils nous faut!!!!!!!

     

    La Grèce paralysée par une grève générale contre l'austérité

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    La Grèce tournait au ralenti mercredi, privée de transports aériens, maritimes et ferroviaires, dans le cadre d'une grève générale de 24 heures contre la deuxième vague de rigueur prévue dans le pays en 2011, incluant notamment des baisses de salaire dans les entreprises.

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    La Grèce tournait au ralenti mercredi, privée de transports aériens, maritimes et ferroviaires, dans le cadre d'une grève générale de 24 heures contre la deuxième vague de rigueur prévue dans le pays en 2011, incluant notamment des baisses de salaire dans les entreprises.
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    La Grèce tournait au ralenti mercredi, privée de transports aériens, maritimes et ferroviaires, dans le cadre d'une grève générale de 24 heures contre la deuxième vague de rigueur prévue dans le pays en 2011, incluant notamment des baisses de salaire dans les entreprises.
    Les secteurs les plus touchés par ce débrayage national, le septième de l'année, sont ceux des transports, les 400 vols prévus au départ ou à l'arrivée de l'aéroport d'Athènes ayant été annulés après le ralliement au mot d'ordre des contrôleurs aériens.
    Tous les ferries ralliant les îles sont restés à quai également, tandis qu'une grève de 24 heures des journalistes privait le pays d'informations.
    A la mi-journée, alors que deux manifestations étaient sur le point de démarrer à Athènes, seuls les transports urbains, métro et bus fonctionnaient, après des arrêts de travail en matinée, créant de gigantesques embouteillages aux heures de pointe.
    La grève touche aussi les écoles, hôpitaux, tribunaux, banques et grandes entreprises publiques. Une série de syndicats professionnels, dont ceux des pharmaciens et ingénieurs civils, visés par un projet d'ouverture de leurs métiers à la concurrence, ont appelé leurs adhérents à rallier le mouvement.
    Prévue au départ dans le cadre d'une journée d'action européenne contre la rigueur, cette grève a pris l'allure d'une mobilisation contre la généralisation à tout le secteur privé et aux entreprises publiques des coupes salariales, jusqu'ici infligées aux seuls fonctionnaires.
    Deux réformes en ce sens, portant sur un assouplissement du marché du travail, ont été adoptées dans la nuit en procédure d'urgence au Parlement, par 156 voix pour et 130 contre.
    L'une d'elle prévoit une coupe de 10% à 25% des salaires dans les entreprises publiques déficitaires (dont chemins de fer, transports urbains et télévision publique). L'autre permet aux entreprises privées de s'affranchir des accords de branche fixant des barèmes salariaux pour s'appuyer sur des conventions d'entreprise.
    Ces réformes sont réclamées par l'Union européenne et le Fonds monétaire international, pour continuer l'assainissement de l'économie grecque et comme préalable au déblocage prévu en février de la quatrième tranche de 15 milliards, du prêt de 110 milliards d'euros consenti au pays en mai pour la sauver de la banqueroute.
    Conforté dans les urnes lors d'un scrutin local début novembre, malgré un premier train de rigueur drastique lancé en 2010 (baisse des salaires des fonctionnaires et des pensions, report de l'âge de départ en retraite, réforme des collectivités locales), le gouvernement socialiste de Georges Papandréou affiche jusque là sa détermination à tenir fermement le cap, sous la pression des bailleurs de fonds.
    En échange, ceux-ci apparaissent prêts à donner leur accord pour que le remboursement du prêt soit rallongé au delà de l'échéance initialement fixée à 2015, sur le modèle du délai de plus de 7 ans dont bénéficie l'Irlande. L'objectif est de desserrer l'étau sur le pays qui souhaite retourner l'an prochain sur les marchés obligataires à long terme pour assurer lui-même le refinancement de sa dette.

    AFP
  • lorsque il été ministre de la solidarié ,il ment,c'est une seconde nature !!!!!

    index.jpegLA BLAGUE ALGERIENNE!!! de djamel oul abass ministre des poubelles ou toilette pubilique!!!!!
       
