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  • «Il faut pas sauver le soldat Rayan»

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    Ceux qui avaient qualifié les fuites de WikiLeaks de «11 septembre bis» pour les Etats-Unis d’Amérique auront bien raison quand on voit déjà l’onde de choc produite par le déballage des mémos des réseaux diplomatiques US collectés par leurs diplomates en poste partout dans le monde. Même les pays supposés être les alliés les plus proches des Américains ont découvert, avec amertume et consternation, que leurs dirigeants n’ont pas échappé à l’œil du satellite planétaire qui plane au dessus de leurs têtes, à travers l’outil diplomatique investi de la mission secrète de noter les moindres faits, gestes et déclarations des différents acteurs susceptibles de présenter un intérêt pour la diplomatie américaine.

    Bien évidemment, le combat étant inégal, les dirigeants des grandes puissances occidentales – dont on a pu apprécier quelques morceaux choisis sur leurs personnalités, leur profil psychologique peu avenant, leur compétence jugée douteuse – ont bu docilement le calice jusqu’à la lie.Au lieu de demander des explications légitimes à qui de droit, à l’Administration américaine, sur ces pratiques où la diplomatie se confond avec l’espionnage, le coupable est tout désigné. C’est, paradoxalement, le patron de WikiLeaks, Julian Assange, qui est accusé de crime contre l’humanité, de vouloir déstabiliser le monde et les relations entre Etats. Une certitude : derrière la raison d’Etat et les intérêts nationaux qui commandent de faire le dos rond, une attitude à laquelle se sont astreints les dirigeants européens cités dans les fuites, tous les hommes politiques et publics qui ont eu les «faveurs» des mémos diplomatiques US seraient bien hypocrites de ne pas admettre, en  privé, que le procédé américain est plus qu’inamical : il constitue un grave précédent dans les relations entre Etats.

    Même si, dans une tentative désespérée on s’évertue ça et là, au niveau de l’Administration US et de ses alliés, à minimiser les conséquences de cette sombre affaire pour «sauver le soldat Rayan», le vase de Soissons est bel et bien brisé. Le secrétaire US à la Défense, Robert Gates, a dit tout haut ce que tous leurs partenaires pensent très bas : «Certains gouvernements traitent avec nous parce qu’ils nous craignent, d’autres parce qu’ils nous respectent, la plupart parce qu’ils ont besoin de nous», a-t-il concédé. Les conséquences pour la politique étrangère américaine «seront plutôt modestes» a-t-il prédit. Un optimisme qui est loin d’être partagé. Pour beaucoup, il ne fait pas l’ombre d’un doute que les relations et les usages diplomatiques entre les Etats-Unis et le reste du monde ne seront plus les mêmes à l’avenir.

    De la même manière qu’il y a eu, au niveau de la lutte antiterroriste, un avant et un après 11 septembre, il y aura inévitablement, après les révélations de WikiLeaks, une autre façon d’appréhender la diplomatie au niveau des Etats. Chaque citoyen du monde, responsable ou simple quidam, qui met les pieds dans un cadre professionnel ou personnel, dans une mission diplomatique US, voire étrangère, quel que soit le pays, «ami» ou autre, ou qui aurait affaire pour les mêmes raisons à un agent, un fonctionnaire, un diplomate américain ou étranger, devrait désormais tourner sa langue plusieurs fois, surveiller ses faits et gestes. Le monde entre dans une nouvelle ère dominée par le spectre de l’espionite.

    Omar Berbiche
  • une bien bonne initiative,ca commence bien avec les usa


    L'Algérie et les Etats-Unis signent un accord de coopération douanière

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       	L'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique vont renforcer  leur coopération douanière en vertu d'un accord signé jeudi à Alger entre les administrations douanières des deux pays.  

    zoom | © douane.gov.dz

    L'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique vont...

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    L'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique vont renforcer  leur coopération douanière en vertu d'un accord signé jeudi à Alger entre les  administrations douanières des deux pays.          

    Mohamed Abdou Bouderbala, le DG des Douanes , et l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger M. David  D. Pearce, ont paraphé les documents de l'accord en présence du secrétaire d'Etat américain adjoint à l'économie,  l'énergie et aux relations commerciales, Jose W. Fernandez.          

    Selon les termes de cet accord, les deux administrations douanières  s'engagent à renforcer leur assistance mutuelle, notamment dans la prévention,  la recherche et la répression des infractions douanières. Cette assistance est élargie aussi à "l'échange de renseignements et  d'informations sur les nouveaux modes opératoires de commission d'infractions".

    Cet accord d'entraide mutuelle porte aussi sur l'échange d'expérience  en matière de pratiques relatives aux procédures douanières, à l'informatisation et à la formation.   En outre, il devrait aider à instaurer des liens directs entre les responsables  chargés d'enquêtes et d'investigations pour mieux lutter contre le trafic de  drogue notamment, avec la possibilité d'utiliser devant les tribunaux des renseignements  reçus et des documents communiqués.  

    Se félicitant de la conclusion de cet accord, M. Pearce a pour sa part  indiqué que "l'accord conclu devrait renforcer, en plus de la coopération douanière,  les liens bilatéraux de manière générale".   Avec cet accord, les deux pays disposeront d'un cadre juridique pour  la coopération entre les services des douanes américains et algériens.

    De son côté, Bouderbala a souligné  que la mise en oeuvre de cet accord devrait "renforcer la coopération entre  les administrations des douanes des deux pays en vue de favoriser le commerce  et de lutter plus efficacement contre les infractions douanières à travers une  étroite collaboration dans la prévention, la recherche et la répression des courants de fraudes, des pratiques de blanchiment d'argent et du crime organisé".    

    El Watan
  • Boycott des audiences de la Cour suprême

    Union nationale des barreaux

    Boycott des audiences de la Cour suprême

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    L’Union nationale des barreaux a appelé au boycott, d’une semaine, des audiences
    de la Cour suprême et du Conseil d’Etat, à partir du 5 décembre.

    C’est à l’issue d’une réunion de son conseil tenue le 6 novembre dernier que l’Union nationale des barreaux a décidé de boycotter les audiences de la Cour suprême pour dénoncer ce qu’elle qualifie d’«entraves» à l’exercice du droit à la défense.
    Le président du conseil, Me Menad Bachir, a noté dans son communiqué qu’«en dépit du statut de premier partenaire de la justice, réaffirmé par le président de la République, des recommandations du ministre de la Justice relatives à la nécessité de faciliter la mission des avocats à toutes les instances judiciaires» l’Union «enregistre encore des entraves quotidiennes auxquelles font face les avocats à la Cour suprême au point de l’empêcher d’exercer sa mission de défense des droits du justiciable».


    Ces «entraves», explique-t-il, ont déjà fait l’objet «de trois lettres officielles adressées au premier président de la Cour suprême le 2 février 2009, le 7 mars 2010 et le 2 octobre 2010, restées sans réponse». Le conseil a également exprimé son «regret» de constater que l’Union des avocats «n’a pas été invitée» à la cérémonie officielle d’ouverture de l’année judiciaire 2010-2011, «ce qui constitue un acte unique dans les annales de la justice et ce, depuis l’indépendance». Selon le Conseil, «ce comportement» que le «premier président de la Cour suprême a adopté vise l’exclusion de l’institution de défense du système judiciaire pour en faire une justice sans avocat». Devant cet état de fait, le conseil de l’Union a décidé «dans un premier temps» de boycotter à partir du 5 décembre et durant une semaine les audiences de la Cour suprême et du Conseil d’Etat. C’est la première fois que l’Union des barreaux réagit en décidant d’une action extrême pour ce qu’elle juge comme étant «des entraves» à l’exercice de la profession. Néanmoins, du côté de la Cour suprême, les responsables se défendent en niant «toute manœuvre visant à mettre les bâtons dans les roues des avocats».

    Ils sont formels pour ce qui est de l’invitation de l’Union à la cérémonie officielle d’ouverture de l’année judiciaire. «Nous avons transmis des invitations et les convocations à tout le monde. Il n’y a pas de raison d’inviter le barreau d’Alger et pas l’Union qui représente l’ensemble des barreaux», a indiqué une source proche du président de la Cour suprême. En tout état de cause et eu égard à la divergence d’avis suscitée chez les avocats, beaucoup craignent que le mot d’ordre de boycott ne soit pas largement suivi.

    Salima Tlemçani
  • algerie, maroc, tunisie, irak, afghanistan,et vous les grandes puissances vous faite quoi jouer avec le monde en lui vendant des armes!!!!!! et vous vous ditent civilises' mon oeil,!!!!!!!

    Wikileaks : les américains scandalisés par les pratiques de la torture en Tunisie

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      un simple hackeur mais bon à dévoilé toute vos combines sataniques ou mazal ya bouzid mazal el kheir el goudam

       	Les américains étaient scandalisés par le recours aux pratiques de la tortures par le régime de Ben Ali selon un document secret mis en ligne par Wikileaks 

    Selon un document obtenu par WikiLeaks et mis en ligne le 30 novembre dernier, l'ambassade Américaine à Tunis a exprimé en 2009 son inquiétude sur la pratique de la torture en Tunisie et évoque des pressions tunisiennes sur des chancelleries occidentales pour que celles-ci refusent d'accueillir sur son territoire des détenus tunisiens de Guantanamo. 

