- Page 2
-
-
no moment
-
Encore un entrepreneur enlevé à Tizi Ouzou
Il s’agit du propriétaire d’une sablière
Par : Samir Leslous
Après plusieurs mois de répit, la wilaya de Tizi Ouzou vient de renouer avec le phénomène des enlèvements.
Il s’agit d’un propriétaire d’une unité de concassage établi au lieu-dit Alma, dans la daïra de Mekla, à une trentaine de kilomètres à l’est de la ville de Tizi Ouzou. Selon des sources sécuritaires dans la région, Belkessam Mokrane, puisque c’est de lui qu’il s’agit, s’apprêtait à quitter, avant-hier mardi, vers 16h, son unité après une dure journée de travail lorsqu’un groupe de trois ou quatre individus armés y a fait son apparition. La victime, âgée de 60 ans a, selon nos sources, tenté de résister mais les ravisseurs l’embarquèrent de force à bord d’un véhicule. Les ravisseurs auraient contacté la famille de la victime environ deux heures après le rapt. Mais, jusqu’à hier en fin journée, aucun nouveau contact n’a été établi entre les ravisseurs et la famille de la victime, indique encore notre source. Il y a lieu de préciser que Belkessam Mokrane est la première victime du phénomène de kidnapping dans la wilaya de Tizi Ouzou depuis le début de cette année 2012 qui est marquée, depuis l’élimination du sinistre “émir” El-Khachkhach le 2 janvier dernier, par une baisse remarquable de l’activité terroriste. Connu et apprécié dans la région pour ses qualités humaines qui font l’unanimité, Mokrane s’est particulièrement investi lors des dernières intempéries en mobilisant tout son parc d’engins ainsi que le personnel de son unité pour participer au déblaiement des routes et au désenclavement des villages. Ce nouveau rapt constitue toutefois le 66e du genre durant ces sept dernières années sur le territoire de la wilaya. L’année 2011, pour rappel, a été clôturée avec les deux cas d’enlèvement du fils d’un propriétaire d’une huilerie sur la route de Boghni et de Djellal-Nacer, un cardiologue originaire de Béni Aïssi et dont l’enlèvement a été considéré par la population de la région comme des plus étranges. Il est à rappeler que parmi tous les enlèvements enregistrés dans la wilaya de Tizi Ouzou, un seul cas s’était soldé par la mort de la victime. C’était l’entrepreneur Hend Slimana assassiné par ses ravisseurs qui se sont avérés être de faux terroristes après leur arrestation. Trois autres cas se sont soldés également par une libération sans paiement de rançon mais plutôt sous la pression d’une formidable mobilisation citoyenne. Quant à tous les autres cas, des rançons allant d’une centaine de millions à plusieurs milliards ont été versées en contrepartie de leur libération. -
France,liberté d'expression out!!
Une enseignante suspendue pour un « hommage » à Merah
Par : Rédaction WEB
L’affaire Mohamed Merah prend de plus en plus de proportions en France. Le lendemain de sa mort, une enseignante d’anglais dans un lycée à Rouen a été suspendue par le ministre français de l’éducation. La raison ? Avoir demandé, avant le début de son cours de matinée, une minute de silence à la mémoire du jeune français accusé d’être l’auteur de deux tueries en France. Selon plusieurs médias français, la professeure aurait affirmé à ses élèves de terminale que Mohamed Merah est une « victime » et que le lien qu’aurait eu le jeune français avec Al-Qaida avait été « inventé par les médias et Sarko ».
Devant l’attitude de leur prof, des élèves se sont empressés de sortir de la salle pour alerter le chef d’établissement. Rapidement l’affaire prend d’autres proportions jusqu’à faire intervenir le ministre de l’éducation de l’hexagone, Luc Chatel. Ce dernier a demandé vendredi au recteur de Rouen de "suspendre immédiatement" l’enseignante.
-
no moment
-
Ben Bella Et Son Histoire
-
Blida : Le professeur Ridouh n’est plus
Responsable du service de psychiatrie légale au CHU Frantz-Fanon de Blida depuis plusieurs décennies, médecin légiste, criminologue, il est surtout connu pour avoir expertiser la personnalité de Lembarek Boumaârafi, l’assassin du président Boudiaf.Le célèbre psychiatre algérien, le professeur Bachir Ridouh n’est plus. Il est mort ce vendredi après midi (Vers 14h00) aux urgences du CHU de Blida à l’âge de 70 ans des suites d’un malaise cardiaque.
A travers son expertise, il révéla que cet assassinat était un acte isolé, ce qui n’était pas du goût de plusieurs opposants à l’époque.
Il a même écrit un livre intitulé « La Dynamique Boudiaf, la mécanique Boumaârafi » aux éditions RSM à travers lequel le feu Ridouh faisait une analyse psychiatrique de l’auteur du crime.
Il y a un mois, il a participé à un congrès national sur la santé mentale des enfants et des jeunes où il avait présenté l’état des lieux sur ce sujet.
allah yarahmou
.
Mohamed Benzerga
-
Du pain bénit pour les urnes
La grosse artillerie était accompagnée de l’arsenal médiatique qui a une fois de plus démontré le matraquage des usagers de l’information. Comme lors de la première guerre du Golfe, comme lors de l’intox au sujet des armes de destruction massive prétendument détenues par l’Irak de Saddam Hussein, la gestion de l’information des tueries de la région de Toulouse sera marquée par un cas d’école : une seule parole autorisée ou presque, l’anesthésie de tout discours différent. On l’a vu depuis lundi. Ceux qui voulaient apporter un regard différent, comme le socialiste Julien Dray qui parlait de «show hollywoodien», ont été renvoyés dans leurs cordes. Même Catherine Ashton, représentante de la diplomatie européenne, a été dénoncée pour avoir parlé des enfants de Ghaza. Chut, ce sont des enfants juifs qu’on assassine à Toulouse, des enfants israéliens, avec Alain Jupé, ministre des Affaires étrangères présent, mercredi, aux obsèques. Rien d’autre ne compte !
Les expressions utilisées par l’ensemble des journalistes ne faisaient référence qu’aux informations que voulaient bien livrer les canaux proches de l’enquête, à savoir la police, le procureur ou le ministre, avant qu’à son tour le président Sarkozy trace lui-même la feuille de route d’après-drame. Les responsables politiques, comme anesthésiés, ont tous dans un bel ensemble, hier, ordonné pour applaudir au fait que Merah ait achevé son parcours. Le communiqué de la revendication par Al Qaîda des tueries tombait à point nommé pour leur donner raison alors que Mohamed Merah s’était réclamé de l’association terroriste. Les médias n’ont-ils pas martelé l’information du procureur qui affirmait unilatéralement que le jeune Merah passait son temps à regarder des scènes de décapitation.