    Le ministre de la Solidarité et de l'Emploi Djamel Ould Abbas a affirmé ce jeudi à la radio, qu'il existe en Algérie, 85.969 citoyens qui vivent au-dessous du seuil de pauvreté.
    Le ministre de la Solidarité a tenu à démentir les chiffres avancés par la Banque mondiale selon lesquels il en existerait plutôt au moins 7 millions.

    M. Djamel Ould Abbas a insisté sur le fait qu'il n'y a pas de pauvres en Algérie. «Il n'y a que des nécessiteux!», précisant que la Banque mondiale se base sur un vieil indicatif, selon lequel ceux qui ont moins d'un dollar sont pauvres.

    M. Ould Abbas a indiqué qu'une «carte des démunis» est en train d'être établie par ses services, précisant que les chiffres avancés par le ministère sont basés sur des critères bien précis, qui diffèrent de ceux avancés par la Banque mondiale.

    «Nous recensons les démunis et nécessiteux sur la base de quatre critères : l'absence de revenus et de logement, et le non accès aux services de la santé et à l'éducation. C'est à partir de ces quatre critères réunis qu'on identifie un pauvre et non pas sur la base du PIB», a souligné le ministre.

    M. Ould Abbas a indiqué lors de son passage à la radio, que cette situation a engendré plus de 120.000 SDF en Algérie. Il a indiqué que 369 centres d'accueil ont été mis à la disposition de ces SDF, mais la majorité refuse l'aide offerte et préfère revenir à la rue.

    C'est une source de jeune afrique.

  • Les têtes d'affiche du procès Khalifa,la preuve à l'appui que c'est des corrumpus!!!!!

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    Lundi 19 Février 2007 - - Malgré le tri opéré lors de l’instruction menée en 2004 auprès du tribunal de Chéraga pour protéger certains responsables de l’Etat et proches du président, plusieurs noms de ministres et de commis ont retenti durant le déroulement du procès Khalifa ouvert au tribunal de Blida depuis le 8 janvier dernier. Djamel Ould Abbas, Mourad Medelci, Aboudjerra Soltani, Abdelmadjid Sidi Saïd, Mohamed Nadir Hamimid, Tayeb Belaïz et Khalida Toumi pour ne citer que ceux qui font toujours partie du système ou du gouvernement mis en place par le président.

