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  • Pourquoi Obama soutient Israël

    Le Conseil de Sécurité de l’ONU s’est réuni d’urgence le 31 mai. Les négociations ont duré 10 heures, à huis clos. Tous les membres, à l’exception des Etats-Unis, ont demandé la levée immédiate du blocus de Gaza, la libération des prisonniers et la restitution des navires. Il s’avère donc encore une fois que la Maison-Blanche soutient Israël, malgré la réprobation de la communauté internationale.

    Après l’offensive d’Israël sur Gaza en janvier 2009, le Conseil de Sécurité avait appelé à l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu « durable et pleinement respecté ». La résolution avait été adoptée par 14 voix et une abstention, celle des Etats-Unis. Seize mois plus tard, La Maison-Blanche a donc renouvelé son soutien à Israël et lancé le même message à la communauté internationale. On peut se demander pourquoi. Deux explications viennent à l’esprit.
     
    La première explication est d’ordre stratégique. Israël est une importante tête de pont des Etats-Unis au Moyen-Orient. Les services de renseignement des deux pays travaillent ensemble, et l’armée israélienne peut intervenir à tout instant sur la demande des Etats-Unis. En échange, Israël bénéficie d’un soutien financier colossal. C’est un allié encombrant, mais c’est un allié que les Etats-Unis n’ont pas intérêt à mécontenter.
     
    La seconde explication, la plus intéressante à mon avis, tient à la politique intérieure des Etats-Unis. La moindre brouille avec Israël risque de faire perdre les élections au parti démocrate. Sur 300 millions d’habitants, les Etats-Unis comptent 1,8 % de juifs, soit 5,4 millions de personnes, sensiblement le même nombre que celui des juifs d’Israël. Ils ne sont pas tous sionistes, mais on peut penser que beaucoup le sont. Les sionistes américains bénéficient d’un puissant réseau, l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) qui exerce une grande influence sur la presse et les décisions gouvernementales. Or parmi les sionistes il n’y a pas que des juifs ; il y a aussi des chrétiens, comme George Bush ou Hillary Clinton. C’est peut-être à cause de ce type d’électeurs que les démocrates risquent de perdre les élections.
     
    Les Etats-Unis comptent 24 % de catholiques romains, soit 72 millions, et 23 % de protestants, soit 69 millions. Les uns et les autres vont en assez grand nombre à l’office religieux du dimanche, surtout, je pense, à la campagne et dans les petites villes. C’est une occasion de connaître la Bible, car les offices religieux catholiques et protestants comportent une part de prière et une part de lecture commentée de la Bible. Une explication s’impose pour ceux qui ne connaissent pas ces pratiques religieuses.
     
    La Bible se compose de deux parties : l’Ancien Testament, comportant le Deutéronome, un texte assez semblable à la Torah juive, auquel s’ajoutent des psaumes et des textes prophétiques, et le Nouveau Testament, qui comprend les quatre évangiles, les actes des apôtres, les épîtres et l’apocalypse de Jean. C’est dans ce livre de plus de 1 000 pages que sont choisis des textes pour la lecture à l’office du dimanche.
     
    L’Ancien Testament, écrit entre le neuvième et le quatrième siècle avant notre ère, fait constamment référence à l’histoire de l’Etat juif, dont l’origine remonterait au roi David. Le Nouveau Testament, écrit au premier siècle, est d’une autre nature. À la naissance présumée de Jésus, l’Etat juif était occupé par l’armée romaine. Il y avait un roi, nommé Hérode, qui collaborait avec l’occupant. Selon les évangiles, Jésus n’avait pas de visées politiques. « Mon royaume n’est pas de ce monde », disait-il. Le Nouveau Testament décrit la naissance d’une nouvelle religion dans le prolongement de la religion juive.
     
    L’Ancien Testament, au contraire, comporte des passages pouvant inciter à la violence et à la haine raciale. On en trouvera ci-dessous quelques extraits. Le Vatican interdit de les lire au cours des offices. Les autres églises chrétiennes n’interdisent rien.
     
    Parmi les protestants des Etats-Unis, on compte une dizaine d’obédiences. Les plus nombreux sont les baptistes, avec 50 millions de fidèles, et les méthodistes, avec 18 millions. L’église méthodiste, dont font partie George Bush et Hillary Clinton, attache certainement trop d’importance à l’Ancien Testament. Pris au pied de la lettre, l’Ancien Testament peut inciter des gens peu instruits et vivant dans une petite communauté fermée à croire que le salut de l’humanité viendra d’Israël. C’est pourquoi un grand nombre d’Américains souhaitent que leur gouvernement continue à soutenir l’Etat d’Israël.
     
    Extraits de l’Ancien Testament
     
    C’est ainsi que Josué conquit tout ce pays, la montagne, le Négeb, le territoire de Gosen, le bas pays et la plaine, le plateau d’Israël et son bas pays, depuis la montagne pelée qui s’élève vers Séir, jusqu’à Baal-Gad, dans la vallée du Liban au pied de l’Hermon. Il prit tous leurs rois, les frappa et les fit mourir. La guerre qu’il mena contre les rois dura longtemps. Pas une ville ne se comporta pacifiquement envers les Israélites, excepté les Hévéens de Gabaon. Il fallut tout enlever de vive force. Car le dessein du Seigneur était que le cœur de ces peuples s’obstine à faire la guerre à Israël, et qu’on pût ainsi les vouer sans pitié à l’interdit et les exterminer, comme le Seigneur l’avait ordonné à Moïse. (Josué 11:16)
    Tu es mon Dieu, mon roi, toi qui donnes tous ces triomphes à Jacob. Grâce à toi, nous culbutons nos ennemis. En ton nom, nous piétinons nos adversaires. (Psaume 43)
    O Dieu des armées, combien de temps encore t’irriteras-tu contre ton peuple en prière ? Tu l’as nourri du pain des larmes, tu l’as abreuvé de pleurs abondants ; tu as fait de nous une proie que se disputent nos voisins, et nos ennemis nous tournent en dérision. O Dieu des armées, relève-nous ; montre-nous ton visage serein et nous serons sauvés. (Psaume 79)
    Israël, ne t’effraie pas. Je vais te ramener de la terre lointaine. Je délivrerai ta race du pays de son exil. Jacob reviendra vivre dans une paisible sécurité, sans que personne l’inquiète. (Jérémie 46:27)
    Le jour est venu de détruire tous les Philistins, d’enlever de Tyr et de Sidon ce qui leur reste d’alliés. (Jérémie 47:4)
    Des jours vont venir où je ferai retentir le cri de guerre à Rabba des Ammonites ; elle sera changée en un monceau de décombres, ses filles seront livrées aux flammes, et Israël héritera de ceux qui ont hérité de lui. (Jérémie 49:2) 
     
  • Le coût réel du soutien américain Pour Israël - 3 billions de dollars





    Par Christopher Bollyn
    9-19-3


    Alors qu'il est couramment signalé qu'Israël reçoit officiellement 3 milliards de dollars chaque année sous la forme d'aide économique du gouvernement des États-Unis, ce chiffre n'est que la pointe de l'iceberg. Il ya plusieurs milliards de dollars de plus dans les coûts cachés et les pertes économiques se cache sous la surface. A publié récemment une analyse économique a conclu que le soutien américain pour l'Etat d'Israël a coûté aux contribuables américains près de 3 milliards de dollars ($ 3,000,000 de dollars) en dollars de 2002.
    "Les coûts pour les contribuables américains de la conflit israélo-palestinien: 3 billions de dollars" est un résumé de la recherche économique effectué par Thomas R. Stauffer. Résumé de Stauffer de la recherche a été publiée dans le Juin 2003 de The Washington Report sur ​​les affaires du Moyen-Orient.
    Stauffer est un Washington, DC à base ingénieur et économiste qui a écrit et enseigne sur l'économie de l'énergie et le Moyen-Orient. Stauffer a enseigné à l'Université Harvard et l'Université de Georgetown School of Foreign Service. les conclusions ont été présentées Stauffer à un Octobre 2002 Conférence parrainée par le Collège de l'Armée des États-Unis et l'Université du Maine.
    L'analyse Stauffer est "une estimation du coût total pour les États-Unis seulement d'instabilité et de conflit dans la région - émane de la base-palestinien un conflit. israélienne"
    «Total des coûts identifiables venir à près de 3 milliards de dollars," dit Stauffer. "Environ 60 pour cent, plus de la moitié, de ces coûts - environ $ 1700000000000 - résulte de la défense des États-Unis d'Israël, où la plupart de cette somme a été engagée depuis 1973."
    "Le soutien à Israël vient à 1,8 billions de dollars, y compris les avantages commerciaux spéciaux, des contrats préférentiels ou des aides enterrés dans d'autres comptes. En plus de l'effort financier, l'aide américaine à Israël s'élève à quelque 275.000 emplois américains chaque année." Les secours déséquilibre commercial avec Israël seul entre 60-10 milliards de dollars coûte environ 125.000 emplois américains chaque année, Stauffer dit.
    L'élément le plus important dans les coûts a été la série de crises d'approvisionnement en pétrole qui ont accompagné les guerres israélo-arabes et la construction de la Petroleum Reserve stratégique. â? Jusqu'à présent, ces coûts ont les Etats-Unis 1,5 billion de dollars (2002 dollars), à l'exclusion des frais supplémentaires engagés depuis 2001, â? Stauffer a écrit.
    Le coût du soutien à Israël a considérablement augmenté après la guerre israélo-arabe 1973. soutien américain à Israël pendant cette guerre a entraîné des coûts supplémentaires pour le contribuable américain entre $ 750 000 000 000 et 1 billion de dollars Stauffer dit.
    Quand Israël a été de perdre la guerre, le président Richard Nixon est intervenu pour l'approvisionnement de l'Etat juif avec des armes des États-Unis. L'intervention de Nixon a déclenché l'embargo pétrolier arabe qui Stauffer estimations de coûts aux États-Unis autant que $ 600 000 000 000 en perte de PIB et un autre 450 $ de la hausse des coûts des importations de pétrole.
    "La crise pétrolière de 1973, dans l'ensemble, le coût de l'économie américaine au moins $ 900 000 000 000, et probablement autant que $ 1,200 milliards, dit-il.
    À la suite de l'embargo pétrolier des États-Unis a créé le Strategic Petroleum Reserve (SPR) pour "isoler Israël et les Etats-Unis contre le maniement de l'arme du pétrole" un Arabe à venir. " Le baril SPR milliards a coûté aux contribuables américains 134 milliards de dollars à ce jour. Selon une source d'alimentation de garantie à l'huile, dont l'ancien secrétaire d'Etat Henry Kissinger a fourni à Israël en 1975, Israël obtient «premier appel sur toute l'huile à la disposition des États-Unis si l'approvisionnement en pétrole, Israel est arrêté.
    Stauffer 3 billions de dollars chiffre est prudente puisqu'elle n'inclut pas l'augmentation des coûts engagés au cours de la longue accumulation année à la récente guerre contre l'Irak dans laquelle Israël a joué un, quoique secrète, rôle important. Les prix élevés du pétrole qui s'est produite à la suite de la campagne anglo-américaine contre l'Irak ont été absorbés par les consommateurs. L'augmentation des prix du pétrole a fourni un énorme bonus pour les compagnies pétrolières de premier plan telles que British Petroleum et Shell, qui sont producteurs de pétrole ainsi que des détaillants. La communauté internationale grandes compagnies pétrolières ont enregistré des bénéfices record pour le premier trimestre de 2003.
    Le rapport de Washington vise à "fournir au public américain avec l'information exacte et équilibrée concernant les relations des États-Unis avec les pays du Moyen-Orient." La revue mensuelle est connu pour suivi de près le montant de l'argent des contribuables américains qui se rend en Israël et combien d'argent pro-Israël reflue aux membres du Congrès sous la forme de l'aide de la campagne.
    Le site Web du journal, www.wrmea.com, a une mise à jour contre en haut qui indique combien de flux d'aide publique en Israël. Alors que le compteur se situe actuellement à 88,2 milliards de dollars, elle ne traduit que le minimum, car il ne comprend pas les coûts cachés de nombreux.
    «La distinction est importante, parce que les pertes indirectes ou indirects subis par les États-Unis en raison de son soutien aveugle à Israël dépasse de plusieurs fois par le montant substantiel de l'aide directe à Israël," Shirl McArthur a écrit dans le numéro de mai 2003 à Washington Rapport .
    McArthur article, "Un conservateur de Tally Total Direct aide américaine à Israël: 97,5 milliards de dollars - et de comptage" recoupe les coûts cachés, tels que les intérêts perdus à cause du décaissement rapide de l'aide à Israël et les fonds cachés dans d'autres comptes. Par exemple, Israël a reçu 5,45 milliards de dollars en département de la Défense de financement de projets d'armes israéliennes à 2002, McArthur dit.
    Les prêts consentis à Israël par le gouvernement américain, comme l'a récemment reçu 9 milliards de dollars, invariablement finissent par être payés par le contribuable américain. Un récent rapport du Congressional Research Service indique qu'Israël a reçu 42 milliards de dollars en prêts renoncé. "Par conséquent, il est raisonnable de considérer tous les prêts du gouvernement à Israël les mêmes que les subventions», dit McArthur.
    Le soutien à Israël a coûté cher en Amérique - bien au-delà de $ 10.000 par American - toutefois, le conflit israélo-palestinien a été extrêmement coûteux pour le monde entier. Selon Stauffer, la facture totale pour le soutien à Israël est de deux à quatre fois plus élevé que pour les seuls Etats-Unis - coûte à la communauté mondiale un montant estimatif de 6 à $ 12000000000000.
  • Israël est profondément reconnaissant de veto des États-Unis de la résolution de règlement

    par Kate le 19 Février, 2011

     

    Et plus de nouvelles de nos jours en Palestine:

    Terre, la propriété, le vol et la destruction des ressources / Le nettoyage ethnique / Settlers

    OPT: les démolitions, la sécheresse et des déplacements en Cisjordanie zone C
    RAMALLAH, 18 février (IRIN) - Démolition des structures des moyens de subsistance et de la sécheresse frappent déjà appauvries communautés palestiniennes vivant dans la zone C de la Cisjordanie dur cette année, selon les agences onusiennes et des organisations humanitaires internationales travaillant dans le territoire palestinien occupé (TPO). Démolition des structures des moyens de subsistance - y compris les structures commerciales, les établissements d'enseignement, des puits, des citernes d'eau, réservoirs de stockage de l'eau, des terres agricoles et les enclos d'animaux - par les autorités israéliennes en Cisjordanie et à Jérusalem-Est a augmenté d'environ 85 pour cent en 2010 et jusqu'ici en 2011, le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a indiqué à IRIN.
    http://www.trust.org/alertnet/news/opt-demolitions-drought-and-displacement-in-west-bank-area-c

    Rapport: Israël a vendu 1.400 logements de la Banque de règlement de l'Ouest en 2010
    NAZARETH, (PIC) 19 février - Le ministère israélien du Logement a vendu 1.400 aux colons à Jérusalem-Est et la Cisjordanie en 2010, un chercheur palestinien à l'intérieur de la Palestine occupée 1948-a dit dans un rapport le samedi. Selon les données recueillies par le procureur Qais Nasser, maître de conférences à la planification, la plupart des unités ont été vendues à Modiin (668), Har Homa (319), Ma'ale Adumim (101), Beitar Illit (126) et Givat Ze 'ev (78). Le rapport indique que les maisons vendues par an, constituent 35 pour cent du total des maisons vendues par le ministère du Logement.
    http://www.palestine-info.co.uk/En/default.aspx?xyz=U6Qq7k

    Avis de confiscation des terres à l'ouest d'Al-Khalil
    Al-Khalil, (PIC) 18 février - IOF a remis un certain nombre de Palestiniens du village de Kharas à l'ouest de la ville sud de la Cisjordanie d'al-Khalil avis [d'Hébron] expulsion exiger la remise d'une superficie de 20 dunums près du mur d'apartheid à l'ouest du village. Des sources locales ont dit que l'OIF a fait valoir que le terrain concerné appartient au gouvernement alors qu'en fait, une partie des terres appartient à Khalil al-Horoub, un résident du village. Le territoire ciblé est d'environ 300 mètres à l'est du mur d'apartheid et est planté d'oliviers et d'amandiers
    % Http://www.palestine-info.co.uk/En/default.aspx?xyz=U6Qq7k 2bcOd