La règle du récit, le story-telling, pour parler anglais, si cher aux tenants actuels du gouvernement français, a donc été parfaitement appliquée, et particulièrement dans la manière d’étaler les événements jour après jour, lentement. Avec le temps pour les auditeurs téléspectateurs de digérer tout ce qu’on voulait leur faire avaler. Mercredi, alors que les cérémonies d’hommage se déroulaient, il était impossible d’agir. Hier, la fin de l’intervention tombait parfaitement avec le JT de 13h, très bon pour la France profonde. Certains diront qu’il ne faut pas être cynique devant un tel drame. C’est tout à fait vrai qu’il ne faut pas l’être, mais il semble bien que dès aujourd’hui (vendredi), et peut-être déjà hier soir lors du discours du candidat Sarkozy, «Toulouse» aura servi d’apéritif, d’entrée et de plat de résistance pour le débat électoral qui va maintenant se poursuivre, avec les autres candidats qui feront la course pour le «koursi».
Le président Sarkozy (pas le candidat, mais c’est la même personne) a d’ailleurs déjà commencé hier après-midi, alors qu’il n’était pas plus de 14h, à annoncer des mesures contre le terrorisme ! Que ne l’a-t-il pas fait avant, alors qu’hier après-midi, les informations sur le passage de Merah en Afghanistan et au Pakistan ne s’avéraient plus aussi exactes que mercredi ? Sauf à en tirer enfin des dividendes, il l'avait déjà tenté en participant au chaos libyen en février dernier. En tout cas, on y verra plus clair dans les jours qui viennent sur l'ampleur du mouvement d'opinion, mais d’ores et déjà le scénario rêvé par Sarkozy et sa rivale d’extrême droite, Le Pen, sera intervenu comme du pain bénit pour des urnes magiques pour eux. Pas sûr qu’elles le soient autant pour les Français !
Walid Mebarek
-
no moment
-
claude guéant le porteur de valises
…………………………
Tout d’abord, il faut rectifier pour le lecteur, que ce n’est pas à son arrivée, mais à son départ sur Genève depuis l’aéroport d’Orly que le Dr Mourad Dhina a été arrêté dans l’après-midi du lundi 16 Janvier 2012. Il venait de passer une semaine à Paris dans le cadre de ses activités politiques d’opposant au régime des généraux d’Alger. Il avait auparavant effectué plusieurs passages en France, sans avoir jamais été inquiété.
Par ailleurs, il faut préciser que c’est le gouvernement français – dans son acharnement contre les opposants politiques au régime de ses protégés d’Alger – qui a demandé formellement aux autorités suisses, de mettre fin à la participation du Dr Mourad Dhina dans l’équipe scientifique du CERN, coté suisse.
Enfin, de lourdes interrogations – en particulier d’ordre éthique – ont été soulevées par la visite éclair, d’à peine un peu plus de 2 heures, effectuée le dimanche 4 Décembre 2012 à Alger par le ministre de l’intérieur Claude Guéant. Une visite que des médias du pouvoir comme le Figaro se sont empressés de banaliser en titrant : « »Claude Guéant à Alger avec quelques dossiers qui fâchent »"… comme si on pouvait régler des dossiers qui « fâchent » en 2 heures… Alors que tout Alger s’était fait l’écho plutôt d’une visite de « porteur de valise » liée aux besoins financiers de M. Sarkozy pour sa campagne présidentielle, l’homme étant coutumier de la chose…
lire la suite:http://lequotidienalgerie.org/2012/03/22/la-france-va-t-elle-extrader-un-opposant-vers-lalgerie/
-
99% ou rien
Comparaison n’est pas raison, mais la raison n’est comparable à rien d’autre. Auchapitre surenchère verbale, c’est le premier des Algériens, en l’occurrence le président de la République, qui mène devant les islamistes et leur victoire verte annoncée, et Ouyahia et le syndrome de l’OTAN, qui doit débarquer le 11 mai à l’aube. Mais après avoir comparé les élections législatives de mai au 1er Novembre, date du déclenchement de la lutte armée pour l’indépendance, le président Bouteflika vient de les comparer au référendum d’autodétermination de 1962 qui a accouché de l’indépendance.
Justement, quel est le rapport entre l’indépendance qui a permis, entre autres, à M. Bouteflika d’être président de son pays, et une élection qui doit désigner des députés qui n’ont aucun pouvoir et sont en général liés aux puissances d’argent et aux réseaux clientélistes ? Il n’y en a pas, la phraséologie est un détournement de sens, tout comme une élection truquée un détournement d’opinion. Mais cette légèreté prise avec l’histoire, les dates et le calendrier n’est pas nouvelle. Tout ressemble à tout et rien à rien, les valeurs s’étant étalées comme un aquarium cassé ; un joueur de football est plus digne d’être anobli qu’un chercheur et vendre des containers plus noble que tout. On avait même comparé la concorde civile à une avancée historique digne d’un Nobel de la paix et l’élimination du verrou constitutionnel pour le troisième mandat comme une percée démocratique.
Qui croire ? Personne, en tout cas pas cette idée saugrenue que l’indépendance se rejoue. A J-61 jours du scrutin, la question reste la même : qu’ont-elles de spécial ces élections de députés à 300 000 DA ? Peut-être un avertissement américain et secret à l’Algérie : si vous ne faites pas plus de 99% de participation, on arrive. Ce qui voudrait dire qu’on est loin d’être indépendants. Pourquoi attendre alors le 10 mai ?
Chawki Amari
-
What went wrong?
qu'est-ce qui a mal tourné?
-
Un médecin-général mahgour s’insurge!
-
c'est un français tout court,arrêtez ...Mr sarko amalgame islamisme, islam, integriste, salafiste,modéré,
Une piste islamiste surgie de nulle part
Dans la nuit de mardi à mercredi, le bouleversement était total dans le feuilleton des tueries dans la région de Toulouse. Un auteur est sorti comme d’un chapeau de magicien. Sauf qu’il n’y a rien d’enchanté dans cette affaire. Le suspect, totalement inattendu, Mohamed Merah, 24 ans, est Français d’origine algérienne, islamiste, qui a prétendu agir pour Al Qaîda. Resté retranché toute la journée dans son appartement toulousain, il négociait âprement avec la police avant de se rendre.
Lyon.
De notre correspondant
Tout va trop vite et l’actualité s’est soudainement emballée, hier matin, avec l’annonce d’un suspect retranché chez lui, un Français d’origine algérienne, adepte du djihad, Mohamed Merah. Le suspense était au rendez-vous d’une nouvelle journée dont sont friands les médias qui occupent l’antenne dans des quartiers vides, des gendarmes et des policiers en veux-tu en voilà, et des entretiens d’où, pour la plupart, l’idée générale est que les interlocuteurs n’ont rien à dire de nouveau. Ils meublent la montée d’angoisse alimentée chez les auditeurs et les téléspectateurs. Malgré cette toile de fond habituelle désormais dans le système d’information spectacle, l’issue de l’enquête était prévisible mardi, lorsque le président Sarkozy avait dépêché les policiers du Raid à Toulouse pour étoffer la recherche du tueur dans le collège juif lundi, et des soldats parachutistes il y a quelques jours.Ce déploiement de policiers formés à un type d’opération musclée avait de quoi étonner, alors que les enquêteurs disaient n’avoir aucune piste sérieuse. Mardi soir, on indiquait que la piste des néo-nazis (comme le meurtrier fou d’Oslo l’été dernier) avait été écartée. Dès lors, la piste islamiste commençait à se faire jour, sans qu’aucun commentateur ne s’avise de la prononcer vraiment.