    Les révélations de Wikileaks commencent à distiller certaines vérités amères sur la nature horrible des régimes maghrébins. Le deuxième document révélé par Wikileaks sur la Tunisie n'est, en tout cas, nullement tendre avec le régime de Ben Ali.

    Daté du 23-06-2009,  câble diplomatique classé "secret" et "Noforn", c'est à dire "à ne pas diffuser aux ressortissants étrangers", l’ambassadeur américain à Tunis Robert F. Godec raconte les dessous des négociations secrètes que la Tunisie tenaient avec la France, l'Allemagne, le Canada et l'Italie, pour les persuader de n'accueillir aucun détenu tunisien de Guantanamo. Des négociations menées essentiellement par Abdelhafidh Herguem, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé des Affaires maghrébines, arabes et africaines, avec les représentants de ces pays à Tunis. 

    Selon le mémo américain, la Tunisie ne délivrait à ses partenaires européens qu'un seul message : "n’acceptez pas la demande des États-Unis de prendre des détenus tunisiens". Et pour cause, selon les officiels tunisiens, ces derniers représentent toujours une menace et pourront "nuire à l'image de la Tunisie dans le monde". Le secrétaire d'Etat tunisien s'est également engagé à protéger ses prisonniers que la Tunisie réclamait haut et fort contre "toutes les pratiques de la torture".   

    "Lors d'une réunion tenue le 22 Juin, un petit groupe d'ambassadeurs européens a examiné les demandes tunisiennes. Parmi les ambassadeurs, les opinions divergeaient sur les risques pour les prisonniers tunisiens, mais certains ont dit il ya une possibilité de torture ou de mauvais traitements pour les personnes accusées de terrorisme", révèle par ailleurs l'ambassade américain l’ambassadeur Robert F. Godec. 

    Selon ce mémo, les ambassadeurs européens ne se sont guère montrés très soucieux des "traitements" que pouvaient subir ces prisonniers dans les geôles  tunisiennes. D'ailleurs, au cours de cette réunion, l'ambassadeur canadien à Tunis a clairement  piqué une colère en qualifiant de "conneries" les assurances présentées par la Tunisie à ses partenaires européens. Il affirmait détenir lui-même des preuves de pratique d'actes de torture sur un prisonnier tunisien durant plusieurs mois !

    Cette attitude passive européenne a, visiblement,  choqué également l'ambassadeur américain qui souligne clairement dans ce mémo que la torture en Tunisie est systématiquement pratiquée.  Robert F. Godec se plaint également à Washington du verrouillage qu'impose le régime de Ben Ali à toutes les organisations de défense des droits de l'homme.

    "Il n'existe aucune garantie absolue contre les mauvais traitements", rappelle en dernier lieu l'ambassadeur US qui souhaite que Washington demande des "mécanismes de contrôle et de suivi" si elle se résout à transférer des détenus Tunisiens de Guantanamo en Tunisie. 

    Abderrahmane Semmar
  • wiki waka ,leakssssssss bonjour good morning el mundo!!!!!


    Vladimir Poutine et Silvio Berlusconi, en octobre 2009.

    Berlusconi, l'ambassadeur de Poutine

    Le premier ministre italien entretient une relation privilégiée avec son homologue russe, selon les documents obtenus par WikiLeaks et révélés par "Le Monde". Au cœur de ce lien, qui irrite la diplomatie américaine, se trouve la question gazière.

    Le cofondateur et porte-parole de Wikileaks, Julian Assange, lors d'un colloque à Stockholm, en août 2010.

    La Suède n'autorise pas Assange à faire appel du mandat d'arrêt

    "Le jugement de la cour d'appel reste valable" a indiqué la Cour, concernant la demande d'arrestation du fondateur de WikiLeaks. Mais la police britannique n'a pu intervenir pour l'arrêter, car le mandat d'arrêt suédois comportait des erreurs.

    WikiLeaks : Svetlana Medvedev, une première dame qui cherche "sa voie"

    Le 8 août 2008, alors que la guerre en Géorgie a commencé depuis quelques heures, l'ambassade américaine à Moscou transmet un télégramme consacré à la première dame de Russie, Svetlana Medvedev.

    Wikileaks : l'église orthodoxe, un acteur politique

    Le 28 janvier 2010, l'ambassadeur américain a rencontré l'archevêque Hilarion, qui dirige les relations extérieures de l'Eglise orthodoxe russe.

    WikiLeaks : Moscou, une ville criminelle

    L'ambassade américaine à Moscou a longuement décrit les strates de la corruption dans la capitale russe dans un télégramme du 12 février 2010.

    Vladimir Voronine, en auût 2009.

    Moldavie : dix millions de dollars pour une alliance politique

    En septembre 2009, l'ambassade des Etats-Unis rapporte une étonnante rencontre entre Marian Lupu, leader du Parti démocrate et le communiste Vladimir Voronine, chef de l'Etat sortant.

    Hugo Chavez et Mahmoud Ahmadinejad, le 20 octobre 2010 à Téhéran.

    Venezuela : les très relatives ambitions nucléaires de Hugo Chavez

    L'amitié entre le président Hugo Chavez et son homologue iranien, Mahmoud Ahmadinejad, et la signature d'un accord avec l'entreprise russe Rosatom (2008), ont déclenché l'alerte sur un éventuel programme nucléaire au Venezuela.

    Mahmoud Ahmadinejad et Hugo Chavez, le 13 janvier 2007 à Caracas.

    Quand Washington s'inquiétait de "l'intimité" entre Caracas et Téhéran

    Une des priorités de la diplomatie américaine en Amérique latine serait de contenir la présence croissante de l'Iran.

    Affaire Clotilde Reiss : l'Elysée a exagéré la médiation de la Syrie

    Selon des documents obtenus par WikiLeaks et révélés par "Le Monde", l'Elysée a cherché à accréditer l'idée que le président syrien avait joué un rôle central dans la libération de la Française arrêtée en Iran pour "espionnage".

    George W. Bush, aux côtés de Mikhaïl Saakachvili, devant le Parlement géorgien, à Tbilissi, en 2005.

    WikiLeaks : le refroidissement américain à l'égard de la Géorgie

    Les innombrables télégrammes adressés par les ambassades à Tbilissi et à Moscou, obtenus par WikiLeaks et traités par Le Monde, attestent du refroidissement de l'enthousiasme américain à l'égard de la Géorgie, après la guerre d'août 2008 contre la Russie, puis l'arrivée de Barack Obama à la Maison Blanche.

    Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice se sont rencontrés à Brégançon, dans le Var, le 14 août, pour discuter de la situation en Géorgie.

    WikiLeaks : les réserves américaines sur la médiation de Sarkozy en Géorgie

    Souvent vantée comme un "exploit" de la diplomatie de Nicolas Sarkozy, la médiation entreprise par l'Elysée sur le conflit Russie-Georgie, en août 2008, a suscité des réserves des Etats-Unis.

    Le siège de la Banque mondiale à Washington.

    WikiLeaks : le travail des organisations internationales en question

    Les organisations comme le FMI, la Banque mondiale ou la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) ont été la cible d'un télégramme incisif, le 21 août 2009, de l'ambassade américaine à Moscou.

    Igor Setchine.

    WikiLeaks : le mystère Setchine

    Un brouillard épais entoure Igor Setchine, ancien chef adjoint de l'administration présidentielle sous Vladimir Poutine, devenu ensuite son vice-premier ministre, lorsque Dmitri Medvedev a été élu président.

    La relation entre le président russe Dmitri Medvedev et le Premier ministre Vladimir Poutine est comparée à celle de Robin et Batman dans le célèbre "comic" américain  pour souligner que c'est en fait le Premier ministre Vladimir Poutine qui détient le pouvoir en Russie.

    WikiLeaks : un état omnivore, un tandem bancal, Washington analyse le pouvoir russe

    De nouveaux documents publiés par WikiLeaks et révélés par "Le Monde" montrent que les analystes américains sont confrontés à l'opacité du pouvoir russe. Ils s'interrogent sur le partage des rôles entre MM. Medvedev et Poutine.

    Photo de la page d'accueil du site WikiLeaks qui publie des dizaines de milliers télégrammes diplomatiques américains.

    Amazon n'héberge plus WikiLeaks

    Des pressions politiques américaines auraient contraint Amazon à ne plus héberger WikiLeaks comme il le faisait depuis le début de la semaine.

    Vladimir Poutine observe le secrétaire à la défense américain Robert Gates, samedi 10 février, à la la 43ème conférence sur la sécurité, à Munich.

    WikiLeaks : Poutine raille la démocratie américaine

    Le premier ministre russe n'a pas apprécié les propos du secrétaire américain à la défense, Robert Gates, pour qui la démocratie russe a "disparu".

    Hillary Clinton et Silvio Berlusconi au sommet de l'OSCE du Kazakhstan, le 1er décembre.

    WikiLeaks : l'opération rattrapage d'Hillary Clinton au Kazakhstan

    La chef de la diplomatie américaine a notamment multiplié les déclarations flatteuses à l'égard de Silvio Berlusconi, sévèrement égratigné dans les mémos.

    Les révélations de WikiLeaks sont-elles dangereuses ?

     

    WikiLeaks est-il dangereux ?, par Martin Vidberg

    Selon ces documents top secrets, Zorro est en fait Diego De la Vega.

    WikiLeaks : les analyses des télégrammes diplomatiques, région par région

    Retrouvez l'ensemble des analyses des journalistes du "Monde" et du Monde.fr sur les télégrammes diplomatiques publiés par WikiLeaks.