    Les familles chassées que l'armée occupe le toit de Jérusalem
    18 février (IE) - Le bruit des bottes lourdes piétiner jusqu'à cinq étages résonné tout au long de l'immeuble entier sur une nuit récente que l'armée israélienne se dirige vers leur poste sur un toit dans le quartier de Silwan assiégé dans Jérusalem-Est occupée. .. le bruit des lourdes bottes piétinant jusqu'à cinq étages résonné tout au long de l'immeuble entier sur une nuit récente que l'armée israélienne se dirige vers leur poste sur un toit dans le quartier de Silwan assiégé dans Jérusalem-Est occupée.
    http://electronicintifada.net/v2/article11813.shtml

    «Mort aux Arabes» peints à la bombe dans le village
    18 février (Ynet) - Des vandales racistes peints à la bombe et des slogans anti-musulmans sur les murs des maisons dans le village palestinien de Beit Ilu, près de Ramallah le vendredi ... Une équipe d'enquête criminelle a lancé une enquête sur l'incident, qui est une apparente «prix» par les colons agir pour venger la démolition d'un avant-poste dans la région il ya trois jours ... Il a dit que les résidents locaux ont été frustrés par ce qui est le deuxième incident tels dans le village, ajoutant qu'aucun suspect n'avait été attrapé à ce jour dans les deux cas. «Les résidents jamais fait de mal ici les colons" Raduan dit. "Je ne comprends pas pourquoi ils nous harceler."
    http://www.ynetnews.com/articles/0, 7340, L-4030565, 00.html

    Bédouins du Néguev liste: la résistance arrestations de paix et de fusillades continuent
    18 février - Le mercredi, en dépit de la résistance pacifique, une variété de munitions (y compris ce qui est soupçonné d'être balles FN303 ) a été utilisé par la police Yassam sur les habitants et les militants. Un garçon de 11 ans et son grand-père ont été hospitalisés à la suite d'un choc et une baisse respectivement. D'autres qui ont été blessés par des balles a refusé d'aller à l'hôpital Soroka de peur qu'ils seraient soit arrêté ou non autorisé à retourner à Al Arakib. Ci-joint les photos des munitions utilisées, ce qui entraîne des blessures, l'incident de la route 40 et l'arrestation de l'un des partisans de Rahat.
    http://groups.google.com/group/NegevBedouin/browse_thread/thread/de0f022b3c620be8

    offres Edelstein à la force pour mettre fin à Barak de «geler le silence»
    18 février (JPost) - Likoud ministre Yuli Edelstein plans d'appeler le dimanche pour le gouvernement à ordonner ministre de la Défense Ehud Barak d'autoriser la construction de nouveaux blocs de colonies de Cisjordanie. Sauf que, at-il déclaré au Jerusalem Post jeudi, il a prévu de faire appel pour le gouvernement de Barak bande de son pouvoir d'autoriser la construction de colonies et de créer à la place un nouveau comité ministériel pour la Judée et la Samarie, qui permettrait une telle construction.
    http://www.jpost.com/DiplomacyAndPolitics/Article.aspx?id=208780

    vetos américains résolution de l'ONU sur les colonies israéliennes
    NATIONS UNIES (AFP) 18 février - Les États-Unis le vendredi opposé son veto à une résolution arabe au Conseil de sécurité de l'ONU qui aurait condamné la poursuite des constructions dans les colonies israéliennes, déclenchant la colère des Palestiniens immédiate.
    http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5i3nIUOspvbOA9JeR9ckKstbUKuWQ?docId=CNG.0fa794225a1dc218031fb89f47003c8c.631

    Etats-Unis: Veto sur le projet de l'ONU n'est pas l'approbation de la construction de colonies
    19 février (AP) - Etats-Unis à l'Ambassadeur des Nations Unies Susan Rice a déclaré vendredi que le veto américain d'une résolution du Conseil sécurité de l'ONU condamnant la construction projet de colonisation israélienne comme illégale ne devrait pas être considérée comme une approbation de la politique. "Nous rejetons avec la plus grande de la légitimité de poursuite de la colonisation israélienne", a dit Mme Rice. Elle a dit que le problème primordial pour l'administration Obama est de savoir si la résolution mènerait à des négociations de paix renouvelé.
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/us-veto-on-un-draft-is-not-endorsement-of-settlement-construction-1.344338

    Palestiniens disent veto américain ne servent pas la paix
    18 février (Reuters) - RAMALLAH (Reuters) - Les Palestiniens, a déclaré vendredi le droit de veto des États-Unis d'une résolution arabe parrainé par l'ONU du Conseil de sécurité condamnant la construction de colonies israéliennes sur des terres occupées nui à la cause de la paix en laissant Israël échapper à ses obligations.
    http://news.yahoo.com/s/nm/20110219/ts_nm/us_palestinians_un_vote_reaction

    Human Rights Watch veto règlement explosions
    19 février - Bethléem (Ma'an) - Le droit de veto des États-Unis d'un projet de résolution de l'ONU demandant à Israël de mettre fin aux politiques qui favorisent les établissements illégaux compromet l'application du droit international, Human Rights Watch a déclaré vendredi. Les Conventions de Genève, à laquelle Israël est partie, interdisent le transfert de la population civile d'un pays sur le territoire qu'elle occupe, Human Rights Watch a réitéré dans une déclaration peu après le vote du Conseil de sécurité.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361246

    La Haye demande des pourparlers directs après veto américain au Proche-Orient
    LONDRES (AFP) 19 février - secrétaire aux Affaires étrangères, William Hague a appelé Israël et les Palestiniens à revenir autour de la table des négociations après les États-Unis a opposé son veto une résolution parrainée par l'ONU arabes marque colonies israéliennes illégales.
    http://news.yahoo.com/s/afp/20110219/wl_uk_afp/israelpalestinianusunsettlerbritain

    L'OLP à faire frais de l'ONU contre-offre de règlement
    RAMALLAH (AFP) 19 février - Les Palestiniens plan pour faire une autre tentative de chercher des Nations Unies condamnation de la colonisation israélienne, après les États-Unis torpillé une motion au Conseil de sécurité, un haut fonctionnaire a déclaré samedi.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361416

    Cisjordanie protestation après vetos américains résolution de l'ONU
    Qalqiliya (Ma'an) 19 février - Des centaines de voitures accéléré à travers la ville palestinienne de Qalqiliya vendredi soir que l'administration Obama a mis son veto une résolution de l'ONU condamnant la continuation des colonies israéliennes. Les manifestants ont klaxonné cornes dans un spectacle de soutien pour le refus du président Mahmoud Abbas de céder aux efforts de dernière minute du gouvernement américain pour éviter le vote au Conseil de sécurité des Nations unies, a déclaré spectateurs.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361359

    Fury après vetos américains résolution de l'ONU de règlement
    BETHLEEM (Ma'an) 19 février - Un haut dirigeant du Fatah et ancien responsable du renseignement palestinien appelé samedi à une "journée de colère" contre l'Amérique après l'administration Obama a bloqué une résolution de l'ONU condamnant les colonies israéliennes. Tawfik Tirawi dit que les Palestiniens seraient protestation vendredi prochain
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361326

    Etats-Unis limitent les mouvements de personnel dans les zones palestiniennes
    JERUSALEM (AP) 19 février - Le consulat américain à Jérusalem est restreignant le mouvement de personnel dans certains secteurs palestiniens de la Cisjordanie. Il vient un jour après les Etats-Unis son veto à un Conseil de sécurité des Nations Unies la résolution qui aurait condamné la politique israélienne de construire des colonies exclusivement juives en Cisjordanie. Les employés sont désormais interdits de Voyage personnelle à la ville de Jéricho, et interdit d'utiliser un poste frontalier fréquentés par les Palestiniens. Il est également interdit d'utiliser certaines routes. Les interdictions ont été émises samedi et durera jusqu'au lundi. Un fonctionnaire consulaire dit que c'est une mesure de précaution.
    http://news.yahoo.com/s/ap/20110219/ap_on_re_mi_ea/ml_israel_palestinians

    Israël est profondément reconnaissant de veto des États-Unis sur la résolution de l'ONU condamnant les colonies
    Le Premier ministre grâce Office Obama pour nixing du Conseil de sécurité la résolution proposée par les Etats arabes censurer activités de colonisation israéliennes.
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/israel-deeply-appreciates-us-veto-on-un-resolution-condemning-settlements-1.344390

    AIPAC applaudit veto des États-Unis de la résolution de règlement
    BETHLEEM (Ma'an) 19 février - Le groupe pro-israélien AIPAC a exprimé sa satisfaction pour les droit de veto de l'administration Obama qui a bloqué une résolution de l'ONU condamnant les colonies israéliennes au Conseil de sécurité. Le groupe basé à Washington a déclaré dans un communiqué que le principal obstacle au processus de paix a été le refus du président Mahmoud Abbas de négocier avec Israël jusqu'à ce qu'il respecte les accords signés antérieurement.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361247

    Violence / détention

    Mise à jour: Les pêcheurs tués par Israël n'avait pas d'armes sur ou à proximité
    (Avec photos) 18 février - Plus d'informations sur le meurtre de trois pêcheurs palestiniens de Gaza a été rendue publique. Israël Défense Forces sources affirment que les trois hommes essayaient d'infiltrer l'Etat sioniste avec intention de nuire. Cependant, les rapports officiels médicaux compilé par des médecins sur l'état scène pas d'armes de toute nature ont été trouvés sur ou près de ces hommes qui ont été tués. Les hommes travaillaient sur la plage quand ils ont été touchés par des tirs d'artillerie israéliens.
    http://www.middleeastmonitor.org.uk/news/middle-east/2071-update-fishermen-killed-by-israel-qhad-no-weapons-on-or-near-themq

    grenades assourdissantes causer des blessures graves lors d'affrontements
    Silwan, à Jérusalem (SILWANIC) 18 février 23h11 - Un jeune Palestinien a été blessé à la poitrine après avoir été frappé avec deux grenades assourdissantes lors d'affrontements à Silwan. Les sources médicales confirment que son blessées par des grenades assourdissantes reste dans un état critique à l'hôpital. Les affrontements ont entre-temps étendu à la périphérie de Wadi Hilweh et Al Bustan quartiers, ayant également éclaté à Ras Al-Amoud où des dizaines de résidents palestiniens ont subi une asphyxie due à l'inhalation des gaz engendrés par une utilisation intense des israéliens de grenades lacrymogènes. Les affrontements sont toujours en cours à Ein Fouqa, Ein Tahta et Samer Sarhan zones Street.
    http://silwanic.net/?p=12095

    De violents affrontements continuent dans la nuit
    Silwan, à Jérusalem (SILWANIC) 18 février 23h52 - Les affrontements sont actuellement persistant à travers Silwan entre les forces israéliennes et des résidents palestiniens. De violents affrontements se concentrent autour de la Fouqa Ein et Samer Sarhan zones Street.
    Les affrontements ont repris quand un jeune Palestinien blessé à la main et la jambe lors de l'impact avec des grenades assourdissantes tirées par des soldats israéliens.
    http://silwanic.net/?p=12089

    adolescents blessés arrêtés pendant la prière publique dans al-Bustan
    Silwan, à Jérusalem (SILWANIC) 18 février - Un jeune Palestinien a été arrêté par les forces israéliennes aujourd'hui lors d'une prière publique dans la tente de protestation Al-Bustan. 17 ans Muhannad Qawasmi de Bir Ayyub quartier de Silwan a été saisi par la police tandis que la prière hebdomadaire tenue à la tente. Qawasmi a été tourné dans les yeux le 28 Juin 2010 au cours de violents affrontements à Silwan, perdre un œil à la suite
    http://silwanic.net/?p=12042

    Jihad islamique: forces élément de libération sous caution PA
    BETHLEEM (Ma'an) 18 février - sécurité de l'Autorité palestinienne a publié un membre des forces du Jihad islamique jeudi après que sa famille se sont engagés sur le cautionnement, la faction islamiste dit.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361127

    Siège

    L'Egypte ouvre la frontière de passage à Gaza - d'une manière
    18 février - Le seul passage entre l'Egypte et la bande de Gaza a rouvert vendredi soir pour les Palestiniens échoués. Près de 6.000 Palestiniens ont été empêchés de rentrer chez eux depuis que les protestations contre le régime ont éclaté le 25 janvier. Ghazi Hamad, chef de passage de Gaza à l'autorité, dit le terminal de Rafah serait ouvert d'abord dans un sens. Il a ajouté que des efforts étaient en cours pour l'ouvrir de façon permanente. L'ambassadeur palestinien au Caire, Barakat Al-Farra, a déclaré le passage à niveau serait également ouvert le samedi.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361190

    14 Palestiniens libérés de la garde égyptienne
    GAZA (Ma'an) 19 février - Les autorités égyptiennes libéré 14 prisonniers palestiniens qui ont été arrêtés à la frontière Gaza-Egypte, un fonctionnaire des affaires des détenus a déclaré samedi matin. Imad Al-Sayyed a déclaré à Ma'an que les prisonniers ont été libérés vendredi soir de l'Al-Aqrab et les prisons Burj Al-Arab, au Caire. Leur libération a été confirmée et qu'ils sont en route vers la bande de Gaza, Al-Sayyed dit, ajoutant qu'il y avait 19 autres Palestiniens qui sont restés derrière les barreaux en Egypte.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361363

    Israël ouvre 1 de passage à Gaza pour des produits limités
    18 février - Les autorités israéliennes ont décidé d'ouvrir un passage vers Gaza vendredi pour le transfert limité de produits, des responsables palestiniens.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361094

    PHR-Israël est entré dans Gaza aujourd'hui après un mois interdiction de 18
    ReliefWeb 17 février - Au nom de PHR-Israël, je suis heureux d'annoncer que pour la première fois dans plus de 18 mois, Physicians for Human Rights-Israel a reçu l'autorisation d'entrer à Gaza pour fournir des services médicaux dans les domaines de l'orthopédie et neurologie. la délégation médicale PHR-Israël passera les prochaines 48 heures à l'hôpital Al Shifa à Gaza City à voir des patients, la formation des médecins, et exprimant la solidarité avec nos homologues palestiniens vivant sous près de quatre ans de fermeture et le mouvement en cours et les restrictions d'accès.
    http://www.reliefweb.int/rw/rwb.nsf/db900SID/VVOS-8E6S7A?OpenDocument&RSS20=02-P

    Activisme / Solidarité / Boycott, désinvestissement et sanctions

    Activisme rafle: Bil'in commémore six années de protestation
    18 février (IE) - The Electronic Intifada vous apporte ce tour d'horizon des nouvelles récentes de l'activisme à travers le monde, y compris les interruptions par des étudiants universitaires du discours par un soldat israélien et un homme politique dans le Massachusetts et en Ecosse, un mouvement de dénoncer une violation de Seattle droits de la liberté d'expression et de manifestation un groupe de jeunes palestiniens contre un marathon pour colons seulement dans la Cisjordanie occupée.
    http://electronicintifada.net/v2/article11815.shtml

    FOI blessent un certain nombre de manifestants, dont un grièvement
    RAMALLAH, (PIC) 18 février - Cinq personnes ont été blessées vendredi après-midi, dont un grièvement, et des dizaines souffert de difficultés respiratoires lorsque les troupes d'occupation confronté la manifestation hebdomadaire contre le mur dans le village de Bilin, près de Ramallah. Rateb Abu Rahma, le coordonnateur des médias du comité anti-mur a déclaré que les troupes IOF blessé un garçon de 16 ans avec un "tutu" bullet de son côté, le blessé a été transporté à l'hôpital. Un autre a été touché par une grenade assourdissante dans sa main.
    % Http://www.palestine-info.co.uk/En/default.aspx?xyz=U6Qq7k 2bcOd

    Action d'alerte: US retards de visa pour les BDS Barghouti leader à la veille de la tournée
    18 février (AE) annulant une tournée de conférences prévues, le consulat américain à Jérusalem a inexplicablement retardé l'octroi d'un visa pour Omar Barghouti , membre fondateur de la Société palestinienne Boycott civile, Désinvestissement, Sanctions (BDS), en raison de la visite Etats-Unis en avril pour la sortie de son nouveau livre, Boycott, Désinvestissement, Sanctions: La lutte mondiale des droits des Palestiniens ... sponsors tour Barghouti appellent ses partisans à communiquer avec le consulat américain à Jérusalem et le Département d'État pour leur demander de remplir la promesse de l'administration Obama de «promouvoir le marché mondial des idées» et d'accorder de visa Barghouti immédiatement.
    http://electronicintifada.net/v2/article11814.shtml

