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  • le juif qui controle le monde


    Démographie:

    La population juive mondiale. 14 millions

    Distribution:

    7 millions en Amérique
    5 millions en Asie
    2 millions en Europe
    100 mille en Afrique

    La population musulmane mondiale: 1,5 milliards
    Distribution:
    1 milliards en Asie / Moyen-Orient
    400 millions en Afrique
    44 millions en Europe
    6 millions dans les Amériques
    Pour toutes les cinq personnes il y a un musulman.
    Pour chaque hindou, il y a deux musulmans
    Pour tous les bouddhistes, il y a deux musulmans
    Pour chaque Juif il y a 107 musulmans
    Pourtant, les 14 millions de Juifs sont plus puissants que
    l'ensemble de 1,5 milliard de musulmans
    Pourquoi sont-ils puissants?
    Voici quelques-unes des raisons.


    Les leaders de l'histoire

    Albert Einstein juif
    Sigmund Freud juif
    Karl Marx juif
    Paul Samuelson juif
    Milton Friedman juif

    Repères médicaux

    la vaccination aiguille: Benjamin Ruben juif
    vaccin contre la poliomyélite: Jonas Salk juif
    leucémie drogue: Gertrude Elion juif
    hépatite B: Baruch Blumberg juif
    drogues syphilis: Paul Ehrlich juif
    Neurmusculaire: Elie Metchnikoff juif
    endocrinologie: Andrew Schally juif
    thérapie cognitive: Aaron Beck juif
    pilule contraceptive: Gregory Pincus juif
    Compréhension de l'œil humain: G. Wald juif
    Embryology: Stanley Cohen juif
    dialyse: Willem Kloffcame juif

    Prix Nobel

    Dans le passé, il y a 105 ans, 14 millions de Juifs ont remporté 180
    prix Nobel
    tandis que 1,5 milliard de musulmans ont contribué à seulement 3
    lauréats du prix Nobel

    Les inventions qui ont changé l'histoire

    Micro-puce de traitement: Stanley Mezor juif
    réacteur nucléaire en chaîne: LeSziland juif
    Optical Fiber Cable: Peter Schultz juif
    Feux de circulation & nbs p: Charles Adle juif
    acier inoxydable: BennStrauss juif
    Le song des Films: Isador Kisee juif
    Téléphone microphone: Emile Berliner juif
    magnétoscope: Charles Ginsburg juif


    Influents Global Business

    PolRalph Lauren juif
    Coca-Cola juif
    Levi's Jeans Levi Strauss juif
    Sawbuck de Howard Schultz juif
    Google Sergey Brin juif
    Les ordinateurs Dell Dell Michael juif
    Oracle Larry Ellison juif
    DKNY de Donna Karan juif
    Baskin Robbins & Irv Robbins juif
    Le projet de loi Dunkin Donuts Rosenberg juif
    Influents intellectuels / hommes politiques
    Henry Kissinger, l'article États-Unis d'État juif
    Richard Levin, PresidentYaleUniversity juif
    Alan Greenspan, la Réserve fédérale américaine juive
    Joseph Lieberman juif
    Madeleine Albright, États-Unis de l'article État juive
    CasperWeinberger, SEC de la défense juive
    Maxim Litvinov, Ministre des affaires étrangères de l'URSS juif
    DavidMarshal, Premier Ministre de Singapour juif
    Isaacs Isaacs, Gov-Gen Australia juif
    Benjamin Disraeli, d'État britannique juif
    Yevgeny Primakov, PM de Russie juif
    Barry Goldwater, homme politique des Etats-Unis juive
    Jorge Sampaio, Président du Portugal juif
    Herb Gray, vice-canadien - Le Premier ministre juif
    Pierre Mendes, français pm juif
    Michael Howard, British Home Sec juif
    BrunKriesky, le chancelier autrichien juif
    Robert Rubin, l'article États-Unis du Trésor juif


    Global Media influents

    W OLF Blitzer, CNN juif
    Barbara Walters ABC News juive
    EugeneMeyer, Washington Post juif
    Henry Grunwald, le magazine Time juif
    Katherine Graham, Washington Post juive
    Joseph Lelyeld, New York Times juif
    Max Frankel, New York Times juif
    Global philanthropes George Soros juif
    Walter Annenberg juif


    Alors, pourquoi les musulmans sont impuissants? Voici une autre
    raison. Nous avons perdu la capacité pour produire des
    connaissances.

    Dans l'ensemble du monde musulman (57 pays musulmans), il ya
    seulement 500 universités.
    Rien que les Aux États-Unis , 5.758 universités
    En Inde seulement, 8407 universités
    Pas une seule université dans l'ensemble du monde islamique figure
    dans le Top Classement des 500 universités du monde
    l'alphabétisation dans le monde chrétien est 90%
    l'alphabétisation dans le monde musulman est 40%
    15 -chrétiens majorité des pays, le taux d'alphabétisation de 100%
    majorité des pays musulmans, Aucune
    98% dans des pays chrétiens ont accomplis le primaire
    Seuls 50% dans les pays musulmans l'ont accomplis.
    40% dans des pays chrétiens ont participé à l'université
    Dans des pays musulmans 2% y ont participé.
    Les pays à majorité musulmans ont 230 scientifiques par million de
    musulmans
    Les États-Unis a 5000 par millions
    Le monde chrétien 1.000 techniciens par million.
    Tout le monde arabe que de 50 techniciens par million.
    Monde musulman consacre à la recherche / développement 0,2% du PIB
    Le monde chrétien consacre 5% du PIB


    Conclusion

    Le monde musulman ne parvient pas à la diffusion du savoir
    L'application des connaissances est une autre de ces essais.
    Les exportations de produits de haute technologie en provenance du
    Pakistan est de 0,9% de ses exportations.
    En Arabie saoudite est de 0,2%
    le Koweït, le Maroc et l'Algérie 0,3%
    seul Singapour est de 68%

    Le monde musulman ne parvient pas à appliquer les connaissances

    Le Technion créé en 1912, est la plus ancienne des universités d'Israël
    Au début du siècle, beaucoup se mettent à rêver d'une nation moderne du nom d'Israël. Pour concrétiser cet espoir, les Juifs comprennent qu'ils ont besoin d'acquérir la formation technique que les universités européennes refusent de leur dispenser. En 1905, le 5e congrès sioniste souligne l'urgence de créer une université juive.

    En 1912, des fondations sont creusées au sommet des versants qui surplombent Haïfa, un petit port situé dans le nord de la Palestine. Au cours d'une cérémonie festive, sous un soleil de printemps, la première pierre du Technikum, première université technique juive, est posée. Sa mission est de dispenser aux jeunes pionniers le savoir-faire nécessaire pour construire une nation. L'inscription en 1924 des seize premiers élèves ingénieurs enclenche une dynamique vitale entre le Technion et l'État juif embryonnaire. Les arcades majestueuses du premier bâtiment du Technion verront passer des générations d'étudiants dotés du savoir-faire nécessaire pour faire d'Israël une réalité moderne florissante.

    Pendant qu'Israël fait face aux défis de la guerre mondiale et lutte pour son indépendance, le Technion connaît une rapide expansion et élabore une série de projets ambitieux pour répondre à des besoins nouveaux. En 1949, le professeur Sydney Goldstein fonde le Département de l'Aéronautique. « Bientôt ils rêveront de construire des avions ici », se moquent les sceptiques.

    Avec la présidence du Général Yaakov Dori, la réputation du Technion en tant que fournisseur technique des besoins d'Israël en matière de sécurité (rôle qui lui est dévolu à l'ère de la Haganah) se consolide. La bataille n'a jamais faibli à l'intérieur du pays. Le savoir-faire de l'établissement a permis de construire une nouvelle route côtière reliant Haïfa à Tel Aviv. De l'électricité aux réseaux de télécommunications, des industries fondatrices à la production de logements préfabriqués pour répondre à la demande des immigrés, le Technion a tenu le rôle d'une centrale alimentant le développement de l'État.

    Progressivement, les enseignants du Technion acquièrent une reconnaissance internationale grandissante. Dans les années 1970, le Technion permet d'obtenir des diplômes de génie civil, de génie agricole, de mécanique, d'électricité, de chimie, et d'architecture. Les sciences, parmi lesquelles les mathématiques, la chimie, la physique et la mécanique, se développent. C'est alors que l'Association Américaine des Amis du Technion (ATS) relève le défi et recueille 10 millions de dollars pour la construction du nouveau campus, suivi par le gouvernement israélien qui offre la même somme.

    « L'israélien commence à réfléchir à quoi pourrait ressembler sa vie dans un Moyen-orient apaisé », écrivait la revue du Technion lorsque les accords de Camp David enterrèrent la guerre avec l'Égypte en 1978. Chaque fois qu'un nouveau domaine de recherche émerge, le Technion répond présent : de la micro électronique en 1977, à l'opto-électronique en 1989, des centres d'excellence émergent. Sans cesse en expansion sur les 120 hectares de son nouveau campus, la machine à succès que représente la Cité du Technion, commence ainsi à tisser les liens entre étudiants, enseignants, secteur industriel et pouvoirs publics.

    Le Technion a accompagné Israël tout au long de chacun des tournants critiques de son histoire, anticipant ses besoins et trouvant des solutions à ses problèmes. À cette époque comme aujourd'hui encore, le Technion sert de centrale technique à l'État d'Israël, s'efforçant de servir tous les habitants de la région et frayant la voie à un avenir éclairé pour tous les peuples du monde. Étudiants, enseignants et diplômés du Technion contribuent de manière unique à la construction de l'avenir d'Israël. Unis par le même éclat qui brille au fond de leurs yeux, par leur quête inépuisable de l'excellence, le sourire qu'ils affichent signifie tout simplement « merci », merci aux milliers d'Amis du Technion qui aident à transformer la vision du siècle passé en réalité du prochain millénaire.

    Pour en savoir plus
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Technion
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  • L’Algérie, «un pays malheureux»

     

    Le journal libanais Al Akhbar a publié, sur son site internet, quelques-uns des câbles, classés, «secret», concernant l’Algérie. Même s’il n’est pas précisé la manière dont le journal a pu obtenir ces documents, ils présentent toutes les caractéristiques dont sont dotés les câbles publiés directement sur WikiLeaks.

    C’est un bien triste tableau de l’Algérie que dresse l’ambassade US à Alger, à la veille de la visite du secrétaire d’Etat à Alger. Dans ce câble écrit alors que l’amendement de la Constitution se profilait afin de permettre à Abdelaziz Bouteflika de briguer un 3e mandat, l’Algérie est décrit comme «un pays malheureux». «Il y a beaucoup de discussions dans les milieux politiques sur la Constitution, le troisième mandat et les questions de succession, mais il n’y a que peu de discussions, précieuses, sur la façon de traiter l’aliénation politique de longue date et le mécontentement social dans tout le pays», explique l’ambassadeur. Ce dernier dresse ensuite une longue liste d’indicateurs, logement, chômage, inflation, qui ne peut que conduire de larges pans de la société à la contestation.

    «D’ailleurs, durant votre visite, nous nous attendions à une grève dans l’enseignement. La fermeture des écoles facilitera vos déplacements grâce à la circulation plus fluide, Inchallah», prévoit l’ambassadeur. Pourtant, souligne-t-on, le pays est immensément riche. Et le peuple le sait. «La seule approche de Bouteflika et de son équipe est la dépense de milliards de dollars dans des infrastructures et des projets grandioses». En vain. La raison, en est, selon les diplomates, «la bureaucratie, les lourdes réglementations, la centralisation ralentissant les projets et empêchant les nouveaux investissements privés».

    Le gouvernement, incapable de résoudre ces problèmes systémiques, prouve ainsi qu’il y a «un manque de vision au sommet». «Bouteflika et son équipe ne savent pas s’il veulent que l’Algérie intègre l’économie de marché mondiale, ou si le gouvernement doit perdurer dans le contrat social des années 1960-1970», est-il affirmé dans le document. Et ce mécontentement social ne dit rien qui vaille à l’ambassade US. «Cela offre à Al Qaîda (AQMI) un vivier de nouvelles recrues, mais ne suffit pas à menacer la stabilité du pays. Toutefois, cela nuit à la crédibilité de l’amnistie nationale du président Bouteflika, et l’aura probablement affaibli», explique-t-on.

    Dans ce domaine, et concernant la coopération bilatérale, les services algériens sont décrits par l’ambassade US comme étant «épineux et paranoïaques», et «pas pressés à coopérer avec le FBI» dans la lutte contre les réseaux terroristes. Pour ce qui est de la politique extérieure de l’Algérie, il est estimé que «Bouteflika est son propre ministre de l’Extérieur, et sa conception politique régionale n’a pas évolué depuis les années 1970». Et l’on s’étonne des lacunes de renseignements des autorités en ce qui concerne les «mouvements régionaux», puisque l’on «peut dire que les chaînes satellitaires sont leur plus grande source d’information». Pour ce qui est de l’Irak par exemple, «le président a demandé au sénateur Nelson de ne pas se retirer trop rapidement du pays».     

    Ghania Lassal
  • Le monopole de l’ANEP décrié

    Le monopole exercé par l’ANEP sur la publicité émanant des institutions et administrations publiques continue de porter un énorme préjudice à l’avancement des projets liés au plan quinquennal.

    Le constat a été fait hier à Blida par le président de la coordination locale soutenant le programme de Bouteflika, lors d’une importante réunion portant sur le bilan de l’ancien plan quinquennal et surtout sur les différents projets de l’actuel plan (2010/2014), en présence d’une foule nombreuse. Pour lui, il n’y a pas uniquement que le manque du foncier qui pose problème. «Les avis d’appel d’offres concernant d’ambitieux projets du programme présidentiel passent souvent inaperçus puisque, à cause du monopole de l’ANEP, ils sont diffusés dans des journaux à très faible tirage.

    Du coup, plusieurs avis sont déclarés infructueux, ce qui constitue une véritable entrave au développement initié par notre président», a déclaré publiquement Taybi, président de la coordination locale soutenant le programme de Bouteflika et P/APW de Blida en même temps, en présence notamment du wali de Blida et de Ahmed Kara, président de la Coordination des associations soutenant le président de la République. La fameuse directive de Ouyahia se contredit-elle avec «l’ambitieux» programme présidentiel qui «prône» un développement dans les délais fixés par son plan quinquennal ? Apparemment, oui, puisque plusieurs institutions de l’Etat éprouvent toutes les peines du monde pour avancer dans leurs différents projets à cause d’une directive jugée «bureaucratique» et qui rend le programme quinquennal difficile à concrétiser sur le terrain.