    Il est clair que les éléments qui devaient constituer le puzzle du procès de l’affaire Khalifa ne sont pas tous réunis. Cependant, le fait notoire dans cette affaire ne se résume pas au défilé de plusieurs ministres comme témoins, dont l’ancien titulaire de l’Habitat Abdelmadjid Tebboune, l’ancien ministre des Finances Karim Djoudi, Mohamed Terbèche, Mourad Medelci et le ministre d’Etat Aboudjerra Soltani, aux côtés du grand patron de l’UGTA mais c’est le fait de voir des noms, qui semblaient être loin de ce scandale, surgir lors des témoignages. Pourtant, lors de l’instruction qui a débuté fin octobre 2004, plusieurs noms ont été cités et que l’arrêt de renvoi ne mentionne pas. Parmi ces noms, figurait celui que la presse française avait appelé le numéro 2 du groupe Khalifa, le frère du chef de l’Etat, alors avocat conseil du groupe. Il lui était reproché d’avoir reçu, comme beaucoup d’autres, la Golden Card d’El-Khalifa Bank. Cela étant, le premier nom cité est celui du ministre de la Solidarité nationale, le Dr Djamel Ould Abbas, qui aurait profité d’une carte de gratuité de voyage. En effet, la secrétaire de Khalifa, Aïouaz Nadjia, surprendra tout le monde lorsque elle évoqua le nom du ministre de la Solidarité, en disant qu’il était venu au siège pour prendre une carte de gratuité de voyage. Une autre révélation est venue de l’accusé principal, Abdelmoumen Khalifa qui, dans une interview accordée au quotidien français Le Figaro, accusait Tayeb Belaïz et l’un des hommes forts du président d’avoir “escamoté le dossier de l’agence de Koléa parce que le ministre de la Justice Tayeb Belaïz y avait un compte”. Un autre nom de l’équipe présidentielle vient de tomber. Il s’agit de la ministre de la Culture Khalida Toumi, qui avait chargé sa conseillère de prendre la direction de KTV-Algérie «à des fins purement politiques» pour ne pas dire électoralistes. Dans cette saga, faut-il citer les plus ou moins chanceux, Nadir Hamimid, ministre de l'Habitat, ainsi qu'un député de la majorité, Abdeslam Bouchouareb, l’homme fort d’Ahmed Ouyahia, qui étaient discrètement interrogés par un magistrat de la Cour suprême ? Ils sont soupçonnés d'avoir favorisé le dépôt à El-Khalifa Bank, des fonds d'offices publics évalués à plusieurs millions d'euros. Ou encore le ministre des Finances, Mourad Medelci, qui, lui, était à la barre en tant que témoin mais qui avoue n’avoir pas été assez intelligent pour détecter la gravité de la situation «car c'est l'image du pays à l'intérieur et à l'extérieur qui en a le plus pâti» a-t-il reconnu. C’est là le témoignage d’un ministre choisi par le président de la République pour compter les sous du pays et admet son manque de perspicacité. Il n’est pas le seul d’ailleurs. Le grand patron de l’UGTA avait, lui aussi, admis son manquement en avouant devant le tribunal de Blida avoir rédigé un procès-verbal sanctionnant une réunion fictive du conseil d’administration de la Cnas. Un aveu qui n’en fait plus, désormais, un simple témoin dans l’affaire Khalifa mais bel et bien un protagoniste de première importance. Abdelmadjid Sidi Saïd a, de son côté, enfoncé le ministre d’Etat Aboudjerra Soltani qui était, lors de la création de la banque El Khalifa et durant les années suivantes, tant ministre de la PME entre 1998 et 2000 que ministre du Travail et de la Sécurité sociale entre 2000 et 2001, et donc concerné par la gestion des caisses de Sécurité sociale. Il a été saisi par le président du conseil d’administration Abdelmadjid Sidi Saïd par le biais d’une lettre que la juge avait exhibée lorsque la cour entendait l’ex-DG de la Cnas. Cela signifie, donc, que malgré «la prudence», les différents membres de l’exécutif n’y ont pas échappé. Ces derniers, réputés être des figures de proue du clan présidentiel et qui, même s’ils ont failli à leur mission, n’ont véritablement de comptes à rendre sur leur gestion qu’à leur propre hiérarchie et, surtout, pas au pouvoir judiciaire.

    Les têtes d'affiche du procès Khalifa


  • la grève générale des praticiens pointe son nez à l'horizon djamel ould abbass est un menteur.faut pas lui faire confiance ,statut, indice indemnitaire!!!!!!

    Les syndicats irrités

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    L’annonce a fait boule de neige chez les médecins spécialistes et généralistes. Les fonctionnaires du corps des praticiens de la santé ne comprennent pas l’attitude contradictoire adoptée par le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès.


    L’effervescence est au fixe et la fièvre risque de monter dans ce secteur si le plus médiatisé des ministres se limite aux déclarations fanfaronnes faisant l’impasse sur les engagements pris vis-à-vis des partenaires sociaux au lendemain de son intronisation.  
    Dimanche dernier, M. Ould Abbès a annoncé en grande pompe que les spécialistes de la santé publique, les généralistes, les sages-femmes et les gestionnaires bénéficieront d’une augmentation de leur salaire au cours du premier trimestre de l’année 2011. Qualifiant cette augmentation de «décente». Les déclarations de Ould Abbès en ont choqué plus d’un. «Cela relève de l’utopie de dire qu’il y a eu des changements à notre niveau. Comment le ministre peut-il donner un échéancier alors que ni les statuts et encore moins le régime indemnitaire ne sont finalisés et ne verront pas le jour de sitôt. Aucun point de la plate-forme de revendications n’a été pris en charge. Le ministre a promis sans plus», a regretté le docteur Merabet, porte-parole du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP). «Nous avons remis un dossier complet au ministre avec les amendements introduits dans le statut, il devait le remettre au chef de l’Etat pour qu’il tranche sur nos propositions.