    La guerre contre les produits israéliens
    18 février (Ynet) - mouvement de boycott ne fait pas d'impact financier, mais nuit à l'image globale d'Israël - Trionfale marché, en banlieue de Rome. Une douzaine de militants vêtus de tenues de produire fournisseur portant le logo de la production israélienne Carmel Agrexco exportateur descendre sur la rue, offrant des acheteurs avocat maculé de sang. "Madame, vous pouvez acheter notre avocat et le soutien à l'occupation," l'un d'eux crie vers un spectateur. "La couleur de l'avocat est rouge parce que l'eau que les Israéliens nous voler est si bon." C'est la meilleure eau Palest ... oh, Israël. Acheter Carmel. Il est très savoureux, at-il ajouté.
    http://www.ynetnews.com/articles/0, 7340, L-4029865, 00.html

    membre de la Knesset dit boycott a déjà coûté des dizaines d'Israël de millions de dollars / Philip Weiss
    Un nouveau lobby Knesset a été lancé par Miri Regev , un membre de la Knesset, pour s'opposer à la «menace de la délégitimation d'Israël." Voici un rapport de l'hébreu dans la traduction partielle :
    http://mondoweiss.net/2011/02/knesset-member-says-boycott-has-already-cost-israel-tens-of-millions-of-dollars.html

    Knesset passe en première lecture du projet de loi pour imposer des sanctions à ceux qui boycottent Israël
    18 février - La lutte contre les campagnes de boycott d'Israël le projet de loi passé par la Knesset le 16 Février et comprendra des mesures contre ceux qui participent à des boycotts économiques et académiques.
    http://www.middleeastmonitor.org.uk/news/middle-east/2069-knesset-passes-first-reading-of-bill-to-impose-sanctions-on-those-who-boycott-israel

    Le droit de boycotter / Adam Keller
    18 février - Depuis la fondation de l'État d'Israël, le Grand Rabbinat et le rabbinates locales dans différentes villes israéliennes ont mené une campagne de boycott contre les restaurants et les magasins qui vendent de la nourriture non casher ... Afin de mener cette campagne, le rabbinat dispose d'un vaste appareil, avec des centaines de travailleurs entièrement libérées, dont les salaires sont payés par le contribuable israélien ... Depuis 1997, Gush Shalom - dont l'écrivain est le porte-parole - a mené une campagne de boycott contre les produits fabriqués à l'égard des colonies israéliennes dans les territoires occupés, établies en violation du droit international. Nous publions une liste de produits fabriqués dans les colonies, et nous appelons le public à s'abstenir d'acheter ces produits. Gush Shalom ne reçoit pas un sou dans la bourse du contribuable, ni obtenir de l'argent d'aucun gouvernement étranger.
    http://adam-keller2.blogspot.com/2011/02/right-to-boycott.html

    # BDS: Israël sentiment joueur de tennis «confortable» dans la zone de sécurité de Dubaï
    ... Quand la plupart des joueurs aux Championnats de Dubaï terminer leurs matches, ils se mêlent dans le pavillon de manger et de bavarder. Pour Shahar Peer, c'est le retour à un composé surveillé où elle regarde des films avec son père Dov.
    http://youthanormalization.blogspot.com/2011/02/bds-israeli-tennis-player-feeling-comfy.html

    # BDS: fascistes et les sionistes trouver un terrain commun
    «Aujourd'hui, en Grande-Bretagne, si vous avez décidé de participer à un rassemblement fascistes, vous pourriez voir quelque chose de légèrement inattendue dans la foule:. Le drapeau israélien des drapeaux israéliens sont de plus en plus fréquentes, comme unir leurs forces sionistes avec les fascistes à se mobiliser contre les groupes anti-fasciste et pro Palestine-partisans dans toute l'Europe.
    http://youthanormalization.blogspot.com/2011/02/bds-fascists-and-zionists-find-common.html

    # BDS: Bonjour Kitty magasin ouvre en Israël
    "Japanese personnage de fiction, dont l'image a été utilisée sur 280.000 produits en Europe, officiellement des terres en Israël dans le cadre de la nouvelle chaîne de magasins
    http://youthanormalization.blogspot.com/2011/02/bds-hello-kitty-store-opens-in-israel.html

    # BDS: John Greyson: le sexe, la chanson et la ségrégation
    Le 28 Février, primé cinéaste canadien John Greyson sera présent à Montréal pour Cinema Politica Université Concordia sexe de filtrage des événements spéciaux, Song et la ségrégation. Réunissant des pingouins, des protestations, des chœurs mégaphone et Elton John dans une combinaison explosive politiquement, l'événement vise à célébrer les contributions Greyson à l'art et l'activisme, la cartographie de 25 ans de films explorant l'Afrique du Sud, la Palestine, la race, le sexe, la politique, et la musique.
    http://youthanormalization.blogspot.com/2011/02/bds-john-greyson-sex-song-and.html

    # BDS: Un caillou dans le courant dominant
    Sur la dernière tournée du groupe en Israël, Jazz Faithless Maxi chanteur et guitariste Dave Randall a réellement pris conscience de l'occupation israélienne et la fin de l'année dernière - au milieu de beaucoup l'attention du public - a annulé son concert Faithless prévue israélienne.
    http://youthanormalization.blogspot.com/2011/02/bds-pebble-in-mainstream.html

    écrivains palestiniens fuient sur ​​Israël honneur McEwan
    TEL AVIV (Reuters) 18 février - Après avoir haussé les épaules des appels de refuser un honneur israélienne littéraire, Ian McEwan a trouvé lui-même boycotté par les écrivains palestiniens avec lesquels il avait cherché à favoriser le dialogue pacifique.
    http://news.yahoo.com/s/nm/20110218/stage_nm/us_books_mcewan_israel_1

    Les développements politiques

    Hamas: Prêt à rencontrer le chef du Fatah à Gaza
    GAZA (Ma'an) 19 février - Le Hamas est prêt à rencontrer membre du comité central du Fatah Nabil Shath à Gaza pour discuter de la réconciliation palestinienne, le chef du Hamas Atallah Abou As-Sabeh, a déclaré vendredi ... Shaath a déclaré jeudi qu'il était prêt à aller à la bande de Gaza et de discuter de conciliation si la direction du Hamas serait d'accord.
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=361211

    «Traité de paix avec Israël est au peuple égyptien"
    (Reuters) 18 février - Le porte-parole de l'Egypte des Frères musulmans, répond aux États-Unis directeur du renseignement national, qui a dit il a assumé la Fraternité n'a pas été en faveur du maintien du traité de paix avec Israël. Les Frères musulmans, l'Egypte force politique la mieux organisée, a déclaré vendredi une décision sur le traité de paix du pays avec Israël a augmenté au peuple égyptien et qu'il n'imposerait pas son point de vue sur les ... Erian n'a pas encore défini la position de la Fraternité sur les accords, signés au nom de l'Egypte par le président Anouar el-Sadate en 1979.
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/peace-treaty-with-israel-is-up-to-the-egyptian-people-1.344302

    Rapport: L'Egypte a approuvé les navires de guerre l'Iran d'utiliser le canal de Suez
    Ce serait la première fois depuis l'Iran révolution islamique de 1979 que des navires iraniens ont utilisé Suez; Etats-Unis disent qu'ils sont la surveillance des navires et de critiquer «feuille de route" de l'Iran dans la région ... Les responsables iraniens ont déclaré que les deux navires, actuellement dans les eaux internationales, sont dirigés vers la Syrie pour la formation.
    http://www.haaretz.com/news/international/report-egypt-has-approved-iran-warships-to-use-suez-canal-1.344310

    Autres nouvelles

    Tsahal se prépare plus les craintes de l'Egypte de style W. Banque démos
    18 février (JPost) Préoccupés par la perspective des Palestiniens reproduire des manifestations de masse de style égyptien avec des dizaines de marches et des manifestations simultanées en Cisjordanie, l'armée israélienne est en train de construire des forces de réaction rapide et d'identifier les points de vue dans tous les territoires qui pourraient être utilisés pour contenir de telles protestations. L'armée israélienne du Commandement central évalue que les Palestiniens pourraient recourir à la résistance non-violente que l'on appelle, à une échelle jusqu'ici inconnue en Israël, en l'absence de négociations de paix.
    http://www.jpost.com/Defense/Article.aspx?id=208786

    Burqa police lutter contre la criminalité officiers de sexe féminin dans la bande de Gaza
    17 février (Ynet) - Le Hamas établit unité de police spéciale pour traiter les interrogatoires, l'incarcération des criminels de sexe féminin; officiers formés à l'utilisation de la M-16 [burqa? Certainement pas. Essayez «hijab».]
    http://www.ynetnews.com/articles/0, 7340, L-4029928, 00.html

    Courte vidéo: West Bank ânes trouver refuge en zone de guerre
    (AFP) 18 février - Palestiniens et Israéliens de travailler ensemble pour le bien-être des ânes [tous ceux qui ont compté sur le patient, mais fort ânes pour porter la nourriture et des sacs d'olives apprécieront gens qui s'occupent de malades et les retraités. Bien sûr, au tout début de la vidéo doit faire apparaître l'âne une fois utilisé pour une attaque, mais essayez d'aller au-delà de la partie et de regarder le reste.]
    http://www.timesofmalta.com/articles/view/20110218/world-news/west-bank-donkeys-find-safe-haven-in-war-zone

    musée néerlandais de prêter Picasso pour l'affichage en Cisjordanie
    17 février (BBC) - Eindhoven Van Abbe Museum est prêt de la toile 1943 Buste de Femme à l'académie internationale d'art Ramallah, Radio Netherlands Worldwide rapports. Un film doit être fait du voyage de la peinture, y compris la frontière israélienne et autres points de contrôle.
    http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-12502085

    Les enfants des livres: Le passé est le présent et le présent est passé
    Lorsque la grand-mère 13-ans Hayaat s'effondre et est transporté à l'hôpital, elle ne croit qu'à une chose peut revivre son bien-aimé Sitti Zeynab - sol du jardin de sa maison ancestrale à Jérusalem-Ouest, six miles de logements neufs de la famille dans Bethléem dans le conflit israélo-Cisjordanie occupée. Hayaat est déterminé à parvenir à un domicile Sitti Zeynab sur le côté israélien du mur de barrière, et la ramener un pot rempli de terre hoummos dans le roman les enfants Randa Abdel-Fattah's Where The Streets avait un nom.
    http://www.vancouversun.com/entertainment/Kids+books+past+present+present+past/4312723/story.html

    Analyse / Opinion

    Al-Tariq: Un dialogue avec l'occupation, la colonisation et l'apartheid! / PACBI
    Comme étudiants palestiniens basés à Gaza, nous sommes alarmés de voir encore un autre groupe «Al Tariq» [1] présentant des solutions pour nous Palestiniens, comme si deux parties égales étaient enfermés dans une impasse. Selon le site du groupe «deux côtés» nécessité «d'apprendre les uns des autres par la réconciliation, le pardon, et le dialogue". Pour nous les jeunes parmi les 1,5 millions qui languissent dans la bande de Gaza prison à ciel ouvert, (800.000 enfants) les 4 blocus long de l'année médiévale de terre, air et mer et à 2 ans après la plus dévastatrice des massacres qui ont tué plus de 1400 d'entre nous et plus de 350 de nos enfants, c'est tout à fait une insulte.
    http://www.pacbi.org/etemplate.php?id=1476

    Peut-être devrait paddle Gaza son propre canot / Stuart Littlewood
    18 février - ... du Hamas disent qu'ils ne sont pas jouer au ballon parce que les élections renforcer les divisions internes de la Palestine. En tout cas, Abbas et le Premier ministre Fayyad n'ont aucune autorité légitime pour organiser et superviser ces élections et le Hamas ne leur donnera pas la reconnaissance ou la couverture de le faire. Comme d'habitude, Abbas a des choses à l'envers. factions de la résistance ont certainement raison d'insister sur l'unité première. La fragmentation persistante politique et la séparation physique des deux territoires ont conduit à des violations graves des conditions qui doivent prévaloir pour des élections véritablement libres et honnêtes qui doivent avoir lieu. Le PCHR (Centre palestinien pour les Droits de l'Homme) vient de publier un énoncé de position, ce qui comprend les éléments suivants:
    http://www.intifada-palestine.com/2011/02/stuart-littlewood-maybe-gaza-should-paddle-its-own-canoe/

    Etats-Unis, les guerres des États-Unis

    US Marine en cas assassiner Iraq retour à Brigue
    Camp Pendleton, Californie (AP) 18 février - Un Marine renvoyé au brick vendredi à servir les cinq dernières années d'une peine de 11 ans pour le meurtre d'un Irakien dans l'un des cas les plus significatifs pénale contre les troupes américaines de l'Irak la guerre.
    http://news.yahoo.com/s/ap/20110218/ap_on_re_us/us_marine_iraq_shootings

    Les résidents des États-Unis ont rasé un village afghan cas des différends à la destruction
    18 février - IPS - Le commandant des forces américaines de l'OTAN dans le sud de l'Afghanistan, le major-général James Terry, a affirmé le mois dernier que les maisons systématiquement détruits par les forces américaines dans trois districts de la province de Kandahar dans le cadre de l'Opération Dragon Strike en Octobre et novembre "ont été abandonnés, vides et sans fil avec des tableaux ingénieux de bombes." Mais dans les entretiens avec IPS sur le site du village détruit de Tarok Kalache, maintenant rien de plus qu'une plaine poussiéreuse entourée de vergers, les anciens résidents contesté que compte des circonstances de la destruction de leur village.
    http://dissidentvoice.org/2011/02/residents-of-razed-afghan-village-dispute-us-case-for-destruction/

    Helen Thomas: les Juifs n'ont pas besoin de quitter l'Europe après l'Holocauste
    En interview à CNN, le journaliste vétéran refuse d'appeler commentaires invitant les juifs à quitter Israël et le retour à l'Europe insensible, dit que le traitement par Israël des Palestiniens est l'insensibilité réel.
    http://www.haaretz.com/jewish-world/helen-thomas-jews-didn-t-have-to-leave-europe-following-holocaust-1.344196

    Vidéo: The Daily Show tente de guérir-musulman bigoterie anti avec le Salon Q'Osby
    Quand Katie Couric a suggéré qu'il devrait y avoir une version musulmane de The Cosby Show (oui, elle a suggéré que vraiment), The Daily Show de Aasif Mandvi pensé que c'était une idée géniale. Ainsi est né Le Salon Q'Osby, tentative de Mandvi au durcissement anti-fanatisme musulman, tout comme The Cosby Show racisme anti-noir guéri. Les résultats ont été, pour le dire par euphémisme, mixtes ... Morale de l'histoire: nous n'avons pas besoin The Show Q'Osby. Nous n'avons même pas besoin de Dieu dans la famille. Nous avons besoin de moins-musulman poubelle anti découlant de points de fanatiques comme Fox Nouvelles Channel .
    http://www.dailykos.com/story/2011/02/18/946864/-The-Daily-Show-tries-to-cure-anti-Muslim-bigotry-with-The-QOsby-Show

  • La politique américaine au Moyen-Orient


    Le droit de veto des États-Unis des résolutions de l'ONU en faveur d'Israël

    Par Donald Neff
    Ancien chef du bureau de Time Magazine, Israël
    Cette version mise à jour a été publiée en cinquante ans d'Israël
    A l'origine imprimé dans Washington Report , Septembre / Octobre 1993

    Donald Neff a été journaliste pendant quarante ans. Il a passé 16 ans dans le service pour le Time Magazine et est un contributeur régulier au Moyen-Orient International et le rapport de Washington sur les affaires du Moyen-Orient. Il a écrit cinq excellents livres sur le Moyen-Orient.

    Le 17 Mars 1970, les États-Unis jeté son premier veto au Conseil de sécurité des Nations Unies au cours de la présidence de Richard Nixon, Henry Kissinger lorsqu'il était conseiller à la sécurité nationale. Il a été un moment historique, puisque jusqu'à ce moment-là que Washington avait été en mesure de marquer des points de propagande lourde à cause de l'utilisation effrénée de l'Union soviétique de son droit de veto. Le premier veto des États-Unis dans l'histoire a été un geste de soutien à la Grande-Bretagne, qui était sous la pression du Conseil de sécurité de mettre fin au gouvernement minoritaire blanc de Rhodésie du Sud.