    «Nous faisons de notre mieux pour booster le développement de la commune montagneuse de Chréa. Une politique qui répond aux attentes du président de la République.Malheureusement, le monopole de l’ANEP n’est pas sans conséquences négatives sur le développement de notre commune. D’ailleurs, nous éprouvons toutes les peines du monde pour trouver un bon entrepreneur à titre d’exemple», insiste un élu de Chréa rencontré sur place. Ouzeri Sid Ahmed, membre du centre de recherches du FLN et spécialiste du sondage, atteste, pour sa part, que le monopole exercé par l’ANEP sur la publicité va à l’encontre du bon avancement du programme présidentiel. «Je mène un sondage sur les difficultés rencontrées, notamment par les APC quant à l’avancement du plan quinquennal. Parmi les problèmes rencontrés par ces assemblées, l’on cite la directive de Ouyahia», conclut M. Ouzeri.

     

    Mohamed Benzerga
  • DJILLALI AMARNA (SON DERNIER APPEL AVANT SA MORT ) 99.2FM RADIO SBA,on t'oubliera jamais . allah yarahmek.

  • WikiLeaks : "A Washington, les mines sont graves"


    Télézapping : "A Washington, les mines sont graves"
    envoyé par lemondefr. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

  • c'est une bonne iniative ,faite le!!!!!!

    Colonisation: Mahmoud Abbas menace de dissoudre l'Autorité palestinienne

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    Nouvelle noteMahmoud Abbas a menacé de dissoudre l'Autorité palestinienne qu'il préside en cas d'échec des Etats-Unis à obtenir d'Israël l'arrêt de la colonisation dans les Territoires occupés.

    diaporama
    Mahmoud Abbas a menacé de dissoudre l'Autorité palestinienne qu'il préside en cas d'échec des Etats-Unis à obtenir d'Israël l'arrêt de la colonisation dans les Territoires occupés.
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    Mahmoud Abbas a menacé de dissoudre l'Autorité palestinienne qu'il préside en cas d'échec des Etats-Unis à obtenir d'Israël l'arrêt de la colonisation dans les Territoires occupés.
    Dans une déclaration tard vendredi à la télévision officielle palestinienne, M. Abbas a affirmé que "si Israël ne cesse pas la colonisation et si l'appui des Etats-Unis aux négociations s'effrite, j'oeuvrerais en vue de mettre un terme au régime d'autonomie palestinien".
    L'Autorité palestinienne a été instaurée en 1994 au retour à Gaza du chef historique de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Yasser Arafat, après 27 d'exil. Elle était prévue, selon l'accord d'Oslo sur l'autonomie palestinienne, pour une période transitoire qui devait, en principe, prendre fin en mai 1999.
    Présidée par M. Arafat, décédé en 2004, puis par M. Abbas, l'Autorité palestinienne exerce un pouvoir exécutif, législatif et théoriquement sécuritaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, avant la chute de ce territoire en 2007 aux mains des islamistes du Hamas.
    Les négociations de paix israélo-palestiniennes, relancées début septembre à Washington après un blocage de 20 mois, avaient été à nouveau suspendues quelques semaines plus tard, les Palestiniens refusant de les reprendre tant qu'Israël n'arrête pas la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.
    "Je ne peux accepter de rester président d'une Autorité qui n'existe pas en cas de poursuite de l'occupation israélienne de la Cisjordanie", a argué M. Abbas. "Je dis cela aux Israéliens: je les informe qu'en tant qu'occupants ils peuvent rester, mais la situation ne peut pas demeurer en l'état".
    En octobre, un responsable palestinien, Khaled Mismar, participant à une réunion inter-palestinienne à Amman avait affirmé que M. Abbas avait laissé entendre qu'il pourrait démissionner si les négociations avec Israël échouaient.
    Dans le passé, des responsables palestiniens avaient évoqué la possibilité d'une démission de M. Abbas et d'une dissolution de l'Autorité palestinienne, face au blocage du processus de paix.
    M. Abbas avait lui-même annoncé en 2009 qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat lors des élections générales qui devaient avoir lieu en 2010 mais qui avaient été reportées.

    AFP
  • les avocats algeriens ne sont pas écouter réunissez vous!!!!!!

    Boycott des audiences de la cour suprême et du conseil d'état

    Les avocats partagés

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       	Les avocats décrient les entraves aux droits, source de leur boycott

    zoom | © Salim M.

    Les avocats décrient les entraves aux droits, source de leur...

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    Le boycott, à partir de demain, des audiences de la Cour suprême et du Conseil d’Etat, auquel a appelé l’Union nationale des barreaux,
    ne semble pas faire l’unanimité au sein de la corporation des avocats. Tout en reconnaissant l’existence d’entraves aux droits à la défense,
    ils contestent les conditions dans lesquelles la décision a été prise, mais également le prétexte qui l’a motivée.

    Le boycott des audiences de la Cour suprême et du Conseil d’Etat, à partir de demain et pour une durée d’une semaine, lancé par l’Union nationale des barreaux, ne semble pas avoir été décidé à la suite d’un consensus. Beaucoup d’avocats estiment que «les entraves aux droits à la défense sont réelles et importantes; elles méritent une concertation et une coordination pour une action plus porteuse et à laquelle l’adhésion est générale». Pour eux, le prétexte utilisé pour lancer l’appel au boycott – à savoir la non-invitation de l’Union à la cérémonie officielle d’ouverture de l’année judiciaire – est infondé parce que les «violations aux droits du justiciable sont ailleurs».Me Benissad souligne que «les entraves aux droits à la défense existent depuis longtemps et les avocats ont de tout temps fait face à celles-ci au niveau de toutes les juridictions, pas seulement la Cour suprême ou le Conseil d’Etat». Il se déclare «surpris» de la décision de boycott prise par l’Union. «Les avocats n’ont pas été associés puisqu’il n’y a pas eu d’assemblée générale. La plate-forme de l’Union est confuse. Si le boycott est décidé uniquement parce que le bâtonnier national n’a pas reçu d’invitation à la cérémonie d’ouverture de l’année judiciaire, il ne changera en rien aux entraves quotidiennes», dit-il.

    Ils résument celles-ci à travers les difficultés que rencontrent les avocats pour accéder en véhicule à la Cour suprême, les fouilles dont ils font l’objet et l’obligation de la présence de l’avocat (ou de se faire remplacer par procuration). Me Benissad suspecte «une arrière-pensée» qui pourrait être liée, selon lui, aux prochaines élections au niveau des barreaux. Me Miloud Brahimi affirme pour sa part que le boycott a été décidé sans l’avis des avocats. «Nous ignorons dans quelles conditions la décision a été prise. Il faut savoir qu’au niveau de la Cour suprême et du Conseil d’Etat, l’avocat ne plaide pas. Il verse des documents au niveau du greffe. De plus, comment vont faire les confrères qui sont tenus par les délais? C’est de l’improvisation», déclare-t-il.

    Il précise que «le prétexte n’est pas sérieux. Je ne vois pas en quoi le fait de ne pas être invité à une cérémonie peut-il porter atteinte aux droits de la défense et pourquoi limiter celle-ci à uniquement la Cour suprême et au Conseil d’Etat ? Moi, je peux vous dire que la Cour suprême est l’endroit où les droits sont le mieux respectés. Elle, elle juge les jugements, alors que le droit du justiciable est plutôt violé au niveau des tribunaux et des cours». Abondant dans le même sens, Me Mokrane Aït Larbi rappelle que le boycott est une décision qui doit être prise par l’assemblée générale, «mais cela n’a  pas été le cas». Il explique : «Il aurait fallu soumettre les problèmes à l’assemblée générale, qui, elle, décide d’une plate-forme avec des solutions. Celle-ci est remise au ministre de la Justice et aux chefs de cour auxquels il faut laisser un temps pour leur permettre de répondre. Si ceux-ci ne répondent pas, c’est à l’assemblée générale que revient la riposte. Mais toute cette procédure n’a pas été respectée. Nous sommes mis devant le fait accompli et nous ne pouvons que suivre le mot d’ordre.»

    Me Khaled Bourayou n’y va pas avec le dos de la cuillère. Il qualifie de «mauvais prétexte» la non-invitation à la cérémonie officielle de l’ouverture de l’année judiciaire. Il note cependant que les «revendications restent fondées et doivent être réglées dans la concertation et en coordination avec l’ensemble des membres de la corporation pour défendre un principe fondamental et trouver des solutions pour sa préservation». Me Bourayou exprime son «regret» de constater qu’à ce «niveau de l’organisation, il n’y a pas eu de concertation». «L’une des bases qui donne la crédibilité à la justice c’est la préservation du droit à la justice et son renforcement. En fait, il est regrettable de constater que s’il n’y avait pas la non-invitation, il n’y aurait pas eu d’appel au boycott», note-t-il.

    Lui aussi suspecte un lien avec la préparation des prochaines élections pour le renouvellement des barreaux, prévues au plus tard pour le début de l’année 2011.Ce que de nombreux autres avocats avec lesquels nous nous sommes entretenus ont affirmé, arguant du fait que durant les trois années de mandat, l’actuel bureau est resté silencieux sur les nombreuses dérives de la justice, notamment à travers les innombrables violations du droit à la défense. Allons-nous assister à un flop ? Nous n’en savons rien, d’autant qu’il sera difficile de constater sur le terrain si effectivement le boycott a été suivi ou non. Il est certain que bon nombre d’avocats se disent non concernés par la décision et ceux qui vont suivre le mot d’ordre le font tout en estimant avoir été mis devant le fait accompli.  

     

    Salima Tlemçani
  • si vous pouvez pas gérer le pays quittez le,vous avez assez volez et détruit

    Envolée des prix des produits alimentaires en Algérie selon l'ONS

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       	Les prix des produits alimentaires industriels ont enregistré  au mois d'octobre 2010 une hausse de 5,70%  

    zoom | © algerieautrefois.com

    Les prix des produits alimentaires industriels ont enregistré  au mois d'octobre 2010 une hausse de 5,70%  

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    Durant le mois d'octobre 2010, les prix des produits alimentaires industriels ont enregistré une hausse de 5,70%, annonce samedi l'Office  national des statistiques (ONS). 

    Parmi les produits alimentaires qui ont enregistré des hausses de prix vertigineuses,  on retrouve notamment des sucres et produits sucrés (15,97%), boissons non alcoolisées  (14,43%) et les huiles et graisses (10,34 %). Durant le mois d'octobre 2010 et par rapport au mois précédent, le niveau  moyen des prix des biens alimentaires a enregistré une hausse de 1,12%  due essentiellement à une augmentation de 2,03% des produits alimentaires industriels  notamment les sucres et produits sucrés (6,37%), huiles et graisses (4,76%).    

    Selon l'IONS, les biens alimentaires se sont caractérisés par une variation (+4,70%),  due à une hausse de 3,25% pour les produits agricoles frais, 5,94% des produits  alimentaires industriels, 3,93% des biens manufacturés et 2,81% pour les services. Les hausses les plus prononcées ont été enregistrées par le sucre  et produits sucrés (30,91%), les fruits 21,57%, les poissons frais (25,82%)  et la viande bovine (11,48%).                    

    Par ailleurs, durant les dix premiers mois 2010, tous les ''produits de consommation  du panier'', représentatifs de la consommation des ménages, ont enregistré des  hausses, les plus importantes étant celles du groupe "alimentation-boissons  non alcoolisées" (4,71%), meubles et articles d'ameublement (3,48%), "santé-hygiène  corporelle"(2,74%), "habillement-chaussures" (2,61%), transports et communication  (2,24%) et "logement et charges" avec 1,98%.

    El Watan
  • ca c'est un ministre, out dans les pays qui se respectent.

    Hadj 2010 : Bouabdallah Ghlamallah minimise le calvaire des pèlerins Algériens

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       	Bouabdallah Ghlamallah a minimisé le calvaire vécu par les hadjis Algériens à la Mecque et les incite de ne pas prendre le hadj pour "un voyage touristique" ! 

    zoom | © zoom-algerie.com

    Bouabdallah Ghlamallah a minimisé le calvaire vécu par...

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    "Le hadj n'est pas un voyage touristique, mais plutôt un voyage pénible et une forme de djihad qui demande un effort physique et moral". C'est par ces mots que le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs,  Bouabdallah Ghlamallah a répondu, lors de son intervention samedi sur les ondes la chaîne III,   aux accusations et aux critiques des milliers de Hadjis Algériens qui ont vécu un cauchemar à la Mecque à cause de leur prise en charge chaotique. 

    Pourquoi tant de mépris ? C'est la question qui revient aujourd'hui sur les lèvres des pèlerins Algériens lesquels assistent, médusés, chaque année au même discours médiatique, mené tambour battant, de Bouabdallah Ghlamallah. Ce dernier n'hésite jamais à verser dans l'autosatisfaction à chaque fois qu'il est interrogé sur l'opération du Hadj. 

    Et cette année encore, alors que la commission de suivi et de contrôle du hadj n'a pas encore rendu son rapport d'évaluation, Bouabdallah Ghlamallah qualifie samedi à Alger la saison du hadj 2010 de réussite en arguant qu'elle "s'est déroulée dans de bonnes conditions" ! Exit donc les mauvaises conditions d’hébergement, de transport et le contexte lamentable qui a marqué, comme à chaque saison du Hadj, le séjour et le retour en Algérie de nos pèlerins. 

    D'un simple revers de la main, le ministre des Affaires Religieuses a balayé toutes ses vérités amères en prétextant que  "les problèmes rencontrés par nos hadji, particulièrement à Minan,  sont liés au manque d'espace et ils étaient encore aggravés par les chutes de  pluie" !

    Et pas le moindre mot sur la mission algérienne du hadj, qui est chargée de l’encadrement et du suivi de cette opération dans les Lieux Saints, n' est sorti de la bouche de Bouabdallah Ghlamallah. Les membres et les responsables de cette mission sont-ils à ce point intouchables pour que personnes ne puissent leur demander des comptes ? 