    Aucune information n’a filtré sur le sujet depuis six mois», a relevé Dr Youcefi, président du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) qui précise qu’aucune augmentation ne peut se faire si le régime indemnitaire n’est pas finalisé. «Le comble est que la commission mixte chargée de travailler sur le régime indemnitaire a été installée récemment, donc nous n’avons fait qu’un tout petit pas. Nous voulons être informés des décisions prises en haut lieu. Nous voulons savoir si M. Ould Abbès a négocié à notre place les augmentations de salaire, ce qui serait grave !», a indiqué Dr Youcefi.
    Les médecins ne nient pas que le nouveau ministre est omniprésent en termes de communication, de médiatisation, mais sur le «terrain» de la concrétisation, rien de palpable ne se fait. «Même les descentes inopinées du ministre sont filmées! C’est du tape à l’œil», peste un médecin. Les docteurs Merabet et Youcefi confirment qu’aucun dossier, même des plus simples, n’a connu une avancée. «La Fonction publique refuse de verser la prime d’intéressement, la circulaire concernant l’uniformisation du repos universel n’est pas appliquée, le gel de ponction sur salaire n’est pas respecté par certains directeurs des établissements sanitaires et le logement de fonction est mis aux oubliettes. Aucun de ces points n’est pris en charge», déplore Dr Merabet qui rappelle que M. Ould Abbès s’est engagé ouvertement à régler dans l’immédiat ces dossiers.

    Nabila Amir
  • misère noire en algerie sous dictature militaire actuellement!!!!! regardez

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    Algérie : La misère atteind même les vieillards dans un pays le plus riche de ...

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    algerie .....misere

     

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    La Crise Economique en Algérie, misére et pauvreté

    Documentaire sur l'algérie La misére en Algérie - Pauvreté Algeria

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    Algerie de bouteffouh

    de homedz il y a 8 mois 2616 vue(s)

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    Les signes de la misère à Collo, Skikda, Algérie

    les images sont stupéfiantes. Elles montrent le calvaire quotidien des colliotes

    de collo2100 il y a 1 an 3052 vue(s)

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    Hmar!!! One two three ou va l'algerie ?

    Oulahlou avait chante sa chanson en kabyle en reference a la manipulatoon du foot pour faire oublier la misere des algeriens. Je suis content qu ...

    de eldjoudhi il y a 5 mois 2104 vue(s)

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    Algérie dans la misère.flv

     

    de Masry50 il y a 10 mois 441 vue(s)

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    ALGERIE CANAL 92 : LA MISERE AU MAROC PALAIT ROYALE

    sans commentaire

    de Proxydz il y a 2 ans 826 vue(s)

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  • wiki wasa go algerie

     

     

    WikiLeaks et le bavardage affligeant de Bouteflika (4 et Fin)

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    La question n’est pas d’écarter les généraux mais d’assainir ce champ politique   Il est donc temps de passer à une autre phase de l’histoire du pays, par une compréhension de la nécessité du retrait du champ politique et même social ...
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    WikiLeaks et le bavardage affligeant de Bouteflika (3)

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    Ce besoin du président de s’épanchersur les épaules d’un général Américain                                                     Autre preuve éblouissante de ce respect de l’ordre constitutionnel, est cette légèreté avec laquelle les libertés publiques et les garanties constitutionnelles relatives à la personne humaine, sont prises ...
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    WikiLeaks et le bavardage affligeant de Bouteflika (2)