    Deux ans plus tard, cependant, le 10 septembre 1972, les États-Unis employé son droit de veto pour la deuxième fois à protéger Israël. 1 Ce droit de veto, comme il s'est avéré, a marqué le début d'une politique cynique d'utiliser le veto américain à plusieurs reprises pour protéger Israël de toute critique, censure et les sanctions internationales.

    Washington a utilisé son droit de veto 32 fois de protéger Israël de projets de résolution critique entre 1972 et 1997. Cela constituait près de la moitié du total des droits de veto des États-Unis 69 coulé depuis la fondation de l'ONU, l'Union soviétique coulé 115 vetos au cours de la même période. 2

    Les premiers 1972 veto pour protéger Israël a été coulé par George Bush [père] en sa qualité d'ambassadeur des États-Unis à l'organisation mondiale. Ironiquement, c'est en tant que président Bush qui a temporairement arrêté l'utilisation du droit de veto pour protéger Israël 18 ans plus tard. La dernière de ces veto a été coulée sur le 31 mai 1990, il a été jugé, tuant une résolution approuvée par les 14 autres membres du conseil d'envoyer une mission de l'ONU pour étudier les violations israéliennes des Palestiniens dans les territoires occupés. Ensuite, le président Bill Clinton est arrivé, et jeté trois autres.

    La justification de la coulée du premier veto pour protéger Israël a été expliquée par Bush à l'époque comme une nouvelle politique de lutte contre les terroristes. Le projet de résolution avait condamné les attaques d'Israël contre le Liban l'air lourd et la Syrie, en commençant le 6 septembre, au lendemain de 11 athlètes israéliens ont été tués lors des Jeux Olympiques de Munich en 1972 une tentative avortée palestiniens de les saisir comme otages au commerce pour les Palestiniens dans les prisons israéliennes . 3 Entre 200 et 500 Libanais, des Syriens et des Palestiniens, en majorité des civils, ont été tués dans les raids israéliens. 4

    Néanmoins, Bush s'est plaint que la résolution n'avait pas réussi à condamner les attaques terroristes contre Israël, ajoutant: "Nous mettons en œuvre une nouvelle politique qui est beaucoup plus large que celle de la question d'Israël et les Juifs. En quoi consiste le problème du terrorisme, une question qui va droit au cœur de notre vie civilisée. " 5

    Malheureusement, cette «politique» s'est avéré être seulement une justification pour protéger Israël de la censure pour violation d'une vaste gamme de lois internationales. Cela est devenu très clair lorsque le droit de veto des États-Unis a été coulée suivante un an plus tard, le 26 Juillet, 1973. Cela n'avait rien à voir avec le terrorisme. Le projet de résolution a affirmé les droits des Palestiniens et des dispositions établies pour le retrait israélien des territoires occupés comme incarnée dans les résolutions antérieures de l'Assemblée générale. 6 Néanmoins, Washington a tué cet effort international pour mettre fin à l'occupation israélienne des terres palestiniennes.

    Washington a utilisé le veto quatre fois plus en 1975-76 alors que Henry Kissinger a été secrétaire d'État. L'un de ces droits de veto sans doute peut-être en cause le terrorisme, puisque le projet a condamné les attaques israéliennes sur des civils libanais en réponse à des attaques contre Israël. Mais les trois autres veto n'avait rien à voir avec le terrorisme.

    Un, en fait, annulé un projet de résolution qui reflète la politique américaine contre le changement par Israël du statut de Jérusalem et l'établissement de colonies juives en territoire occupé. Seulement deux jours plus tôt, l'ambassadeur américain William W. Scranton a prononcé un discours à l'ONU appelant les colonies israéliennes illégales et le rejet de la prétention d'Israël à l'ensemble de Jérusalem. 7 Pourtant, le 25 Mars 1976, les États-Unis a opposé son veto une résolution reflétant les positions de Scranton, qui avait été adoptée à l'unanimité par les 14 autres membres du conseil. 8

    Les deux autres pendant le règne de veto Kissinger ont également été exprimées en 1976. Un, le 26 janvier, a tué un projet de résolution demandant la reconnaissance du droit à l'autodétermination pour les Palestiniens. L'autre, le 29 Juin, a appelé à l'affirmation des «droits inaliénables» des Palestiniens. 9

    L'administration Carter moulé un seul droit de veto. Mais cela n'avait rien à voir avec le terrorisme. Il est venu sur le 30 avril 1980, tuant un projet qui a approuvé l'autodétermination pour le peuple palestinien. 10

    L'agresseur de tous les temps du droit de veto a été l'administration de Ronald Reagan, la présidence la plus pro-israélien dans l'histoire des États-Unis, avec le secrétaire les plus pro-israélien de l'Etat, George Shultz, depuis Kissinger. L'équipe Reagan cyniquement invoqué le droit de veto 18 fois pour protéger Israël. Un record de six de ces vetos ont été exprimés dans la seule année 1982. Neuf des vetos Reagan a résulté directement de tentatives du Conseil de sécurité de condamner Israël en 1982 l'invasion du Liban, et le refus d'Israël de se rendre sur le territoire au sud du Liban où il occupe encore aujourd'hui. Les neuf autres vetos blindé Israël de toute critique du Conseil pour de tels actes illicites comme le 4 février 1986, détournement d'avion d'un avion libyen . 11

    l'aviation israélienne a forcé l'avion à réaction à la terre en Israël, prétendument dans le but de capturer terroriste palestinien Abou Nidal. Il n'était pas à bord et, après interrogatoire, les passagers ont été autorisés à quitter. 12 Le délégué américain a expliqué que cet acte de piraterie a été excusable », car nous croyons que la capacité de prendre de telles mesures dans des circonstances définies et limitées avec soin, c'est un aspect de la droit inhérent de légitime défense reconnu dans la Charte des Nations Unies. " 13

    droit de veto sur les autres employés exclusive au nom de l'Israël inclus 20 janvier 1982 mort d'une demande à Israël de retirer du plateau du Golan qu'elle occupait en 1967 14 , le 20 avril 1982 la condamnation d'un soldat israélien qui a tué 11 fidèles musulmans au Haram Al-Sharif dans la Vieille Ville de Jérusalem 15 , le 1 février 1988 appel à Israël de cesser de violer les droits humains palestiniens dans les territoires occupés, respecter la Quatrième Convention de Genève et de formaliser un rôle de premier plan pour les Nations Unies dans les futures négociations de paix 16 , le 15 avril 1988 résolution demandant à Israël de permettre le retour des Palestiniens expulsés, en condamnant les tirs d'Israël des civils, appelant Israël à respecter la Quatrième Convention de Genève et en appelant à un règlement de paix sous les auspices de l'ONU. 17

    Les Bush [père] l'administration du droit de veto utilisé quatre fois pour protéger Israël: le 17 février 1989, de tuer un projet déplorant vivement la répression israélienne du soulèvement palestinien et demandant à Israël de respecter les droits humains des Palestiniens 18 ; sur 9 juin 1989, déplorant la violation par Israël des droits de l'homme des Palestiniens 19 ; le 7 novembre 1989, réclamant la propriété retour d'Israël confisquées aux Palestiniens lors d'une manifestation d'impôt et demande à Israël de permettre à une mission d'enquête fait d'observer la suppression d'Israël tactiques contre le soulèvement palestinien 20 et, enfin, le 31 mai 1990, appelant à une mission d'enquête sur les abus contre les Palestiniens dans les terres occupées par Israël. 21

    Le 31 mai 1990 veto a été la dernière, sans doute, à la suite d'une entente secrète, si ce n'est pas un accord officiel, avec la Russie et les trois autres membres du Conseil avec droit de veto. D'ici là, il était devenu évident que le conseil ne pouvait pas être efficace dans un monde post-guerre froide, si la Grande-Bretagne, Chine, France, Russie et les Etats-Unis témérairement invoqué leur droit de veto.

    En outre, les alliances internationales recherché par Washington pour repousser l'invasion irakienne du Koweït en août 1990, rendu nécessaire pour l'administration Bush de maintenir l'unité du Conseil de sécurité. En conséquence, au lieu de s'abstenir sur ou veto des résolutions critiques d'Israël, comme il l'a fait en 1989 et la première moitié de 1990, l'administration Bush brusquement rejoint les autres membres à la fin de 1990, 1991 et 1992 en passant six résolutions déplorant ou en condamnant fermement Israël conduite contre les Palestiniens. 22

    Ces résolutions ont porté le total adopté par le conseil contre Israël depuis sa naissance à 68. Si les États-Unis n'avait pas invoqué son droit de veto, le dossier contre Israël total de 100 résolutions condamnant ou critiquer son comportement ou de soutenir les droits des Palestiniens.

    L'accord sur les vetos a occupé jusqu'en Mars 1995, lorsque le président Clinton a invoqué le droit de veto après les 14 autres membres de l'ONU a approuvé une résolution demandant à Israël d'annuler une décision d'exproprier 130 acres de terres à Jérusalem-Est arabe. 23 L'administration Clinton a exercé deux vetos plus en 1997, deux d'entre eux sur les résolutions autrement appuyé à l'unanimité par les 14 autres membres du Conseil de sécurité. Le projet de résolution a été critique de l'intention d'Israël d'établir une nouvelle colonie de Har Homa / Jabal Abou Ghneim à Jérusalem-Est au milieu des habitations palestiniennes. 24

    Les trois vetos Clinton porté à 32 le nombre de Washington a jeté pour protéger Israël.

  • 400 médicaments «porteurs» de cancers et de stérilité

    Alors que chez nous beaucoup s’agitent autour de ruptures de stocks, de pénurie des médicaments, le problème, le vrai problème est ailleurs et bien plus grave. Les médicaments que nous «avalons» sont mis en cause par des scientifiques. Le Rhinatiol, le Primpéran, le Maalox, des antidiabétiques...

    Le point de départ de l’information qui nous intéresse, cette semaine, se situe en France mais nous concerne tout autant. Il s’agit de médicaments cancérigènes. Le quotidien français Le Monde a publié une liste comportant 400 de ces médicaments. Des médicaments que l’on retrouve dans toutes nos pharmacies. La France étant notre premier fournisseur d’où proviennent 60% de nos approvisionnements en médicaments. Voilà pourquoi cette affaire est aussi notre affaire! Alors que chez nous beaucoup s’agitent et parlent seulement de disponibilité, de ruptures de stocks, de pénurie des médicaments, le problème, le vrai problème est ailleurs et bien plus grave.
    Les médicaments que nous «avalons» guérissent, peut-être, des maladies mais nous en causent d’autres, autrement plus graves. Il y a vraiment de quoi être inquiets car la liste comprend des médicaments très courants comme le paracétamol, le Rhinatiol, le Primpéran, le Maalox, des antidiabétiques et bien d’autres. Comment est-ce possible? Comment cela a-t-il été découvert? Comment parer à la situation? Ce sont les vraies questions. Des scientifiques ont analysé ces médicaments et ont découvert que des dérivés pétro-chimiques, les parabènes, sont utilisés lors de la fabrication par les laboratoires comme conservateurs. Ils ont découvert que ces parabènes provoquent des cancers en perturbant le fonctionnement de notre système hormonal. Pas seulement puisqu’ils causent aussi des problèmes de fertilité masculine. L’accusation est grave. Trop grave. Plusieurs laboratoires sont ainsi mis au banc des accusés. Pour une histoire de sous, nous dit-on. Au lieu d’utiliser des conservateurs naturels qui coûtent plus cher, les industriels choisissent les parabènes pour réduire les prix de revient. C’est simple et cruel. Reste tout de même une question et non des moindres: par quel miracle la toute puissante industrie pharmaceutique est-elle ainsi attaquée? Et par qui? Difficile à l’heure actuelle d’avoir une réponse. Seulement des hypothèses. Il y a d’abord le jeu de la concurrence qui à ce niveau-là ne fait pas «dans la dentelle». Mais si l’on «creuse» un peu plus, on trouve que la stérilité réduit la démographie. Les cancers aussi. Et si l’on poursuit ce raisonnement on débouche sur la politique. De cette politique qui ne s’embarrasse d’aucun état d’âme. On sait que la planète souffre de la faim, des maladies, de surpopulation. Que ce sont d’importants défis à relever.
    De là à dire que l’industrie pharmaceutique est impliquée dans une stratégie de réduction de la démographique à l’échelle mondiale, il y a un pas que nous ne franchirons pas. Du moins en l’état actuel des informations. Avouons que l’affaire est tout de même plus «lourde» à comprendre que lorsqu’il s’agissait d’un seul laboratoire comme Servier avec le scandale de son Médiator.
    S’attaquer à 400 médicaments produits par plusieurs labos est difficilement explicable. Quoi qu’il en soit et en ce qui nous concerne, le principe de précaution doit dicter nos actions face au danger. Un principe que nos autorités sanitaires doivent immédiatement mettre en oeuvre. Beaucoup des médicaments incriminés, notamment ceux dits de confort, doivent être retirés du circuit de commercialisation. Pour les autres, nos responsables de la pharmacovigilance doivent prendre des décisions au cas par cas. C’est aussi le moment d’appeler tous les citoyens à bannir l’automédication. C’est une vraie stratégie de défense qu’il faut mettre en place. Que tout le monde se rassure, il ne s’agit pas de pain.
    De plus nous sommes mieux «immunisés» que les Français pour au moins une raison: les Algériens n’ont eu accès aux soins qu’après l’indépendance. C’était hier. Les 9 millions d’Algériens qui ont fêté la victoire, le 5 juillet 1962, n’avaient pour médicaments que les plantes. C’est une science qui s’appelle la phytothérapie et qui existe encore chez nous. Nous pouvons, dans le calme, prendre toutes les décisions qui s’imposent. Et suivre ce dossier car le scandale ne fait que commencer!

    (zoume6@hotmail.com)

    Zouhir MEBARKI

  • Le facteur sonne toujours trois fois, sauf si on l’énerve !



    Par Hakim Laâlam  
    Email : laalamh@yahoo.fr
    Consultations politiques. Ksentini reçu par Bensalah. Une véritable…

    … torture !

    C’est la panique totale ! Le gars dans un premier temps avait été réveillé en sursaut. Ça faisait bien dix ans, peutêtre même plus, que la sonnette de son siège situé au 3e sous-sol de l’avenue Nulle-Part-Ailleurs-J’tembrouille n’avait pas résonné. Péniblement, il s’était extirpé de son lit, s’était tant bien que mal sorti de la torpeur de sa chambre à coucher avec n’importe qui, s’était dirigé vers l’entrée, non sans remarquer, effaré, dans la glace du couloir que sa barbe traînait par terre, et avait fini par ouvrir la lourde porte blindée. Debout, sur le perron, un facteur avec une enveloppe jaune de rage à la main. Le préposé au courrier lui expliqua qu’il était envoyé par le Roi des Facteurs, l’Oncle Ben en personne, pour lui remettre une invitation ferme et non négociable à venir discuter plus-vite-que-çafissa. N’écoutant que sa peur du facteur chef et du directeur de la Grande Poste qui chapeaute tout le réseau Algérie, l’homme, les yeux encore embués, la bouche aussi pâteuse qu’un camembert Tassili victime d’une coupure de courant signée d’un S qui veut dire Sonelgaz, s’en alla dare-dare dialoguer avec l’Oncle Ben. Tout allait bien jusque-là. L’homme confirma d’abord à son interlocuteur qu’il avait bien renouvelé son registre de commerce politique et bénéficiait toujours de l’exonération d’impôt sur la fortune. Puis, il fit excellemment ce pour quoi il avait été invité : écouter dans un premier temps. Ecouter dans un second temps. Ecouter dans un temps intermédiaire. Et puis, enfin, pour changer un peu, écouter et prendre des notes à l’aide du stylo à encre sympathique qui lui avait été remis à l’entrée. Non, vraiment, je vous le redis, tout allait bien. Jusqu’à la sortie. C’est là que ça s’est gâté ! Je ne sais pas pourquoi, et alors que personne, ni le facteur qui lui avait remis l’invitation le matin chez lui, ni le chef de tous les facteurs, Oncle Ben, encore moins le Maître absolu de la Grande- Poste n’avaient exigé cela de lui, notre homme fit une déclaration extraordinaire à la presse, sur le perron de son départ en hibernation. Il dit à peu près ceci : «Je ne peux me prononcer sur ce dialogue avant de consulter ma base militante !» Mon Dieu ! Que venait-il de faire là, le malheureux ? Quelle catastrophe en perspective ! On ne le revit plus du tout. On a juste appris par la suite que sur ordre du patron de la Grande Poste, la maison de cet homme fut purement et simplement rayée de la tournée des facteurs. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
    H. L.