    Lorsqu'on sait qu'une vingtaine de décès ont été déplorés parmi les pèlerins Algériens, l'on est en droit de se demander si la mission algérienne du hadj a réellement fait tout son possible pour éviter un tel bilan macabre. Mais qui aujourd'hui peut révéler à l'opinion publique les tenants et les aboutissants du travail accompli par la mission médicale Algérienne présente sur les lieux Saints ? Décidément personne...  

    En tout cas, à toutes ces questions, et à d'autres encore, Bouabdallah Ghlamallah n'esquissera aucune réponse. Tout juste se contente-t-il de minimiser, sur les ondes de la Chaîne III, les problèmes rencontrés par les Algériens à la Mecque. 

    Quant aux prestations de services fournies aux hadji algériens par les deux agences ONAT (Office national du tourisme) et le TCA (Touring club d'Algérie), Ghlamallah a seulement rappelé que ces deux agences étaient chargées chacune de 7000  hadji.  "C'est un nombre qui dépasse largement leurs capacités", a-t-il relevé sans expliquer pour autant pourquoi on leur a accordées un nombre aussi importants de hadjis alors qu'elles sont, malheureusement, incapables de les prendre en charge.  

    On le voit bien, le hadj est, certainement, une affaire très sérieuse pour le réduire à un simple voyage touristique. Toutefois, les chemins qui mènent vers la fonction et la responsabilité du ministre des Affaires Religieuses en Algérie ne semblent pas, non plus, relever d'une forme de Djihad !  Et ce n'est pas les hadjis Algériens qui diront le contraire... 

    Abderrahmane Semmar
  • Bouteflika : " La France n'a pas accepté l'indépendance algérienne...et Mohamed VI est un incapable" (WikiLeaks)

    En 2007 le président Abdelaziz Bouteflika considérait que "La France n'a jamais vraiment accepté l'indépendance algérienne" et tente de régler ses comptes avec l'Algérie "en appuyant le Maroc", selon des mémos diplomatiques américains diffusés par WikiLeaks.
    Lors d'une rencontre avec Frances Fragos Townsend, conseillère du président George W. Bush pour les affaires de sécuries Français, Bouteflika a ajouté que "du fait du poids de leur histoire coloniale au Maghreb, sont incapables de jouer un rôle constructif dans le conflit" du Sahara, selon ces mémos rendus publics vendredi soir par le journal Le Monde.
    En novembre 2009, le président algérien critique le roi du Maroc, Mohammed VI. "Il n'est pas ouvert, et manque d'expérience", aurait-il dit, alors qu'il semble apprécier son frère, Moulay Rachid, avec lequel il affirme avoir "plaisanté et discuté agréablement" lors d'une rencontre à Séville, en Espagne, selon un autre mémo américain.
    Concernant le Sahara, "si je pouvais résoudre le problème je le ferais", a-t-il aussi assuré. "Mais je ne peux pas parler à la place des Sahraouis". Ce qu'il faut c'est que "le Maroc et le Polisario trouvent une solution, et ils peuvent le faire avec l'aide des Américains", aurait ajouté le président algérien.
    En février 2008, selon un autre télégramme émis après un entretien avec un diplomate américain, Abdelaziz Bouteflika a jugé qu'au lieu de faire preuve d'une approche "élégante" en acceptant une indépendance du Sahara occidental qu'ils auraient pu "contrôler" ou "superviser", les Marocains souhaitent en réalité "un Anschluss, comme Saddam Hussein avec le Koweït".
    Côté marocain, toujours selon des télégrammes américains, les critiques sont aussi légion contre l'Algérie. Là-bas, expliquent des responsables marocains en juin 2009 au représentant personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, le pouvoir est toujours entre les mains de généraux dogmatiques, "pétrifiés" à l'idée du plan d'autonomie pour le Sahara présenté par Rabat.

  • Wikileaks.org, le site qui diffuse des fuites du monde entier


    Wikileaks.org, le site qui diffuse des fuites du monde entier

    Julian Assange, cofondateur de Wikileaks.org © Creative Commons by-sa 2.0 / New Media Days

    Click here to find out more!
    Par Guerric Poncet

    Pour certains, Wikileaks.org incarne l'avenir du journalisme d'investigation. Pour d'autres, c'est le site à abattre. Une chose est sûre : il fait scandale. La vocation de ce portail atypique est de diffuser des documents sensibles, que ce soient des textes, des photos ou des vidéos.
    Déjà célèbre dans le monde anglophone, Wikileaks a fait récemment son entrée dans les médias français, grâce notamment à une vidéo diffusée lundi 5 avril . Elle montre au grand jour ce qui ressemble à une bavure de l'armée américaine en Irak, avec des militaires abattant des civils (peut-être armés) ainsi que deux employés de l'agence de presse Reuters , puis détruisent le véhicule venu leur porter secours.
    Depuis plusieurs jours, Wikileaks menaçait de diffuser cette séquence, enregistrée en 2007 depuis un hélicoptère Apache ayant participé à l'attaque. Reuters, de son côté, n'a jamais réussi à obtenir la vidéo par les voies légales, alors que le Freedom of Information Act aurait dû le lui permettre. Visite guidée de Wikileaks, les plombiers (leak = fuite) du scoop moderne.

    Comment fonctionne Wikileaks.org ? Le portail a été créé en 2006 par The Sunshine Press, un organisme à but non lucratif financé exclusivement par les dons "de défenseurs des droits de l'homme, de journalistes d'investigation, de technophiles et du grand public". Une interface spécifique permet aux informateurs d'envoyer des documents de façon anonyme. Parfois, les fichiers sont illisibles en l'état, et Wikileaks fait appel à des spécialistes du décryptage. Les informations sont ensuite vérifiées par l'équipe du site puis éventuellement publiées.

    À quoi s'intéresse le site ? À tout ce qui est sensible. Le site dit avoir reçu des centaines de milliers de fichiers concernant "des banques corrompues, le système pénitentiaire américain, la guerre en Irak, la Chine, les Nations unies". En revanche, tout n'est pas publié : l'équipe fait le tri, entre ce qui permet de révéler la vérité et ce qui ne ferait que dévoiler des secrets légitimes (procédés industriels, votes à huis clos, etc.).

    Les faits d'armes. Parmi les publications les plus marquantes de Wikileaks, il y a évidemment les informations relatives au Pentagone (règles d'engagement des troupes en Irak, traitement des prisonniers de Guantanamo, etc.) qui ont très vite fait la une des médias américains. D'autres documents sur la faillite de l'Islande et l'accord Icesave, sur la liste noire de cybercensure australienne*, ou encore sur les attentats du 11 septembre 2001 ont consolidé la réputation de sérieux du site.
    En 2008, Wikileaks a publié des captures d'écran du compte e-mail personnel de Sarah Palin, alors colistière de John McCain dans la course à la Maison-Blanche, prouvant ainsi qu'elle utilisait son e-mail personnel pour ses échanges professionnels, contrairement à la loi. La même année, le portail subissait un revers judiciaire après avoir publié des centaines de documents sur les activités offshore de la banque suisse Julius Baer, avant que le juge ne revienne sur sa décision.
    Plus récemment, Wikileaks a publié un rapport secret de la CIA, qui explique comment convaincre les pays européens d'envoyer davantage de troupes en Afghanistan. Pour la France, le document conseille d'insister sur "l'impact positif de la mission pour les civils" (afghans) et de "culpabiliser l'opinion publique" en évoquant les conséquences catastrophiques d'un retour des talibans.

    Qui se cache derrière Wikileaks.org ? Beaucoup d'anonymes travaillent pour Wikileaks, mais l'équipe dirigeante n'hésite pas à s'afficher. L'Australien Julian Assange (photo), cofondateur du site, donne parfois des interviews et participe à des conférences. À propos de la vidéo publiée lundi 5 avril, il a déclaré vouloir montrer "ce à quoi ressemble vraiment la guerre moderne" avec "un impact politique maximum", prouvant au passage qu'il "ne faut pas croire les rapports de l'armée américaine sur parole". À la fin de cette vidéo, un générique donne aussi quelques autres noms de collaborateurs de Wikileaks, dont ceux de Ron Gonggrijp, spécialiste du cryptage, ou Birgitta Jondottir, membre du Parlement islandais.
    Le site est hébergé par le suédois PeRiQuito (PRQ), célèbre pour avoir accueilli The Pirate Bay pendant un temps. Mais les fichiers du site ne sont pas tous centralisés sur les mêmes serveurs. Pour l'avenir, les regards sont tournés vers l'Islande, où un projet de loi (Icelandic Modern Media Initiative, IMMI) pourrait garantir la confidentialité des sources et les libertés sur Internet, à contre-courant de ce qui se profile dans de nombreux autres pays, y compris dans de grandes démocraties, comme la France . Wikileaks pourrait bien migrer vers ce "havre pour journalistes", comme le décrivent les défenseurs de l'IMMI.

    Qui finance Wikileaks ? Le budget annuel de fonctionnement du site est de 600.000 dollars, mais seuls 370.000 dollars ont été récoltés cette année. La centaine d'attaques juridiques menées contre le site ont largement contribué à augmenter les coûts, et les dons ne permettent pas encore de rémunérer ceux qui se consacrent à plein temps à Wikileaks.

    Un site en danger. En 2009, Wikileaks a été récompensé par le prix des nouveaux médias d'Amnesty International, mais il s'est aussi fait de nombreux ennemis, dans tous les milieux. Au point que la CIA a envisagé de détruire ce trublion en traquant les personnes à l'origine des fuites, selon un rapport secret de l'agence de renseignements, publié par... Wikileaks. Son financement pose aussi problème, et le site appelle désespérément aux dons sur sa page d'accueil.

    REGARDEZ - L'interview de Julian Assange, cofondateur de Wikileak



  • Boulets

    Par : Omar Ouali

    Un grand nombre d’entre eux payèrent de leur vie, d’autres sont toujours sur la brèche. Mais en se posant bien des interrogations sur leur avenir. En effet, la politique de réconciliation, du fait de ses monstrueux paradoxes, fait qu’ils se retrouvent aujourd’hui en porte-à-faux. Ils sont perçus, comble de l’ingratitude de l’État, comme une espèce de boulets qu’on traîne et dont on ne sait plus que faire d’eux au niveau des ministères de l’Intérieur et de la Défense.

    Au moment où le pays était mis en danger d’effondrement politique par les islamo-terroristes, ils n’avaient pas hésité à répondre, comme on dit, à “l’appel du devoir” même si la formule est quelque peu galvaudée. Dans l’improvisation dictée par l’urgence de la situation de l’époque et souvent avec les moyens du bord, les gardes communaux s’imposèrent comme des pièces maîtresses dans le dispositif de lutte contre le terrorisme, notamment dans les régions isolées où ils furent des remparts sûrs contre les assauts des groupes armés.
    Un grand nombre d’entre eux payèrent de leur vie, d’autres sont toujours sur la brèche. Mais en se posant bien des interrogations sur leur avenir. En effet, la politique de réconciliation, du fait de ses monstrueux paradoxes, fait qu’ils se retrouvent aujourd’hui en porte-à-faux. Ils sont perçus, comble de l’ingratitude de l’État, comme une espèce de boulets qu’on traîne et dont on ne sait plus que faire d’eux au niveau des ministères de l’Intérieur et de la Défense.
    Dissolution du corps, mise à la retraite, intégration : autant de formules avancées pour rayer de la carte ce corps dont l’existence n’est plus dans le politiquement correct imposé par la politique de réconciliation. Mais force est de constater, qu’à ce jour, aucun choix n’a été encore fait. À moins que cette fois-ci sera la bonne, car jeudi, le ministre de l’Intérieur a annoncé que les deux tiers de l'effectif de la garde communale seront incorporés dans les rangs de l'Armée.
    Ce choix serait fait en fonction des personnes qui présentent plus d'aptitude à continuer à servir dans les rangs de l'ANP, a expliqué le ministre, ajoutant que pour le tiers restant, une partie est déjà touchée par la retraite, une autre va être admise en congé de maladie de longue durée, et il y a ceux qui seront déployés au sein de la police communale.
    Si cette option a le mérite d’exister et surtout de donner une perspective aux concernés, une question demeure : qui va faire sur le terrain le travail de la garde communale ? Car il y a des régions où leur présence est nécessaire. Autre question, les “Patriotes” qui constituent un corps particulier sont-ils concernés par cette décision ?

  • no moment

  • révélations des câbles américains sur WikiLeaks Les officiels marocains hantés par l’Algérie

    Par : Merzak Tigrine

    Selon les notes révélées par le site WikiLeaks, l’Algérie constitue un des principaux sujets qui empêchent les responsables marocains de dormir.