    La fuite des télégrammes diplomatiques constitue "le rêve de l'historien", estime le professeur d'histoire à Oxford, Timothy Garton Ash.

    Les documents secrets révélés par WikiLeaks relèvent de l'intérêt général

    La fuite des télégrammes diplomatiques constitue "le rêve de l'historien", défend Timothy Garton Ash, professeur d'histoire à Oxford.

  • WikiLeaks/USA: un responsable nommé

    Le président Barack Obama a chargé un haut responsable de la lutte anti-terroriste, Russell Travers, d'empêcher de nouvelles fuites de documents confidentiels de l'administration américaine, à la suite de l'affaire WikiLeaks.

    M. Travers, directeur adjoint des services de partage d'information au Centre national de l'anti-terrorisme, "dirigera un effort exhaustif visant à préparer et à mettre en oeuvre les réformes de structure dont la nécessité a été mise en lumière par les fuites de WikiLeaks", a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.

    Le site WikiLeaks a commencé à diffuser dimanche quelques 250.000 télégrammes confidentiels de la diplomatie américaine, qui sèment l'embarras dans les chancelleries du monde entier.

    Un système de partage d'information mis en place entre les différents ministères américains à la suite des attentats du 11-Septembre a été accusé d'avoir facilité ces fuites. Le Pentagone a annoncé mardi que le fonctionnement de ce système allait être revu. WikiLeaks a également publié ces derniers mois des milliers de documents secrets de l'armée américaine sur les guerres d'Irak et d'Afghanistan.

  • WikiLeaks: les dessous de l'affaire Reiss

    AFP

    Le meilleur moyen de faire libérer des ressortissants détenus par l'Iran est de "faire du bruit" sur leur sort, ont déclaré en 2009 les autorités françaises à leurs homologues américaines, selon un télégramme américain diffusé par WikiLeaks.
    Selon ce mémo, révélé ce soir par le journal Le Monde, le conseiller de l'Elysée pour les affaires stratégiques, François Richier, et le directeur du Quai d'Orsay pour l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient, Patrice Paoli, ont fait valoir à la diplomate américaine Kathleen Allegrone que le meilleur moyen d'obtenir des libérations en Iran était d'en parler.

    "Faites du bruit", lui ont-ils dit, "martelez sans cesse" dans les médias les mots "droits de l'homme fondamentaux", "innocence", "libération immédiate", rapporte le télégramme. "Le silence ne règlera rien", les Iraniens sont "maîtres en manoeuvres dilatoires" et l'arrestation d'étrangers est "une tactique iranienne familière: la prise d'otages pour le chantage politique", ont-ils ajouté.

    A cette époque, l'Iran retient depuis début juillet une lectrice française, Clotilde Reiss, accusée d'espionnage et consignée après quelques semaines de prison à l'ambassade de France à Téhéran. Au cours du même été 2009, trois randonneurs américains accusés d'espionnage ont été arrêtés en Iran et deux y sont toujours détenus.

    Clotilde Reiss a regagné la France en mai 2010. Selon d'autres télégrammes, Paris a assuré les Américains que cette libération n'avait pas donné lieu à échange avec des détenus iraniens en France. Et que l'évocation d'un rôle de la Syrie, avec laquelle la France avait entrepris un rapprochement, n'était pas fondée. "Bien sûr, nous ne savons pas si les Syriens ont fait quoi que ce soit. Mais nous les avons remerciés quand même. Cela devrait au moins semer la confusion chez les Iraniens", a ainsi indiqué François Richier aux Américains.

  • En 2006, Sarkozy aurait parlé d'engager des soldats en Irak

     

    Dès avant sa victoire à la présidentielle, Nicolas Sarkozy aurait évoqué une participation française à une force internationale en Irak, révèlent les documents fournis à cinq titres depresse par Wikileaks.
    Dès avant sa victoire à la présidentielle, Nicolas Sarkozy aurait évoqué une participation française à une force internationale en Irak, révèlent les documents fournis à cinq titres depresse par Wikileaks. Crédits photo : JIM WATSON/AFP

    Selon un télégramme diplomatique diffusé par WikiLeaks, Nicolas Sarkozy avait confié à des responsables américains, avant son élection à l'Elysée, qu'il pourrait «peut-être» envoyer des soldats français en Irak dans le cadre d'une force internationale.

    Nicolas Sarkozy salué par les diplomates des Etats-Unis comme «viscéralement pro-américain», et qui annonce ses ambitions présidentielles à un responsable américain en avant-première. Telles sont les nouvelles révélations des documents diplomatiques confidentiels fournis par le site Wikileaks au site internet du Monde. Le chef de l'Etat aurait également envisagé dès 2006, soit avant son élection, d'envoyer des troupes françaises en Irak dans le cadre d'une «force internationale».

    Cette possibilité a été évoquée par Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre à Paris avec le ministre de la Justice de George W. Bush. «Sarkozy a déclaré que la France et la communauté internationale allaient devoir aider les Etats-Unis à résoudre la situation en Irak. Peut-être en remplaçant l'armée américaine par une force internationale», écrit l'ambassadeur des Etats-Unis en France dans son compte-rendu.

     

    Le veto, «injustifiable» et «excessif»

    Dans les mémos publiés mardi soir, les diplomates américains dépeignent un Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, hostile à l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis en 2003. Mais, toujours selon eux, il n'approuve pas non plus l'opposition frontale manifestée contre cette opération par le président de l'époque, Jacques Chirac, et son ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin. «Affirmant que c'est quelque chose que lui ‘ne ferait jamais', il a évoqué l'utilisation, par Chirac et Villepin, du veto de la France au Conseil de sécurité (de l'ONU) contre les Etats-Unis en février 2002 comme étant une réaction injustifiable et excessive», indique un message diplomatique du 1er août 2005.

    D'autres documents révèlent par ailleurs que Nicolas Sarkozy avait annoncé dès le 1er août 2005 aux Américains qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2007. Soit plus d'un an avant son annonce officielle aux Français, le 29 novembre 2006.

    Quant aux messages adressés à Barack Obama en prévision de sa première rencontre avec le chef d'Etat français en tant que président des Etats-Unis, ils sont extrêmement positifs. «Votre visite intervient à un moment historique», écrit un diplomate, avant que les deux hommes ne se voient le 3 avril 2009 à l'occasion d'un sommet de l'Otan à Strasbourg. «Nicolas Sarkozy est le président français le plus pro-américain depuis la Seconde guerre mondiale, il est actuellement le dirigeant le plus influent en Europe», poursuit-il.

    L'ambassadeur prévient que Nicolas Sarkozy est «un pragmatique brillant, impatient, non diplomate, imprévisible, charmant, innovant» pour lequel «le rapport personnel a un impact» sur la relation politique, rapporte Le Monde en se fondant sur les documents de WikiLeaks. Il ajoute que le président français «espère un contact régulier intense» avec Barack Obama.

     

    «Frénétique» et «impulsif»

    Le président de la République ne fait toutefois pas seulement l'objet de louanges. Son «mauvais caractère» est souligné, et il est parfois décrit comme «frénétique» ou «impulsif». Des documents remis par Wikileaks au quotidien britannique The Guardian évoquent pour leur part un homme rendu «irritable» et «imprévisible» par son divorce avec Cécilia en 2007. Le battage médiatique autour de son remariage peu de temps après avec le top-model Carla Bruni ont fait chuter sa cote de popularité, analysent encore les diplomates américains. D'autres documents publiés ces derniers jours l'avaient présenté comme «autoritaire» et «susceptible».

    Les Américains s'intéressent aussi à «l'héritage juif» de Nicolas Sarkozy, en référence à son grand-père maternel, et s'interrogent, au début de son mandat, sur l'impact que cela peut avoir sur «le traditionnel centre de gravité pro-arabe» de la France dans sa politique au Proche-Orient. «L'héritage juif de Sarkozy et son affinité pour Israël sont célèbres», note l'ambassade qui considère aussi qu'avec Bernard Kouchner, le président français nommait en 2007 «le premier ministre des affaires étrangères juif de la Ve République».

    LIRE AUSSI :

    » WikiLeaks : les Etats-Unis relativisent l'impact des fuites

    » La diplomatie mondiale ébranlée par WikiLeaks

    » Les révélations de WikiLeaks embarrassent aussi la France

  • Commerce : assainissement ou et bureaucratisation ?