  • Des critères pas très clairs

    L’installation de la commission chargée d’étudier la revendication de la suppression du service civil continue de susciter bien des interrogations.
    Les membres y siégeant se sont avérés n’être pas du tout au courant du fonctionnement du système de santé. Certains, et après plusieurs heures de «discussions», étaient encore réduits à demander aux médecins résidents ce que signifiait un plateau technique. Ce qui augmente le scepticisme des résidents qui se demandent sur quelle base ils ont été choisis.

  • SERVICE CIVIL POUR LES MÉDECINS RÉSIDENTS Pas de solution à l’horizon


    Les médecins résidents étaient hier rassemblés face au ministère de la Santé. Ils protestaient contre le déroulement des travaux de la commission du service civil. Au même moment, se tenaient les affectations des spécialistes nouvellement diplômés. Une «cérémonie» qualifiée de «guet-apens» par les concernés.
    Nawal Imès - Alger (Le Soir) - La tension entre le ministère de la Santé et les médecins résidents ne faiblit pas. Hier, alors qu’ils observaient un sit-in en face du département d’Ould Abbès, les nouvelles venant de la salle où se déroulaient les affectations des médecins spécialistes nouvellement diplômés ne poussaient pas à l’optimisme. Invités à la traditionnelle cérémonie d’affectations, les médecins faisaient savoir qu’ils se trouvaient dans un véritable guet-apens. Ils affirmaient avoir été obligés d’accepter sur le champ des affectations signées sur place sans possibilité de recours. «Un suicide professionnel», commente le Dr Sahnoun, un des porte-parole du Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra). La réaction des spécialistes étaient prévisible puisqu’à l’annonce de l’introduction du nouveau mode d’affectation, les concernés s’étaient dit contre. Contrairement à ce qui se faisait dans les années précédentes où le médecin spécialiste diplômé choisissait en séance plénière son poste de travail, il est actuellement obligé de télécharger sur le site du ministère de la Santé une fiche de vœux pour choisir une wilaya d’affectation sans être certain qu’un poste y est ouvert dans sa spécialité. Une situation qui ne plaide pas pour l’apaisement au moment même où la revendication sur la refonte du service civil est toujours en suspens. La mise en place, lundi dernier, de la commission dite «des sages» n’a rien apporté, bien au contraire. Le Dr Sahnoun est catégorique : les résidents ont eu affaire à un tribunal populaire et non pas à un comité de sages. Explications : les résidents qui ont défendu face aux membres de la commission leur thèse selon laquelle le service civil ne devait plus être obligatoire mais être accompagné de mesures incitatives, avaient face à eux un auditoire visiblement peu éclairé sur le fonctionnement même du système de santé. Le Dr Sahnoun déplore le déroulement d’une séance qui n’a rien apporté puisque ses membres, visiblement non disposés à discuter du fond du problème, avaient déjà une idée toute faite sur la question. Le dialogue n’a pu être amorcé. En guise d’effort de réflexion, les résidents ont eu droit à des réflexions pour le moins saugrenues comme celle d’un délégué du Sud pour qui la suppression du service civil mènerait l’Algérie à une situation similaire à celle que vit le Soudan. Certains n’ont pas hésité à proposer de garder le caractère obligatoire du service civil en mettant en place des mesures incitative sans même y voir une flagrante contradiction. Plus de deux mois après le début d’un débrayage sans précédent des résidents, aucune piste de réflexion n’est donc ouverte autour d’une revendication que les concernés qualifient de non négociable. Les menaces de sanctions pédagogiques ne font pas reculer les résidents qui se disent prêts à tout, même à l’année blanche. Ce week-end, le Camra, qui les représente, tiendra une réunion nationale. L’objectif : déterminer les suites à donner au mouvement mais la tendance est à la poursuite de la mobilisation.
    N. I.

  • no moment

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  • L’“isolement” des victimes des actes d’enlèvement “isolés”

     

    Par : Mustapha Hammouche

    Le ministre de l’Intérieur a largement dépassé son prédécesseur dans l’art de la déclaration à l’emporte-pièce. “Ce sont des cas isolés”, a-t-il dit, par exemple au sujet des enlèvements avec rançon dont se plaignent des citoyens de Kabylie, ajoutant que ce n’est pas la seule région touchée par le phénomène.
    Heureusement que les cas de rapts sont “isolés”, éparpillés dans le temps et dans l’espace et qu’on ne nous kidnappe pas encore tous les jours ou par villages entiers ! C’est moins grave que les massacres collectifs et les enlèvements de femmes, dirait-on. D’ailleurs, cela n’a pas existé, puisque personne n’a payé pour ces crimes. Il n’y a plus que quelques ennemis de “la paix” et de la “réconciliation” pour s’en rappeler.
    Alors s’attarder sur des cas d’enlèvement isolés, comme le fait remarquer le ministre, se voulant rassurant. Mais tous les crimes sont des cas isolés ! Alors, pourquoi s’effaroucher des universitaires qu’on assassine çà et là, des viols occasionnels, de la drogue qui se faufile jusque dans les cours d’école, des détournements sporadiques… ?
    En même temps, Daho Ould Kablia semble agacé de voir la Kabylie s’agiter contre le fléau : tout en minimisant la gravité de cette pratique de kidnapping qu’il dit rare, il nous apprend que cela se passe ailleurs et que donc ce n’est pas si isolé que ça. Bref, ce n’est pas courant mais c’est répandu.
    Mais Daho Ould Kablia avait-il quelque chose d’autre à répondre qui puisse rassurer des populations désarmées. Le jour où le pouvoir a fait le choix de proclamer arbitrairement “la paix revenue” et décrété la “réconciliation” effective, il avait cessé d’évaluer le risque sécuritaire. Il avait troqué la vision réaliste contre le discours magique. On ne peut pas demander à un pouvoir de protéger “les cas isolés” alors qu’il n’arrive pas à assurer la sécurité totale de ses cantonnements de troupes. Daho Ould Kablia expliquait lui-même que le bilan sanglant de l’attaque du camp d’Azazga était rendu possible à cause d’une baisse de vigilance des hommes. Mais d’où vient la baisse de vigilance ? Du discours sur “la paix revenue” : on ne peut pas demander aux mêmes protagonistes de fraterniser et de se faire la guerre ! Le personnel politique peut assumer le mode de vie schizophrène, mais pas le simple citoyen.
    Les effets de l’impuissance à faire la paix avec les terroristes sont aggravés par l’impuissance à mobiliser les moyens de défense contre le terrorisme. Il ne reste plus que la fuite en avant, dans une guerre sourde inavouée, doublée d’une cascade de largesses idéologiques gratuites à l’islamisme : la télévision et l’école diffusent l’idéologie de l’exclusion et de la violence, les walis rivalisent d’initiatives ; un jour celui de Béjaïa qui s’en prend aux chrétiens ; le lendemain, celui de Bordj Bou-Arréridj prohibe l’alcool sur “son” territoire…
    À ceux qui redoutent l’attentat ou l’enlèvement, il ne leur reste qu’à se mettre à l’abri dans la capitale, puisqu’il n’est pas question, pour le pouvoir de tolérer le risque sécuritaire à Alger. Plus que l’acte terroriste, l’“isolé”, c’est la victime qui ne doit pas se défendre parce que “la réconciliation” est en marche ; l’“isolé” c’est celui qui évolue en dehors des espaces sécurisés.

    M. H.
    musthammouche@yahoo.fr 

  • SOLTANI, OULD ABBES, MEDELCI, TOUMI, TEBBOUNE, HAMIMID, BELAIZ... Les têtes d'affiche du procès Khalifa

      
    Le Soir d'Algérie, 19 février 2007

    Malgré le tri opéré lors de l’instruction menée en 2004 auprès du tribunal de Chéraga pour protéger certains responsables de l’Etat et proches du président, plusieurs noms de ministres et de commis ont retenti durant le déroulement du procès Khalifa ouvert au tribunal de Blida depuis le 8 janvier dernier. Djamel Ould Abbas, Mourad Medelci, Aboudjerra Soltani, Abdelmadjid Sidi Saïd, Mohamed Nadir Hamimid, Tayeb Belaïz et Khalida Toumi pour ne citer que ceux qui font toujours partie du système ou du gouvernement mis en place par le président.
    Ilhem B. Tir - Alger (Le Soir) - Il est clair que les éléments qui devaient constituer le puzzle du procès de l’affaire Khalifa ne sont pas tous réunis. Cependant, le fait notoire dans cette affaire ne se résume pas au défilé de plusieurs ministres comme témoins, dont l’ancien titulaire de l’Habitat Abdelmadjid Tebboune, l’ancien ministre des Finances Karim Djoudi, Mohamed Terbèche, Mourad Medelci et le ministre d’Etat Aboudjerra Soltani, aux côtés du grand patron de l’UGTA mais c’est le fait de voir des noms, qui semblaient être loin de ce scandale, surgir lors des témoignages. Pourtant, lors de l’instruction qui a débuté fin octobre 2004, plusieurs noms ont été cités et que l’arrêt de renvoi ne mentionne pas. Parmi ces noms, figurait celui que la presse française avait appelé le numéro 2 du groupe Khalifa, le frère du chef de l’Etat, alors avocat conseil du groupe. Il lui était reproché d’avoir reçu, comme beaucoup d’autres, la Golden Card d’El-Khalifa Bank. Cela étant, le premier nom cité est celui du ministre de la Solidarité nationale, le Dr Djamel Ould Abbas, qui aurait profité d’une carte de gratuité de voyage. En effet, la secrétaire de Khalifa, Aïouaz Nadjia, surprendra tout le monde lorsque elle évoqua le nom du ministre de la Solidarité, en disant qu’il était venu au siège pour prendre une carte de gratuité de voyage. Une autre révélation est venue de l’accusé principal, Abdelmoumen Khalifa qui, dans une interview accordée au quotidien français Le Figaro, accusait Tayeb Belaïz et l’un des hommes forts du président d’avoir “escamoté le dossier de l’agence de Koléa parce que le ministre de la Justice Tayeb Belaïz y avait un compte”. Un autre nom de l’équipe présidentielle vient de tomber. Il s’agit de la ministre de la Culture Khalida Toumi, qui avait chargé sa conseillère de prendre la direction de KTV-Algérie «à des fins purement politiques» pour ne pas dire électoralistes. Dans cette saga, faut-il citer les plus ou moins chanceux, Nadir Hamimid, ministre de l'Habitat, ainsi qu'un député de la majorité, Abdeslam Bouchouareb, l’homme fort d’Ahmed Ouyahia, qui étaient discrètement interrogés par un magistrat de la Cour suprême ? Ils sont soupçonnés d'avoir favorisé le dépôt à El-Khalifa Bank, des fonds d'offices publics évalués à plusieurs millions d'euros. Ou encore le ministre des Finances, Mourad Medelci, qui, lui, était à la barre en tant que témoin mais qui avoue n’avoir pas été assez intelligent pour détecter la gravité de la situation «car c'est l'image du pays à l'intérieur et à l'extérieur qui en a le plus pâti» a-t-il reconnu. C’est là le témoignage d’un ministre choisi par le président de la République pour compter les sous du pays et admet son manque de perspicacité. Il n’est pas le seul d’ailleurs. Le grand patron de l’UGTA avait, lui aussi, admis son manquement en avouant devant le tribunal de Blida avoir rédigé un procès-verbal sanctionnant une réunion fictive du conseil d’administration de la Cnas. Un aveu qui n’en fait plus, désormais, un simple témoin dans l’affaire Khalifa mais bel et bien un protagoniste de première importance. Abdelmadjid Sidi Saïd a, de son côté, enfoncé le ministre d’Etat Aboudjerra Soltani qui était, lors de la création de la banque El Khalifa et durant les années suivantes, tant ministre de la PME entre 1998 et 2000 que ministre du Travail et de la Sécurité sociale entre 2000 et 2001, et donc concerné par la gestion des caisses de Sécurité sociale. Il a été saisi par le président du conseil d’administration Abdelmadjid Sidi Saïd par le biais d’une lettre que la juge avait exhibée lorsque la cour entendait l’ex-DG de la Cnas. Cela signifie, donc, que malgré «la prudence», les différents membres de l’exécutif n’y ont pas échappé. Ces derniers, réputés être des figures de proue du clan présidentiel et qui, même s’ils ont failli à leur mission, n’ont véritablement de comptes à rendre sur leur gestion qu’à leur propre hiérarchie et, surtout, pas au pouvoir judiciaire. I. T.
    La fille de Temmar recrutée à Khalifa Airways

    Eu égard à la non-comparution de certains témoins devant le tribunal criminel de Blida, la juge, Mme Brahimi, s’est vu contrainte de lire les déclarations contenues dans le P-V des absents dont Kebache Nadjia, directrice de Khalifa Airways et non moins tante de Rafik Moumen Khalifa. Et là, l’on apprend que Feriel Temmar, fille de Hamid Temmar, actuel ministre de la Participation et de l’Investissement, a été recrutée à Khalifa Airways à Paris. La présidente du tribunal, en parcourant le P-V, fera savoir que Kebache Nadjia n’a pas soufflé mot sur le salaire de la fille du ministre mais précisera que son recrutement s’est effectué sur recommandation de Rafik Moumen Khalifa. M. B.

    ILS DEVAIENT SERVIR A ENTAMER DES POURSUITES A L'ENCONTRE DE DEUX DIRECTEURS D'AGENCE
    Badsi était en possession des dossiers

    Encore une fois, Badsi fait parler de lui. En 2003, il était en possession d’un dossier permettant d’entamer des actions contre deux directeurs d’agence, chose qui n’avait pas été faite au moment voulu. C’est l’ancien directeur juridique d’El- Khalifa Bank, accusé de dissimulation d’informations, qui a asséné hier ses vérités. Il lui est reproché de n’avoir pas engagé en 2003 de poursuites à l’encontre de deux directeurs d’agence, en l’occurrence Aziz et Selimi.

    Devant le tribunal de Blida, il est revenu sur les circonstances de cette affaire, affirmant que cette plainte aurait dû être déposée par le liquidateur à qui il atteste avoir remis le dossier. Ayant travaillé sous la coupe de l’administrateur, c’est lui qui a été à l’origine de la plainte déposée contre le caissier principal. Pourquoi la seconde plainte n’at- elle pas abouti ? «Le dossier permettant d’enclencher une procédure m’a été transmis le 28 mai au soir, c’était un mercredi et le lendemain l’agrément avait été retiré à la banque, il m’était donc impossible de déposer la plainte. Il appartenait à la liquidation de le faire», explique Larouche Boualem qui ajoute : «Lorsque en 2004, j’ai appris qu’aucune plainte n’avait été déposée, je me suis déplacé vers le juge de Chéraga à qui j’ai relaté toute l’histoire, il a eu à vérifier que le dossier en question était vraiment au niveau de la liquidation. Il m’avait à l’époque remercié pour mon comportement.» C’est pour cette raison que l’accusé ne comprend pas pourquoi il est aujourd’hui poursuivi alors qu’il avait été à l’origine de la tenue de l’assemblée générale d’El- Khalifa Bank après l’arrivée de l’administrateur, et qu’il avait réussi à récupérer les 3 avions de Khalifa Airways. Des appareils que Badsi a vendus à Air Algérie avec un crédit allant sur 20 ans. N. I.

    LA PERSONNE CHARGEE DE LE FAIRE A PERÇU 5 MILLIONS DE DINARS
    Khalifa sélectionnait les artistes pour le compte de l'année de l'Algérie en France

    Etonnante révélation de Mme Hamiani Wahiba qui dit avoir été chargée par Moumen Khalifa de travailler pour le compte de l’année de l’Algérie en France, manifestation qui avait eu lieu en 2003 et qui devait servir à améliorer l’image de l’Algérie à l’extérieur. La sœur de l’ancien ministre avait été «débauchée» du secteur des assurances pour «étudier des milliers de dossiers» présentés par les artistes désirant prendre part à la manifestation. Entendue en tant que témoin, Mme Hamiani n’a à aucun moment été interrogée sur le rôle exact qu’elle a eu effectivement à jouer puisque, officiellement, il existait un commissariat présidé par Raouraoua et qui avait pour mission de sélectionner les artistes et œuvres pouvant être présentées en France. Sur les circonstances l’ayant amenée à travailler pour Khalifa, Mme Hamiani a raconté comment elle avait été contactée par ce dernier qui n’est autre que l’ami de son mari. «Je travaillais dans le secteur des assurances lorsque j’ai reçu cette proposition. Je suis spécialiste dans le domaine des assurances mais je trouvais que c’était plus intéressant de travailler dans le domaine de la culture. J’ai été chargée par Moumen d’étudier des milliers de dossiers d’artistes et de peintres. Je travaillais dans une villa à El-Biar pour un salaire de 5 millions de dinars. Lorsque j’ai achevé ma mission, Moumen m’a donné un bout de papier avec lequel je me suis dirigée vers l’agence de Chéraga pour toucher mes honoraires.» L’argent, elle l’a reçu en espèces pour le transférer vers son compte personnel. Plus tard, elle a été obligée de rembourser la totalité de la somme puisqu’au niveau de la liquidation, elle a eu la désagréable surprise de constater que ses honoraires avaient été considérés comme un crédit qu’elle aurait contracté. «J’ai dû rembourser mais à aucun moment je n’ai contracté de crédit. Je n’avais pas de choix puisque Moumen était devenu injoignable.» N. I.