    À en croire les correspondances et notes des officiels américains de passage au royaume alaouite, leurs homologues marocains font une véritable fixation sur tout ce qui touche l’Algérie. Ils ne ratent aucune occasion de dénigrer l’Algérie où de salir son image, même si on ne leur demande pas leur avis sur la question.
    En effet, dans leurs discussions avec les diplomates et les responsables américains de passage au Maroc, les officiels marocains font tout pour convaincre leurs interlocuteurs que la lutte antiterroriste des Algériens est un échec, et que ces derniers font preuve de mauvaise volonté pour coopérer avec eux dans ce domaine. Une note diplomatique américaine du 31 juillet 2007 indique que l’assistante du président US pour la sécurité intérieure et l'antiterrorisme, Frances Fragos Townsend cite nommément le directeur général pour la surveillance du territoire marocain, Abdelatif Hammouchi, qui affirme que “la coopération avec les Algériens est erratique. Parfois, ils nous fournissent de très bonnes informations et parfois on dirait qu'il s'agit d'impasse”. De son côté, Yassine Mansouri, le directeur général des études et de la documentation, (service de contre-espionnage marocain), qualifie les Algériens de “partenaires difficiles”. Toujours dans le domaine de la lutte antiterroriste, une note du 18 mai de la même année révèle que le directeur général des affaires bilatérales au ministère marocain des Affaires étrangères, Youssef Amrani, avait “suggéré que l'émergence d'Aqmi était principalement due aux échecs du gouvernement algérien”. Voilà une position que ne partageaient visiblement pas les États-Unis, lesquels défendent la politique antiterroriste de l'Algérie, comme le montre cette réplique d’un diplomate américain à l'accusation d’Amrani. “Le GSPC a été forcé de s'associer avec Aqmi parce que le gouvernement algérien a réussi à le marginaliser”. Idem pour Khalid Zerouali, en charge de la sécurité des frontières marocaines au ministère de l'Intérieur, qui “s'est hérissé” lorsque les officiels américains ont cité l'Algérie comme “un modèle” dans la lutte antiterroriste en Afrique du Nord. Ainsi, pour Zerouali, “le Maroc est beaucoup plus stable et sûr alors que je ne peux pas voyager d'Alger à Oran sans crainte”. Concernant les relations bilatérales qui ne s’arrangent pas avec Alger, Rabat impute la responsabilité entière à l’Algérie. Après une visite à Alger, Fouad Ali Himma, adjoint au ministre de l'Intérieur, a affirmé à des diplomates américains que “les efforts marocains répétés pour réduire l'abîme diplomatique ont été rejetés”. Dans leur mémo daté du 31 juillet 2007, ils indiquent que le responsable marocain “a assuré avoir dit aux Algériens que le Maroc était prêt à rouvrir sa frontière et à prendre d'autres mesures pour rétablir la confiance, mais les Algériens ne nous ont jamais dit ce qu'ils voulaient”.
    Selon la même source qui précise que Himma est un proche du roi Mohammed VI, souvent considéré comme plus puissant que le ministre de l'Intérieur lui-même, “il a attribué ce qu'il décrit comme l'intransigeance algérienne à l'écart générationnel et de mentalités entre les dirigeants des deux pays”. Il est également révélé que le Maroc soupçonne depuis longtemps l'Algérie de chercher à développer un programme nucléaire militaire. Cette inquiétude est rapportée dans une note diplomatique américaine du 21 novembre 2006 transmise cinq jours après un entretien entre le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Omar Hilale, et l'ambassadeur américain à Rabat au sujet du programme nucléaire de l'Iran. Hilale trouve qu'“un Iran doté de l'arme nucléaire serait un désastre pour la région et spécialement pour le Maroc”, d’autant plus que “cela provoquerait une course à l'armement dans la région et cela accélérerait la poursuite de ce qu'il a décrit comme un programme nucléaire militaire algérien similaire même s'il n'est que naissant”.
    Plus catégorique, Hilale dira aux Américains : “Si l'Iran réussit, dans les dix ans, d'autres pays du Moyen-Orient auront la bombe et les Algériens suivront peu après”. Le dénigrement de l’Algérie est donc le sport favori des responsables marocains, quand bien même leurs interlocuteurs ne partagent pas leur vision sur le sujet.  

  • L’Algérie entre haggaras et harragas

    *Par Mustapha Chelfi

    In Alfa. Journal de la communauté maghrébine au Canada

    La défection de neuf membres du Ballet National Algérien, en tournée au Canada pour le 56ème anniversaire de la Révolution de Novembre, jette davantage de lumière sur un phénomène qui vide le pays de ses enfants.
    Le Ballet National Algérien durant sa prestation à Montréal le 10 novembre 2010 (ph alfa)Absurde mais réel. Fin 2007-début 2008, je me trouvais en Algérie. Marché Clauzel, à Alger, je suis rentré dans une papeterie. Le propriétaire était en grande discussion avec un client à propos de harragas, secourus puis déférés devant le tribunal. Le verdict qui s’ensuivit fut terrible : 14 ans de prison ferme contre le principal accusé. De quoi s’était rendu coupable le jeune homme qui avait choisi de mettre la mer entre lui et ses tourments? La harga est devenue un phénomène de société. Des jeunes de vingt ans, des fonctionnaires de cinquante, croient embarquer pour Cythère mais débarquent en enfer. La Méditerranée est devenue un cimetière marin. Les vagues rejettent sur les côtes espagnoles leur lot quasi-quotidien de cadavres déjà boulottés par les poissons. Les gardes-côtes italiens interceptent des embarcations où ces nouveaux damnés de la terre s’entassent dans des radeaux de la Méduse et voguent vers un mirage qui recule au fur et à mesure qu’ils avancent.
    La harga est un terrible jugement porté contre le pays d’origine. Souvent, les harragas vivent dans des conditions infrahumaines. Ils n’ont ni logement, ni femme, ni enfants. Les perspectives d’avenir sont nulles. De guerre lasse, ils jouent leur va-tout. Leur devise? : « Mieux vaut être dévorés par les poissons que grignotés par les asticots ».
    La harga touche tous les secteurs de la société, toutes les tranches. Selon les pays, elle peut prendre des formes diverses. Émigration légale, refuge politique, immigrants investisseurs, étudiants envoyés en formation par l’Algérie qui ne sont jamais retournés au pays, haut-fonctionnaires qui restent sur place à la fin de leur mandat, mariages en blanc, demande de réintégration dans la nationalité d’origine. La décennie noire a entrainé le départ de 450.000 algériens. Parmi ce demi-million d’Algériens, beaucoup de cerveaux ont préféré prendre la fuite plutôt que de s’engager dans une bataille perdue d’avance, la vie en Algérie. Tous ceux qui ont pris la décision étaient arrivés à la même conclusion : « hna khir mel hih »
    Pourquoi un pays aussi magnifique et riche que l’Algérie ne peut retenir ses enfants et les oblige à une fuite en avant dont ils ne sortent jamais gagnants. Paradoxalement, c’est dans l’exil – donc trop tard- qu’on découvre l’amour que l’on porte à son pays.
    La harga est l’enfant de la hogra. Un simple chaouch peut vous pourrir la vie, un grand commis de l’État vous empoisonner l’existence. Entre le marteau et l’enclume, se forge le caractère et se profile la conscience. Partir ou rester? Le ver dans le fruit. Le reste est affaire de patience. Tôt ou tard, le pourrissement produit son effet.
    Tout le malheur des hommes vient de la comparaison, écrivait un philosophe. En zappant d’une chaine à l’autre, on se contemple dans un autre miroir, on y perçoit une autre image. Le rêve américain, s’il existe de moins en moins, demeure toujours le symbole d’un rivage sur lequel on doit d’abord s’échouer avant de pouvoir se relever.

    Les danseurs du Ballet National Algérien sont les meilleurs juges de leurs intérêts. Le cas le plus célèbre artiste demeure celui du Soviétique Rudolf Noureev qui s’est fait la belle à l’aérodrome du Bourget, en 1961, alors qu’il était en tournée en France avec le corps de ballet du Kyrov. À cinquante ans de distance, les mêmes causes produisent les mêmes effets.

    Mustapha Chelfi
    Mise en ligne :14/11/2010
  • Affaires de corruption en série en Inde

    Raja.jpg"Dial 'C' for corruption in India" - Composez 'C' pour corruption en Inde -. Joli titre pour un article visant à répertorier les scandales à répétition qui secouent l'Inde depuis quelques semaines. Un clin d'oeil, surtout, à celui qui a fait surface récemment : accusé d'avoir "bradé" des licences de téléphonie mobile 2G, le ministre des télécommunications Andimuthu Raja (photo ci-desus/CNN-IBN) a été contraint de démissionner dimanche dernier. Pour l'état, ses activités licencieuses ont entraîné un manque à gagner de 40 milliards de dollars... soit le budget de la défense du pays.

    Analyste à Inter Press Service, Ranjit Devraj met le doigt sur ce mal endémique indien qu'est la corruption. D'emblée, il pose la question qui est sur toutes les lèvres : est-ce que cette fois les coupables seront punis ? "La corruption est devenue une maladie, c'est un mal endémique difficile à éradiquer. Nous avons besoin de toute urgence d'un bon traitement", affirme à l'auteur de l'article publié par Asia Times Online un médecin qui mène dans le pays sa propre croisade anti-corruption. Le problème, relève Ranjit Devraj, est qu'aujourd'hui la coalition de centre-gauche au pouvoir et l'opposition emmenée par le BJP, le parti nationaliste hindou, se renvoient la balle, s'accusant mutuellement de porter "la plus grande responsabilité" de ce mal qui ronge l'Inde depuis longtemps.

    Le scandale des licences de téléphonie mobile 2G attribuées à tort et à travers par l'ex-ministre des télécommunications met sur la sellette le gouvernement de Manmohan Singh. Il pourrait même, si l'affaire s'envenime, ternir l'image du Premier ministre, qui a pourtant une réputation d'honnêteté au-dessus de tout soupçon. Pourquoi a-t-il "protégé" aussi longtemps son ministre des télécoms ? Le Premier ministre aura à en répondre devant la Cour suprême.  

    De quoi s'agit-il ?

    En janvier 2008, Raja a attribué les fameuses licences à tort et à travers, faisant la part belle aux groupes les mieux informés. Alors qu'il aurait dû avoir recours à une vente aux enchères, il les a bradées aux prix de 2001, bien qu'en sept ans le marché ait explosé. Résultat, des compagnies ayant acquis les licences à bas prix ont aussitôt revendu six fois plus cher une partie de leur capital à des firmes étrangères. L'état indien, lui, a ainsi perdu l'occasion de gagner plusieurs dizaines de milliards de dollars...  

    Cette affaire, qualifiée par l'opposition de "mère de tous les scandales", s'ajoute à celle qui a conduit à l'éviction du ministre régional du Maharashtra (parti du Congrès). Soupçonné dêtre impliqué dans la construction illégale d'un immeuble de 31 étages dans l'un des meilleurs quartiers de Bombay, le ministre a été déchu de ses fonctions par Sonia Gandhi, la présidente du parti. Mais le mal est fait. Des politiciens, des bureaucrates et des officiers de l'armée profitaient de ces appartements merveilleusement situés face à la mer dans une ville où 60% de la population vit dans des bidonvilles.

    Et puis il y a eu les affaires de corruption liées aux Jeux du Commonwealth, début octobre... Selon Transparency International (TI), l'image de l'Inde en a été quelque peu écornée.

    Pour l'analyste économique Paranjoy Guha Thakurta, c'est surtout l'image du parti du Congrès qui pourrait être ternie. "Réfléchissez seulement au nombre d'écoles ou de dispensaires qui auraient pu être construits avec 40 milliards de dollars... les gens observent tout cela", dit-il en référence au scandale des télécoms.

     

  • Sur CNN, Validimir Poutine admoneste les États-Unis

    la fifa est corrupu ,coupe du monde  chez poutine!!!!!!et au quatar!!!malgres les revelations wikileak au detriment de britans et australie !!!!!


    Par Laure Mandeville
    Vladimir Poutine répondait, mercredi depuis Moscou, aux questions de Larry King, le journaliste vedette de la chaîne américaine CNN.
    Vladimir Poutine répondait, mercredi depuis Moscou, aux questions de Larry King, le journaliste vedette de la chaîne américaine CNN. Crédits photo : RIA Novosti/REUTERS

    Interrogé mercredi soir par le journaliste Larry King, le premier ministre russe a vigoureusement réagi aux révélations de WikiLeaks.

    De notre correspondante à Washington

    Mercredi soir sur CNN, c'étaient deux planètes situées à des années-lumière l'une de l'autre qui se rencontraient par liaison satellite. Vladimir Poutine, premier ministre d'une Russie muselée qu'il continue de gouverner d'une main de fer, même s'il a passé la main à Dmitri Medvedev, était l'invité de Larry King, la superstar de CNN aux célèbres costumes à bretelles, qui interviewe les grands de ce monde depuis des décennies. Le premier était sec et offensif. Le second décontracté, selon son habitude.

     

    En pleine affaire WikiLeaks - cette fuite géante qui porte sur des centaines de milliers de câbles diplomatiques émanant du département d'État -, le vieux journaliste américain a immédiatement voulu savoir ce que le dirigeant russe pense du flot d'évaluations, plus embarrassantes les unes que les autres, sur le fonctionnement «mafieux» du régime russe, qui se déversent depuis dimanche dans les médias. La réponse de Poutine a été conforme à sa vision du monde. «Certains experts pensent que ces fuites ont pu être organisées pour discréditer WikiLeaks et l'instrumentaliser ensuite pour leurs propres buts poli­tiques», a-t-il lâché, sibyllin.

    En d'autres termes, il y aurait complot. Mais de qui et dans quel but, Poutine n'en a dit mot. Le premier ministre russe a paru très agacé par l'image de «mâle dominant» contrôlant un président Medvedev à sa main, utilisée par une dépêche de l'ambassadeur américain à Moscou pour le décrire. «Ces termes visent à discréditer l'un de nous!» a-t-il dit, expliquant avoir toujours été conscient que des «forces» tentent de diviser le duo qu'il forme depuis 2008 avec Dmitri Medvedev.

     

    Régime oligarchique

    Affirmant qu'il déciderait «de concert» avec ce dernier quelle stratégie adopter pour la présidentielle de 2012, Vladimir Poutine s'est enflammé quand Larry King a mentionné un câble diplomatique dans lequel le ministre de la Défense américain, Robert Gates, affirme que «la démocratie a disparu» en Russie et qu'il s'agit désormais d'un régime oligarchique contrôlé par les services secrets. Poutine a répliqué, ironique, que Robert Gates avait été le patron de la CIA. «Si c'est votre meilleur expert en démocratie, je vous félicite», a-t-il dit, précisant que Gates «se trompe profondément».

    Poutine a rappelé que les États-Unis avaient maints problèmes «systémiques» en matière de démocratie. «Quand j'en parle à mes collègues américains, ils me disent: n'interférez pas. Alors je voudrais vous conseiller la même chose: n'interférez pas dans les choix souverains du peuple russe», a-t-il lancé, abrupt.

     

    Dans son interview, Vladimir Poutine a eu des mots chaleureux pour George W. Bush, évoquant un homme «sympathique et un bon partenaire… malgré les désaccords». Se refusant à caractériser Obama, il a dit lui être reconnaissant d'avoir «adouci la rhétorique des relations russo-américaines». Poutine a également mentionné la «bonne coopération» américano-russe sur l'Afghanistan, évoquant certains épisodes surprenants lors desquels des hélicoptères des services russes auraient sorti des militaires américains en difficulté du champ de bataille… Mais le dialogue de Poutine avec Larry King n'en était pas moins un reflet très parlant de l'état complexe et plein de défiance des relations russo-américaines, malgré le «redémar­rage» orchestré sous l'égide d'Obama et de Medvedev.