Tout a basculé hier au petit matin et pendant des heures, les policiers ont négocié avec le jeune suspect, âgé de 24 ans. Selon les comptes rendus relayés par les médias, il aurait indiqué avoir voulu venger la cause des enfants palestiniens et dénoncé l’action de la France en Afghanistan. Son avocat, qui l’avait conseillé dans différentes affaires précédentes, parlait en début d’après-midi d’un individu faible, déstabilisé, qui pourrait même mettre fin à ses jours plutôt que de se rendre. «C’est un jeune homme très doux, au visage d’archange, au langage policé», disait Christian Etelin, interrogé par le Nouvel Observateur.Au même moment, on apprenait que le suspect avait été arrêté en 2007 en Afghanistan après avoir posé des bombes dans la région de Kandahar, mais s’est évadé quelques mois plus tard. C’est ce que déclarait, à Reuters, le directeur des prisons de cette ville du Sud afghan. Condamné à trois ans de prison, il s’est enfui à la faveur d’une intervention commando menée en juin 2008 par des talibans qui avait permis l’évasion d’un millier de détenus. Une autre information affirmait qu’avant de rejoindre l’Afghanistan, le suspect avait postulé pour entrer dans la Légion étrangère et dans l’armée, selon Europe 1. Il n’a pas été retenu en raison de ses antécédents judiciaires et de son instabilité psychologique. Après l’attaque contre les trois paras, le 15 mars, la Direction de la protection du secret-défense (DPSD), ancienne sécurité militaire, avait communiqué ces données aux spécialistes de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), les services du contre-terrorisme de la police.
DES CONCLUSIONS FARFELUES ET DES CONSÉQUENCES POLITIQUES
Hier à 14 h, l’intervention la plus aberrante était celle de l’imam de la mosquée de Drancy, Hassan Chalghoumi, qui jugeait que les tueries de Toulouse et Montauban par un suspect se revendiquant d’Al Qaîda étaient «le 11 septembre des musulmans de France».
Dans le même temps, le Premier ministre palestinien, Salam Fayyad, affirmait, dans un communiqué, qu’«il est temps que ces criminels arrêtent de revendiquer leurs actes terroristes au nom de la Palestine et de prétendre défendre la cause de ses enfants, qui ne demandent qu’une vie décente, pour eux-mêmes et tous les enfants du monde».Au plan politique, contrairement à ce qu’on pouvait penser au début de cette lamentable affaire, le Front national risque de marquer des points. Marine Le Pen a fait un carton hier dans une certaine opinion en estimant que «le risque fondamentaliste a été sous-estimé dans notre pays et que des groupes religieux se développent face à un certain laxisme». Quant au président sortant, il a enfin pu endosser sa tenue préférée, celle du guide et du protecteur, une stature qu’il avait essayé en vain de mettre en avant en janvier dernier. Ce qu’il n’a pas manqué de faire hier après-midi en assistant aux obsèques des militaires tués il y a dix jours à Toulouse et Montauban. «Le 15 mars 2012, le tueur a pris pour cible trois de nos soldats. (...) Nous savons aujourd’hui que c’était bien des soldats que l’assassin voulait tuer. Ils ont été abattus, car ils étaient l’Armée française.
C’est elle que le tueur a visée, et c’est la République qui a été touchée (...) », a-t-il discouru. Puis, parlant de la fusillade de lundi : «Je veux dire que si des communautés ont été prises pour cibles, ce sont des enfants, des soldats, des Français qui ont été assassinés.(...) Cet homme voulait mettre la République à genoux. La République n’a pas cédé (...) Ses crimes ne demeureront pas impunis.» Après les discours, la politique reprendra ses droits, dans la dernière ligne droite avant le vote du 22 avril. Les candidats présents à la cérémonie, dont jusque-là le favori François Hollande, ont été salués par le président. Ils vont désormais tenter d’apaiser la scène politique. Avec un train, ou plutôt un avion de retard sur l’omni président Sarkozy auquel l’actualité a apporté un argument décisif pour prendre de l’avance.
Mohamed Merah dit avoir accepté une mission d'Al Qaïda :
Mohamed Merah, suspecté de sept assassinats depuis le 11 mars, dit avoir refusé de commettre un attentat-suicide pour Al Qaîda mais avoir accepté une «mission générale» pour un attentat en France, a révélé hier sur TF1 le ministre français de l’Intérieur, Claude Guéant. L’homme, assiégé par la police dans un immeuble de Toulouse, «a expliqué la façon dont il a reçu des instructions d’Al Qaîda pendant son séjour au Pakistan ; il lui avait même été proposé de provoquer un attentat-suicide qu’il a refusé, mais il a accepté une mission générale pour commettre un attentat en France», a déclaré le ministre.
Walid Mebarek
-
Blida : Sit-in des victimes du terrorisme
Une centaine de victimes du terrorisme, femmes, hommes et vieux, se sont rassemblés ce jeudi matin devant le siège de la wilaya de Blida afin d’exiger « un statut et un peu plus de considération ».« Malgré nos souffrances, les officiels semblent carrément ignorer notre cas. Ayant perdu un époux, un père, une mère, un frère, une sœur ou toute une famille dans des conditions tragiques, chacun d’entre nous est resté livré à lui-même pendant une dizaine d’année. Nous ne demandons pas la charité mais juste un statut en tant que victimes de la tragédie nationale », déclarent des victimes rencontrées devant la porte principale de la wilaya.
D’autres ajoutent « On est tellement ignoré que nos maigres pensions arrivent toujours en retard. Souvent, il faut attendre quatre mois, voire plus, pour que le virement soit effectué. Nous exigeons une revalorisation de la pension et son virement doit être fait mensuellement ».
Les contestataires ont voulu voir le wali mais ce dernier était comme par hasard en déplacement sur chantier. « Et pourtant, il est avisé de notre sit-in depuis plus d’une semaine. On dirait qu’il a voulu fuir ses responsabilités »,insistent des protestataires. Notons que des sit-in similaires ont eu lieu dans plusieurs wilayas du pays.
Mohamed Benzerga
-
toulouse.... d’origine algérienne ?
Le Talmud et la Tora selon Bob le Lisse !
Par Hakim Laâlam
Email : laalamh@yahoo.frTueur présumé de Toulouse. Et son scooter, il est… … d’origine algérienne ?