    LES COMMISSAIRES AUX COMPTES D'EL-KHALIFA BANK S'EXPLIQUENT
    "Nous avons envoyé un signal aux pouvoirs publics"

    Encore une fois, le fonctionnement d’El-Khalifa Bank a été au centre des débats au tribunal de Blida. Hier, c’était au tour des deux commissaires aux comptes ayant exercé au niveau de la banque de s’expliquer. D’emblée, ils ont estimé que les rapports qu’ils avaient envoyés à la Banque d’Algérie étaient un signal annonciateur de la faillite de la banque et que c’était aux pouvoirs publics de prendre à temps les mesures qui s’imposaient. En 2000 déjà, ils avaient fait état de dépassements des ratios prudentiels, d’écritures en suspens et d’anomalies au niveau des comptes d’ordre.

    Nawal Imès - Alger (Le Soir) - A ces affirmations, la présidente du tribunal a répondu qu’à la base, leur désignation était une infraction à la loi puisqu’elle s’était faite en dehors de l’assemblée générale des associés. Une situation qui ne les a pas empêchés d’exercer leurs fonctions. Accusé de dissimulation d’informations et de non-dénonciation, l’expert-comptable répondant au nom de Mimi a commencé par dire qu’en 1998, la banque «encore jeune» n’avait pas réussi à boucler ses comptes à temps, comme le prévoit la loi. «Qu’avez-vous fait alors ? » demande la présidente. «Rien, j’ai attendu», répond l’accusé. Ce n’est qu’en 1999 qu’il rédige un rapport dans lequel il émet des réserves sur le bilan de la banque. «J’ai relevé plusieurs anomalies. En plus d’une insuffisance sur le plan organisationnel, il existait des erreurs comptables et des suspens. Nous avons demandé des éclaircissements aux dirigeants de la banque qui ont par la suite procédé à la régularisation de certaines écritures comptables mais la banque était toujours dans l’incapacité de justifier les comptes d’ordre», raconte l’accusé qui ajoute que le 5 juin 2000, un rapport similaire avait été envoyé aussi bien à la DG de la banque qu’à la Banque d’Algérie. «Ce rapport est resté lettre morte». Une réponse qui fera dire à la présidente : «Et le rapport périodique ? » Réponse de Mimi : «Il est facultatif.» Une réplique qui n’a pas été du goût de Mme Brahimi qui a martelé : «Non ! Lorsqu’il y a autant de violations, il devient indispensable. » Intimidé, l’accusé rétorque : «Nous avons fait notre travail. Nous avons attiré l’attention de la Banque d’Algérie.» 160 milliards de crédits injustifiés Visiblement non convaincue, la présidente attaque sur un autre front, celui des crédits accordés par la banque. «Il existait un comité de crédit qui a peu fonctionné. On a découvert que pas moins de 160 milliards de centimes de crédits étaient injustifiés puisque c’est le P-dg qui donnait des ordres pour les octroyer.» La présidente demande alors quelle avait été sa réaction. «Le 28 juin 2000, nous avons envoyé un rapport au gouverneur de la Banque d’Algérie signalant que des crédits étaient accordés à des entreprises apparentées, c'est-à-dire celles où Moumen Khalifa était actionnaire.» La présidente, se basant sur le code du commerce et la loi sur le crédit et la monnaie, rappelle à l’accusé ses attributions qui lui confèrent le droit de saisir le procureur de la République dès qu’une infraction est constatée. «J’avais pas pensé à le faire, j’avais mis ça sur le compte du non-respect des risques prudentiels et en plus on n’avait pas certifié les comptes, on avait émis des réserves.» A son tour, le PG insiste sur le fait que les commissaires aux comptes ont toute la latitude d’actionner la justice d’autant que les violations étaient nombreuses. Ces derniers n’étaient même pas convoqués aux assemblées des actionnaires, lesquelles assemblées ne se tenaient ni dans les délais ni en présence de l’ensemble des actionnaires. «C’est Moumen qui concentrait tous les pouvoirs à son niveau», explique le commissaire aux comptes qui ajoute qu’à l’époque, il avait fait état du dépassement du ratio prudentiel de 300% et que 500 millions de dinars avaient été utilisés pour la constitution du capital de Khalifa Airways. Lui succédant à la barre, l’autre expert, Sekhara Nourredine, a conforté les propos de son ancien collègue affirmant qu’ils avaient envoyé un signal aux pouvoirs publics. N. I.

    Le réquisitoire attendu pour aujourd'hui
    Le réquisitoire du procureur général interviendra aujourd’hui après la clôture du volet consacré aux auditions et à la partie civile. Les avocats pourront, dès demain, entamer les plaidoiries. N. I.
             
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  • Du chômage à l’affaire El Khalifa

     

    Du chômage à l’affaire El Khalifa, Les réponses de Ould Abbas

    Les réponses

    “Tant mieux si le chômage a baissé pour arriver à 12.3%. C'est une enquête officielle et qui a été entérinée par les deux organisations planétaires du travail, l'OIT et le BIT, qui a abouti à ce résultat !". M. Djamel Ould Abbas, ministre de l'Emploi et de la Solidarité nationale, récuse la vision nihiliste, pessimiste qui jette de l'opprobre sur les résultats de l'enquête menée récemment par l'Office national des statistiques et qui fait ressortir la baisse du taux de chômage à 12,3 %. "Je ne suis pas d'un optimisme béat(…) Le chômage sera moins de 10% d'ici à 2009", renchérie-t-il. "Cette étude de l'ONS, qui a été effectuée dans 15 000 ménages répartis sur tout le territoire national qui a duré 18 mois, a adopté des paramètres très rigoureux", argumente M. Ould Abbas, l'invité samedi soir du forum de l'ENTV.

     
    29 Janvier 2007,   Le MaghrebImprimer

    Pour lui donc, "la question de l'emploi mérite une analyse de fond", pas de simples spéculations. Il n'en demeure pas moins vrai, rappelle-t-il, que "ce sont les différents programmes de développement de 1999 à nos jours qui ont fait naturellement baisser le chômage. Beaucoup d'infrastructures ont été réalisées, des milliers de kilomètres de routes, des usines, des établissements scolaires de l'enseignement supérieur ou professionnel, des complexes culturels et touristiques etc, ont été construits avec la main-d'œuvre locale". " Qui a alors construit les 950 000 logements distribués depuis ce temps ? ", s'interroge Ould Abbas. " Il ne faut pas nous sous-estimer. N'avons-nous pas des cadres et des compétences ? Au contraire, je crains qu'il n'y ait pas la main-d'œuvre nécessaire pour la réalisation de l'autoroute Est-Ouest, par exemple, qui à elle seule, fera travailler 75 000 travailleurs permanents pendants 40 mois. Notre souci était d'imposer à nos partenaires chinois et japonais la condition d'embaucher 75% de la main-d'œuvre sur le marché local, soit 50 000 travailleurs…Mais, on n'a pas de ferrailleurs en nombre suffisant ! Où sont-ils donc les chômeurs? J'aimerais bien disposer du nombre suffisant pour ces travaux", ajoute-t-il. A ses yeux, cette bataille, en grande partie remportée face au chômage endémique engendré par la décennie noire et ses corollaires que sont surtout la fuite des cadres et le désinvestissement, a été rendue possible par la mise en place d'une dizaine de mécanismes complémentaires et qui visent à la création de postes d'emploi et des micro-entreprises.

    Lenteur des financements bancaires : "Le problème sera réglé en 2007 "
     En tout, conclut le ministre de l'Emploi, ce sont plus de 153 milliards de dinars qui ont été investis, ayant permis surtout, d'injecter près de 30 milliards de dinars, le montant des apports personnels dans les caisses d'épargne et d'investir 90 milliards dinars, l'argent des banques dans le secteurs économique…82 000 entreprises ont pu voir le jour, dans le seul cadre de l'ANSEJ. Cela dit, interrogé sur les craintes qui caractérisent toujours l'implication des institutions bancaires, l'invité de l'ENTV a regretté les lenteurs qui pénalisent les chômeurs promoteurs. Lesquelles lenteurs se justifiant cependant- mais en partie seulement- par l'importance des taux des contributions des banques, ce qui exige des études sérieuses sur la faisabilité et la pertinences des projets. " Ce problème des lenteurs bancaires sera réglé en 2007 de façon définitive", promet le ministre de l'Emploi et de la Solidarité nationale qui évoque la création prochainement, " d'un fonds pour le financement immédiat des projets des jeunes dans le cadre des différents dispositifs en place ". Ceci tient à cœur au président de la République, qui, lors de l'inauguration du 1re Salon national de l'emploi, le 21 janvier dernier, a encore interpellé les responsables, ceux des banques notamment, à faire preuve de plus de dynamisme et de fluidité dans le traitement des dossiers. Ainsi, explique Ould Abbas, l'actuel gouvernement, devant les réclamations et les plaintes exprimées par les citoyens concernant les lenteurs des banques aurait demandé aux départements concernés, en l'occurrence celui de l'emploi et de la solidarité et celui des finances, d'élaborer un projet allant dans ce sens. Le ministre de l'Emploi indique que c'est un projet similaire ayant déjà été soumis à l'adoption du gouvernement en 2002 qui sera déterré et amélioré. Il portera sur la création d'un fonds à l'image de ceux dont sont dotés déjà des pays comme la Tunisie et l'Egypte et qui ont démontré leur efficacité. " Il y a une instruction du gouvernement de constitution d'une commission de l'emploi au niveau de la wilaya, que présidera le wali et où seront représentés les différents responsables des dispositifs de l'emploi. Ils seront chargé d'étudier les dossiers et auront un guichet unique ", précise le ministre de l'Emploi. Le ministre de l'Emploi et de la Solidarité est revenu sur la question de la pauvreté en Algérie également : " Il n'existe pas des gens extrêmement pauvres en Algérie, il y a seulement des nécessiteux ". " 179, communes étaient classées pauvres, sur la carte dressée par les services de l'Agence nationale de l'aménagement du territoire. Six ans après 130 communes sont sorties de la pauvreté et il ne reste que 46 seulement aujourd'hui. C'est un résultat positif, il faut s'en réjouir ! ", affirme-t-il. A ce propos, l'invité du Forum de l'ENTV a rappelé que 610 milliards de centimes sont dépensés pour la couverture sociale des jeunes travaillants dans le cadre des différents dispositifs, comme les TUP-HUMO, les ISIL, l'AFS et les CPE. "50 000 citoyens sont bénéficiaires de l'AFS ", indique, pour l'exemple, le ministre.

    Affaire El Khalifa : " Je jure que je n' ai rien à voir !"
    Comme il fallait bien s'y attendre, les bruits qui ont couru ces derniers temps, certains responsables dans l'affaire Khalifa et qui ont concerné dans un de leurs épisodes Ould Abbas, ne laissent pas ce dernier indifférent. Interrogé sur l'affaire, encore une fois, le ministre de l'Emploi et de la Solidarité a saisi l'opportunité de ce Forum télévisé en direct pour nier catégoriquement toutes les accusations et rumeurs à propos de son éventuelle implication. " Je jure devant Dieu et devant le peuple entier que je n'ai rien à voir dans cette affaire El Khalifa ni de près ni de loin". Dans sa réaction énergique, le docteur Ould Abbas a laissé nettement entendre que ce bruit a été provoqué intentionnellement, par certaines parties. Interrogé sur l'origine de ces rumeurs, Ould Abbas n'en dira pas plus, estimant que l'affaire est entre les mains de la justice et que la vérité finira par se savoir.

    Zahir Saïfi

     

  • Un journaliste derrière la visite “inopinée” de Ould Abbes à l’EPSP de Bologhine

     

     

    ouldabbes.jpgNous apprenons d'une source sûre que la visite “inopinée” de Djamel Ould Abbes, ministre de la Santé, à l'EPSP de Bologhine a été effectuée suite à un article paru dans un quotidien national. L'auteur de l'article, dont l'épouse travaille à la clinique, a évoqué “la mauvaise gestion” de Mme Tayati. En réalité, explique notre source, la directrice, limogée hier par Ould Abbes, a dénoncé un réseau de trafic de vignettes au niveau de l'établissement sanitaire qu'elle dirigeait depuis quelques mois. 

    Pour rappel, Mme Tayati qui occupait le poste d'économe au niveau de la clinique des Orangers, pendant deux ans, avait également dénoncé des dépassements dans les achats effectués par l'adminitration de la clinique. Notre source ajoute que Mme Tayati avait adressé un rapport détaillé à l'ancien ministre du secteur Said Barkat. Après un bras de fer avec le directeur de la clinique qui l'a mise en quarantaine, Said Barkat a décidé de la nommer à la tête de l'EPSP de Bologhine…Un poste qu'elle a quitté depuis hier suite à son limogeage par Ould Abbes. El Mouhtarem   

     

  • Pour Djamel Ould Abbes, ministre de la Santé, la grève est « haram » et la répression « hallal »


     

     

    Ministre, mufti inquisiteur ou flic en chef ? Le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbes, ne sait plus quelle ficelle dérouler pour mettre fin au mouvement de grève qui secoue son secteur depuis plusieurs semaines. Tantôt, il revêt son costume de ministre pour appeler au dialogue avec les grévistes. Tantôt, il endosse la soutane de mufti inquisiteur en décrétant que la grève est un « péché » et tantôt il enfile la casquette de flic en chef pour appeler à la répression des médecins protestataires et réclamer des ponctions sur les salaires.


    Invité dimanche 15 mai au journal télévisé de 20 heures, Djamel Ould Abbes, 77 ans, ministre de la Santé depuis mai 2010, s’est illustré par des propos pour le moins surprenants.

    Interrogé sur le mouvement de grève qui paralyse depuis plusieurs semaines les hôpitaux, le ministre lâche cette phrase surréaliste : « C’est honteux et péché de faire grève ».

    Après voir décrété que la grève des médecins résidents est « illégale », s’appuyant ainsi sur une décision prise le 6 avril dernier par le tribunal d’Alger que son ministère a saisi quelques jours auparavant ; après avoir menacé les grévistes de ponctions sur les salaires, le ministre invoque désormais la religion pour discréditer le mouvement de protestation.

    Sur quel verset coranique s’appuie donc le ministre de la Santé pour affirmer que la grève est un « péché » ? Bien sûr, aucun. Puisqu’il n’en existe pas.

    Non seulement M. Ould Abbes foule au pied l’article 57 de la Constitution qui stipule que « le droit de grève est reconnu », mais il s’autorise des libertés avec les textes coraniques.

    L’invocation de faux textes sacrés n’étant pas suffisante, le ministre se mue en censeur et en père fouettard. Au cours de la même intervention à la télévision nationale, M. Ould Abbes exige des chefs de services hospitaliers de recourir à la bastonnade des grévistes dans l’enceinte même des établissements.

    « Je ne veux plus de bruits dans les cours des établissements, ni de rassemblements. Vous n’avez qu’à user de la force pour les disperser et les empêcher de se réunir», exige-t-il.

    Débordé par un mouvement de contestation sans commune mesure depuis son arrivée au département de la Santé, le ministre qui se dit « médecin » alors qu’il ne serait que TSS ( technicien supérieur en santé ), diplôme acquis en Bulgarie après l'indépendance de l'Algérie, use donc de tous les expédients et de toutes les ficelles pour mettre fin à la protesta.