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    Le message codé au général Toufik. Quant aux Généraux, pris dans leur globalité dans l’approche de cet article, on a tendance à penser à la junte Birmane ou tous les officiers généraux sont regroupés dans une sorte de synode, qui ...
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    WikiLeaks et le bavardage affligeant de Bouteflika (1)

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    Nos hommes d’états qui entrent dans tous leurs états quand un Algérien pose une question qui concerne son vécu quotidien et l’avenir de ses enfants, ne trouvent aucun inconvénient à se confier à un américain, même s’il n’a pas qualité ... [Lire l'article >>]

  • Réhabilitation de Salah Bouakouir : Nacer Boudiaf répond à M.Daho Ould Kablia

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    "Si nous venons de mourir, défendez nos mémoires" 

    DIDOUCHE  Mourad.

    M. Nacer Boudiaf, fils de feu le Président assassiné en 1992, nous a fait parvenir cette lettre adressée au ministre de l’Intérieur, M. Dahou Ould Kablia, à propos de la décision de réhabiliter Salah Bouakouir dix-huit ans après que le regretté Mohamed Boudiaf ait pris l’initiative de débaptiser une avenue de la capitale qui portait son nom.

    La réhabilitation de feu Salah Bouakouir m’a interpelé en tant que citoyen. Voilà une personnalité dont le nom avait été donné à l’une des plus prestigieuses artères de la capitale avant que l’arrivée de Boudiaf ne rectifie cet outrage et la débaptise pour lui donner le nom de Krim Belkacem, une grande figure de la Révolution du 1er Novembre 1954.

    Le fait de débaptiser une rue, est-il un acte anodin en soi ? Interrogeons-nous sur les motivations de l’ex-président assassiné qui laissait entendre à qui voulait bien l’écouter, que Salah Bouakouir, de par les fonctions qu’il occupait, ne pouvait, à la fois, se consacrer à  la Révolution et jouir d’un prestigieux poste au sein de l’Administration coloniale.Loin de moi l’idée de polémiquer avec Salah Bouakouir ou avec sa famille. Cependant, si feu Bouakouir était l’auteur de ce que vous lui attribuez comme services rendus à la Révolution, pourquoi alors avoir laissé Mohameed Boudiaf débaptiser l’avenue qui portait son nom, et pourquoi ce silence de dix-huit ans sur une décision dont on comprend, à vous entendre, qu’elle « touche à son honneur » ?

    L’honneur, permettez-moi de le souligner, Monsieur Ould Kablia, l’honneur c’est comme du cristal. S’il est ébréché, il n’aura plus jamais le même éclat.

    A moins que, ce qui n’étonnerait plus les Algériens, on se préparerait à entrer dans une ère de réhabilitation de quelques personnes au passé douteux, besogne, convenons-en, qui interviendrait en temps propice : n’étant plus à une manipulation près, le peuple a cessé de ressentir la douleur car, voyez-vous, M. Ould Kablia, les grandes douleurs sont toujours muettes.

    Vous surprendrai-je si je vous avouerais qu’il n’est plus un outrage qui aurait l’heur de m’étonner, même pas d’apprendre qu’il est proche le temps où l’on débaptiserait le complexe sportif d’Alger qui porte le nom de Boudiaf pour lui donner  le nom de Boumaarafi.

    C’est au militant que je m’adresse et non à Monsieur le Ministre de l’Intérieur. Nous dire la vérité, c’est l’ultime devoir qui reste à la génération de Novembre.

     La vérité. 