    Comme le révèlent les fuites de WikiLeaks, derrière les sourires officiels, l'Amérique nourrit une vision très noire de l'évolution de la Russie et de Poutine, qu'elle perçoit comme un dirigeant «brutal», «cynique» et «corrompu», notait jeudi le New York Times qui consacre deux pages aux révélations de WikiLeaks sur la Russie. Les diplomates américains y évoquent la «fortune» de Poutine et s'y inquiètent de ses liens troubles avec le premier ministre Silvio Berlusconi, via l'entreprise gazière ENI et un parlementaire italien russophone nommé Valentino Valentino. Les câbles diplomatiques mettent aussi en évidence la frustration croissante que les Américains éprouvent dans leur dia­logue avec les militaires russes, étroitement surveillés par le renseignement militaire (GRU) et peu enclins à la réciprocité et à la confiance.

    En matière de défense, Vladimir Poutine a d'ailleurs lancé sur CNN une sévère mise en garde aux Américains au sujet du bouclier anti-missile, confirmant, comme l'avait fait Medvedev la veille, que la Russie mettrait en place sur sa frontière ouest de nouveaux missiles ainsi que des technologies nucléaires si l'Occident ne l'associe pas audit projet. Vladimir Poutine a toutefois fini par sourire quand Larry King lui a annoncé son intention de venir à Moscou. «Je vous invite, vous allez aimer!» a-t-il répondu.

  • Grosse panique chez les importateurs indélicats

    Faux billets et trafic de devises

    Grosse panique chez les importateurs indélicats

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    El Watan.com le 03.12.10 | 

    Opérations d’importation massive, achat d’immobiliers, ruée vers l’or, change en devises. La psychose telle que prévue par les spécialistes suite à l’affaire des faux billets n’a pas touché les ménages, mais plutôt les délinquants de la finance, à leur tête certains importateurs. Le tout sur fond d’enquêtes des services de sécurité.

    L’affaire des faux billets doublée par la campagne menée récemment par les services de sécurité contre les cambistes de devises ont mis, selon les indiscrétions des milieux d’affaires algérois, en alerte les «délinquants financiers». Cette panique se décline en de multiples facettes, à commencer par la multiplication des opérations d’importation. Selon un banquier algérois, la hausse des importations en novembre – par rapport au reste de l’année – a une explication toute simple : «Ce n’est qu’un empressement de dernière minute de certains barons de l’import afin de booster le transfert de l’argent vers l’étranger. Les nouvelles règles commerciales érigées par les pouvoirs publics n’arrangent plus certains parrains, alors qu’en ce moment, le commerce est presque à l’arrêt, ils doivent alors agir avant que le tempête ne passe.» Chose que certains importateurs que nous avons rencontrés confirment : «Tout est à l’arrêt en ce moment, nous ne comprenons plus ce qui se passe, on a été lâchés !», confie l’un d’eux.

    Par ailleurs, la plupart des opérations d’importation ont été réalisées avant même la médiatisation de l’affaire, selon un douanier au fait du dossier : «Les commandes ont été faites au commencement de l’affaire des faux billets. D’autant que de forts soupçons pèsent sur leur implication dans ce trafic aux côtés de celui de transferts illicites de devises à l’étranger, colportés par la presse. Cela n’a fait que les empresser de transférer de grosses sommes avec la complicité de leurs fournisseurs à l’étranger.» A en croire les informations du milieu financier informel, l’heure a donc sonné pour ces gros poissons qui gèrent des fortunes grâce au trafic notamment de la devise, du transfert illicite d’argent vers l’étranger ainsi que la fuite fiscale.

    Rien qu’à El Eulma, à l’Est, les services des impôts estiment que le montant de la fraude fiscale s’élève à plus de 1000 milliards de centimes. Les responsables de ce préjudice sont «les véritables patrons de tous les trafics versés dans l’import et qui ont pendant longtemps dissimulé leur véritable business et leur identité derrière des sociétés anonymes ou sous de faux registres du commerce carrément ou des registres au nom de personnes âgées ou de malades mentaux», indique un officier de la brigade économique de la gendarmerie. Et de poursuivre : «Tout cet argent devait être utilisé soit dans le change parallèle – et ainsi son transfert à l’étranger –  ou bien à être blanchi.» Les services des impôts ont donc déposé plusieurs plaintes au niveau de la justice contre ses barons. La gendarmerie, dans une opération similaire à Alger, a appréhendé la semaine dernière plusieurs «cambistes», parmi eux des importateurs, suite à une large opération de «nettoyage». Leurs biens seront incessamment saisis par la justice.

    Les parrains s’en lavent les mains

    Cette situation s’est aggravée pour les importateurs à la fortune considérable, car abandonnés par leurs insoupçonnables protecteurs, disent-ils. «Depuis peu, un haut responsable militaire avec lequel j’entretenais des affaires ne me répond plus», s’étonne un importateur de l’est du pays, installé au marché de gros de Gué de Constantine (sud d’Alger). Pour son voisin, «un de mes clients, un directeur central dans un grand ministère, ne me commande plus de devises et a presque coupé tout contact avec moi», révèle-t-il. Les commerçants se rabattent sur l’achat de devises. «Il n’y a plus d’euros et peu de gens le vendent en ce moment», nous informent des importateurs. Cela provoque une guerre sans merci entre eux. «En urgence, j’ai échangé pour 500 000 euros chez un ami commerçant. L’euro se fait rare en ce moment surtout avec ses histoires de faux billets», témoigne un importateur de Dar El Beïda.

    Ruée vers les «valeurs refuges»

    Un «cambiste» d’El Harrach, vendeur d’accessoires de téléphones portables, «rescapé» de la dernière opération menée par la gendarmerie dans ce quartier connu pour avoir abrité des trabendistes de tout bord, livre aussi son témoignage : «Je ne travaille qu’avec mes anciens clients qui m’ont introduit dans l’import (cabas). La méfiance est de rigueur. Tout le monde a peur d’être pris la main dans le sac. Cela pénalise mon business car je ne vis pas de ventesd’accessoires de téléphone.» La psychose a aussi atteint les diplomates et les travailleurs expatriés qui préfèrent ces derniers temps «échanger leur argent à la banque de peur d’être pris la main dans le sac», signale le banquier algérois.

    En l’absence de diamants, le métal le plus précieux reste l’or. Son achat en nombre par les trafiquant pour éviter les masses d’argent en faux billets a fait augmenter les prix déjà en hausse. «Depuis quelques jours, je croule sous les commandes de plusieurs commerçants pour l’achat de grosses quantités de parures en or. Je n’arrive pas à les satisfaire ; même mes fournisseurs et mes associés sont dans la même situation», révèle un grand bijoutier de Blida. Un jeune importateur installé à «Dubaï» avoue : «J’ai acheté plusieurs bracelets, parures et autres objets en or, je les mettrai à l’abri, ça servira pour plus tard», assure-t-il. Un autre trabendiste (spécialisé dans l’importation de téléphones portables de «Dubaï»), rencontré dans une bijouterie à Bordj El Kiffan, venu récupérer des bijoux en or, ne voit pas d’autre issue : «Je suis obligé de faire cela pour ensuite les remettre à ma mère. En ce moment, avec tout le trafic dans le marché et les enquêtes menées par les gendarmes, on est obligés de mettre notre argent en sécurité. Personne n’est à l’abri.»

    Immobiliers standing à l’arrêt

    Autre incidence de cette psychose, l’investissement dans l’immobilier, véritable blanchisseuse d’argent et autre refuge pour les nababs du trafic. Les prix des villas et autres bâtisses à étages ont flambé ces derniers jours, et pour cause, beaucoup de fortunés y voient un moyen urgent pour se débarrasser des «chkara» (sac d’argent). Seulement, il est difficile de trouver un notaire qui accepte de signer une transaction dépassant les huit millions de dinars, nous informent des importateurs. «Aucun des notaires que j’ai sollicités ne veut prendre en charge ma transaction. Je viens d’acheter une villa à Birkhadem, même si je l’ai déclarée à 8 millions de dinars», s’énerve Mustapha, un importateur d’El Hamiz.

    En effet, des notaires de Bab Ezzouar, Rouiba et Dar El Beïda que nous avons rencontrés affichent de sérieuses réticences : «Nous ne pouvons plus accepter ce genre de transactions, d’autant que ces derniers temps, nous devons rendre compte à la fois à la justice et aux services de sécurité de la valeur réelle des transactions. Dans le cas d’infractions à la loi, nous serons traduits en justice.» Certains notaires ont, pendant longtemps, été «cette passoire par laquelle transitaient tous les trafiquants pour effectuer leurs transactions douteuses sans être gênés. Les documents notariés qui leur étaient délivrés sont devenus un gage de sécurité», analyse pour sa part l’officier de la gendarmerie. Seule possibilité qui reste, «l’achat sur la base de la confiance». Ainsi, des importateurs peu scrupuleux règlent leurs transactions immobilières de main en main, en présence de témoins et sans trace administrative.

    Voiture discrète

    Le marché des grosses cylindrés, notamment allemandes, pour la plupart volées à l’étranger et introduites frauduleusement en Algérie, est lui aussi touché par cette fièvre, trop d’offres et peu de demande. Dans un boulevard réputé fréquenté par la mafia des voitures, les prix sont à la baisse. «Personne n’achète ces berlines, personne ne veut s’afficher avec une belle voiture de peur des services de sécurité. Fini le temps où les fortunés acquéraient des voitures de luxe, la petite cylindrée est leur nouvelle voiture», révèle un ex-vendeur de voitures. Désormais on rase les murs.

    Zoheir Aït Mouhoub
  • c'est iran!!!!!!

    Israël touché par
    un incendie meurtrier


    EN IMAGES - Au moins 41 personnes ont péri dans un énorme feu de forêt faisant rage depuis jeudi près du port de Haïfa. Les premiers avions bombardiers d'eau envoyés par la communauté internationale sont entrés en action vendredi dans la matinée.

  • dépeches

    En Côte d'Ivoire, le Conseil proclame Gbagbo vainqueur


    En Côte d'Ivoire, le Conseil proclame Gbagbo vainqueur<br/>

    Après avoir invalidé jeudi des résultats favorables à l'opposant Alassane Ouattara, le Conseil constitutionnel a donné vendredi la victoire au président sortant. L'opposition met en garde contre «un nouveau putsch».

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    Côte d'Ivoire : «Le moindre mouvement peut passer pour une provocation»


    AUDIO - Tanguy Berthemet, envoyé spécial du Figaro, constatait vendredi un calme inhabituel à Abidjan. Les candidats semblent avoir donné des consignes à leur camp pour éviter toute provocation.

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    L'ex-premier ministre symbolise la crise identitaire qui déchire le pays depuis une quinzaine d'années.

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    La crise politique ivoirienne
    fait flamber le cacao


    Les cours de la fève brune ont grimpé de 5% en deux jours à Londres. La crise politique qui secoue le pays fait craindre le pire aux marchés.

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    Le gouvernement ne veut pas
    de WikiLeaks en France


    Éric Besson, ministre en charge de l'Économie numérique, a demandé l'interdiction de l'hébergement de WikiLeaks en France. Le site est hébergé en partie depuis jeudi par la société française OVH, qui se défend.
    » L'étau judiciaire se resserre autour de Julian Assange

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    Etats-Unis : poussée du chômage
    en novembre


    L'économie n'a créé que 39.000 postes de plus qu'elle n'en a détruit, selon le département du Travail.

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    Joffrin chargé de rapprocher Libération et Le Nouvel Observateur


    Claude Perdriel, le propriétaire du Nouvel Obs, et Édouard de Rothschild, actionnaire à 36 % de Libération, se sont rencontrés vendredi matin.

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    Fin de l'impunité en Europe
    pour les chauffards


    Les ministres des Transports de l'Union européenne ont décidé de relier leurs bases de données des infractions routières. Mais la mise en application de cette mesure risque de prendre du temps.

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    Dati poursuit Biolay
    en diffamation

    Dans une interview, le chanteur accuse l'ex-garde des Sceaux d'avoir répandu la rumeur sur sa prétendue liaison avec Carla Bruni-Sarkozy. Le ragot, qui avait agité la France au printemps dernier, avait été vivement démenti par la première dame.

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    Une amende avec sursis
    pour des mails douteux à Dati

     )

    Un Drômois de 39 ans a été condamné vendredi à Valence pour avoir envoyé des mails graveleux à la députée européenne.

     