    Par : Mustapha Hammouche

    De l’argent frais va être injecté dans des entreprises publiques. La mesure devrait, dit-on contribuer à “porter la part de l’industrie de 5% à 10% en 2014”. L’argent du pétrole, qui sert déjà à financer toutes sortes d’équipements à fonds perdus, le différentiel du taux de change à l’importation et le déficit du pouvoir d’achat, servira, une nouvelle fois, à entretenir des taux de croissance et d’industrialisation fictifs.
    L’essentiel de la rente est dépensé en compensation du non-développement dans la perspective d’assurer un niveau de fonctionnement et de consommation qui limite les manifestations de la panne de croissance. L’État payeur s’inquiète de ne pouvoir s’assurer le contrôle des ressources libérées et vise, à travers ses plus récentes décisions, sur le contrôle des opérations financières, grandes ou petites, à limiter les dégâts en matière de gaspillage de la rente.
    Les restrictions introduites par la loi de finances complémentaire n’ont, apparemment pas assuré un niveau d’économie de devises suffisant. Le gouvernement s’attelle visiblement à une recherche systématique de “niches d’économie” dans tous les
    secteurs. À titre d’exemple, le ministère de la Santé est en passe de se transformer en ministère du Commerce du médicament, tant il s’occupe essentiellement de tenter de “raccourcir” le circuit commercial des produits pharmaceutiques et d’élaguer la nomenclature des médicaments autorisés à l’importation, de sorte qu’on perçoit si peu d’échos sur les autres aspects de la mission de santé publique.
    Dans ce contexte où, faute de maîtrise de l’assiette fiscale et des flux financiers liés à l’activité économique, ce sont les opérateurs économiques et commerciaux qui sont déclarés suspects de fraude. On innove alors en instituant un registre de commerce renouvelable tous les deux ans. À commencer par les registres d’import-export et de gros, nous dit le ministre du Commerce dans une interview accordée au site tsa-algerie. “Certains détenteurs s’en servent pour s’adonner à des pratiques illégales comme l’évasion fiscale et la tromperie sur la qualité” ; c’est ainsi que Benbada justifie la précarisation administrative de l’activité commerciale. Quel pouvoir de négociation peut avoir, en effet, un importateur qui, en plus d’être contraint au crédit documentaire, dispose d’un registre de commerce provisoire ?!
    Selon le ministre, le registre “constitue l’une des sources principales de beaucoup d’opérations de fraude”. Alors, faut-il sévir en priorité contre les commerçants enregistrés et oublier le commerce informel qui étend son emprise sur près de 30 % de l’offre nationale ?
    Or, de l’aveu même du ministre, c’est  “l’administration qui n’arrive pas à faire le suivi complet du registre de commerce”. Si elle ne peut gérer un registre statique, fait de créations et de radiations d’activités, comment pourra-t-elle gérer un registre dynamique où les inscriptions devront être régulièrement réactualisées ?
    On peut se méfier du marché en ce qu’il favorise ses règles objectives et en ce qu’il dissout une part du pouvoir d’allocations de ressources de l’administration. La bureaucratie étant source de surcoûts économiques et sociaux, il n’est peut-être pas bon de confondre réglementer et bureaucratiser.

  • “Le climat d’affaires en Algérie est excellent” et berlusconi mafioso comment il va!!!!!!!

     

    Andrea Cleani, homme d’affaires italien, à Liberté

    Par : Farid Belgacem

    Notre interlocuteur estime que le feed-back a été non seulement immédiat, mais “d’un niveau extraordinaire” au vu de la qualité des 30 partenaires que la délégation italienne a rencontrés à Alger.

    “L’Italie est le second partenaire économique et commercial de l’Algérie après la France. Nous avons rencontré plus de 30 hommes d’affaires issus de différents secteurs d’activité, notamment ceux qui exercent dans le bâtiment et le bois. Nous sommes très contents au vu de l’impact de cette rencontre qui, j’estime, donnera lieu à d’autres partenariats sans exclusive.” Cette déclaration émane d’Andrea Cleani, représentant de la firme italienne Fantoni, un groupe familial spécialisé dans la production de panneaux en bois. Notre interlocuteur, qui a séjourné à Alger, faisait partie d’une délégation de la Fédération italienne des industries du bois (Federlegno) qui a eu à rencontrer plusieurs entreprises algériennes privées et une autre publique. Une rencontre organisée en partenariat avec l’Institut italien pour le commerce extérieur (ICE), bureau pour la promotion des échanges de l’ambassade d’Italie, et qui a permis à cet homme d’affaires d’apprécier à sa juste valeur le climat d’affaires qui prévaut dans notre pays. “Il est vrai que le problème de la congestion du port se pose encore en Algérie. Mais à part ça, nous n’avons relevé aucune anomalie, surtout au niveau des banques avec lesquelles nous avons eu à traiter”, dira M. Cleani. Celui-ci reviendra longuement sur les opportunités commerciales intéressantes entre les deux pays, mais surtout du niveau des visiteurs aux rencontres B2B des 8 entreprises italiennes opérant dans l’industrie du bois avec les sociétés algériennes. “Le secteur du bâtiment nous intéresse tant. Et tout ce qui gravite autour de ce segment porteur nous intéresse également. Il est temps d’aller de l’avant et d’intégrer ces programmes dans une dynamique à long terme. Les relations entre l’Algérie et l’Italie sont excellentes sur tous les plans. Sur ce, nous avons décidé de promouvoir cette opération d’envergure au plan Méditerranée. Nous comptons également rééditer cette expérience l’année prochaine et multiplier les opportunités pour tisser un réseau de partenaires à même de valoriser les économies et les activités commerciales des deux pays”, explique encore M. Cleani. Il faut rappeler que le volume des importations algériennes de l’Italie, pour tous types de mobiliers italiens, ont atteint, en 2009, plus de 36 millions d’euros soit une augmentation de 74% par rapport à l’année 2008. Au vu des opportunités dégagées et des secteurs ciblés lors de ces rencontres, ce chiffre connaîtra, sans doute, une croissance au niveau des deux rives.

  • le gendarme du monde souffre de migraine!!!!!!!!


     

    La Maison-Blanche mène la «contre-offensive»

    WikiLeaks ou le cauchemar de Washington

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    zoom

    L’afflux des télégrammes confidentiels a dû donner à la secrétaire d’Etat américaine d’effroyables migraines. Washington aura beau se démener pour redorer son image, le mal est grand.

    Les diplomates américains sont-ils encore dignes de confiance après la divulgation des documents par WikiLeaks ? Les missives des diplomates et les appréciations – peu flatteuses – formulées sur les chefs d’Etat donnent une piètre image de la politique étrangère américaine. Le département d’Etat américain a bien essayé de limiter les dégâts, mais a été vite dépassé  par le cours des événements, au point où le président vénézuélien, Hugo Chavez, demande à Hillary Clinton de «démissionner».
    L’afflux des télégrammes confidentiels (câbles en anglais) a dû donner à la secrétaire d’Etat américaine d’effroyables migraines. Washington tente désormais de mener une contre-offensive, en ordonnant un passage en revue des procédures de sécurité pour éviter de nouvelles révélations de documents sensibles.


    «Tout échec à protéger les informations classées (...) est inacceptable et ne sera pas toléré», a affirmé le directeur du bureau du budget de la Maison-Blanche, Jacob Lew. Le ministre américain de la Justice, Eric Holder, a rappelé qu’une enquête pénale était «en cours» sur la publication par le site internet WikiLeaks de milliers de documents américains confidentiels. Il a précisé que si le droit américain n’avait pas forcément prévu ce type de poursuites, «nous ferons en sorte de combler ce manque».   
    Selon la presse américaine, l’enquête se concentre sur Bradley Manning, ancien analyste du renseignement militaire, actuellement en détention. Il est accusé d’avoir organisé la fuite de la vidéo d’une attaque menée en 2007 par un hélicoptère des forces américaines en Irak qui avait fait une dizaine de morts.


    La Maison-Blanche a, par ailleurs, chargé les agences gouvernementales de renforcer leurs procédures pour sécuriser leurs documents secrets. Les nouvelles procédures visent notamment à faire en sorte que «les utilisateurs n’aient pas un accès plus large que nécessaire à leurs missions effectives» et restreignent le traitement  des documents classés.  L’homme par qui le scandale arrive, Julian Assange, le fondateur du site internet WikiLeaks, devient ainsi l’ennemi numéro un de la plus grande puissance mondiale.
    Mais si les condamnations internationales, émanant aussi bien des amis que des détracteurs des Etats-Unis, ont été nombreuses, certains pays – comme l’Equateur – se disent prêts à accueillir Assange et à lui accorder un permis de résidence en Equateur, «sans aucun problème ni aucune condition».


    «Cablegate»


    La secrétaire d’Etat américaine, qui a atterri hier à Astana, au Kazakhstan, devra déployer tous ses talents de diplomate pour faire oublier le «cablegate». Les hasards du calendrier sont parfois cruels : elle se rendra ensuite à Bahrein pour un discours sur le rôle des Etats-Unis dans la région et les ambitions nucléaires de l’Iran, un  sujet largement discuté dans les missives diplomatiques divulguées sur Internet par WikiLeaks. Dans ses interventions médiatiques, Hillary Clinton ne trouve pas de mots assez durs pour qualifier les fuites des câbles américains : ce sont, à ses yeux, des «crimes», visant «toute la communauté internationale» et qui «sabordent les relations pacifiques entre les nations». «La politique étrangère officielle américaine n’est pas telle que définie par ces messages», plaide-t-elle. Washington aura beau se démener pour redorer son image, le mal est grand. Le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a indiqué qu’il allait aborder la question des notes diplomatiques américaines, révélées par le site internet WikiLeaks, qui le mettent en cause  avec la secrétaire d’Etat Hillary Clinton.

    Les télégrammes diplomatiques obtenus par le site internet révèlent notamment que le ministre turc des Affaires étrangères est qualifié «d’exceptionnellement dangereux» par un informateur des diplomates américains en poste à Ankara qui les met en garde contre son influence islamiste sur le  Premier ministre turc, Tayyip Erdogan.
     C’est, surtout, l’image du président américain qui risque d’être sérieusement écornée. Le quotidien britannique The Telegraph se demande si la fuite des télégrammes ne va pas mettre à mal l’image de «Nice Guy» de Barack Obama.  Lundi soir, le porte-parole de la Maison-Blanche, Robert Gibbs, soulignait que «le président était pour le moins mécontent quand il a été informé la semaine dernière de la publication prochaine de
    250 000 notes diplomatiques américaines».
    Le cauchemar des dirigeants américains risque de se prolonger. Vu la masse de documents annoncés, à raison de 230 documents par jour, il faudrait 1092 jours, soit 3 ans pour publier l’ensemble des informations.