    Respectueusement.                                                                 

    Nacer Boudiaf 

    Lire la note de la Rédaction s

  • la tunisie la chanson interdite

    Le président tunisien Ben Ali accuse l'Algérie de bloquer le progrès dans le Maghreb

    Les révélations fracassantes de Wikileaks sur l'Algérie s'accumulent. On apprend ainsi que le président tunisien Ben Ali, celui dont le président Bouteflika dit "admirer la sagacité", a violemment fustigé le pouvoir algérien : “Les Algériens doivent accepter le fait qu'il n'y aura pas un État indépendant au Sahara occidental”. Dans une note confidentielle désormais déclassifiée par Wikileaks, le président tunisien a déclaré a David Welch, sous-secrétaire d’État américain chargé des affaires du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord, que l'Algérie bloquait tous les progrès dans le Maghreb a cause de sa position sur le conflit du Sahara. Allant encore plus dans les détails, Ben Ali a dévoilé que “la Tunisie avait essayé de convoquer une réunion des chefs d'État du Maghreb à ce sujet à Tunis”. Et “alors que le Maroc et la Libye avaient accepté de participer, l'Algérie a refusé prétextant qu'il n'y avait rien à discuter”.
    Parlant du guide libyen Mouammar Khadafi, le président tunisien,74ans, au pouvoir depuis 1987, en a conclu que son excentrique voisin de l’est « n’est pas une personne normale »
    L’entourage du président Ben Ali ne vaut guère mieux selon les câbles diplomatiques de Wikileaks qui décrivent un « régime qui n’accepte ni critique ni conseil » et un président entouré d’une « quasi mafia ». Quant au Maroc, il ne serait, selon lui, qu’au « début du début » pour ce qui est de l’intégrisme islamiste, un problème longtemps occulté par le Maroc que le feu le roi Hassan II n’a jamais voulu discuter. Bref, au vu de ce qui a été révélé jusqu’à présent par le site Wikileaks, les dirigeants des pays du grand Maghreb ne s’apprécient que fort peu.

  • c'est pas nous mais les américains!!!!!!

     

    WikiLeaks: Assange dénonce Visa, Mastercard et PayPal qui ont bloqué les virements

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    Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, a vivement critiqué mardi les émetteurs de cartes bancaires américains Visa et MasterCard et la société de paiements par internet PayPal pour avoir bloqué les virements vers son site, dans un communiqué rédigé depuis sa prison.

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    Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, a vivement critiqué mardi les...
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    Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, a vivement critiqué mardi les émetteurs de cartes bancaires américains Visa et MasterCard et la société de paiements par internet PayPal pour avoir bloqué les virements vers son site, dans un communiqué rédigé depuis sa prison.
    "Nous savons désormais que Visa, Mastercard et PayPal sont des instruments de la politique étrangère américaine. C'est quelque chose que nous ignorions jusqu'à maintenant", a-t-il déclaré dans ce communiqué dicté à sa mère, Christine Assange, à l'attention de la télévision australienne Channel 7.
    "J'appelle le monde à protéger mon travail et mes proches de ces actes illégaux et immoraux", a ajouté M. Assange, qui est de nationalité australienne.
    "Mes convictions ne faiblissent pas. Je reste fidèle aux idéaux que j'ai exprimés", a-t-il dit. "Les circonstances actuelles ne les entament pas. Au contraire, elles ont accru ma détermination" et la conviction que ces idéaux sont "vrais et corrects", précise-t-il.
    Julian Assange, 39 ans, est actuellement en détention provisoire depuis une semaine à Londres, dans l'attente d'un jugement sur son extradition en Suède, qui le réclame à la suite d'accusations d'agressions sexuelles envers deux jeunes femmes.
    Il a transmis ce communiqué à sa mère, qui s'était rendue à Londres. Selon Channel 7, elle n'a pas pu voir son fils en tête à tête et n'a pu lui parler qu'au téléphone pour 10 minutes. Il lui a dit être détenu à l'isolement.
    Un tribunal londonien est appelé à se prononcer ce mardi sur la demande de remise en liberté conditionnelle de Julian Assange.
    Il y a une semaine, Visa et MasterCard avaient tous deux annoncé suspendre les transferts de fonds vers le site internet WikiLeaks. Visa disait attendre des "éléments supplémentaires" pour savoir si l'activité du site était conforme à ses "règles de fonctionnement", tandis que MasterCard qualifiait cette activité d'"illégale".
    PayPal a pour sa part réactivé le compte du site WikiLeaks, débloquant notamment les fonds disponibles, mais elle a prévenu qu'elle lui imposerait encore certaines restrictions et n'accepterait plus de nouveaux versements jusqu'à nouvel ordre.
    Les sites de PayPal, Visa et Mastercard ont été victimes d'attaques informatiques de la part de partisans de WikiLeaks.
    Depuis le 28 novembre, des journaux associés à WikiLeaks publient des câbles diplomatiques américains confidentiels, suscitant l'embarras ou l'indignation de certains gouvernements.