Dalil Boubekeur! Ah ! Dalil Boubekeur ! Jusqu’où ira le vénérable recteur de la Mosquée de Paris ? Je pose cette question, parce que là, à chaque fois que ce monsieur apparaît à l’écran, se pointe devant un micro et une caméra, je me tiens le ventre très fort. Tellement je suis pris de spasmes. Déjà, l’autre jour, dans le débat sur la viande hallal, j’ai cru que Bob le Lisse allait craquer et admettre que finalement, après moult réflexions, après consultation du personnel qui sert le thé dans la cafétéria de la Mosquée de Paris, il s’avère que la viande de porc est hallal. D’ailleurs, heureusement que cette parenthèse a été plus ou moins vite fermée, car à une journée près, Bob le très Lisse aurait été jusqu’à bouffer une tranche de Herta pour prouver sa bonne volonté à l’endroit de l’Elysée et du candidat Sarko. Et puis, là, ces toutes dernières heures, avec la tuerie de Toulouse, Bob le Lisse a tapé fort, très fort. A côté de lui et de son enthousiasme compassionnel, le Grand Rabbin de France, le patron du consistoire juif et le président du CRIF passaient pour de tièdes défenseurs de la mémoire des enfants assassinés à Toulouse. J’ai même cru un instant que Bob le Lisse allait engueuler tout le clergé juif pour ne pas avoir assez mouillé leurs prunelles face à ce drame. Des gens présents sur place m’ont assuré sous le couvert de l’anonymat que Bob le Lisse aurait vertement rappelé au Grand Rabbin des passages du Talmud qui obligent à s’arracher la peau du cou et à se griffer les avant-bras en temps de deuil. Je ne sais pas pour vous, mais moi, très sincèrement, je pense que quelqu’un devrait parler à Bob le Lisse. Ô ! Lui parler très gentiment. Sans animosité. Juste lui expliquer ce qu’est le dialogue des religions, ce que veut dire la tolérance partagée, et ce qu’implique à ce niveau-là de responsabilité œcuménique le fait d’en rajouter des couches, tous les jours dans la concession quasi servile. Chouïa, ya sahbi Bob ! Je ne suis pas un modèle de religiosité, mais j’ai souvenance tout de même, car pas complètement ramollo du ciboulot, de déclarations du consistoire juif, du CRIF et des autres organisations du culte israélite en France sur les massacres d’enfants palestiniens par l’armée de Tel-Aviv. Déclarations qui ne péchaient pas, si je ne m’abuse, par excès de compassion envers ces chérubins de Ghaza trucidés, mais qui insistaient par contre sur le droit d’Israël à se défendre en toutes circonstances. Les mêmes contre lesquels se frotte aujourd’hui de manière énamourée notre Bob le Lisse dédouanaient allègrement les commandos de Tsahal auteurs de boucherie d’enfants. Bien évidemment que tout meurtre est condamnable. Des milliers ou juste trois. Mais Khouya Bob, personne ne t’interdit de condamner. Condamne, Khouya Bob, condamne. Mais arrête un peu avec ce tic énervant que tu as de vouloir nous mettre tous des kippas sur la tête. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L. -
BOUMEDIENE
DÉBAT SUR BOUMEDIÈNE -Il a commis des atrocités
-«Ki ghabou ettyour, bqat el hama (hiboux) eddor»
-Les détails du compte CNEP qu’il a laissé !Il a commis des atrocités
Depuis plusieurs mois, un débat s'installe autour de l’œuvre de feu président Houari Boumediène, les avis divergent, car cet homme suscite toujours autant d'admiration chez certains et de colère chez d'autres. Sans faire un bilan, et entrer dans les détails politico-économiques, je me pose une question fondamentale. Peut-on travailler pour l’Algérie de manière désintéressée dès lors qu'on a conquis le pouvoir par la violence et sans aucune légitimité. Peut-on construire un pays, alors qu'on écarte systématiquement les idées opposées ? Pourquoi l’Algérie a commencé à couler seulement 5 ans après sa mort ? Un pays viable, une économie solide, des institutions saines et ancrées dans la réalité du peuple ne peuvent sombrer en quelques années, à la première crise pétrolière venue. De Gaulle a laissé plus que du béton à la France, il a laissé le gaullisme, courants de pensée auxquels se rattachent des hommes politiques ou de simples citoyens. Pour revenir à mon idée première, qui est celle de la relation entre liberté d'expression et la bonne gouvernance, je reste persuadé que les assassinats politiques, les disparitions mystérieuses, les condamnations et les placements en résidence surveillée ne peuvent être cautionnés par aucune réalisation économique, car rien de bon ne peut venir de l'autoritarisme. Aussi beau et magnifique que soit l'héritage de Boumediène, il ne pourra jamais excuser la violence de sa gestion. Accepter une telle ineptie, c'est vendre la vie et la liberté des hommes contre des usines ou des universités. Croire qu'une industrie lourde, même rentable à 200 %, compense l'assassinat d’Amirouche et Si El Haouès est tout simplement abominable. Pardonner la confiscation de leurs dépouilles ne peut susciter que de la colère et du mépris chez toute personne ayant un grain d'humanisme dans son cœur. Je peux débattre quant à l'implication de la partie algérienne dans la mort de ces deux héros, mais quant à leur horrible exhumation, je n'ai aucun doute sur l'implication de Boumediène dans cette sinistre affaire et son ambition de conquête du pouvoir (le colonel Bencherif, dernier des sbires de Boumediène, peut en témoigner). Les purges internes du FLN furent peut-être sanglantes, mais le combat pour la liberté primait sur tout. Et les protagonistes de ces luttes fratricides n'étaient pas au chaud à Oujda ou au Caire, le contexte fut terrible. Peut-être que certains de «nos héros» avaient du sang sur les mains, mais le leur a coulé avec celui de leurs frères. Ils ont combattu ou sont morts pour nous, pour l’Algérie, pas pour le pouvoir, sinon ils seraient partis à l’étranger pour attendre tranquillement l’Independence. Imaginez, combien d’entre nous peuvent avoir le courage de faire face à la France, sans se tromper, vaciller ou commettre des erreurs tragiques ? J’interroge les admirateurs du «Raïs», en leur disant, il a commis des atrocités. Vous en pensez quoi ? Pouvait-il les éviter ? Séquestrer un homme comme Ferhat Abbas, estce pardonnable pour vous ? Exhumer des dépouilles, les séquestrer plus de vingt ans, n’est-ce pas le signe d’une pathologie psychiatrique majeure ? Parlez-en, soignez les plaies, puis passez au bilan et l’autosatisfaction. Le sang qu'il a fait couler au nom du pouvoir est plus précieux que n'importe quelle infrastructure ou autre, c’est celui des Algériens. Il a recruté Ben Bella pour faire imploser le GPRA et instaurer le parti unique, puis il a installé son système, et de là sont venus tous nos malheurs. Je ne suis pas adepte de la théorie «Tous les mêmes, tous pourris», car un pays et un peuple qui ont fait plier la France, puissance mondiale, méritaient mieux qu’une idéologie politique socialiste, panarabiste fabriquée et livrée par Nasser. Avant de terminer, je voudrais dire aux partisans du «Raïs» : OUI il y a de plus en plus de gens qui critiquent Boumediène, OUI avant ils ne parlaient pas, mais aujourd’hui il est mort, et il aura fallu attendre son décès pour qu’on puisse enfin faire quelques critiques de son bilan et de son parcours. S’il ne liquidait pas systématiquement ses opposants, le débat serait clos depuis des années. Pour conclure, je vais terminer avec deux citations, la première drôle mais très réelle, est de l'humoriste Fellag : «En 1962, on a vu passer l'independance, puis plus rien, on l’a plus revue.» La seconde est celle de Larbi Ben M’hidi, un homme de terrain et un génie : «Je préfère mourir avant l'indépendance pour ne pas assister à vos déchirements pour le pouvoir.» Vive l’Algérie