    Amel Blidi
  • Téhéran découvre une étoile de David dans son aéroport!!!!!! surprise ahmedo.

    L'étoile de David figure au centre du quartier général de la compagnie nationale Iran Air.
    L'étoile de David figure au centre du quartier général de la compagnie nationale Iran Air.

    Le symbole du judaïsme est visible sur le toit d'un immeuble de la compagnie nationale Iran Air. Il a été découvert grâce à Google Maps.

    Depuis plus de trente ans, les avions qui se posent à l'aéroport international de Téhéran survolent un des symboles du judaïsme. Ce week-end, des médias iraniens ont découvert qu'une étoile de David figure sur le toit du quartier général de la compagnie nationale Iran Air. Sur les photos aériennes de Google Maps, l'étoile d'une dizaine de mètres apparaît clairement au centre de ce bâtiment, situé en plein cœur de l'aéroport Mehrabad.

    La présence de cette étoile de David sur un immeuble iranien a une explication historique, ont rapporté des médias iraniens, ce qui suggère que la réalisation est délibérée. L'immeuble d'Iran Air aurait été conçu avant la révolution islamique de 1979 par des architectes israéliens, à une époque où le régime du Shah d'Iran collaborait avec Israël, et ne menaçait pas l'État hébreu de destruction. Israël vendait alors des armes à l'Iran et des vols reliaient régulièrement Téhéran et Tel Aviv, rappelle le Jerusalem Post.

    Ce vestige architectural prend aujourd'hui une toute autre signification. «Il est intéressant de remarquer que trente-deux ans après le succès de la révolution [islamique], cette étoile symbole du sionisme n'a pas encore été retirée de cet immeuble», a réagi un site iranien d'information local cité par Yedioth Ahronoth, le quotidien le plus lu d'Israël. Des appels ont été lancés pour faire retirer l'étoile, rapporte encore le journal.

    Dans le monde, les images de Google Maps ont conduit à d'autres découvertes polémiques et à des imbroglios diplomatiques. Il y a peu, une frontière mal tracée a causé un incident entre le Costa-Rica et le Nicaragua. En Iran, des croix gammées avaient déjà été repérées dans le jardin d'une université de Bandar Abbas. Le cas le plus fameux reste celui d'un immeuble de la Navy qui, vu de haut, a aussi la forme d'une croix gammée.

  • countersrike en direct !!!!! civil pas possible ,quel coeur,monstre que vous ete .


    wikileaks : attaque meurtrière sur des civils irakiens
    envoyé par AmnestyBE. - L'info internationale vidéo.

  • wikileaks à demain d'autres révelation peut etre!!!!!!

     

    Vladimir Poutine observe le secrétaire à la défense américain Robert Gates, samedi 10 février, à la la 43ème conférence sur la sécurité, à Munich.

    WikiLeaks : Poutine raille la démocratie américaine

    Le premier ministre russe n'a pas apprécié les propos du secrétaire américain à la défense, Robert Gates, pour qui la démocratie russe a "disparu".

    Hillary Clinton et Silvio Berlusconi au sommet de l'OSCE du Kazakhstan, le 1er décembre.

    WikiLeaks : l'opération rattrapage d'Hillary Clinton au Kazakhstan

    La chef de la diplomatie américaine a notamment multiplié les déclarations flatteuses à l'égard de Silvio Berlusconi, sévèrement égratigné dans les mémos.

    Les révélations de WikiLeaks sont-elles dangereuses ?

     

    WikiLeaks est-il dangereux ?, par Martin Vidberg

    Selon ces documents top secrets, Zorro est en fait Diego De la Vega.

     

    WikiLeaks : les analyses des télégrammes diplomatiques, région par région

    Retrouvez l'ensemble des analyses des journalistes du "Monde" et du Monde.fr sur les télégrammes diplomatiques publiés par WikiLeaks.

    La fuite des télégrammes diplomatiques constitue "le rêve de l'historien", estime le professeur d'histoire à Oxford, Timothy Garton Ash.

    Les documents secrets révélés par WikiLeaks relèvent de l'intérêt général

    La fuite des télégrammes diplomatiques constitue "le rêve de l'historien", défend Timothy Garton Ash, professeur d'histoire à Oxford.

    Ségolène Royal et Dominique Strauss-Kahn, en meeting à Lille, jeudi 3 mai 2007.

    La popularité de Ségolène Royal en 2006 était une "hallucination collective", selon DSK

    Le phénomène Royal a été évoqué par Dominique Strauss-Kahn, le 16 mai 2006, au cours d'une visite à l'ambassade américaine à Paris, rapportée dans un télégramme obtenu par WikiLeaks et révélé par "Le Monde".

    Julian Assange, le porte-parole de WikiLeaks, demande la parole lors d'une réunion entre des ONG et le département d'Etat américain, le 5 novembre à Genève.

    Cryptome, Secrecy News, des alternatives à WikiLeaks

    Hormis WikiLeaks, une poignée d'autres sites, moins médiatiques, se sont spécialisés dans la révélation de documents confidentiels sur le Web.

    Photo de la page d'accueil du site WikiLeaks qui publie des dizaines de milliers télégrammes diplomatiques américains.

     

    Des fuites sur tout, tout le monde, et partout

    On peut trouver presque tout ce qu'on veut dans les documents diplomatiques américains obtenus par WikiLeaks.

    Les notices rouges sont diffusées par Interpol à ses 188 pays membres pour demander l'arrestation et l'extradition de suspects.

    Un mandat d'arrêt international lancé contre Julian Assange

    Interpol a indiqué, mardi 30 novembre, avoir émis un mandat d'arrêt international à l'encontre de Julian Assange.

    Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks,

    Julian Assange, fondateur médiatique de WikiLeaks, l'icône traquée

    Au printemps, le fondateur de WikiLeaks, était célébré dans le monde entier comme le nouveau héros planétaire de la liberté d'expression. Aujourd'hui, c'est un homme traqué qui se cache quelque part en Angleterre.

    Le 16 septembre 2007, cinq gardes privés américains, salariés par Blackwater, ouvraient le feu en plein centre de Bagdad. La photo a été prise sur les lieux de la fusillade huit jours après.

    Irak : les "ex" de Blackwater sont désormais employés par DynCorp

    Le 16 septembre 2007, cinq gardes privés américains, mercenaires salariés par Blackwater, la plus puissante firme de sécurité privée au monde, ouvraient le feu en plein centre de Bagdad. Bilan : 17 morts et 24 blessés.

    MM. Bush et Sarkozy à Kennebunkport (Maine), le 11 août 2007.

    WikiLeaks : Nicolas Sarkozy, "l'Américain"

    De nouveaux documents publiés par WikiLeaks et révélés par "Le Monde" montrent la fascination réciproque entre le président français et les Américains. Avant d'être élu, M. Sarkozy avait évoqué l'éventualité d'engager la France en Irak.

    Une patrouille de l'armée pakistanaise.

    WikiLeaks : le "cauchemar" nucléaire de M. Obama

    Des documents publiés par WikiLeaks et révélés par "Le Monde" montrent que la hantise de Washington est de voir un jour l'arme nucléaire pakistanaise tomber entre les mains d'islamistes.

    Le général Ashfaq Kayani (à droite) en négociation avec le secrétaire américain à la défense, Robert Gates (à gauche), au quartier général de l'armée pakistanaise, à Rawalpindi, le 21 janvier 2010.

    WikiLeaks : le Pakistan, un allié inconfortable dans la "guerre contre la terreur"

    Selon les diplomates américains, les Pakistanais vivent dans la crainte d'être abandonnés par les Etats-Unis une fois que ceux-ci auront atteint leur objectif : l'éradication des talibans.

    Julian Assange, le porte-parole de WikiLeaks, demande la parole lors d'une réunion entre des ONG et le département d'Etat américain, le 5 novembre à Genève.

    WikiLeaks : une transparence qui fait débat

    La publication de télégrammes par plusieurs médias, dont "Le Monde", obtenus par WikiLeaks, a suscité des commentaires sur le rôle de la transparence en diplomatie.

    Julian Assange à Stockholm, samedi 14 août.

    WikiLeaks : M. Assange saisit la Cour suprême suédoise

    Le cofondateur de WikiLeaks conteste, mardi 30 novembre, le mandat d'arrêt lancé à son encontre par la justice suédoise dans une affaire de viol.

    WikiLeaks : "La diplomatie américaine devra rétablir la confiance"

    Dans un chat au Monde.fr, l'ambassadeur Yves Aubin de la Messuzière estime que les fuites obtenues par WikiLeaks soulignent des différences entre diplomatie française et américaine.

    Les documents de WikiLeaks sont "utiles et passionnants"

    Alain Frachon, directeur éditorial du "Monde", explique que les notes diplomatiques américaines dévoilées par "Le Monde" constituent bien une révélation.

    Alain Frachon, directeur éditorial du "Monde", explique que les notes diplomatiques américaines révélés par "Le Monde" constituent bien une révélation.