    Lire l'article original : Pour Djamel Ould Abbes, ministre de la Santé, la grève est « haram » et la répression « hallal » | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie

  • ould abbes dégage

    Le fils de Ould Abbes achète un 4X4 à 2,7 milliards de centimes !

    bmw.jpgAprès son père qui a acheté un hôtel à Paris, le fils du ministre de la Solidarité nationale et de la communauté algérienne à l'étranger, Djamel Ould Abbes, a acheté dernièrement un véhicule 4×4 de marque BMW au salon de l'automobile d'Alger. Selon une source informée, le prix du véhicule est de 2,7 milliards de centimes. Pour rappel, un fils d'un  ministre algérien a été arrêté en Suisse en possession de 200.000 euros (argent de poche). El Mouhtarem

    Ould Abbes a acheté un hôtel à Paris

    Nous apprenons d'une source informée que le ministre de la Solidarité nationale et de la communauté algérienne à l'étranger, Djamel Ouled Abbes, a acheté un hôtel à Paris. Il est à s'interroger d'où provient l'argent avec lequel l'ami des pauvres, le distributeur des bus, des couffins de ramadhan, des tabliers pour enfants, le chef de rang des restaurants de la rahma s'est permis d'acheter cet hôtel ? El Mouhtarem

  • no moment


     

  • Le ministère entame les négociations avec les praticiens de la santé publique

     

    L'éventualité de suspendre la grève illimitée, entamée lundi dernier par les praticiens de la santé publique, sera débattue samedi 21 mai lors d'un conseil national du Syndicat national des praticiens de la santé publique (Snpsp). Dans la soirée de jeudi, le Snpsp a été convié à une réunion avec le ministère de la Santé. Au cours de la rencontre, les deux parties sont revenues sur la prise en charge des revendications socioprofessionnelles des médecins de la santé publique, notamment l'amendement du statut particulier et le régime indemnitaire.  

    « Nous avons discuté essentiellement de l'amendement du statut particulier qui a été finalisé et du régime indemnitaire dont on a pu finalement avoir une copie » », précise Lyes Merabet, porte‑parole du Snpsp. « La réunion, qui a commencé vers 19 heures, était présidée par le ministre de la Santé Djamel Ould Abbès, le secrétaire général du ministère et les directeurs centraux. Le procèsverbal de la réunion nous a été remis », ajoute‑t‑il.
     
    Une éventuelle suspension de la grève illimitée sera donc décidé par la base lors du conseil national prévu ce samedi. « Mais même si la base décide de la suspension, celleci sera assurément subordonnée au règlement du problème de nos délégués qui ont été suspendus à cause de leur activité syndicale », prévient le Dr Merabet.
     
    Les praticiens et spécialistes de la santé publique ont entamé lundi dernier un mouvement de grève illimitée. Après les menaces et les tentatives d'intimidation, la tutelle a suspendu deux délégués syndicaux affilés au Snpsp. Ce vendredi, c'est le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (Snpssp) qui se réunira avec le département de Djamel Ould Abbès.
    source :tsa
  • Les politiques s’en mêlent

    Grève des médecins

    El Watan,

    La contestation s’intensifie dans le secteur de la santé. Quatrième journée de grève illimitée de l’intersyndicale de santé publique du SNPSP et du SNPSSP et bientôt 8 semaines de débrayage pour le collectif des médecins résidents.

    On parle déjà d’un recours à l’OMS, alors que des politiques commencent à prendre attache avec les grévistes. Un sit-in remarquable a été tenu hier matin devant le ministère de la Santé par les médecins résidents soucieux de contester les déclarations jugées «insultantes» du ministre.
    A défaut de pouvoir tenir leur piquet de grève dans l’enceinte des différents hôpitaux – les agents de sécurité les en ont empêchés –, ils ont brandi leurs banderoles face au ministère. Ils étaient plus de 300 grévistes à scander des slogans hostiles à Djamel Ould Abbès. «Super menteur», «Ould Abbès, la santé vous dépasse», «Démission», «Dégage», «L’insulte n’est pas une politique de santé» ; les médecins résidents n’ont pas mâché leurs mots !

    Encerclé par un important dispositif policier, le rassemblement a duré deux heures, durant lesquelles les grévistes n’ont pas manqué de faire des révélations qui ne font qu’accentuer la tension qui règne dans le secteur.
    «Des policiers rôdent dans les hôpitaux, on a été empêchés de tenir notre piquet de grève ce matin (hier, ndlr), c’est un véritable état de siège !» Un résident ne manque pas de préciser que le Camra compte saisir l’OMS pour se plaindre de cette violation de la charte hospitalière.
    Comme pour envenimer une situation déjà assez tendue, des politiques ont pris attache avec les médecins grévistes. «Deux députés de l’Alliance présidentielle nous ont approchés pour nous proposer leur aide, l’un d’eux s’est d’ailleurs montré très franc en avouant qu’il voyait dans les plus de 6000 résidents grévistes une force électorale à saisir !», confie un autre résident. Même si le rapport de force est indéniable, les deux parties sont encore en négociation. «Une négociation de façade», note une résidente qui n’est pas convaincue par l’installation de la commission des sages, censée statuer sur l’éventuelle abrogation du service civil.

    «Nous doutons de la bonne foi du ministre dans sa prétendue envie de négocier et il est évident que lorsqu’on veut négocier, on n’applique pas des mesures répressives doublées de menaces en tout genre», souligne le Dr Yelles, délégué de l’hôpital Mustapha.
    De son côté, l’intersyndicale tiendra son rassemblement dimanche prochain. Des actions communes à ces trois forces syndicales sont également envisagées.
    Deux délégués du SNPS ont été suspendus, a-t-on appris, hier en fin d’après-midi, de source syndicale.

    Bouredji Fella

  • Médecins grévistes : «Ould Abbès est un homme de guerre»

    El Watan, 20 mai 2011

    «Notre suspension prouve que le ministère est dans le désespoir total».

    C’est ainsi que Monira Kahoul, chirurgien-dentiste, à la polyclinique Nécira Nounou de Sidi M’hamed, Alger, réagit à sa suspension décidée mercredi dernier par le ministère de la Santé, suite à la grève des médecins. Elle explique qu’il s’agit «d’une suspension abusive et non justifiée. Le ministère est dans le désarroi, il veut couper la tête au syndicat, car il ne contrôle plus rien». Sa collègue, de sous-secteur d’Alger-Centre, Yamina Ghanem, également suspendue, dit être «fière d’avoir accompli sa mission. Je suis convaincue de la justesse de ma cause. La décision du ministère prouve que notre syndicat est fort et face à toute sa mobilisation, le ministre sort sa grosse machine de répression». Une décision qui n’a pas intimidé les syndicalistes suspendues, même si une autre suspension se profile déjà à l’horizon et concernerait le porte-parole du syndicat, Lyès Merabet. Pour l’instant, rien n’est encore notifié, apprend-on.

    Le Syndicat national des praticiens de santé publique déplore la «terrible pression» que subissent les médecins grévistes, selon le porte-parole. «C’est un ministre de guerre. Alors qu’il a affiché, en direct à la télévision, sa disponibilité au dialogue, voilà qu’il chasse les syndicalistes. C’est un message flagrant qu’il veut faire passer. Il veut nous écraser alors que nous demandons seulement nos droits», explique Merabet. Et d’ajouter : «La répression bat son plein. C’est tout ce que propose Djamel Ould Abbès jusqu’à présent. Nos délégués syndicaux subissent les pires chantages» Que prévoit la loi ? La loi 90-14 du 2 juin 1990, article 53, stipule qu’aucun délégué syndical ne peut faire l’objet, de la part de son employeur, d’un licenciement, d’une mutation ou d’une sanction disciplinaire de quelque nature que ce soit, du fait de ses activités syndicales.

    Nassima Oulebsir

  • Réunion du conseil national



    A l’initiative du Ministre de la santé, le SNPSP a été reçu hier à 18h30 au MSPRH. La réunion de travail présidée par Djamel Ould Abbès en présence du SG et de l’ensemble des cadres centraux du ministère a permis aux deux parties de revenir à l’essentiel ; les raisons du conflit en cours entre praticiens et administration de tutelle  et de passer en revue l’état d’avancement dans la prise en charge des revendications socioprofessionnelles des praticiens de santé publique;

        L'amendement du statut particulier
        Le régime indemnitaire

    A la demande du SNPSP un procès verbal de réunion a été établi.

    Une réunion  du conseil national extraordinaire, en session ouverte depuis le 05 mai 2011, aura lieu à Alger le samedi 21 mai 2011au siège de l'UNPEF.

  • Le statut d’importateur-grossiste est totalement contreproductif

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    Pénurie de médicaments récurrente, monopole de la distribution de médicaments par les importateurs-grossistes et insuffisance des incinérateurs de déchets médicaux et produits pharmaceutiques périmés perturbent depuis quelque temps déjà le secteur de la santé publique. Le président du Snapo revoit, dans un entretien accordé à El Watan Week-end, les failles du secteur du médicament.

    - Depuis quand la pénurie de médicaments dure-t-elle ? Ce déficit est-il apparu progressivement ou y a-t-il eu un facteur déclenchant ?


    Cette pénurie dure depuis presque trois ans. Elle a commencé lorsque Amar Tou a voulu faire un peu de ménage en refusant de signer certains programmes d’importation et en voulant réorganiser les choses d’une manière différente. Les conséquences ont été très rapides et les ruptures sont apparues de manière un peu trop brusque, à notre avis. La crise avait d’ailleurs provoqué le départ du ministre et son remplacement par Saïd Barkat. Depuis, le gouvernement a entrepris un certain nombre de mesures : élargissement de la liste des produits interdits à l’importation, interdiction du conditionnement, obligation des firmes étrangères d’investir dans l’industrie locale… Nous, nous pensons que le marché du médicament a été trop libéralisé, et une enveloppe de plus de 20 milliards de dollars ne peut laisser personne indifférent, ni les laboratoires étrangers ni les importateurs nationaux. Après plusieurs années à profiter d’un marché juteux, pensez-vous que les bénéficiaires de cette enveloppe vont laisser l’Etat algérien entreprendre ce type de réformes ? Nous constatons au contraire que l’Etat a de toute évidence perdu tout contrôle sur le marché du médicament ; il n’y a même pas un opérateur public pour rééquilibrer la balance ou des mécanismes capables de réguler le monopole détenu actuellement par le privé et les multinationales.

     


    - Quels sont les médicaments concernés par la pénurie ?


    Par exemple les corticoïdes buvables et injectables, les pilules contraceptives, les antalgiques, etc. Le problème c’est que nous assistons chaque jour à de nouvelles ruptures, y compris dans la production nationale. Ce qu’il faut dénoncer ce sont aussi les pratiques engendrées par ces ruptures : rétention de stocks et ventes concomitantes. On vous vend avec des produits dits «d’appel», et c’est à prendre ou à laisser, des produits invendables, des produits à date de péremption proche, des produits parapharmaceutiques tels que les compléments alimentaires. Le nombre de ces médicaments varie d’une semaine à une autre, en général, on peut parler d’une liste de 70 à 150 produits.

     


    - A quoi est due cette pénurie ?


    L’enveloppe annuelle consacrée à l’importation des produits pharmaceutiques est, de source officielle, de 2 milliards de dollars par an. Ce qui est totalement paradoxal avec la réalité du terrain. Tous les programmes présentés par les opérateurs sont signés, et l’enveloppe financière reste toujours la même ou augmente, alors pourquoi de telles ruptures ? Nous avons dénoncé certaines anomalies, à l’exemlpe du statut d’«importateur-grossiste» totalement contreproductif, puisque, si un importateur cumule l’activité de distribution, il va de soi que face à une demande de marché importante, il réserve toute son importation à sa propre société de distribution, d’où une situation d’exclusivité et de monopole, et ce, sachant qu’il existe 560 grossistes en Algérie. Un autre phénomène a été constaté lors de l’établissement de la liste interdite à l’importation. De nombreux producteurs ont exercé une pression pour que leurs produits soient interdits à l’importation et, par la suite, ils ont été incapables d’honorer leurs engagements et de satisfaire la demande nationale. Pire, des producteurs procédaient à l’enregistrement d’une trentaine à une quarantaine de produits, alors qu’ils en produisaient à peine une dizaine.

     


    - En tant que représentant du Snapo, quelle solution préconisez-vous afin de remédier à ces perturbations ?


    La solution est une production nationale forte et importante. De nombreux pays arabes s’autosuffisent à hauteur de 70 à 80%, et ça devrait être le cas chez nous. Seule l’industrie nationale peut mettre à l’abri notre pays de manière définitive face à ce problème qui perturbe fortement et depuis longtemps le marché du médicament. En contrepartie, l’Etat doit mobiliser tous les moyens pour l’épanouissement de l’industrie pharmaceutique algérienne et lui apporter toute son assistance. Il faut ainsi ouvrir la formation : le nombre de pharmaciens industriels formés ne répond guère aux objectifs tracés. Il faudrait atteindre au moins 70% d’autosatisfaction en 2014. Sans ressources humaines suffisantes et compétentes, l’industrie locale ne peut pas se développer. Parmi nos propositions pour la régulation du marché du médicament, nous suggérons la constitution de groupements de pharmaciens, ceci contribuera à lutter contre les pratiques dénoncées (ventes concomitantes, rétention de stocks, favoritisme des produits importés et blocage des produits fabriqués localement, etc.). Les groupements de pharmaciens existent pratiquement dans le monde entier, mais leur statut n’existe pas en Algérie. Les quelques groupements qui se sont constitués actuellement ont été obligés de choisir des formes juridiques (SARL, SPA,...) qui ne répondent pas vraiment aux objectifs qu’ils doivent atteindre. Ces groupements représentent la meilleure solution pour réguler, professionnaliser et moraliser ce secteur.

     


    - La marge bénéficiaire des pharmaciens sur les produits n’a pas connu d’augmentation depuis qu’elle a été arrêtée par décret en 1998. Quelles sont vos revendications concernant ce point ?


    Le décret n° 44 de février 1998 plafonnant les marges des médicaments est dépassé pour plusieurs raisons. Non seulement la marge moyenne des médicaments a diminué suite aux différentes et successives inflations et dévaluations du dinar, mais aussi la politique nationale du médicament a connu une évolution, pour ne pas dire des bouleversements. On parle maintenant de promotion du générique et de la production nationale. Mais ceci nécessite un mécanisme de prix adapté. Il faudra adopter des mesures spécifiques pour l’encouragement de cette politique. Or, le décret de 1998 est inflationniste ; il incite à l’augmentation des prix et pousse à l’utilisation par tous les opérateurs des produits les plus chers. C’est pour cette raison d’ailleurs que les médicaments importés auront toujours la préférence du marché et des opérateurs. Dans tous les pays du monde où l’on a voulu encourager le générique et le produit local, la première décision prise était la révision des marges bénéficiaires. Le dossier a été approuvé en mai 2008 par le Conseil du gouvernement, mais il est ensuite resté bloqué à ce jour dans les tiroirs des principaux décideurs. La seule objection qu’on avait émise au projet en question était la marge de 17%, car ce taux sera le coup de grâce à l’officine algérienne.

     


    - L’incinérateur des déchets médicaux et produits pharmaceutiques périmés implanté à Constantine vient d’obtenir l’agrément des  services de l’environnement. Les incinérateurs existant en Algérie sont-ils suffisants ?


    L’incinération des médicaments non utilisés pose problème par manque d’outils et équipements adaptés. Actuellement, une société à El Harrach dispose de deux unités annexes à Boumerdès et Bordj Bou Arréridj, et une autre unité sera ouverte en juillet à Constantine. C’est bien, mais très insuffisant. Il y a certes des lois que nous devons respecter, mais le ministère de l’Environnement ne doit pas jouer uniquement au gendarme. Les professionnels ont besoin d’assistance et d’accompagnement. Nous tenons à dénoncer la pression et l’intimidation exercées par certaines directions de wilaya relevant de ce ministère, envers les pharmaciens qui détiennent des stocks de médicaments périmés en attendant leur destruction dans le respect de la réglementation. Ils font l’objet ainsi de visites d’inspection de la part de ces services et reçoivent des PV et des notifications officielles les menaçant de poursuites judiciaires et de taxation pour détention de produits périmés. La solution, c’est au moins un incinérateur dans chaque wilaya, avec un nombre plus élevé au niveau des pôles industriels. Certains déchets non incinérés peuvent avoir des conséquences néfastes sur la santé et l’environnement. 