    AFP
  • Fin du mouvement de protestation des avocats

    Les revendications prises en charge


    L’Union nationale des barreaux a décidé, avant-hier, de mettre fin à son mouvement de protestation  décidé il y a une semaine pour dénoncer ce qu’elle a qualifié «de graves violations du droit de la défense» au niveau de la Cour suprême et du Conseil d’Etat.

    La décision a été prise hier, à la suite d’une réunion avec le premier président et le procureur général, en présence de 9 bâtonniers sur 13, mais en l’absence de représentant du Conseil d’Etat pour des raisons non encore connues.
    «Nous avons eu la garantie de prendre en charge les onze points soulevés et qui constituent les principaux problèmes auxquels sont confrontés les avocats», affirme, dans une déclaration à El Watan, maître Bachir Menad, président de l’Union. Au nombre de 11, ces empêchements, explique Me Menad, sont, entre autres, «l’interdiction d’accéder au parking de la Cour suprême ; les mesures de contrôle imposées à l’entrée de cette juridiction aux avocats ; le fait que ces derniers ne peuvent pas avoir accès aux dossiers une fois entre les mains du rapporteur ; l’interdiction faites aux invités de l’Union d’accéder aux bureaux de celle-ci qui se trouvent à la Cour suprême…».

    Me Menad estime que le mouvement de protestation a «eu des résultats très positifs» même si, pour l’instant, il faut attendre «une autre réunion avec la présidente du Conseil d’Etat, pour assainir la situation au sein de cette juridiction».
    A signaler que ce mouvement de boycott intervient à quelques semaines seulement de la bataille électorale qui verra le renouvellement des conseils de l’Ordre au niveau des  13 bâtonnats qui composent l’Union. Pour Alger, une assemblée générale est prévue le 25 décembre et s’annonce, selon certains avocats, houleuse.

     

    Salima Tlemçani
  • je suis d'accord ,mais il faut pas jouer à ray ray ! vous m'avez compris!!!

    L'Union africaine annonce l'adoption d'une loi criminalisant le terrorisme

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    L'Union africaine (UA) s'apprête à adopter une loi criminalisant le terrorisme et interdisant toute forme de paiement de rançon à des groupes terroristes, a annoncé lundi 13 décembre à Alger le commissaire à la  paix et à la sécurité de l'UA, Ramtane Lamamra.

    "Une loi-type sur le terrorisme en Afrique va être adoptée au cours d'une réunion mardi et mercredi d'experts de l'UA au Centre africain d'études et de recherche sur le terrorisme (CAERT)" dans la capitale algérienne, a dit à l'AFP  M. Lamamra.

    Il s'exprimait en marge d'une conférence internationale marquant les 50 ans de la Déclaration de l'ONU sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux   peuples coloniaux, ouverte lundi.     

    Le CAERT, lancé en octobre 2004 à Alger, est une agence de l'UA chargée de "renforcer les capacités des pays africains dans le domaine de la prévention du   terrorisme", selon ses statuts. "Cette loi va permettre aux pays membres de l'UA de poursuivre ou d'extrader (vers leur pays d'origine) les terroristes en activité sur leur   territoire", a-t-il précisé. Selon M. Lamamra, ce texte permettra également d'"uniformiser" les législations africaines anti-terroristes.