Ziri Yalairi.Yala@gmail.com«Ki ghabou ettyour, bqat el hama (hiboux) eddor»
Trente-quatre ans depuis que Houari Boumediène nous a quittés ; j’en avais 28 à cette époque, l’âge d’or de ma vie que je n’échangerais pas contre toutes les richesses de ce bas monde. Je roulais avec ma Peugeot 404 en compagnie d’un collègue sur le tronçon de la RN 12 allant vers Alger. Avant l’entame de la RN 5 qui traversait Thénia à cette époque, j’allume la radio, et la triste nouvelle tombe sur moi comme un couperet. J’ai regardé mon collègue d’un air grave ; en guise de réponse, celui-ci me réplique ironiquement : «Qibes.» Sans me rendre compte, j’arrête la voiture, prie mon passager de descendre en lui balançant au visage : «Naâlat Allah aâlik.» Ce collègue qui était mon cadet de deux ans n’est plus de ce monde, que Dieu lui pardonne cet écart de langage proféré à l’encontre de l’homme que la majorité des Algériens avait pleuré à chaudes larmes. Revenons maintenant à l’homme que l’Algérie avait perdu en plein essor du développement du pays et dont le remplacement s’est avéré par la suite inefficace. En premier lieu, il faut reconnaître que Houari Boumediène avait beaucoup de talent dans la conduite des affaires du pays. J’ouvre une parenthèse, et ce pour ne pas envenimer le débat. Je dois donc m’abstenir volontairement de spéculer sur les affaires dites «crimes politiques» attribuées, par des rancuniers, à Houari Boumediène, sans preuves authentiques. Mais, il faut reconnaître que dans le domaine politique, les crimes sont fréquents, sans omettre de rappeler aussi qu’il y a ceux qui tuent pour une cause de principe et ceux qui tuent pour des intérêts étroits. Houari Boumediène avait un programme révolutionnaire à concrétiser au profit du peuple algérien en général, des masses laborieuses en particulier. Ceci pour dire qu’il n’était pas tendre avec ceux qui se sont opposés à son programme, et qu’il ne cessait d’ailleurs de dénoncer presque dans toutes ses allocutions. Les grandes lignes du programme de Houari Boumediène se résument à peu près ainsi :
- 1° Edification de l’État algérien.
- 2° Recouvrement des ressources nationales.
- 3° Renforcement de la souveraineté nationale.
- 4° Lutte contre le sous-développement et l’ignorance.
- 5° Équilibre régional et égalité des chances entre citoyens.
- 6° Indépendance de la décision politique de l’Algérie.
Y a-t-il un Algérien qui n’adhère pas à ce programme patriotique ?
En 1978, la population algérienne était d’environ vingt millions d’habitants, parmi cette population, beaucoup ne sont plus de ce monde ; ceux qui sont nés après 1978 – environ 20 millions d’Algériens – composent la jeunesse actuelle qui n’a pas connu Houari Boumediène. A travers ces chiffres, nous constatons que Houari Boumediène n’a plus la majorité au sein de la population algérienne actuelle. C’est la faute à Dame Nature ! Sans oublier aussi de dire que ses compagnons encore en vie, que ce soit ceux de l’intérieur ou ceux étrangers, ont trahi sa mémoire pour avoir laissé le terrain aux vautours pour mettre en pratique leur sport favori. Comment ressusciter le patriotisme boumediéniste ? Je lance un défi à tous ceux qui ont une autorité décisionnelle sur l’ENTV de diffuser chaque jour à une heure d’écoute, cinq à dix minutes des discours de Houari Boumediène. Je suis convaincu qu’il ne se passerait pas six mois que le patriotisme de Houari Boumediène referait surface en Algérie, et le peuple retrouverait son unité doublement soudée. Alors, chiche !
Amar B.Les détails du compte CNEP qu’il a laissé !
Monsieur Houari Boumediène
N° de compte CNEP : 000002/08
Date d’ouverture du compte : 6 mai 1966
Premier versement effectué : 500 DA
Année……….. intérêts
1966 ………………8,75
1967………………14,24
1968………………14,64
1969………………15,05
1970………………15,47
1971………………19,88
1972………………20,58
1973………………21,31
1974………………22,04
1975………………22,81
1976………………23,61
Total : 198,37 DA
Et dire que certains sont allés jusqu’à lui créer un compte bancaire à la Manhattan Bank de New York !
M. D. -
Participation du FFS aux prochaines élections : Normalisation du champ politique et neutralisation de la société civile
-
no moment
-
Les praticiens spécialistes déterminés à aller jusqu’au bout de leur débrayage
ILS DÉNONCENT LE RECOURS ABUSIF DE LA TUTELLE À LA JUSTICE A leur deuxième jour de grève, les praticiens spécialistes semblent plus déterminés que jamais à aller jusqu’au bout de leurs revendications. Néanmoins, ils dénoncent le recours abusif du département de Djamel Ould-Abbès à la justice.
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - A son deuxième jour, la grève des praticiens spécialistes est passée d’un taux de suivi de 76% à celui de 80%, selon le président du SNPSSP, le Dr Mohamed Yousfi. Un signe favorable, à ses yeux, et qui dénote, souligne-t-il, on ne peut plus clair, «la grande mobilisation des praticiens spécialistes et leur détermination à défendre jusqu’au bout leurs droits les plus élémentaires et légitimes». Ainsi, au centre du pays, le président du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique a annoncé un taux de suivi de 75% à Alger et à Boumerdès, 80% à Tizi Ouzou et Aïn Defla, 75% à Blida et 100% à Bouira. A l’ouest du pays, la grève a été suivie à 80% à Tlemcen, à 60% à Oran, à 100% à Tiaret et à 80% à Mostaganem. A l’est du pays, le taux de suivi a été de l’ordre de 75% à Constantine, 80% à Mila, de 85% à Tébessa, à 80% à Annaba, 80% à Mila et à 85% à Oum El Bouaghi. Dans le sud du pays, les wilayas de Ghardaïa, de Ouargla et El Oued ont chacune enregistré un taux de suivi de 70%. Par ailleurs, le Dr Mohamed Yousfi, joint hier par téléphone, a fortement dénoncé «le recours abusif du ministère de la Santé à la justice pour faire avorter un mouvement de débrayage légal et légitime ». Selon lui, le département de Djamel Ould-Abbès a pris lui-même l’initiative de distribuer des décisions de justice, déclarant la grève illégale et appelant les praticiens spécialistes à reprendre illico du service. «C’est plutôt la procédure du ministère de la Santé qui est illégale et non pas une grève observée par une élite réclamant un minimum de dignité. Car il faut savoir que c’est le tribunal qui doit notifier au syndicat une telle décision par voie recommandée. Or, jusque-là, la direction du syndicat n’a rien reçu sauf constater que les agents du ministère de la Santé ont procédé à l’affichage desdites décisions au niveau des établissements hospitaliers. Ce qui est contraire à la loi en vigueur», a-t-il expliqué. Mais ce qui semble le plus chagriner le Dr Yousfi, c’est, dit-til, le double langage tenu par le gouvernement. Il s’explique : «D’une part, le président de la République, le Premier ministre et son gouvernement appellent à la valorisation de l’élite et certains vont jusqu’à aller draguer les médecins spécialistes installés sous d’autres cieux pour revenir travailler dans le pays et d’autre part, ils font tout pour faire fuir le peu de praticiens spécialistes qui ont choisi de rester en Algérie…». En somme «Nous n’avons vraiment rien compris ! », a-t-il conclu.