    Bio express :

    Né le 18 juillet 1962 à Skikda, Messaoud Belambri effectue ses études en pharmacie à Constantine. Il obtint son diplôme d’Etat en pharmacie en 1986 en faisant partie de la première promotion des pharmaciens de cette université. Le président du Snapo occupa le poste de pharmacien en chef  de 1986 à 1989 à l’hôpital de Aïn Beïda.

    Depuis 1991 à ce jour, il gère sa propre officine dans la même wilaya. Messaoud Belambri intègre le Snapo en 2000, et fut élu président du syndicat en 2003 et pour un second mandat en 2007.

    Lamia Tagzout
  • bonne écoute

     

    ***17-05-2011mardi 17 mai 2011 14:08- Fichiers média 17.mp3 (Son au format MP3, 12.1 Mo) -télécharger et écouter: descendre -jusqua-17.05.2011-en bleu ou le sigle de windows media player- clic dessus et télécharge :http://www.radioalgerie.dz/podcast/?p=chaine1/jadal&l=50.

     

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  • Les médias, DSK et Berlusconi

    source:l'expression dz

    Le personnel médiatico-politique français est mobilisé pour défendre DSK. Pas un mot sur les souffrances de la victime, une jeune femme noire du Bronx. Exception faite de Gisèle Halimi qui s’est offusquée publiquement...

    Nous n’allons juger ni l’un ni l’autre. Mais les cas de ces deux personnalités méritent d’être comparés. Pour faire apparaître clairement le rôle des milieux politico-médiatiques en position dominante dans la diffusion des informations. Alors quelle est la différence entre Silvio Berlusconi, président du Conseil italien, et Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI et qui allait, à coup sûr, devenir le président de la République française en 2012? Mais commençons par les similitudes. Tous deux sont présentés comme fortunés et ayant des moeurs étriquées.
    Avec une longueur d’avance pour DSK, qui ajoute, dans le quotidien français Libération du 16 mai dernier, une troisième obsession:
    «Sa judéité». Tous deux commencent une carrière politique à huit ans d’intervalle. DSK en 1986 en étant élu député et Berlusconi en 1994, année où il crée son parti politique «Forza Italia» («Allez l’Italie»). Depuis, ils intéressent donc les médias et partant l’opinion publique. La portée de ces médias est planétaire. Et là commencent les différences de traitement qu’accordent ces médias aux deux personnalités. Berlusconi est descendu en flammes après avoir conquis le pouvoir en Italie, tandis que DSK est encensé pour conquérir le pouvoir en France. Berlusconi est épié dans sa vie privée tandis que celle de DSK est «protégée» par tous les journalistes. Difficile pour le non-initié (et même pour des journalistes du Sud obnubilés par les «leçons» des médias occidentaux) de comprendre cette différence. Aujourd’hui, il est plus facile de l’expliquer.
    Le dernier scandale dont Berlusconi a fait les frais remonte au 14 janvier dernier (il a sur sa «carte de visite» depuis son accession au pouvoir, 24 procès dont quatre sont encore en cours). Il est accusé de détournement de mineure. La presse se déchaîne contre lui. Il est présenté comme un dépravé indigne des fonctions qu’il occupe. La victime, une danseuse de cabaret, est «récompensée» et propulsée star du showbiz. La dernière «affaire» de DSK remonte à quelques jours et a eu lieu dans un hôtel de New York. Le DG du FMI et à «deux doigts» de la présidence française, agresse une femme de ménage qui dépose plainte. Il est arrêté quelques heures plus tard à bord de l’avion, 10 minutes avant son décollage pour Paris. Le personnel médiatico-politique français au complet s’est mobilisé pour le défendre. Pas un mot sur les souffrances subies par la victime, une jeune femme noire du Bronx. A peine si de victime elle n’est pas devenue accusée. Exception faite de Gisèle Halimi qui s’est offusquée publiquement de ce traitement médiatique ségrégationniste.
    L’ancien ministre Jack Lang va jusqu’à dire qu’«il n’y a pas mort d’homme». Façon de dire que l’agression commise par DSK n’en est pas une. La presse, tous titres confondus, ne s’attarde pas trop à rappeler que le DG du FMI n’en est pas à sa première affaire du même genre. Très peu rappellent, sans trop insister, l’affaire, vite étouffée, qu’il a eue (en 2008) dès son entrée en fonction au FMI avec la responsable du département Afrique. Mieux, une journaliste française, encouragée par la rigueur de la justice américaine, vient de déposer une plainte contre DSK pour l’avoir agressée en... 2002. Et si elle a gardé le silence depuis, c’est, dit-elle, par peur des représailles. Sa plainte n’intéresse pas la presse qui en fait l’impasse.
    Les frasques de DSK, récidiviste, étaient connues de tout le milieu politico-médiatique français depuis des décennies. Mais personne n’a osé défier l’omerta. Encore heureux que l’homme soit détenu par la première puissance mondiale, sinon le pouvoir français aurait «roulé des mécaniques» comme il l’a fait avec le Mexique pour la kidnappeuse française qui y est détenue. Et dire que DSK obsédé par «le fric, les femmes et sa judéité» a failli prendre le pouvoir en France. Quand ces mêmes milieux politico-médiatiques vocifèrent contre la diffusion des images d’un DSK menotté et les trouvent «injustement humiliantes». Ils oublient celles de Saddam Hussein «ausculté» la bouche ouverte comme on le fait pour les animaux. Ils oublient le «procès» et le meurtre du couple Ceausescu en direct. Ils oublient celles de Laurent Gbagbo arrêté en sous-vêtements.
    On comprend mieux maintenant la différence qu’il y a entre DSK et Berlusconi. Et bien d’autres!

    (zoume6@hotmail)

    Zouhir MEBARKI

  • la preuve à appui merci B.B maintenant histoire est révélee,l'échec après échec.....!!!

    B. B., mieux que tous les livres d’histoire !

    Par Hakim Laâlam  
    Email : laalamh@yahoo.fr
    Christine Lagarde devrait remplacer DSK à la tête du FMI.
    Panique chez les…

    … hommes de ménage new-yorkais !

    Finalement, Ben Bella aura rendu un fier service aux jeunes d’Algérie. Tous les enfants de ce pays qui ne connaissent l’histoire de leur nation «libérée» qu’à travers les épopées transcrites à l’encre sympathique dans des livres d’histoire enveloppés dans du papier guimauve. Le premier Président de l’Algérie indépendante doit être ici remercié. In vivo, en live, mieux que tous les manuels d’histoire écrits ou à écrire, il a montré aux jeunes générations pourquoi l’Algérie a échoué. Sa démonstration est d’ailleurs frappante de conviction. Voilà, c’est cela l’échec de notre pays. A l’échelle affligeante d’une interview, vous pouvez, chers compatriotes qui n’avez pas vécu l’indépendance, enfin comprendre pourquoi ça n’a pas marché. Pourquoi ça ne pouvait pas marcher. Parce qu’y avait ça. Y avait ça, et y avait des clones de ça. Une série fournie, nombreuse et presque surnaturellement immortelle de clones de B. B. Il ne peut pas y avoir de mystères indéfiniment. S’il y a eu échec, s’il y a échec aujourd’hui, la raison vous en est donnée de manière presque «pédagogique». C’est cette indigence-là, cette incompétence crasse, cette arrogance sans bornes, cette suffisance sans limites et ce mépris incommensurable qui ont prétendu lancer l’Algérie dans le concert des nations. Avec ce genre de «lanceurs », vous comprenez mieux aujourd’hui le crash lamentable, jeunes compatriotes de tous horizons, de toutes conditions. L’énigme est levée. Nous ne sommes pas les victimes d’une quelconque malédiction lancée par un quelconque prêtre nous maudissant du pont du bateau qui l’éloignait du port, en 1962. Nous ne sommes pas non plus victimes d’un mauvais sort balancé par la chouwafa de De Gaulle nous promettant les ténèbres pour toujours. Non ! Nous sommes victimes de ça. De cette engeance à qui le pays a été confié à l’aube naissante de nos vies. Allah ghaleb ! C’est sous vos yeux. Lisez B. B. Relisez B. B. Y a même pas besoin d’explication. Tout est dans le texte. Dramatiquement dans le texte. Merci quand même, H’mimed ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
    H. L.

  • SIT-IN ET GRÈVE ILLIMITÉE Les praticiens maintiennent la pression

    source:soir d'algerie

    Le bras de fer se poursuit entre les praticiens de la santé publique et le ministère de tutelle. Aux menaces proférées par le département d’Ould Abbès, les résidents ont répondu par un rassemblement, tandis que spécialistes et généralistes continuent de paralyser les services.
    Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Le collectif autonome des médecins résidents algériens a mobilisé hier ses troupes. Des centaines de médecins résidents étaient hier face au ministère de la Santé, criant leur colère et appelant à la démission du ministre. Sans détour, les manifestants qualifiant Ould Abbès de «super-menteur» ont scandé des slogans hostiles au ministre de la Santé qu’ils mettent au défi de tenir les nombreuses promesses qu’il a faites. «Dégage», «L’insulte n’est pas une politique de santé», «Nous n’avons pas peur». Autant de slogans criés face à la grille du ministère de tutelle fermée et bien gardée. Les résidents n’espéraient pas être reçus par le ministère mais tenaient à répondre par ce rassemblement aux menaces proférées la veille par le ministre. Des instructions avaient en effet été données afin que des ponctions sur salaires soient effectuées. Il n’est également pas exclu que le ministère de la Santé fasse appel aux réquisitions pour forcer les résidents à reprendre du service. Des menaces qui ont eu pour effet de mobiliser davantage les résidents qui campent sur leurs positions et qui réaffirment qu’aucune revendication n’avait été satisfaite, dénonçant la dualité du ministère de la Santé. Une dualité qui s’exprime à travers la remise d’un «brouillon» du statut des résidents. Une copie que le collectif va discuter après de larges consultations avec les résidents. Il se donne le temps nécessaire pour étudier l’ensemble des points contenus dans ce projet de statut. En attendant, la grève illimitée se poursuit avec une quasi-paralysie des services des structures de santé publique. Une paralysie atténuée par la grève des praticiens et praticiens spécialistes affiliés au SNPSP et au SNPSSP. Ces derniers continuent de mobiliser les praticiens. «Un acte de résistance», commente le Dr Merabet, président du SNPSP qui salue la mobilisation des médecins face à l’appareil répressif déployé par la tutelle. Les menaces du département de la santé ont été mises en application puisque des agents de l’administration tentaient dès hier d’entraver toute tentative de rassemblement à l’intérieur des structures de santé. En parallèle, aucune proposition n’a émané du ministère de la Santé aggravant une situation de blocage qui risque de perdurer. Dimanche, les praticiens emboîteront le pas aux résidents. Ils se rassembleront face au ministère de la Santé pour dire toute leur détermination à faire aboutir leurs revendications toujours

  • Deux délégués syndicaux suspendus de leur travail à la demande du ministère

    Grève illimitée des praticiens de la santé publique


    source: tsa

    suspension syndicat santé.png
     

     

    Deux membres du Syndicat national des praticiens de la santé publique (Snpsp) viennent d'être suspendus par leurs établissements. Selon un document dont nous publions une copie, ces suspensions ont été décidées à la demande du secrétaire général du ministère de la Santé. Il y a trois jours, le ministre de la Santé Djamel Ould Abbès a menacé les grévistes de sanctions.
     
    « Le SG du ministère de la Santé a instruit ses gestionnaires pour procéder à la suspension de nos délégués syndicaux en plein mouvement de grève en attendant de les traduire en commission de discipline », indique ce mercredi 18 mai le Dr Lyes Merabet, porte‑parole du Snpsp. « Pourtant, la gestion de leur carrière dépend des responsables de l'établissement et non de la tutelle. C'est un abus d'autorité », poursuit‑il.
     
    Le syndicat « va saisir la justice », affirme le Dr Merabet. Pour lui, il s'agit là d'une violation caractérisée et flagrante de la réglementation gérant l'activité syndicale. « On est en situation de guerre. Nos délégués syndicaux reçoivent des menaces et subissent des intimidations », regrette‑t‑il.
     
    Aucun délégué du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (Snpssp), l’autre organisation qui a appelé à la grève, n'a encore été suspendu, selon son président, le Dr Mohamed Yousfi. Mais cette organisation syndicale s'y attend. « Ça va dans la logique de répression du ministère de la Santé et ce n'est pas ainsi qu'on va régler les choses », précise-t-il. Et d'ajouter : « Pour nous, les choses sont claires. La grève est maintenue et actuellement, on est en train de préparer notre rassemblement du dimanche ».
    taux de suivi en pdf:Tx de suivi.pdf

     

  • Les praticiens de la santé publique restent mobilisés

    source:la tribune dz

    Généralistes et spécialistes observeront un sit-in devant le ministère, le 22 mai prochain

    image
    Photo : Riad

    Par Karima Mokrani

    Les praticiens et praticiens spécialistes de la santé publique poursuivent leur mouvement de grève illimitée. Ils tiennent tête au ministre, Djamel Ould Abbès, et paralysent de nombreux établissements de santé à travers le pays. Les résidents en médecine, en chirurgie dentaire et en pharmacie sont aussi de la partie. Eux aussi ne lâchent pas prise et n’accordent pas de crédit aux promesses du ministre d’améliorer leur situation. Ni d’ailleurs à ses menaces de ponctions sur salaires et de poursuites judiciaires. Jamais le secteur de la santé n’a été aussi mouvementé que cette année. Pas seulement par le nombre et l’ampleur des mouvements protestataires mais aussi par la manière de résoudre des conflits qui ne font que perdurer. L’intervention du représentant du gouvernement, dimanche dernier à l’ENTV, et ses déclarations en marge de ses sorties de travail dans différentes wilayas du pays aggravent une situation déjà assez compliquée. «C’est tout sauf une réunion. Les représentants du ministre nous ont menacés de ponctions sur salaires et de poursuites judiciaires», rapporte un médecin résident à l’issue d’une réunion au siège du ministère de la Santé, lundi dernier. Le Dr Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) s’élève, de son côté, contre les déclarations du ministre à la télévision. «Le ministre nous accuse de travailler pour un parti politique ou une ONG et laisse entendre que ce sont ce parti politique ou/et l’ONG qui nous financent. Si le ministre a une seule preuve que nous activons dans un cadre politique, qu’il nous la montre et qu’il engage une action en justice», lance le représentant des praticiens. Et ce dernier d’affirmer la décision des deux syndicats d’interpeller les plus hautes institutions de l’Etat et le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, sur la «gravité» des accusations du ministre.Autre fait dénoncé par les deux syndicats, «le ministre a menacé les directeurs de les sanctionner s’ils n’arrivent pas à ramener le calme dans leurs établissements respectifs». Il leur a surtout donné ordre d’«interdire les réunions et les rassemblements dans l’enceinte hospitalière».Refusant cette manière de traiter des problèmes sérieux, posés de manière civilisée par la corporation médicale, le SNPSP et le SNPSSP décident de durcir le mouvement. Ils se rendront, cette fois-ci sans invitation, au ministère de la Santé, le 22 mai à 11 heures. Ce ne sera pas pour une réunion de conciliation - qui finira par un P-V de non-réconciliation - mais pour un sit-in. Une manière de rappeler au ministre ses engagements envers les praticiens au lendemain de son installation à la tête du département de la santé. C’est aussi pour dire au ministre que les deux corps restent mobilisés et solidaires jusqu’à satisfaction totale de leurs revendications.Dans un communiqué transmis à notre rédaction, l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef) a exprimé son soutien aux praticiens grévistes et a appelé les pouvoirs publics à intervenir de façon à mettre un terme à la situation de blocage. 

    K. M

  • Grèves illégales du SNPSSP et du SNPSP : Faibles taux de suivi

    source :el moudjahid.http://www.elmoudjahid.com/fr/flash-actu/4903

     http:www.elmoudjahid.comfrflash-actu4903

    Suite à l’appel à la grève initié par le Syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique (SNPSSP) et le Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP), le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière (MSPRH) informe que les vérifications menées à travers le territoire national indiquent que pour la journée du lundi 16 mai 2011, le taux global de suivi de cette grève à travers les wilayas concernées a été de 22,3% pour les praticiens spécialistes et de 10,59% pour les praticiens généralistes.
    Tout en rappelant que la justice a déclaré illégales ces deux grèves, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière (MSPRH) informe les citoyens que les établissements publics de santé sont opérationnels grâce aux réquisitions faites et à la mobilisation des professionnels dans leur écrasante majorité pour la prise en charge des citoyens.