    Les membres de l'UA approuveront notamment "un mandat d'arrêt africain et l'élaboration d'une liste de terroristes et d'entités terroristes, à l'instar de celle de l'Onu", a précisé le haut responsable. Le texte comprend également des dispositions interdisant et criminalisant le versement de rançons à des groupes terroristes, a-t-il ajouté.

    La région du Sahel connaît depuis quelques années une recrudescence des activités de trafiquants et contrebandiers mais aussi de groupes affiliés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Le Conseil de sécurité de l'ONU avait adopté le 17 décembre 2009 une résolution "criminalisant le paiement de rançons", en particulier à des "entités terroristes", comme l'a également fait l'UA le 3 juillet 2009.

    APS
  • il faut les bruler comme il ont fait avec la fille ,pas assez juste la justice


    Skikda : Peine capitale pour les trois personnes ayant brûlé une jeune fille

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    La peine capitale a été prononcée par la cour criminelle de Skikda qui siégeait au début du week-end dernier contre trois personnes accusées de séquestration et de crime commis contre une jeune fille, près de Fil-Fila à l’est de Skikda.

    Les faits remontent, selon l’arrêt de renvoi au 12 mai 2010. La victime, en relation avec l’un des accusés a été contrainte de l’accompagner à un endroit isolé près d’une forêt située entre Fil-Fila et Guerbès. Là, deux autres personnes se sont jointes à eux. Après avoir longuement consommé de l’alcool, une dispute s’est alors enclenchée entre la jeune fille et son amant.

    Aussitôt, la victime s’est retrouvée ligotée à un arbre. Les accusés se relayeront pour la violer avant de lui asséner plusieurs coups de couteaux et de l’asperger, ensuite d’essence et de la brûler alors qu’elle était encore vivante.

    Après leur méfait, ils jettent sa dépouille calcinée dans les maquis longeant le CW 12 menant de Fil-Fila à Guerbès après l’avoir délesté d’une importante quantité d’or qu’elle avait sur elle.

    Après la découverte du corps, la gendarmerie parviendra à identifier de la victime, vendeuse dans un magasin de cosmétique à Skikda, et enclenchera une enquête qui permettra de remonter à son amant.

    La fouille du véhicule de ce dernier permettra de retrouver le sac et une partie de l’or de la victime. L’amant passera vite aux aveux et donnera les noms de ses deux complices.

     

     

    Khider Ouahab
  • Béjaïa: Marche des étudiants malgrés état d'urgence qui dure depuis 1830 pour camoufler la dictature de boutef et toufik

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    zoom | © Elwatan

    Des milliers d’étudiants de l’université Abderahmane Mira ont investi la rue, dans la journée de lundi, 13 décembre, pour protester contre les insuffisances du système LMD et les restrictions imposées dans l’ancien système d’études.

    Partis du campus d’Aboudaou, les protestataires ont parcouru presque une dizaine de kilomètres de marche pour atteindre le campus de Targa Ouzemmour où les attendait une autre foule d’étudiants. Là, ils ont observé un imposant rassemblement, grossi par les étudiants du campus devant le rectorat qu’ils ont trouvé portes fermées.

    Des étudiants y ont pris la parole pour expliquer les raisons de ce mouvement de protestation qui est parti du campus d’Aboudaou où est concentrée la majorité des 40 000 étudiants de l’université de Béjaïa. La limitation de l’accès au Master 1 et 2 a été l’élément déclencheur de ce mouvement qui porte une plateforme de revendication de 14 points élaborée par le comité pédagogique que les étudiants du campus d’Aboudaou ont élaboré. On revendique donc que soit maintenu le système classique, d’augmenter le nombre de postes dans le passage au concours de Magister, l’accès sans condition au Master 1 et 2, l’amélioration de l’encadrement qualitativement et quantitativement, de réduire la surcharge des groupes, ….

    Rédacteur de cette plateforme, le comité pédagogique d’Aboudaou attend de pouvoir fusionner avec celui en cours de constitution à Targa Ouzemmour et décider d’une action commune qui promet de paralyser toute l’université de Béjaïa.

    Kamel Medjdoub