  • les produits israeliens et s/ produits vendu dans le monde

      Posté par Mohamed, 26 Aout, 2010
          RAPPEL IL FAUT BOYCOTTER LES PRODUITS SIONISTES POUR ÉTRANGLER ISRAEL ÉCONOMIQUEMENT JUSQU'À SA CHUTE............ Collectif Boycotter Israël et les sionistes est bien la moindre des choses! Il faut boycotter chaque société finançant les projets politiques sionistes et mondialistes ____________________________________par rmi les produits israéliens: Les fruits et légumes venant d'israel, tous les produits avec un code barre commençant par 729 - Carmel (fruits et légumes) -Jaffa (fruits et légumes) - Kedem (avocats) - Coral (Cerises) - Top (fruits et légumes) - Beigel (biscuits apéritifs) - Hasat (agrumes) - Sabra (repas complets) - Osem (soupes, snacks, biscuits, repas complets préparés) - Dagir (conserves de poissons) - Holyland (miel, herbes) - Amba (conserves) - Green Valley (vin) - Tivall (produits végétariens) - Agrofresh (concombres) - Jordan Valley (dattes) - Dana (tomates cerises) - Epilady (appareils d'épilation) - Ahava (cosmétiques de la Mer morte).Les produits des entreprises qui soutiennent l'Etat d'Israël (américaines ou européennes) : COCA-COLA - Marques du groupe : Aquarius, Cherry Coke, Fanta, Nestea, Sprite, Minute Maid, Tropical. Cette entreprise soutient l'Etat d'Israël depuis 1966.DANONE - Marques du groupe : Arvie, Badoit, Belin, Blédina, Phosphatine, Chipster, Evian, Galbani, Gervais, Heudebert, Lu, Taillefine, Volvic. Danone vient d'investir dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël.NESTLÉ - Marques du groupe : Aquarel, Cheerios, Crunch, Frigor, Friskies, Galak, Golden Grahams, Kit Kat, Maggi, Mousline, Nescafé, Ricoré, Quality Street, Vittel, Perrier, Buitoni. La société suisse possède 50,1 % des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. La firme est accusée depuis les années 50 de détruire l'économie et la santé des peuples du Tiers-Monde, notamment par l'imposition de ses laits en poudre pour bébés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.INTEL - Cette grosse entreprise produit la plus grande partie des puces électroniques PENTIUM 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des sionistes à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA en 2003 a amené INTEL à suspendre un projet d'investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l'usine Fab 18 de Kyriat Gat.L'ORÉAL - Marques du groupe : Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Garnier, Héléna Rubinstein, Gemey-Maybelline, Jean-Louis David Shampooings, Le Club des créateurs de beauté (vente de produits cosmétiques par correspondance), Redken 5th Avenue, Ralph Lauren parfums, Ushuaïa. L'Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l'Oréal « devenir un ami chaleureux de l'Etat d'Israël ». ESTÉE LAUDER - Marques du groupe : Aramis, Clinique, la Mer, DKNY, Tommy Hilfiger Outre ses investissements, le directeur est le président d'une des plus puissantes organisations sionistes US, le Fonds National juif.DELTA GALIL - Cette entreprise israélienne est spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C'est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein, Victoria's Secret, DKNY, Ralph Lauren.LEVI STRAUSS JEANS ET CELIO ( magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes)Ces entreprises fort bien implantées en France financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde.TIMBERLAND (Vêtements, chaussures, chaussettesŠ) - Tout comme son homologue Ronald Lauder, le PDG de Timberland Jeffrey Swartz est un membre actif du lobby sioniste US. Il a conseillé ainsi d'encourager la communauté juive US à se rendre en Israël mais également d'envoyer des soldats israéliens pour mener la propagande pro-israélienne aux USA.DISNEYLAND - L'entreprise Disney n'a rien d'idyllique et contribue par son soutien à Israël à semer la mort en Palestine. Elle approuve ainsi tacitement l'occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem lors d'une exposition au Centre Epcot en Floride la capitale d'Israël, cela en violation des résolutions internationales de l'ONU.NOKIA - Le géant finlandais de la téléphonie commerce activement avec l'Etat d'Israël. Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait : qu' Israël faisait partie des priorités de l'entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël. MC DONALD'S - Entreprise emblématique de l'impérialisme culturel US, la célèbre chaîne de restaurants fast-food apporte un soutien non négligeable à l'Etat israélien. McDonald's dispose de 80 restaurants en Israël et y emploie près de 3000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l'entreprise figure parmi les heureux partenaires de l'organisation sioniste «Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l'aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à Israël.CATERPILLAR (Equipement pour bâtiment mais également, vêtements, chaussures) - Une large campagne doit être menée en France pour dénoncer la participation criminelle de Caterpillar aux destructions des maisons en Palestine par ses bulldozers géants. C'est avec un Caterpillar que la pacifiste américaine juive Rachel Corrie a été tuée par un soldat israélien en 2003. La chaîne hôtelière ACCORHOTEL (Etap, Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel) - Cette chaîne a plusieurs hôtels en Israël, et récemment, elle a ouvert une succursale dans les territoires syriens occupés, dans le Golan. Les chaînes alimentaires présentes dans les colonies israéliennes : Domino Pizza, Pizza Hut, Häagen Daaz, Burger King Autres produits : Cigarettes Morris (dont Marlboro), Produits Kimberly-Clarck (Kleenex, Kotex, Huggies), SanDisk (informatique), Toys RUs (jouets) Micrososft dont le patron est très actif avec la cia et le bi pour les programmes militaires,Delle aussi. Source : http://www.boycott-zionism.com Egalement : Source : http://novusordoseclorum.discutforum.com/que-faire-f3/boycottez-israel-code-barre-729-t1660-15.htm Y a toutes les entreprises présentes dans les groupes mondialistes,sionistes et atlantistes. Voici ceux de la fondation franco-américaine http://www.french-american.org/adhesion/nos-membres.html EADS France(via lagardère contrôle le « journal » le monde,le parisien,europe1 et d'autresen plus d'être un vendeur d'armes), Clarence Westbury Foundation - BNP Paribas - Groupe Arnault(Christian Dior SA,LVMH, Bouygue, Europ@Web,Carrefour,Berluti - Celine - Champagne Krug - Champagne Mercier - Moët et Chandon - Hennessy - Champagne Ruinart - Château d'Yquem - Chaumet - Connaissance des Arts - Christian Dior - Donna - karan Fendi - Emilio Pucci - Fred - Givenchy - Guerlain - Investir Magazine - Kenzo - La Samaritaine - Les Échos(du bilderberger nicolas beytout) - Le Bon Marché - Loewe - Louis Vuitton - StephanoBi - Radio Classique - Sephora - TAG Heuer - Veuve Cliquot - Zénith - Paprec ) Caisse des Dépôts, NYSE Euronext,IXIS Asset Management,MBDA,Safran,Sodexo,Sterling Executive Search SARL,Thales Raytheon Systems Ltd,Veolia Transport,Accor,ACE European Groupe Ltd,AFFINE,Air LiquideAREVA,Arianespace,Banque Transatlantique,Cap Gemini,Debevoise & Plimpton, LLP.,Findercod,JP Morgan France,Lafarge,LaSer,Michelin,Rothschild & Co,RTE,Schneider Electric, SCOR, SITA, Suez, Tilder, Valeo,Vivendi,Air France, ArianespaceCetelem Citigroup,Crédit Coopératif,Crédit Mutuel,Ernst &Young, Financière Pinault,Fondation d'entreprise ,La Poste,Groupe Galeries Lafayette,International Herald Tribune,L'Oréal (parfums),Ministère des Affaires étrangères,Ministère de la Culture,Publicis Groupe,Sia Conseil,Starwood Capital,Sodexo,U.S. Embassy in France Encore pour la fondation franco-américaine,y a la redoute dont le président bertrand de talhouët est young leader depuis 1999. http://www.french-american.org/leadership/young-leaders/alumni-francais.html la redoute appartient au groupe PPR de pinaut qui possède toutes ces entreprises dont la très consommé fnac En 2006, les principales sociétés du groupe sont : Gucci Group - Puma - Redcats Group (Redoute, Ellos, Empire, Brylane, Cyrillus, Vertbaudet, Somewhere, Daxon, La Maison de Valérie, The Sportsman's Guide, The Golfwarehouse, Lane Bryant, Jessica London, Chadwick's, Roaman's, King Size) - Fnac - Conforama - CFAO - Surcouf - Artemis – L'Agefi : http://fr.wikipedia.org/wiki/PPR_(entreprise) Egalement danone présent au groupe mondialiste sioniste le groupe bilderberg entre autrs avec encore coca-cola et beaucoup d'autres entreprises du système mondialisto-sioniste. Informez-vous sur ce groupe mondialiste et sur ces membres,la liste est très longue. Boycottez également tous les « médias » de masse complices de l'agenda sioniste et mondialiste. Pour vous informez sur internet : http://www.toutsaufsarkozy.com http://www.alterinfo.net http://www.mecanopolis.org Pour AGIR pour la Palestine : Collectif Cheich Yassine et l'association Le Pierre et L'oliver Pour AGIR contre les projets mondialistes et sionistes : Le Mouvement We Are Change Paris : http://wearechangeparis.wordpress.com/ Le Mouvement Des Damnés de l'Impérialisme : http://www.mdi2008.com/ image

  • Saïd Bouteflika enlève le masque

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    Alors que les esprits crédules donnaient Abdelaziz Bouteflika pour mort, à l’issue de la guerre des clans qui agite le sérail depuis quelques mois, voilà que surgit, de nouveau, la rumeur Saïd Bouteflika avec, cette fois-ci,  des faits avérés.

    Dans « Le quotidien d’Oran », la journaliste Ghania Oukazi annonce que le parti du frère du Président de la République est né jeudi dernier à Laghouat et que ses promoteurs lui ont donné le doux nom de Rassemblement pour la Concorde Nationale (RCN).

    La manœuvre pour faire succéder Saïd à son frère est donc bien partie !

    Elle n’a rien de spontanée. Voilà en effet, près de deux ans que le président Abdelaziz Bouteflika prépare son coup. En mai 2009, le même journal, annonçait que « le plus jeune frère du président Bouteflika, Saïd, se préparerait à prendre le pouvoir en 2014 et devrait créer un parti qui raflerait la mise aux  élections législatives de 2012 et qui lui servirait de tremplin «légal» pour remplacer son frère au poste de président de la République. »

    Le journaliste, visiblement « tuyauté », avertissait déjà, à cette époque  : « La scène politique nationale risque de connaître des bouleversements par la création de ce nouveau parti » dont il précise qu’il « va naître sous les auspices d'un homme, Abdelaziz, l'aîné de la famille Bouteflika. Pour ce faire, des contacts sont  entamés depuis quelque temps par Saïd Bouteflika auprès de ce qu'on appelle la société civile ou alors les notables des différentes régions du pays. Il s'agit, en fait, d'échos qu'on reçoit notamment en provenance des villes de l'ouest, du sud-ouest et du sud du pays. Oran, Tlemcen, Adrar, Bechar, Laghouat, Biskra, entre autres, sont celles où, nous dit-on, les contacts sont entrepris d'une manière sérieuse et soutenue. »

    Aujourd’hui, vingt mois plus tard, les choses semblent dites. Ghania Oukazi nous apprend que « Saïd Bouteflika a accepté de présider le Rassemblement pour la Concorde Nationale (RCN)) « à condition qu'il lui soit collecté deux millions de signatures ».

    On apprend même que, dès ce moment-là, «  une fois l'élection présidentielle de 2009 terminée, des comités de soutien au Président de la République avaient tenu à se regrouper au sein d'un ensemble qu'ils ont appelé «Mouvement national des générations libres» (MNGL) que préside un certain Mourad Sassi qu'on dit conseiller au palais d'El Mouradia. Les premières assises de ce qu'on a qualifié d'Organisation non gouvernementale (ONG) ont été tenues l'année dernière à l'hôtel Essafir (ex-Alleti) d'Alger. »
    Autrement dit, le clan présidentiel n’a pas perdu de temps : la succession de Bouteflika par son jeune frère est programmée de puis belle lurette.

    Avancer masqués

    Jusque là, les troupes de Bouteflika ont avancé masqués. Ils n’ont pas parlé de « parti » mais d’une « ONG ». Seulement voilà, ajoute le journal, l’heure est venue de transformer cette ONG en parti et d’enlever les masques.
    «Nous pouvons transformer cette ONG en parti politique mais pour l'instant, c'est une ONG», a déclaré son président à la presse. L'on avance d'ores et déjà qu'il est attendu que les deux formations, le RCN et le MNGL, doivent se fondre l'une dans l'autre pour constituer un seul et grand pôle appelé, selon nous sources, à attirer le plus de militants possible pour soutenir Saïd Bouteflika dans sa quête d'un mandat présidentiel en remplacement de son frère.

    Quant aux promoteurs du nouveau parti, «ce sont d'illustres inconnus », selon des « sources » cités par le Quotidien d’Oran qui, plus loin, rectifie :  « Il faut croire que ses membres fondateurs ne sont pas aussi inconnus que cela puisqu'ils étaient tous dans des comités de soutien aux candidatures de Abdelaziz Bouteflika pour ses trois mandats présidentiels.
    Bref, la torpille est lancée.

    L. M.

    A lire :

    - Abdelaziz Bouteflika, son vieux plan, son jeune frère
    - L’enjeu Saïd Bouteflika
    - Comment Saïd Bouteflika compte prendre le pouvoir
    - Saïd Bouteflika : ce n’est pas une plaisanterie !

  • WikiLeaks : Moscou, une ville criminelle

     

    L'ambassade américaine à Moscou a longuement décrit les strates de la corruption dans la capitale russe dans un télégramme du 12 février 2010, obtenu par WikiLeaks et consulté par Le Monde.

    Sept mois avant l'éviction de son maire, Iouri Loujkov, par le président Dmitri Medvedev, une note indique : "Les analystes identifient une structure à trois niveaux dans le monde criminel de Moscou. Loujkov se trouve à son sommet. Le FSB [service de sécurité, ex-KGB], le MVD [ministère de l'intérieur] et la milice se trouvent à un second niveau. Enfin, les criminels ordinaires et les inspecteurs corrompus sont au niveau le plus bas. Il s'agit d'un système inefficace dans lequel des groupes criminels remplissent le vide dans certains domaines car la ville n'assure pas certains services."

    S'appuyant sur différentes sources, l'ambassade rappelle une évidence connue de tous à Moscou : il est nécessaire d'avoir une protection ("krycha", soit un toit) pour pouvoir se lancer dans une affaire d'envergure dans la capitale.

    Article paru dans l'édition du 03.12.10
  • Comment Toufik a voulu bloquer Said Bouteflika : L’analyse d’un spécialiste britannique

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    Anthropologue britannique, professeur et chercheur associé à la “School of Oriental and African Studies” (École des études orientales et africaines) de l'Université de Londres, spécialiste reconnu de la zone sahélienne, Jeremy Keenan raconte dans cet article (dont nous reproduisons des extraits), la guerre qu’a livrée  le DRS du général Médiène, dit Toufik, au clan Bouteflika afin d’empêcher Saïd Bouteflika, le jeune frère du président, d’arracher la succession.

    Selon lui, la guerre aurait peut-être débouché sur un accord selon lequel Mediène « prendrait sa retraite » suivi aussitôt  par Bouteflika pour raisons de santé, et le pays serait gouverné jusqu’aux élections de 2014 par un ou des Vice-président(s) nommé(s) quelque temps avant le départ de Bouteflika.

    Auteur du livre "The Dark Sahara: Americas War on Terror in Africa" (Sombre Sahara: la guerre de l’Amérique contre le terrorisme en Afrique), Jermy Keenan a notamment affirmé, il y a quelques mois,  que c'est la Sécurité militaire algérienne qui a conduit la France dans le fiasco de son opération militaire du 22 juillet au Mali, destiné à sauver l'otage Michel Germaneau.

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    Septembre 2010 marque le vingtième anniversaire de la prise de fonction du plus ancien « chef des services de renseignement » en poste dans le monde. L’homme en question est le Général Mohamed « Toufik » Mediène, Directeur du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) algérien.

    Il a été nommé à la tête du DRS en septembre 1990, 15 mois avant que les « Généraux algériens » ou le « Groupe » comme on les appelait à l’époque, et dont Mediène, alors colonel, faisait partie, annulent les élections qui auraient permis de porter au pouvoir le premier gouvernement islamique jamais élu démocratiquement.