    L'Iran et les Arabes : l'éclairage de WikiLeaks

    La terreur que Téhéran inspire aux régimes arabes est telle que ceux-ci sont, quasi unanimes, les premiers à presser les Etats-Unis d'user de tous les moyens, y compris la force, pour arrêter le programme nucléaire iranien.

    Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan lors d'un discours au Parlement turc à Ankara, le 29 juin 2010.

    WikiLeaks : Erdogan jugé autoritaire et sans vision

    L'homme qui dirige le plus important pays musulman allié des Etats-Unis est décrit par les diplomates américains comme un islamiste autoritaire mais sans vision.

    Nicolas Sarkozy à Lisbonne, le 20 novembre 2010.

    L'OTAN fustige l'irresponsabilité de WikiLeaks

    Le secrétaire américain à la défense Robert Gates a estimé que les fuites, bien qu'embarrassantes, avaient des conséquences "assez modestes" pour la politique américaine.

    Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks,

    Une grande banque américaine, prochaine cible de WikiLeaks

    Dans un entretien à "Forbes" Julian Assange, prévient que WikiLeaks publiera début 2011 des documents compromettants pour la direction d'une "grande banque américaine".

    WikiLeaks, vu par Martin Vidberg

    Les Etats-Unis sécurisent leurs données

    Martin Vidberg revient sur la fuite de télégrammes diplomatiques américains.

    Le président haïtien René Preval, le 30 juin 2010.

    Haïti : René Préval, un président "têtu et soupçonneux"

    En 2009, avant le séisme qui allait ravager Haïti, une note diplomatique peu élogieuse, obtenue par WikiLeaks et examinée par "Le Monde", était consacrée au président René Préval.

    Cristina Kirchner, présidente de la République argentine.

    Argentine : les doutes lancinants de Mme Clinton sur la santé des Kirchner

    De nombreux documents obtenus par WikiLeaks décrivent l'état psychologique de l'ancien président argentin et son attitude souvent "erratique".

    Des officiers nord-coréens célèbrent dans un stade de Pyongyang le succès d'un test nucléaire en mai 2009.

    WikiLeaks : décoder la Corée du Nord à l'aune de la transition dynastique

    Les diplomates américains consultent beaucoup pour tenter de décrypter les évolutions du régime de la Corée du Nord, selon les documents obtenus par WikiLeaks.

    Les conditions de captivité dans le camp de Guantanamo font toujours polémique.

    L'embarras de Washington au sujet des anciens détenus de Guantanamo

    La décision annoncée par Barack Obama de fermer "aussitôt que possible" le centre de Guantanamo a suscité d'autant plus de réactions diplomatiques à travers le monde que Washington a approché plusieurs pays susceptibles d'accueillir des détenus en instance de libération.

    Un détenu de Guantanamo.

    Wikileaks : quand la France négociait avec les Etats-Unis le sort de détenus de Guantanamo

    Les mémos obtenus par WikiLeaks et révélés par "Le Monde" racontent la négociation entre la France et les Etats-Unis sur l'accueil des détenus de Guantanamo.

    Des soldats surveillent la Tour Eiffel, le 20 septembre 2010.

    Wikileaks : comment Washington voit la lutte contre le terrorisme en France

    La diplomatie américaine se félicite de la coopération avec la France en matière antiterroriste, selon des mémos obtenus par WikiLeaks et révélés par "Le Monde".

    Une femme marche devant une peinture murale peinte sur le mur de l'ancienne ambassade américaine à Téhéran.

    Août 1979 : un télégramme de l'ambassade américaine à Téhéran

    Un télégramme diplomatique américain se penche, le 13 août 1979, sur la "psychologie persane".

    Barack Obama à la Maison Blanche, le 27 janvier 2010.

    Pour Washington, les révélations de WikiLeaks sont "un crime grave"

    Hillary Clinton a exprimé ses "profonds regrets" aux pays concernés par les fuites de notes diplomatiques américaines.

    La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, le 29 novembre, au lendemain de la publication de documents secrets de la diplomatie américaine.

    Les principales révélations des "fuites" de WikiLeaks

    "Le Monde" continuera de publier dans les prochains jours des articles analysant les documents diplomatiques obtenus par WikiLeaks. Petit récapitulatif des informations déjà divulguées.

    WikiLeaks : "A Washington, les mines sont graves"

    Revue de presse quotidienne des JT de la mi-journée.

    La victoire des républicains au Sénat a imposé des contraintes sur les mesures que souhaite prendre Obama.

    Le président d'Azerbaïdjan, Ilham Aliev (à droite) et le président géorgien, Mikhaïl Saakachvili, lors d'une rencontre à Bakou (Azerbaïdjan), le 24 mai 2005.

    WikiLeaks : les inquiétudes de l'Azerbaïdjan

    La république, frontalière de l'Iran, s'inquiète de toute déstabilisation régionale dans le cadre de la crise autour du programme nucléaire iranien.

    Dans un chat sur LeMonde.fr, Sylvie Kauffmann, directrice de la rédaction du "Monde", et Rémy Ourdan, grand reporter du quotidien, expliquent la portée des documents diplomatiques secrets américains obtenus par le site WikiLeaks.

    WikiLeaks : "Il est trop tôt pour évaluer l'impact des ces révélations"

    Dans un chat sur LeMonde.fr, Sylvie Kauffmann, directrice de la rédaction du "Monde", et Rémy Ourdan, grand reporter du quotidien, expliquent la portée des documents diplomatiques secrets américains obtenus par le site WikiLeaks.

    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, le mercredi 13 octobre 2010

    "Le meilleur cadeau d'anniversaire que Ahmadinejad pouvait imaginer"

    Un télégramme publié par WikiLeaks révèle la réaction française à un rapport américain de 2007, relativisant l'avancée du nucléaire iranien.

    Bernard Kouchner et Nicolas Sarkozy, en septembre 2008

    WikiLeaks : quand la France exagérait le rôle de la Turquie auprès de l’Iran

    Dans un télégramme américain de novembre 2009, publié par WikiLeaks, un diplomate israélien accuse Paris d'avoir fait un "résumé inexact" d'un de ses briefings.

    Le président russe Dmitri Medvedev lors d'un discours au Kremlin à Moscou, le 5 octobre 2010.

    WikiLeaks: Medvedev et sa "frustration" sur l'Iran

    "Medvedev admet qu'il ne sait pas qui prend les décisions à Téhéran maintenant", assure un télégramme diplomatique obtenu par WikiLeaks.

    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad le 14 octobre.

    Nétanyahou : "Il y a consensus pour dire que l'Iran est la menace"

    "Israël n'a subi aucun dommage à la suite des publications de WikiLeaks", a affirmé lundi le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, lequel a même estimé que le pays en sortait renforcé dans ses prises de position contre l'Iran.

    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, le mercredi 13 octobre 2010

    WikiLeaks et la peur de l'Iran

    S'il y a bien un enseignement à tirer des quelques 250 000 télégrammes diplomatiques américains du site Wikileaks, c'est que la République islamique d'Iran fait peur, et bien au delà de ses traditionnels "ennemis".

    Les dirigeants du G5 et du G8 posent ensemble, le 9 juillet 2009

    WikiLeaks: "La diplomatie américaine devra rétablir la confiance"

    Dans un chat au Monde.fr, Yves Aubin de la Messuzière, ancien ambassadeur français, relativise les conséquences des fuites obtenues par WikiLeaks mais s'étonne que les documents américains soient si accessibles.

    Certains des dirigeants mondiaux évoqués dans les câbles diplomatiques révélés par WikiLeaks.

    Les révélations de WikiLeaks en quelques phrases-clés

    "Il faut couper la tête du serpent" iranien, la Russie est un "Etat mafieux", "Chavez est fou"... petit tour d'horizon des révélations de WikiLeaks en quelques phrases-clés.

    Dans un chat sur LeMonde.fr, Sylvie Kauffmann, directrice de la rédaction du "Monde", et Rémy Ourdan, grand reporter du quotidien, expliquent la portée des documents diplomatiques secrets américains obtenus par le site WikiLeaks.

    WikiLeaks : "Il est trop tôt pour évaluer l'impact des ces révélations"

    Dans un chat sur LeMonde.fr, Sylvie Kauffmann, directrice de la rédaction du "Monde", et Rémy Ourdan, grand reporter, expliquent la portée des documents obtenus par WikiLeaks.

    Jean-David Levitte, conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy.

    Wikileaks : pour Paris, le régime iranien est "fasciste"

    Selon un document de Wikileaks révélé par "Le Monde", Paris a dialogué avec un conseiller du "Guide suprême", Ali Khamenei, pendant l'été 2007.

    Détail de l'interface du Guardian, créée pour naviguer au sein des documents et articles en lien avec les mémos publiés par Wikileaks.

    WikiLeaks : où chercher les mémos ?

    Le site WikiLeaks a commencé à publier dimanche soir une partie des 251 287 documents en sa possession. Plusieurs sites ont créé des interfaces pour faliciter les recherches.

    Dans les rues de Beyrouth, le 13 octobre 2010, des supporteurs du Hezbollah accueille avec enthousiasme Mahmoud Ahmadinejad, en visite officielle de deux jours au Liban.

    Wikileaks : Les liens entre Téhéran et le Hezbollah

    Selon un câble diplomatique américain révélé par WikiLeaks, l'Iran a utilisé des ambulances du Croissant-Rouge iranien pour acheminer des armes et des agents au Liban durant la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah libanais.

    Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, le 14 août à Stockholm.

    WikiLeaks : les diplomates et les voyeurs

    Le zapping radio, chaque jour à midi, tout ce qu'il ne fallait pas rater des matinales radio.

    Outre Google, les réseaux de l'administration américaine, des alliés des Etats-Unis, et du dalai-lama auraient été piratés par la Chine dès 2002.

    WikiLeaks : Pékin aurait commandité le piratage de Google

    Dans un câble diplomatique révélé par WikiLeaks, l'ambassade américaine en Chine cite une source chinoise selon laquelle le régime communiste serait à l'origine du piratage de Google début 2010. Les réseaux de l'administration américaine ainsi que de pays alliés auraient aussi été piratés depuis 2002.

    WikiLeaks : portraits acides des leaders mondiaux

    Parmi les milliers de documents mis en ligne par WikiLeaks, on trouve des portraits peu flatteurs de dirigeants, alliés ou non, des Etats-Unis. Florilège des jugements les plus édifiants.

    Silvio Berlusconi, le président du Conseil italien est décrit comme un dirigeant incapable et inefficace. Il ne se reposerait "pas suffisamment en raison de son goût prononcé pour la fête".

    Le président Nicolas Sarkozy et son conseiller diplomatique, Jean-David Levitte, le 10 septembre 2010.

    Paris vu de Washington

    Parmi les documents révélés par WikiLeaks, certains concernent la France et le conseiller diplomatique de l'Elysée Jean-David Levitte. Le président de la République, Nicolas Sarkozy, est aussi cité.

    Entrée de l'ambassade américaine à Berlin, le 29 novembre 2010.

    WikiLeaks : l'Iran dénonce "une campagne de guerre d'information"

    Les câbles diplomatiques récupérés par WikiLeaks et publiés par plusieurs journaux, dont "Le Monde", mettent Washington et d'autres capitales dans l'embarras.

    La diplomatie et la confidentialité

    Les Etats-Unis regrettent la divulgation des documents secrets par le site Wikileaks. Le représentant de Washington à Paris, Charles Rivkin, souligne que "les diplomates doivent pouvoir mener des discussions franches."

    L'ayathollah iranien Ali Khamenei, Guide suprême, en mars 2010.

    Wikileaks : comment Washington observe Téhéran

    Il ressort de certains documents obtenus par WikiLeaks et révélés par "Le Monde" que la complexité et l'opacité du régime iranien restent un énigme pour les Américains.

    Bradley Manning est désormais soupçonné d'être impliqué dans les fuites qui ont permis au site Wikileaks de diffuser des dizaines de milliers de documents confidentiels.

    Bradley Manning, un militaire désoeuvré à l'origine des plus grandes " fuites " de l'histoire des Etats-Unis.

    Officiellement, nul ne sait qui a fourni à WikiLeaks les 250 000 documents diplomatiques dont la publication a commencé le 28 novembre, mais les autorités américaines détiennent un suspect : Bradley Manning, un militaire américain âgé de 23 ans.

    Le conseil de sécurité de l'ONU, le 13 avril 2009.

    Wikileaks : les ordres de Washington aux diplomates américains

    Les télégrammes publiés par Wikileaks éclairent la manière dont Washington utilise ses représentations diplomatiques à des fins de renseignement.

    Une foule immense a agité les drapeaux iraniens, libanais et la bannière jaune du mouvement chiite Hezbollah.

    Wikileaks : La peur des pays arabes face à l'Iran

    Les documents de Wikileaks montrent l'inquiétude du monde Arabe face aux agissements du régime iranien.

    Sur la France, les télégrammes montrent comment M. Sarkozy et ses conseillers critiquaient la politique étrangère de Jacques Chirac devant les Américains.

    WikiLeaks : dans les coulisses de la diplomatie américaine

    Le site spécialisé dans la diffusion de documents officiels WikiLeaks a obtenu 250 000 télégrammes diplomatiques, venus du département d'Etat à Washington et de toutes les ambassades américaines dans le monde. "Le Monde" y a eu accès.

    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad le 14 octobre.

    Wikileaks : Comment Israël a poussé Washington à la fermeté

    Les documents livrés par Wikileaks éclairent la stratégie d'Israël vis-à-vis de Washington dans la gestion du dossier iranien.

    Photo de la page d'accueil du site WikiLeaks qui publie des dizaines de milliers télégrammes diplomatiques américains.

    Pourquoi "Le Monde" publie les documents WikiLeaks

    "Le Monde" publie avec "The New York Times" et trois autres journaux européens ("The Guardian", "Der Spiegel" et "El Pais"), des documents diplomatiques américains secrets mis à sa disposition par le site WikiLeaks.

  • batman et robin raille la démocratie américaine

    WikiLeaks : Poutine raille la démocratie américaine

     

     

     

    Vladimir Poutine observe le secrétaire à la défense américain Robert Gates, samedi 10 février, à la la 43ème conférence sur la sécurité, à Munich.

    Vladimir Poutine observe le secrétaire à la défense américain Robert Gates, samedi 10 février, à la la 43e conférence sur la sécurité, à Munich.AP/FRANK AUGSTEIN

    La Russie n'a pas vraiment digéré un des mémos diffusés par WikiLeaks qui révèle que le secrétaire américain à la défense Robert Gates considère la démocratie russe comme "disparue". Le premier ministre, Vladimir Poutine, l'a fait savoir dans un entretien à CNN, diffusé mercredi 1er décembre, dans lequel il raille le système électoral américain.

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    Dans le document, Robert Gates jugeait aussi que "le gouvernement est une oligarchie dirigée par les services de sécurité". Sur la chaîne américaine, l'ancien président russe n'a pas admis que les Etats-Unis s'en prennent au système politique russe sans être en mesure de supporter eux-mêmes la critique.

    "Lorsque nous expliquons à nos amis américains qu'il existe des problèmes systémiques concernant [le système politique américain, ndlr], ils nous disent : 'ne vous mêlez pas de nos affaires'. Nous ne nous en mêlons pas. Mais, chers collègues, je souhaite vous avertir que vous n'avez pas à vous mêler du choix souverain du peuple russe", a souligné M. Poutine.

    VOTES AU COLLÈGE ÉLECTORAL

    M. Poutine a rappelé que lors de deux élections présidentielles américaines, le gagnant n'a pas été celui qui a remporté le plus de suffrages populaires, mais celui qui s'est assuré le plus de votes au collège électoral, en référence notamment au scrutin de 2000, dont l'issue avait été in fine décidée par la Cour suprême et qui avait vu la victoire de George W. Bush.

    Le président américain n'a donc pas été élu au suffrage universel direct - comme en Russie -, mais par un collège électoral, lui-même désigné par les électeurs américains, a ainsi souligné M. Poutine.

    Le premier ministre a encore estimé "qu'il reste pas mal de temps avant l'élection" présidentielle russe de 2012, tout en reconnaissant qu'il se "concerterait" avec l'actuel président, Dmitri Medvedev, avant de savoir lequel des deux serait candidat.

     

  • Victime de DdoS, Wikileaks migre vers le Cloud d'Amazon

    Cible d'attaques de pirates suite à ses révélations controversées, le site Wikileaks a préféré désormais se faire héberger par Amazon et son nuage EC2.

    Visé ce week-end par plusieurs attaques par déni de service, le site de Wikileaks s'est réfugié dans le nuage d'Amazon EC2.

    Sur Twitter, Mikko H. Hypponen, chercheur en sécurité chez F-Secure, fait savoir que Wikileaks a changé d'adresses IP, de 91.194.60.32 à 46.51.186.222. La première appartient à l' hébergeur français Octopuce, la seconde s'avère être basée à Dublin, en Irlande, et sert à l'Amazon Web Service soit l'EC2.

    Le site cablegate.wikileaks.org est quant à lui à Seattle, aux Etats-Unis, mais toujours sous la houlette d'Amazon. Cependant des sites spécialisés montrent aussi comment, malgré cette migration, Wikileaks et cablegate.wikileaks subissent toujours  des attaques. "Le site WikiLeaks, avait déjà fait l'objet d'une attaque dimanche, mais celle de mardi semblait plus puissante", note même AP.  

     

    Les révélations ont par ailleurs aussi amené la Maison Blanche et le département d'Etat a ordonner publiquement une révision des procédures de sécurité protégeant les documents sensibles. Ils ne pourront ainsi plus être copiés sur un support externe (clés USB ou CD) et leur transfert devra se faire en présence de deux personnes habilitées.

  • non lieu pour l'algerie (petrole,base americane,flouss)wikealks ,vous me rappelez le singe sémela panique

    Boumerdès : Un singe sème la panique à Ammal

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    Ces derniers jours le paisible village de Mizer, sis à un kilomètre à l’est du chef-lieu de la commune de Ammal (Boumerdès), vit des moments de panique indescriptible. Et pour cause, un singe vient quotidiennement, tôt le matin, semer la terreur au sein de la population, les enfants surtout.

     

    Le primate s’invite dans les cuisines des habitations pour se servir allègrement. L’animal entre dans les maisons par les fenêtres laissées ouvertes. Les habitants trouvent du mal le chasser car il n’accepte de repartir qu’après avoir fini de se servir. En partant, il emporte, à chaque fois, quelques galettes de pain.