M. M. -
no moment
-
Les Pirates De La Politique Algérienne
-
Guerre d'Algérie : le poignard de Jean-Marie Le Pen
Par Le Matin DZ |
jean marie le pen--general massu
Au matin du 3 mars 1957, Mohamed Cherif Moulay, 12 ans, découvre un poignard dans le couloir d'entrée de la maison familiale, dans la Casbah d'Alger.
Accrochée à une ceinture de couleur kaki, l'arme gît dans un recoin obscur. C'est un oubli des parachutistes français qui ont soumis la nuit précédente son père à "la question". Ahmed Moulay, 42 ans, a été torturé à l'eau et l'électricité, en présence de ses six enfants et de son épouse, avant d'être achevé d'une rafale de mitraillette. Le supplicié a les commissures des lèvres tailladées au couteau. Un communiqué de l'armée annoncera qu'il a été abattu alors qu'il tentait de s'enfuir. Quand il trouve ce poignard, Mohamed Cherif Moulay le cache dans le placard du compteur électrique de l'entrée.
Les parachutistes reviennent à deux reprises, les jours suivants, mettent la maison à sac. Pour rien. L'enfant se tait. Rania Moulay, elle, se rend au commissariat pour porter plainte. On lui dit : "Votre mari est mort au cours d'un règlement de comptes entre fellaghas." Apprenant l'épisode, un père blanc, le père Nicolas, s'indigne et intervient. Les gendarmes finissent par ouvrir une enquête. "Pour qu'ils soient obligés d'admettre que ce n'était pas des fellaghas mais des militaires français qui avaient tué mon père, je leur ai donné la ceinture de toile kaki, mais pas le poignard que j'ai détaché de la ceinture et gardé", se souvient Mohamed Cherif Moulay, âgé aujourd'hui de 67 ans. L'enquête n'aboutira jamais.
Le poignard atterrit dans le buffet de la salle à manger des Moulay. Il y restera jusqu'en avril 2003, date à laquelle l'envoyée spéciale du Monde à Alger réussit à le rapporter en France. Cette pièce à conviction sera présentée à la 17e chambre, lors du procès en diffamation intenté par Jean-Marie Le Pen contre Le Monde, le 15 mai suivant.
En acier trempé, long de 25 centimètres et large de 2,5 centimètres, il s'agit d'un couteau du type de ceux qu'utilisaient les Jeunesses hitlériennes, fabriqué par des couteliers allemands de la Ruhr, selon l'enquête menée par le journaliste Sorj Chalandon. La lame porte le nom de J.A. Henckels, fabricant à Solingen. Le manche, en partie recouvert de bakélite noire, est incrusté d'un losange dont l'écusson est tombé dans les années 1970, à force d'avoir été manipulé par les enfants Moulay. Sur le fourreau de ce poignard, on peut lire : J. M. Le Pen, 1er REP.
Florence Beaugé
Cet article est tiré du Hors-Série du Monde : "Guerre d'Algérie. Mémoires parallèles", disponible en librairie et dans la boutique du Monde.fr.
-
Opération seduction pour 7 millions d’Algériens résidant à l’étranger
-
Les étranges safaris des émirs en Algérie
-
Révision constitutionnelle et Etat de droit
Par Free Algérie |
La problématique de la révision constitutionnelle doit s’attaquer à l’essentiel à savoir la refonte de l’Etat, c’est-à-dire à d’autres aspects que le juridisme qui ne doit pas être une fin en soi, les pratiques sociales pouvant contredire des textes si louables soient-ils, et doit prendre en considération le couple contradictoire, préservation de la rente/approfondissement des réformes à travers la stratégie divergente des différents acteurs politiques, économiques et sociaux tant internes qu’externes. L’important est de tirer les leçons, afin de débloquer la situation économique et sociale caractérisée par le statu quo et l’immobilisme, en fait la panne de la réforme globale.
lire la suite :http://www.freealgerie.com/lettre-de-l-editeur/72-4.html
-
Des fonctionnaires-voyous agressent lâchement une jeune journaliste
-
Algérie - chasse gardée de la France
- 50e anniversaire de l'Indépendance nationale: Marseille convoque l'Histoire algéro-française (QO, 19.03.12)
- L’État français cède aux ultras et décide de ne pas commémorer le 19 Mars (SA, 17.03.12)
- Colloque aujourd’hui à Evian: Harkis et ultras français veulent perturber l’événement (EW, 17.03.12)
- Cinquantenaire : Le révisionnisme est dans l’ADN du régime (LN, 13.03.12)
- Guerre d’Algérie, la déchirure, documentaire diffusé sur France 2: Des images colorées et des silences pesants (TSA, 12.03.12)
- Sarkozy met sur un pied d'égalité opprimés et oppresseurs: Drague électorale chez les harkis et les pieds-noirs (QO, 10.03.12)
- Pour Alain Juppé, les islamistes sont « des gens avec qui on peut parler » (Liberté, 06.03.12)
- Ultras de l’Algérie française et ministres contre les colloques sur la guerre d’Algérie (LM, 02.03.12)
- La pénalisation des injures envers les harkis adoptée par les députés français (TSA, 20.02.12)
- Le scandale des essais nucléaires continue (EW, 17.02.12)
- Djoudi s'explique à Paris (Exp., 15.02.12)
- L’usine Renault de Tanger sème le doute sur la réalisation du projet de Bellara (EW, 13.02.12)
- Algérie-France: Renault et Raffarin, la tête ailleurs (QO, 12.02.12)
- Ce n'est pas un dérapage (QO, 07.02.12)
- Lafarge, Total et Renault, un long chemin avant leur concrétisation(EW, 04.02.12)
- Raffarin : vers un partenariat avec l’Algérie basé sur le respect de sa souveraineté (EW, 03.02.12)
- L'Ancien premier ministre français Jean-Pierre Raffarin à Alger (SA, 02.02.12)
- L'envoyé spécial de Sarkozy aujourd'hui à Alger: Paris veut mettre le paquet (QO, 01.02.12)
- Raffarin le 1er février à Alger: Renault, Lafarge et Total au menu(QO, 24.01.12)
- La diplomatie française en mode "soft power" en Algérie (ME, 16.01.12)
- Etrange mission pour un ex-ambassadeur de France (QO, 14.01.12)
- Mourad Medelci : «Pas question de réviser l’Accord de 1968» (EW, 04.01.12)
- Algérie - France: Ça marche pour les affaires (QO, 21.12.11)
- Mireille Fanon-Mendes-France: «En honorant la mémoire du tortionnaire Bigeard, la France officielle s'est rendue coupable de déni de justice» (TA, 14.12.11)