    Être le chef des services de renseignement et de la sécurité de l’un des régimes les plus impitoyablement répressifs et corrompus au monde pendant 20 ans relève de l’exploit. Felix Dzerzhinsky, le fondateur de la Tcheka qui deviendra plus tard le KGB, a dans les faits « contrôlé » l’Union Soviétique pendant neuf ans (1917-1926); Lavrenti Beria, chef du NKVD, l’a terrorisée pendant 15 ans (1938-1953); le chef de la police d’Hitler, Heinrich Himmler, s’est suicidé au bout de 11 ans (1934-1945), quant au Général Hendrik van den Bergh, il a dirigé le Bureau of State Security (BOSS), les services de renseignement du régime de l’apartheid en Afrique du Sud, pendant 11 ans (1969-1980). Mediène les a tous surpassés.

    Pourquoi alors, juste au moment où Mediène atteint ce jalon extraordinaire, entend-on des rumeurs concernant sa mise à l’écart imminente de la scène politique ?La réponse tient en quelques mots : lorsque le chef du renseignement et de la sécurité d'un pays fait la une de l’actualité, il y a fort à parier qu'il a fait son temps. Au cours des neuf derniers mois, on a beaucoup parlé de Mediène, principalement à cause de la lutte qui l’oppose à Abdelaziz Bouteflika depuis l’élection de ce dernier pour un troisième mandat présidentiel en avril 2009. « L’homme fort » de l’Algérie

    Pour comprendre cette lutte, il faut revenir quelques années en arrière. Mediène a gravi les échelons de la hiérarchie sur un « tapis rouge »[i] : il a été formé par le KGB en 1961 et soutenu par les chefs du premier service secret algérien.
    Pendant les années 90, lorsque l’Algérie était plongée dans sa « sale guerre » contre les islamistes, l’homme le plus puissant du pays était le Général Mohamed Lamari, chef d’état-major de l’armée algérienne. Mais lorsque le pays a renoué avec la paix et que les chars ont regagné les casernes, c’est Mediène qui est devenu « l’homme fort » du pays.
    La transition de la « guerre » à la « paix » et l’ascension de Mediène ont coïncidé avec la période entourant l’élection de Bouteflika à la Présidence de la République en 1999.

    Les faiblesses personnelles de ses semblables, telles que la propension à la corruption et les penchants sexuels, ont été des éléments fondamentaux dans la manière dont Mediène a exercé le contrôle. Il n’est donc pas surprenant que l’élément qui a décidé Mediène à accorder son soutien à Bouteflika en 1999 ait été la condamnation de ce dernier en 1983 dans le cadre d’un détournement de fonds des chancelleries algériennes, pour un montant total correspondant à 23 millions de dollars actuels, pendant qu’il était ministre des Affaires étrangères entre 1965 et 1978.

    Mediène est devenu « l’homme fort » incontesté de l’Algérie après les élections présidentielles d’avril 2004 et le limogeage inattendu de Mohamed Lamari qui a eu lieu quatre mois plus tard. Le complot qui a conduit à la mise à l’écart de Lamari comprenait un accord entre Bouteflika et Mediène visant à donner une nouvelle image de l’Algérie en écartant le général le plus haï à cette époque. Une fois Lamari parti, Bouteflika et Mediène se sont effectivement partagé le pouvoir pendant que le Général Smaïn Lamari (aucun lien de parenté avec Mohamed), l’adjoint de Mediène et chef de la Direction du contre-espionnage (DCE) faisait le « sale boulot ».

    Des ambitions grandioses. Mediène est un homme extrêmement secret. Une seule photo de lui a été publiée et quasiment aucune de ses paroles n'ont été enregistrées. On suppose donc que son ambition de prendre le contrôle effectif du pays, si c’est bien de cela dont il s’agit, remonte à l’époque du départ de Lamari. (…)

    Signal d’avertissement

    Les difficultés actuelles du « Dieu de l’Algérie » ont commencé avec l’élection de Bouteflika pour un troisième mandat en avril 2009. En effet, un troisième mandat présidentiel exigeait d'amender la Constitution, mesure que le DRS a soutenue à contrecœur.
    Mais les conséquences de l’élection n’ont pas été celles que Mediène avait prévues. A peine Bouteflika a-t-il été installé dans le fauteuil de son troisième mandat que son « clan », conscient du mauvais état de santé du Président, a commencé à planifier sérieusement sa succession qui devait être assurée par son frère cadet, Said Bouteflika. Bien que considéré par beaucoup comme un incapable, Said Bouteflika était néanmoins en train d’établir une base de pouvoir politique. Il était devenu le « portier » du Président, assurait des fonctions de ministre-sans-portefeuille et rassemblait des soutiens parmi l’élite économique du pays. On parlait même d’un nouveau parti politique qui allait être créé pour lui.

    La perspective d'une telle succession dynastique n’était pas exactement ce que le chef des renseignements et de la sécurité avait en tête lorsqu’il avait donné son feu vert au troisième mandat de Bouteflika.

    Mediène observait l’avancée de Said sur le devant de la scène avec dégoût. Bien que le DRS se sente tout à fait capable de gérer le « problème de succession », Mediène était conscient du risque que Bouteflika essaye de se débarrasser de lui au cours de son troisième mandat comme il l’avait fait avec Lamari au début de son deuxième mandat.
    Le signal d’avertissement est parvenu à Mediène lorsque Said Bouteflika s’est adjoint pour sa campagne les services de l’ancien chef de la sécurité, le Général Mohamed Betchine.
    Betchine avait été le chef des services de renseignement du pays et patron de Mediène dans les années 80, avant la création de la DRS en 1990, lorsqu’il a en apparence pris sa retraite.
    A la suite de leur coup d’État de janvier 1992, les Généraux ont gouverné pendant les deux années suivantes par l’intermédiaire du Haut Comité d’État (HCE). Au moment de la dissolution du HCE en janvier 1994, les Généraux ont désigné un de leurs hommes au poste de Président, Liamine Zeroual. Déterminé à ne pas être le pantin des Généraux, Zeroual a nommé, en tant que conseillers, les deux Généraux Saidi Fodil et Mohamed Betchine.
    En 1996, Zeroual avait décidé que Mediène était devenu trop puissant et avait programmé de le remplacer par Fodil. La réaction de Mediène ne s’est pas fait attendre : Fodil mourut dans un « accident de la route »(…)
    La réaction de Mediène à la perspective de voir Betchine ramené au pouvoir par Said Bouteflika a été dévastatrice. Sa stratégie a consisté à détruire toutes les personnes liées à Said Bouteflika en utilisant la bonne vielle combinaison « corruption – chantage ». En effet, l’une des raisons qui avait poussé Mediène à soutenir Bouteflika en 1999 et qui a fait que la corruption est devenue si répandue au cours des dix dernières années est que le DRS l’a encouragée et l’utilise comme moyen de contrôle.

    Chasse aux sorcières

    Mediène a commencé par dévoiler la corruption touchant le projet d’autoroute est-ouest, d’un montant de 12 milliards de dollars, à laquelle furent mêlés le ministère des travaux publics et son ministre Amar Ghoul, un ami de Said Bouteflika. L’avertissement n’a pas été entendu. L’attaque de Mediène, qui rappelle son opération de « destruction » de Betchine en 1998, est donc passée à la vitesse supérieure et s’est dirigée à la fois contre la Sonatrach, le géant du gaz et du pétrole algérien appartenant à l’État et source de 98 % des rentrées de devises de l’Algérie, et contre Chakib Khelil, ministre de l’Énergie et des Mines, ami proche du Président et « symbole » de l’ère Bouteflika.

    Le « scandale de la Sonatrach », qui a éclaté en janvier 2010 avec l’arrestation du PDG de la société, de quatre de ses cinq vice-présidents ainsi que d’autres cadres supérieurs a très rapidement conduit l’économie et le gouvernement dans un état de quasi paralysie. Bouteflika n’est presque plus apparu en public tandis que la chasse aux sorcières menée par le DRS, sous couvert de l’enquête sur la corruption au sein de la Sonatrach, a fait perdre le sommeil à de nombreux membres des élites économiques et politiques du pays.

    A un moment donné, il a semblé que Bouteflika parviendrait à retourner la situation contre Mediène en désignant une « Commission de sécurité indépendante » destinée à enquêter sur certains dossiers non résolus datant d’époques antérieures.
    La commission a notamment cherché à déterminer le rôle joué par le DRS dans les assassinats de Mohamed Boudiaf, le premier Président du HCE, et de Saidi Fodil.
    Deux témoins de haut rang, l’un étant membre d’une unité spéciale du DRS impliquée dans les assassinats de Boudiaf et Fodil et l’autre, officier militaire de haut rang qui a confirmé l’existence de cette unité secrète du DRS, ont confirmé dans leurs déclarations que cette unité, sous le commandement des Généraux Mediène et Smaïn Lamari, avait organisé « l’accident de voiture » qui a coûté la vie à Fodil.
    Nous ne saurons probablement jamais quels sortilèges ont été jetés sur Bouteflika après la publication de ces témoignages mais il suffit de dire que l’on n’a plus jamais entendu parler de cette commission. Le remaniement ministériel opéré par Bouteflika en mai 2010 portait en filigrane la trace du scénario vainqueur de Mediène. Chakib Khelil et le ministre de l’Intérieur Nouredine « Yazid » Zerhouni, les deux principaux appuis de Bouteflika au sein du gouvernement, de même que d’autres ministres de moindre importance, ont été limogés. La proposition de donner la succession à Said Bouteflika est devenue de l’histoire ancienne.

    Victoire à la Pyrrhus

    Le fait que Mediène ait réussi à réduire le troisième mandat de Bouteflika à une présidence factice aurait pu lui procurer une certaine satisfaction personnelle, mais cette victoire est une victoire à la Pyrrhus pour au moins deux raisons.
    Premièrement, le scandale de la Sonatrach et l’exposition médiatique qui en a découlé ont coûté très cher à l’économie et à la réputation internationale de l’Algérie. Deuxièmement, un certain nombre d’autres révélations inattendues au cours des deux derniers mois ont été la cause de problèmes particulièrement malvenus pour Mediène. Ces révélations proviennent essentiellement d’entretiens récents accordés à Quds Press par l’ancien agent du DRS, Karim Moulay. (...)

    En outre, le nombre croissant d'articles indiquant qu’AQMI au Sahel a été créé de toutes pièces par le DRS suscite un certain malaise à Washington. Là encore, le blâme revient à Mediène.

    Sur le plan intérieur, on estime que le DRS est mis sous pression, peut-être par des éléments au sein de l’armée et de ses propres rangs, par le fait que le « terrorisme » dans le nord du pays est susceptible d'empirer, et non de régresser comme le prétend le gouvernement, et que les troubles civils à travers le pays atteignent des niveaux alarmants.

    Des rumeurs indiquent que des tierces parties intermédiaires auraient parlé avec Mediène et Bouteflika et conclu un accord selon lequel Mediène « prendrait sa retraite » suivi de près par Bouteflika pour raisons de santé, et le pays serait gouverné jusqu’aux élections de 2014 par un ou des Vice-président(s) nommé(s) quelque temps avant le départ de Bouteflika. L’Algérie vit au rythme des rumeurs et celle-ci ressemble étrangement à celle du printemps 2001 selon laquelle les troubles Berbères mettraient fin à la carrière de Mediène.

    Mais en 2001, Mediène a été sauvé, à deux reprises, par les attentats du 11 septembre. La première fois parce qu’en ce jour fatidique, il se trouvait dans la partie du Pentagone qui n’a pas été touchée. La seconde fois parce qu'il est immédiatement devenu un allié incontournable de Washington dans sa « guerre globale contre le terrorisme ».

    Il est peu probable que Washington essaie de lui venir en aide aujourd'hui. Après tout, c’est en grande partie grâce aux erreurs du DRS que nous avons été en mesure de dire que le front du Sahara-Sahel dans la « guerre globale contre le terrorisme » est une création américano-algérienne.

    Jeremy Keenan

    Source : Al-Djazira

  • L'enjeu Said Bouteflika : 1. L’Algérie devient monarchie privée

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    Tout n'était donc pas faux dans les rumeurs qui circulaient : le président Abdelaziz Bouteflika veut régner sur l'Algérie même après sa mort ! Cela peut paraître incroyable, mais c'est ainsi que fonctionnent les créatures du despotisme arabe : elles considèrent le pouvoir comme un butin de guerre acquis à jamais, incessible même après la mort, transmissible aux seuls membres de la "famille" qui seront chargés d'immortaliser la dynastie pour les décennies à venir. La dynastie, ses idées, son prestige et son chef !

    Les plus lucides diront que ce n’est qu’une rumeur. Les plus xx soutiendront qu’entre la peste et le choléra, le choix n’est jamais facile, et qu’après tout, entre Saïd Bouteflika et Ouyahia, seule la couleur change. C’est vrai. La société n’a pas encore créé les conditions d’une alternative démocratique et les mandarins qui peuplent les bunkers du pouvoir donnent à penser qu’ils tiennent tous de Machiavel.

    Pourtant, avec cette perspective de succession d’Abdelaziz Bouteflika par son frère cadet Saïd, nous sortons du machiavélisme pour entrer dans la damnation.

    Saïd Bouteflika  au pouvoir, ce serait l’Algérie qui serait définitivement alignée sur les dictatures arabes. Pouvoir à vie, « tawrith es-soulta », hégémonisme d’une famille et d’une obsession, le bouteflikisme… Propriété privée de nouveaux rois. Des nouveaux rois, que rien n’autorisait à s’ériger en dynastie régnante sur une terre libérée par le sang d’un million et demi d’Algériens. Des rois sans ascendance  et qui, faute de pouvoir léguer un royaume, vont léguer une «  république. » On appelle même cela «  tawrîth al sulta », l’héritage du pouvoir. Transmission héréditaire, au fils, au frère ou, dans le cas extrême, transmission au sein du même clan. L’important est qu’il reste concentré entre les mêmes mains. Peu importe que l’héritier soit du renseignement ou de la caste militaire, l’essentiel est que le peuple soit exclu de la compétition. 

    Il y a eu le nassérisme, l'assadisme, la khadafisme... Il y aura le bouteflikisme !

    Bouteflika tient en otage un pays, maquillé en fausse république, et ne compte pas le lâcher.

    Pourquoi ?

    Pour deux raisons liées à la conception que se fait Bouteflika du pouvoir.