    Le singe visite aussi l’école du village. Il vient déconcentrer les petits écoliers, pendant les cours, en s’accrochant aux barreaux des fenêtres pour imiter leurs gestes. Ce qui fait un grand plaisir aux chérubins. Mais cela devient dangereux lorsque le simien cherche coûte que coûte à s’emparer de leurs cartables à la sortie des classes.

    Lorsque les enfants résistent, il devient très agressif. Par conséquent les petits innocents, notamment ceux de préscolaire, refusent de rejoindre les bancs de l’école.Le directeur de l’établissement a eu à intervenir à plusieurs reprises pour le chasser. Ce qui a valu de légères blessures  au niveau des jambes.

    Selon le directeur, les réclamations orales faites au maire de Ammal et les rapports rédigés à l’attention de la direction de l’éducation concernant ce danger n’ont pas eu d’écho. A noter que le singe, s’est échappé  d’un camion immatriculé dans la wilaya de Jijel au niveau des Gorges de Ammale, sur la RN5.

     

     

    H.Dahmani
  • en attendait des révelations de bentalha,crimes economiques,sur la getion catastrophique de l'algerie ,il me parle succession de boutef !!!!!

    Wikileaks publie le premier mémo "confidentiel" de l'ambassade US à Alger

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       	Le premier câble diplomatique classé confidentiel sur l’Algérie revient sur l'état de santé de Bouteflika et "le processus de sa succession". 
    zoom | © D.R

    Le premier câble diplomatique classé confidentiel sur...


    Wikileaks publie le premier câble diplomatique classé confidentiel sur l’Algérie. Daté du 16-01-2007, un mémo de l’ambassade US à Alger revient sur l’Etat de santé du président Bouteflika et le "processus de sa succession". 

    Dans cette dépêche, l’ambassade US à Alger reprend des analyses et des témoignages, ou confidences,  d’une "ancienne sénatrice" connue sur la place d'Alger comme étant proche du cercle présidentiel. Dans ce mémo, les américains essaient de collecter plusieurs lectures sur le devenir de la présidence en Algérie dans l'état actuel de la maladie d'Abdelaziz Bouteflika. 

    Reprenant certaines lectures qui laissent entendre que Bouteflika ne pourra pas continuer jusqu'au bout de son mandat, le mémo de l'ambassade US à Alger remarque également que Abdelkader Bensalah, le président du Sénat, est jugé "capable de gérer le processus de succession à la présidence".

    Néanmoins, ce mémo "confidentiel" n'omet pas de souligner que Bensalah est largement contesté au Sénat où beaucoup de sénateurs auraient aimé, visiblement, selon les analyses des intervenants cités dans cette dépêche, qu'il ne soit pas reconduit à son poste. Mais c'est Bouteflika en personne qui l'aurait imposé à ses opposants.  

     

  • attention algerian watch et trasparency international et wikileak!!!!!!

     

    Le rêve américain

    Par : Outoudert Abrous

    La politique de l’entreprenariat est la seule porte qui donne accès à la croissance économique, à la création d’emplois et, surtout, permet l’émergence d’une classe moyenne.

    à partir d’aujourd’hui, hommes d’affaires maghrébins et américains se rencontreront pour un échange d’expérience. Ce sera surtout ces derniers qui afficheront leur expérience dans l’entreprenariat. En somme, ils viennent semer dans la région les méthodes de gestion, la création de start-up, pour assurer ultérieurement une bonne récolte. Le marché du Maghreb est vierge, et sa population jeune reste avide de consommation. C’est là une opportunité que les Américains ne veulent pas rater.
    Ils tenteront d’expliquer aux Maghrébins que la politique de l’entreprenariat est la seule porte qui donne accès à la croissance économique, à la création d’emplois et surtout permet l’émergence d’une classe moyenne, véritable locomotive dans la vie d’un pays. Cette frange de la population est grande consommatrice de crédits pour une amélioration de son cadre de vie.
    Ils donneront des recettes miracles pour gérer et booster leurs entreprises, leur dévoileront des techniques de management.
    C’est bien. Mais une question ? Sera-t-il question, entre autres, du climat des affaires et osera-t-on faire des parallèles entre les deux puis entre les pays de la région représentée ? Le fossé est immense, et le seul fait d’y penser découragera plus d’un “entrepreneur”.
    Aux états-Unis, l’entreprise est sacralisée. En Algérie, elle est diabolisée. Il faudrait donc commencer par une éthique du comportement de l’administration qui se mettra au service de l’entreprise et non le contraire. Les Américains ont compris cela et ils ont réussi. Ce sont les politiques qui sont dans l’antichambre, attendant d’être reçus par les capitaines d’entreprise. Cette prise d’otage de l’entrepreneur par la bureaucratie, l’esprit de suspicion qui règne partout et régente les relations devront être éliminés pour qu’enfin, nos hommes d’affaires de la région puissent se passer du rêve américain puisqu’il est déjà chez eux.

  • alliance assurance ,pas du tout crédible ,poussée tres vite avec quel argent!! et maintenant operation action , louche ,pas catholique !! cour des compte c'est votre travail

     

    L’opération de souscription des actions d’Alliance-Assurances est un succès
    “Nous avons raison de faire confiance au marché”

    Par : Meziane Rabhi

    L’opération de souscription à l’appel public à l’épargne avec introduction de l’action à la cote officielle de la Bourse d’Alger, lancée par Alliance-Assurances, qui s’achève aujourd’hui, aura connu un retentissant succès.
    Lundi, la compagnie privée d’assurances avait placé 93% des actions mises en vente pour son introduction à la Bourse d’Alger. Plus de 1 660 000 actions ont été vendues sur 1,8 million d’actions émises. “Nous sommes à 85% sans les institutionnels”, a indiqué Mohamed Djellab, P-DG de la banque CPA qui pilote cette opération. “Nous avons de très fortes chances de dépasser les 100%”, a-t-il estimé lors d’une soirée organisée à Alger par le Forum des chefs d’entreprise (FCE) pour inciter les chefs d’entreprise à souscrire aux actions d’Alliance-Assurances. “Nous avons raison de faire confiance au marché”, a souligné le P-DG d’Alliance-Assurances, Hassen Khelifati,  précisant que “l’opération a permis aussi  de casser certaines idées reçues”. Et pour cause, elle a été bouclée grâce notamment à une bonne réaction des petits porteurs qui ont débordé la part de 33,4% qui leur était réservée. Un bon signe pour la Bourse d’Alger. La naissance, certes modeste à cette échelle de capitalisation, d’un actionnariat populaire n’est pas une bonne nouvelle uniquement pour Alliance-Assurances qui pourra compter sur un volant d’actionnaires plus large et plus mobile. “Les particuliers nous ont donné une belle leçon”, a affirmé M. Hassen Khelifati.
    Durant cette soirée, seules 3 200 actions ont été souscrites par les patrons présents. Mais le P-DG d’Alliance-Assurances, Hassen Khelifati n’a pas caché son optimisme concernant l’opération. “Nous allons terminer dans les délais et peut-être dépasser les 100% du nombre d’actions à souscrire”, a-t-il dit.
    Pour sa part, le président du FCE, Réda Hamiani, a qualifié l’opération “d’événement historique”. C’est en effet la première fois qu’une société privée décide d’ouvrir son capital via la Bourse d’Alger.
    Le P-DG d’Alliance-Assurances a aussi apprécié le travail accompli par les banques, notamment le CPA, chef de file de l’opération. “Elles ont fait un travail extraordinaire”, a relevé M. Khelifati, estimant qu’un partenariat privé-public est possible. “C’est de notre
    responsabilité de jeter les bases de la Bourse
    d’Alger”, a souligné le P-DG d’Alliance-Assurances, regrettant le silence des autres organisations patronales qui n’ont pas répondu à son appel, alors qu’il les a saisies par écrit pour se déterminer par rapport à l’opération. Même symbolique, leur réaction aurait donné une autre image du secteur privé, accusé de rentier par les pouvoirs publics.
    Les retombées de la réussite d'une telle opération sont d'abord sur le marché et l'économie algérienne à travers le rétablissement de la confiance entre le marché et les entreprises algériennes notamment privées. Le P-DG d’Alliance-Assurances a beaucoup insisté sur la solidarité du privé algérien, qui, malheureusement, ne s’est pas exprimé comme il se doit lors de cette opération. Pour sa part le directeur général de la Commission d’organisation et de surveillance des opérations boursières (Cosob) a estimé que l’économie algérienne a besoin d’un marché financier “pour qu’elle puisse marcher sur deux pieds”. “Notre économie est une économie d’endettement. Elle marche sur un seul pied. Nous avons besoin d’un marché financier pour qu’elle puisse marcher sur deux pieds. Une économie qui marche sur deux pieds va plus vite et produit plus de croissance”, a-t-il expliqué.
    M. Noureddine Smaïl a indiqué que
    les pouvoirs publics ont approuvé la réforme du marché financier. “Elle sera mise en œuvre
    en 2011, avec comme objectif la création d’un véritable marché financier à Alger”, qualifiant le bilan de dix années de la Bourse de “médiocre”. “Notre marché manque de services d’investissement, comme corporate finance, la gestion d’actifs, les métiers titre… les banques ne les ont pas développés”, a regretté le DG de la Cosob, révélant que “plus de cent entreprises algériennes réunissent les conditions d’entrée en Bourse. Elles sont donc éligibles à la Bourse d’Alger”.