- Medelci explique les réformes aux députés français (QO, 08.12.11)
- Medelci à l’assemblée nationale française (EW, 08.12.11)
- Mourad Medelci : «L’audition n’est pas attentatoire à la souveraineté nationale» (EW, 06.12.11)
- La caution de Paris aux réformes de Bouteflika (EW, 05.12.11)
- Tapis rouge pour un sulfureux ministre (QO, 05.12.11)
- Les contentieux algéro-français sur la table (EW, 04.12.11)
- Mourad Medelci devant la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française (EW, 03.12.11)
- La France honore le bourreau (Exp., 01.12.11)
- Sarkozy lance une offensive sans pareille pour laver l’OAS de tout crime (SA, 30.11.11)
- «La France suit et encourage le mouvement de réformes en Algérie» (EW, 16.07.11)
- Jean-François Copé. SG de l’UMP, hier à Alger (EW, 12.07.11)
- Jean-pierre chevèment: “Regardons l’avenir avec confiance !”(Liberté, 21.06.11)
- Jean-Pierre Chevènement demain en Algérie (EW, 18.06.11)
- Alain Juppé: «Nous ne sommes pas près d’aller à la repentance»(EW, 18.06.11)
- Alain Juppé à Alger: Une visite et des lectures (QO, 15.06.11)
- Américains et Français s’invitent à Alger (EW, 14.06.11)
- Alain Juppé mercredi à Alger (EW, 11.06.11)
- Algérie-France: Concessions économiques contre soutiens politiques ? (QO, 08.06.11)
- Algérie-France: Le temps du réalisme économique (EW, 31.05.11)
- Partenariat: 160 entreprises françaises attendues à Alger (QO, 25.05.11)
- Forum algéro-français: Tout est prêt (QO, 05.05.11)
- Forum d’affaires algéro-français les 30 et 31 mai (EW, 15.03.11)
- Paris tente de se replacer au Maghreb (Liberté, 01.03.11)
- Raffarin pour débloquer les contrats (Liberté, 21.02.11)
- Jean-Pierre Raffarin à Alger: L'investissement de Renault se précise(EW, 20.02.11)
- Dominique de Villepin: «L’Algérie est dans une situation singulière»(EW, 20.02.11)
- L’embarras de Sarkozy (EW, 25.01.11)
- L’Algérie et la France reprennent les discussions sur fond de crise(EW, 24.01.11)
- Paris propose des cours de répression (Liberté, 13.01.11)
- Vieux immigrés en France (EW, 23.12.10)
- La France compte durcir l’octroi des visas aux Algériens (EW, 15.12.10)
- Raffarin repart avec «un dossier fourni» sur les relations avec Alger(EW, 26.11.10)
- La France défend «sa part» en Algérie (Exp., 25.11.10)
- Jean-Pierre Raffarin à Alger aujourd'hui: Conforter un «pragmatisme» déjà en vigueur (QO, 24.11.10)
- Jean-pierre Raffarin: “L’Algérie est souveraine de ses décisions”(Liberté, 23.11.10)
- Raffarin pour réparer les dégâts de Kouchner (Exp., 13.11.10)
- Le «monsieur Algérie» de l'Elysée attendu le 24 novembre (QO, 11.11.10)
- Les deux candidats courtisent Alger (Exp., 04.11.10)
- “L’avenir entre l’Algérie et la France ne peut être que bon” (Liberté, 28.10.10)
- A double tranchant (QO, 26.10.10)
- Il était l'initiateur du Musée de «l'œuvre française en Algérie»: Georges Frêche est mort (QO, 26.10.10)
- L’Algérie participe au sommet de la francophonie (EW, 22.10.10)
- La Fondation pour la mémoire de la guerre d'Algérie dénoncée(Liberté, 21.10.10)
- Algérie-France: La énième lune de miel ? (SA, 20.10.10)
- Une relation "un peu comme dans un couple", selon Alliot-Marie(EW, 19.10.10)
- Algérie-France: Les questions qui fâchent (SA, 19.10.10)
- Il l'a déclaré après avoir reçu Alliot-Marie : Bouteflika ira en France «Inchallah» (QO, 19.10.10)
- Une fondation pour militaires "nostalgériques" (QO, 19.10.10)
- Les partisans de la loi du 23 février persistent et signent (Liberté, 18.10.10)
- Michèle Alliot-Marie: «La France est prête à des avancées» (EW, 17.10.10)
- Intense activité diplomatique française à Alger (EW, 23.09.10)
- Jean-pierre Chevènement réplique à Bernard Kouchner (EW, 23.09.10)
- La secrétaire d’État français au commerce extérieur: “Nous voulons investir sur le long terme en Algérie” (Liberté, 20.09.10)
- Alger-Paris – Des chargés de missions très spéciaux pour les affaires économiques (ME, 13.09.10)
- Jean-Pierre Raffarin pour remettre sur rail les relations entre Alger et Paris (Liberté, 12.09.10)
- Raffarin en mission à Alger (EW, 09.09.10)
- Mehri pose les conditions d’une réconciliation (Exp., 19.07.10)
- La France va nommer un “Monsieur Algérie” (Liberté, 17.07.10)
- Algérie-France : Paris tente de voir au-delà du « brouillard » (EW, 16.07.10)
- Le 14 juillet et l'indigénat: Quand le maître invite, l'esclave ne peut refuser (QO, 15.07.10)
- Pensions des anciens combattants : Les Africains alignés sur les Français (EW, 14.07.10)
- Un nouvel avenant à l’accord franco-algérien se dessine : Comment doit-on le négocier ? (EW, 10.07.10)
- Selon une étude sur les pratiques des consulats français dans six pays (QO, 10.07.10)
- Le poids des contentieux affecte les rapports entre Alger et Paris : Des relations en clair-obscur (EW, 22.06.10)
- Abdelaziz Rahabi : « Les relations sont otages d’un passé permanent » (EW, 22.06.10)
- Bouteflika reçoit Claude Guéant : Alger envoie un signe positif à Paris (EW, 21.06.10)
- En présence du maire de Marseille : Inauguration de « la fontaine de l’Espérance » (EW, 09.06.10)
- France-Afrique: Un sommet sans saveur (Liberté, 03.06.10)
- Sarkozy encore face à des questions de fond (EW, 01.06.10)
- Dégel des relations entre Alger et Paris: Il faudra du temps, selon Sarkozy (QO, 02.06.10)
- Le président Bouteflika pour un “partenariat authentique” (Liberté, 01.06.10)
- Bouteflika au sommet Afrique-France de Nice : Dans le jardin de Sarkozy… (EW, 31.05.10)
- Algérie-France : Le retour à la normale ? (EW, 31.05.10)
- La Françafrique et Sarkozy (QO, 31.05.10)
- Bouteflika demain à Nice pour le sommet France-Afrique: Voyage sur fond politique brouillé (QO, 30.05.10)
- Restitution du patrimoine national pillé: L'autre litige algéro-français (QO, 29.05.10)
- La Présidence continue à entretenir le suspense (EW, 24.05.10)
- Révision de l’accord de 68 entre l’Algérie et la France (Liberté, 05.05.10)