    La première est que le pouvoir est un butin de guerre.

    Il appartient aux plus forts. A un clan. Son clan. Le clan des vainqueurs.

    Le pouvoir est un butin de guerre que l’on a conquis en mettant sa tête sur le billot.  Le billot ? C’est la guerre de libération, celle que Bouteflika dit avoir menée contre l’occupant français puis, à l’indépendance, au sein du groupe de militaires qui ont confisqué le pouvoir au peuple pour ne plus jamais le rendre : le clan d’Oujda formé autour de l’état-major général de l’ALN, dirigé alors par le colonel Houari Boumediene et qui avait écarté, à la dernière minute, et par la force, le Gouvernement provisoire de Benyoucef Benkhedda, le GPRA, pour s’emparer des rênes de commande en Algérie.

    Le pouvoir ne se restitue pas. Il se transmet Ainsi ont toujours pensé tous les autocrates arabes Hafez El Assad, de Bourguiba, de Kadhafi, de Saddam ou de leurs copies médiocres comme Ben Ali, rois-roturiers et monarques absolus.

    Il fera alors ce que fait Moubarak en Égypte, qui en est à sa nième modification de la constitution, Kadhafi en Libye, Hafez El Assad en Syrie, Ben Ali en Tunisie : paver le chemin à l’héritier disponible, le frère, puisqu’il n’y a pas de fils, le frère qu’il compte fortement impliquer dans l’exercice du pouvoir.

    Ainsi a fait Moubarak avec son fils Gamal, ainsi a fait Ben Ali qui viola deux fois la constitution, ainsi procédait Saddam avec son fils aîné, le tristement célèbre Oddei qui lui aurait succédé s’il n’y avait eu l’invasion américaine ; ainsi fit Hafez El Assad avec son rejeton Bashar ; ainsi s’apprêtait à faire Kadhafi avec son fils Seif-El-Islam…

     Le pouvoir appartient aux triomphateurs, aux conquérants. Pas au peuple. Mais à ceux qui « se sont battus au nom du peuple »

    Le pouvoir ne s’obtient pas par les élections, mais s’arrache par la force. Le peuple ? Il n’a aucun mérite dans l’avènement de la liberté.

    Il a appris, lui, que le pouvoir appartient aux triomphateurs, aux conquérants. Pas au peuple. Mais à ceux qui « se sont battus au nom du peuple »

    Dans la tête de l’ex-commandant Bouteflika, le peuple ne fait pas partie des triomphateurs et des conquérants. Ce n’est qu’une foule à qui une élite a offert l’indépendance. Pourquoi exigerait-elle aujourd’hui le droit de donner son avis ?

     Bouteflika avait déjà dévoilé le vrai fond de sa pensée lors d'une interview donnée, en 1999, à une télévision libanaise. Il avait déclamé sur un ton méprisant: «l'indépendance de l'Algérie n'a pas été gagnée par le peuple. C'est une élite qui l'a arrachée et la lui a offerte.»  Bouteflika, impénitent mandarin qui n’a évolué qu’au sein des états-majors et des cercles de l’intrigue, une créature du clan putschiste, ne croit pas au pouvoir du peuple, seulement au pouvoir des armes.      La seconde raison pour laquelle il ne rendra pas le pouvoir est qu’il récupérait « son dû ».

    Ce 15 avril 1999, Bouteflika s’installait à vie, parce que ce pouvoir, c’est le sien, celui de la « famille ».

    Aussi, quand Bouteflika dit sur Europe 1 devant Jean-Pierre Elkabach.[1] : « J’aurais pu prétendre au pouvoir à la mort de Boumediene, mais la réalité est qu’il y a eu un coup d’Etat à blanc et l’armée à imposé un candidat », il parlait de la succession dans le cadre du clan.  

    « Boumediene m’a désigné comme son successeur par une lettre-testament qu’il a laissée avant sa mort. Cette lettre se trouvait à un moment donné aux mains d’Abdelmadjid Allahoum [2]. Qu’est devenue cette lettre ? Je voudrais bien le savoir, car je l’ai vue cette lettre ! »

    Quand il posa, avec détermination, en octobre 1999, cette question à Khaled Nezzar, le général en restera stupéfait. « J’ai exprimé ma surprise. Je n’ai jamais entendu parler d’un tel testament », raconte le général [3]. Aucun dirigeant politique algérien n’a jamais entendu parler de cette lettre-testament.

    Mais l’anecdote est significative de l’état d’esprit qui habitait l’homme à son intronisation : il revenait au pouvoir non pas en tant qu’élu de la nation mais en tant qu’héritier, monarque rétabli dans son « droit » à la succession.

    Et qui va léguer la République à son tour. M.B. Prochains articles : L’enjeu Saïd Bouteflika : 2. La fin des ambitions démocratiquesL’enjeu Saïd Bouteflika : 3. Le retour des islamistesL’enjeu Saïd Bouteflika : 4. Comment tromper la société civile ? L’enjeu Saïd Bouteflika : 5. Le règne des kleptocrates


    [1] Europe 1, le 8 juillet 1999.

    [2] Directeur du protocole de Boumediene, décédé en 1996.

    [3] Khaled Nezzar, Bouteflika, un homme, un bilan, éditions Apic, septembre 2003.

  • les dépêches

     

    Le président du Mexique, Felipe Calderon, lors du passage du cyclone Dean, en août 2007.

    Les Américains critiquent les Mexicains dans la guerre contre la drogue

    Les Américains doutent de la capacité du président mexicain, Felipe Calderon, à rétablir un ordre public malmené par les cartels du trafic de drogue à l'origine de nombreux assassinats.

    Silvio Berlusconi  est décrit comme "physiquement et politiquement fatigué" par des membres de son entourage  auprès de leurs interlocuteurs américains.

    WikiLeaks : Berlusconi, un allié imprévisible, autoritaire et affaibli

    Les télégrammes américains obtenus par WikiLeaks et révélés par "Le Monde" s'interrogent sur la capacité à décider d'un Silvio Berlusconi, évoluant entre "scandales sexuels, enquêtes judiciaires, problèmes familiaux et financiers", dans un climat politique "délétère".

    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad le président afghan Hamid Karzai à Kaboul, le 10 mars 2010.

    WikiLeaks : le jeu trouble de l'Iran sur le théâtre afghan

    L'Iran étend son influence chez son voisin afghan à mesure que les Américains s'enlisent dans une guerre sans issue immédiate.

    Le président Hamid Karzaï, à Kaboul, le 25 novembre 2010.

    WikiLeaks : comment le clan Karzaï a mis Kandahar en coupe réglée

    Qui tient Kandahar, tient Kaboul. Or, le clan Karzaï règne en maître dans la capitale du sud pashtoune. Allié des Américains en Afghanistan, il est un obstacle à la stratégie à long-terme de Washington.

    Nicolas Sarkozy, lors d'une visite éclair à Kaboul, le 20 août 2008.

    WikiLeaks : les choix de M. Sarkozy pour l'Afghanistan

    Des considérations électorales et le souci de ménager l'opinion publique ont marqué les choix du chef de l'Etat dans l'engagement militaire français en Afghanistan montrent les documents obtenus par WikiLeaks et consultés par "Le Monde".

    Le premier ministre François Fillon, à Astana, au Kazakhstan, le 1er décembre.

    Les pays de l'OSCE échouent à négocier un plan pour relancer leur coopération

    Les 56 pays membres, réunis au Kazakhstan, n'ont notamment pas réussi à s'entendre sur la question de la souveraineté de la Géorgie.

    Yukiya Amano, le directeur général de l'AIEA.

    L'AIEA préoccupée par le nucléaire nord-coréen

    L'Agence internationale de l'énergie atomique a exprimé jeudi sa "vive inquiétude" sur le nucléaire nord-coréen et exhorté de nouveau la Syrie et l'Iran à coopérer.

    Des habitants d'Abidjan prennent en photo le local du Rassemblement pour la démocratie, attaqué dans la nuit du mercredi 1er au jeudi 2 décembre.

    Côte d'Ivoire : chaos après l'annonce de la victoire d'Alassane Ouattara

    Suite à l'annonce par la Commission électorale de la victoire de l'opposant avec 54,1 % des voix, contre 45,9 % pour le président sortant Laurent Gbagbo, le Conseil constitutionnel a invalidé les résultats de l'élection. Dans la soirée, les autorités ont annoncé la fermeture des frontières et la suspension des chaînes de télévision et de radio étrangères.

    Dans le massif du Carmel, près d'Haïfa, jeudi.

    Au moins 40 morts dans un violent incendie en Israël

    Un important incendie de forêt qui ravageait jeudi le massif du Carmel, près d'Haïfa, dans le nord d'Israël, a fait au moins 40 morts et de nombreux blessés, ont annoncé les services de secours israéliens.

    Les conducteurs de tous les pays de l'Union européenne recevront les amendes sanctionnant leurs infractions, quel que soit le pays où elles auront été commises.

    Un fichier pour sanctionner les chauffards dans tous les pays de l'UE

    L'Union européenne veut mettre fin à l'impunité dont bénéficient les chauffards sur ses routes et leur faire payer leurs amendes même si l'infraction est constatée dans un autre pays que le leur.

    Les troupes russes se dirigent vers la Tchétchénie, le 2 octobre 1999.

    La CEDH condamne la Russie à payer 1,72 million d'euros

    La Cour européenne des droits de l'homme a constaté une atteinte au droit à la vie lors du bombardement d'un village tchétchène par les forces russes en 2000, qui a fait 24 morts.

    Une affiche du parti populiste de droite UDC, le 28 novembre, à Chatel-St-Denis.

    Délinquants étrangers : la Suisse respectera ses engagements européens

    A Bruxelles, des diplomates soulignent que le vote intervenu dimanche en Suisse pose un problème juridique et politique.

    Ils seraient quelque 20 000 chevaux abandonnés, selon les estimations. Soit un tiers du cheptel irlandais.

    Les chevaux irlandais connaissent aussi la crise

    Il fut un temps où il était de bon ton de posséder son cheval dans ce pays qui détient aujourd'hui le record européen du nombre de canassons par tête.

    Un sergent dans la nuit

    Parle-t-on de politique, de complots au sein du pouvoir, voire d'un conflit déchirant la Côte d'Ivoire ? Nullement. Cette guerre-là se mène dans le cadre des héritages.

    Une photo de Linda Norgrove diffusée par le Foreign Office.

    L'otage britannique en Afghanistan a été tuée par une grenade américaine

    Contrairement à ce qu'affirmaient jusqu'ici les rapports de l'OTAN, l'humanitaire écossaise Linda Norgrove, tuée lors d'une opération américano-afghane visant à la libérer, n'a pas été tuée par ses ravisseurs mais par ses libérateurs.

    Des habitants d'Abidjan prennent en photo le local du Rassemblement pour la démocratie, attaqué dans la nuit du mercredi 1er au jeudi 2 décembre.

    Tension et violence en Côte d'Ivoire avant les résultats

    Entre quatre et huit personnes ont été tuées, dans la nuit de mercredi à jeudi, lors de l'attaque d'un local de campagne d'Alassane Ouattara.

    Lors d'une visite à Moscou, jeudi 6 novembre, M. Berlusconi a qualifié le nouveau président américain de "jeune, beau et bronzé".

    Berlusconi, l'ambassadeur de Poutine

    Le premier ministre italien entretient une relation privilégiée avec son homologue russe, selon les documents obtenus par WikiLeaks et révélés par "Le Monde". Au cœur de ce lien, qui irrite la diplomatie américaine, se trouve la question gazière.

    Coup de froid sur les relations sino-norvégiennes

    "Il est difficile de maintenir des relations amicales avec la Norvège comme par le passé", déclare un porte-parole du ministère des affaires étrangères à quelques jours de la remise du prix Nobel de la paix.

    Le cofondateur et porte-parole de Wikileaks, Julian Assange, lors d'un colloque à Stockholm, en août 2010.

    La Suède n'autorise pas Assange à faire appel du mandat d'arrêt

    "Le jugement de la cour d'appel reste valable" a indiqué la Cour, concernant la demande d'arrestation du fondateur de WikiLeaks. Mais la police britannique n'a pu intervenir pour l'arrêter, car le mandat d'arrêt suédois comportait des erreurs.

    La Réserve fédérale publie la liste des bénéficiaires de ses aides

    La Fed a publié la liste des bénéficiaires des programmes d'aide mis en œuvre pour aider l'économie américaine à traverser la crise.

  • ce qui est dit et dit , wiki wasa,t'est pris en flagrant délit mensonge mon cher 1er ministre

     

    Guantanamo : Koweït dément les propos attribués à son ministre de l’Intérieur

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    Le Koweït a démenti hier que son ministre de l’Intérieur ait demandé de laisser mourir les détenus de Guantanamo, comme l’a rapporté un câble diplomatique américain cité par WikiLeaks.


    «Le ministre de l’Intérieur a démenti l’information comme un pur mensonge», a déclaré le chef de la diplomatie, cheikh Mohammad Al Sabah, aux journalistes en marge d’une conférence sur l’investissement dans l’est du Soudan. Il a ajouté que le Koweït ne disposait pas de compte-rendu de l’entretien que le ministre de l’Intérieur, cheikh Jaber Al Khalid Al Sabah, avait eu avec un diplomate américain et au cours duquel il aurait tenu ces propos. Selon ce télégramme classé «secret» daté de février 2009, cheikh Jaber avait préconisé de régler de façon radicale le sort de quatre prisonniers koweïtiens du camp de Guantanamo : «Laissez-les mourir.»

    «Nous ne sommes pas l’Arabie Saoudite, nous ne pouvons isoler ces gens dans   des camps dans le désert ou sur une île (...). S’ils sont pourris, ils sont pourris», poursuivait-il, au moment où l’Administration américaine approchait des pays susceptibles d’accueillir des détenus en instance de libération. La fermeture du camp figurait parmi les engagements du nouveau président Barack Obama. Le ministre des Affaires étrangères a affirmé qu’«il est impossible de penser que le Koweït puisse oublier ses fils (...) détenus à Guantanamo sans   procès».  L’ambassadeur des Etats-Unis, Deborah Jones, est également intervenue pour clarifier la position du gouvernement koweïtien, qui a été «cohérent dans ses demandes en faveur du retour des détenus koweïtiens de Guantanamo», selon elle.