- Nos secrets sont ailleurs (EK, 11.04.10)
- L’embrouille des relations entre l’Algérie et la France (EK, 11.04.10)
- Missoum Sbih à Arabies : « Lever les hypothèques qui pèsent sur le climat actuel » (EW, 05.04.10)
- Total renforce sa présence en Algérie: La «petite forme» de la relation Alger-Paris n'entrave pas les affaires (QO, 01.04.10)
- Coopération algéro-française : Entre brouille, intensité et fidélité(EW, 24.03.10)
- Crise des relations entre l’Algérie et la France : Voix discordantes à Alger (EW, 10.03.10)
- Bara confirme l’annulation de la visite de Bouteflika à Paris (Liberté, 09.03.10)
- Essais nucléaires en Algérie: D'ex-militaires français appellent à la levée du Secret-défense (QO, 07.03.10)
- Il dément l’existence d’une crise entre Alger et Paris (Liberté, 06.03.10)
- Kouchner adore les cadeaux (QO, 03.03.10)
- Loi sur la criminalisation du colonialisme: Guerre ouverte (QO, 02.03.10)
- Paris-Alger : comment Ça va ?… (Liberté, 25.02.10)
- France: Une énième réforme du droit des étrangers et les visées électoralistes (QO, 24.02.10)
- Les mots crus de Ouyahia à Claude Guéant (EW, 23.02.10)
- Des émissaires de l'Elysée pour renouer le dialogue avec l'Algérie(Le Monde, 23.02.10)
- « Une visite programmée de longue date » (EW, 22.02.10)
- Kouchner attend le passage à trépas de la génération de l'indépendance (QO, 21.02.10)
- Simplifications (QO, 21.02.10)
- Il attend la réponse des autorités algériennes : Kouchner souhaite venir en mars à Alger (EW, 16.02.10)
- L’Algérie 2e client du port de Marseille (EW, 31.01.10)
- Alger veut « fédérer » les anciennes colonies françaises (EW, 28.01.10)
- Des hommes d'affaires français se succèdent à Alger (Exp., 28.01.10)
- Paris compte récupérer sa place privilégiée en Algérie (EK, 26.01.10)
- Convention franco-algérienne de 1968 (Liberté, 24.01.10)
- Visite annoncée de Bernard Kouchner en Algérie : Les valses- hésitations entre Alger et Paris (EW, 23.01.10)
- Alger-Paris : Ces dossiers qui traînent... (EW, 22.01.10)
- La visite de Kouchner annulée (SA, 21.01.10)
- Christophe de Margerie: “Nous allons augmenter nos investissements en Algérie” (Liberté, 21.01.10)
- Medelci annonce la visite de Kouchner, en février prochain (EK, 16.01.10)
- Medelci: Les conditions pour un sommet Bouteflika-Sarkozy pas encore réunies (QO, 14.01.10)
- Quand la France stigmatise l'Algérie (EW, 13.01.10)
- Alger recentre ses intérêts (Exp., 04.01.10)
- Une loi «a minima» pour les irradiés d'Algérie (EW, 24.12.09)
- Feu vert à l’indemnisation des victimes de Reggane (Liberté, 24.12.09)
- En contrepartie de l’accès du groupe pétrolier français Total au périmètre le plus convoité (Liberté, 21.12.09)
- La présidente du MEDEF: « Nous sommes les premiers et nous comptons bien le rester » (EW, 25.11.09)
- Délégation du Medef à Alger: Reçu cinq sur cinq ! (QO, 25.11.09)
- Le Medef veut rectifier le tir (EW, 24.11.09)
- Visite en Algérie d’une forte délégation du MEDEF (EW, 23.11.09)
- Visite du Medef en Algérie: «Les relations franco-algériennes sont tout à fait bonnes» (QO, 21.11.09)
- Des élus français prochainement chez Ouyahia (QO, 07.11.09)
- Essais nucléaires: Paris entame l’indemnisation des victimes algériennes (Liberté, 22.10.09)
- Algérie-France: Medelci calme le jeu (Liberté, 10.10.09)
- France: Enquête sur des policiers après la mort d’un Algérien de 69 ans (Liberté, 10.10.09)
- La France intervient à partir du sud algérien (EK, 07.10.09)
- La France veut gagner “la guerre du blé” (Liberté, 07.10.09)
- Bouteflika a refusé de rencontrer Sarkozy à New York (Liberté, 06.10.09)
- Création en France d'une fondation sur la guerre d'Algérie (Liberté, 26.09.09)
- Ambassadeur de France: « Nos relations sont solides ! » (EW, 17.09.09)
- L’énigmatique visite de Bouteflika à Paris (Exp., 08.09.09)
- Paris réfute l’idée d’une crise avec l’Algérie (Liberté, 14.07.09)
- M. Medelci: « Nos relations avec la France sont très, très fortes ! »(EW, 11.06.09)
- La fondation 08 Mai 1945 à propos de repentance: «Le président de l'APN doit s'expliquer» (QO, 31.05.09)
- “ La visite de Bouteflika n’est pas officiellement programmée”(Liberté, 30.05.09)
- Essais nucléaires français: Comment Paris veut classer le dossier(EW, 23.05.09)
- Black-out français sur les archives des essais nucléaires en Algérie(QO, 23.05.09)
- 500 algériens sur 27 mille, seraient concernés par l’indemnisation(EK, 17.05.09)
- Les fuites de Paris et les silences d’Alger (EW, 17.05.09)
- La visite de Bouteflika en France « ajournée » (QO, 14.05.09)
- Bockel : “La France assume les pages sombres de son histoire”(Liberté, 13.05.09)
- Visite d’ État du président Bouteflika à Paris (EW, 25.04.09)
- Bouteflika n'a pas encore confirmé sa visite en France (QO, 23.04.09)
- Nom de code : gerboise bleue (QO, 16.04.09)
- Les essais nucléaires de Reggane et les autres crimes de guerre(EW, 12.04.09)
- Sarkozy, mythologie coloniale et anciens de l’OAS (Humanité, 12.04.09)
- Essais nucléaires au Sahara : Paris indemnisera les victimes algériennes (QO, 25.03.09)
- Algérie-France : «L'économie ce n'est pas tout» (QO, 25.02.09)
- Algérie - France : «Jeu intellectuel» pour une problématique pas simple (QO, 24.02.09)
- Algérie-France : Une relation loin des passions (QO, 23.02.09)
- Le CNES planche sur la relation algéro-française (QO, 22.02.09)
- Les essais nucléaires français dans le sud algérien (Liberté, 16.02.09)
- Manoeuvres navales franco-algériennes, sur fond de compétition commerciale (Le Point, 03.02.09)
- 5,2 milliards d’euros d’exportations françaises (Liberté, 13.01.09)
- Algérie-France: 65% des échanges commerciaux sont assurés par les PME-PMI (EW, 05.01.09)
- Algérie - France : Les visas de la colère (QO, 21.12.08)
- «Les entreprises françaises doivent s’investir durablement en Algérie» (JI, 10.12.08)
- Le marché algérien au programme d’une réunion du Medef-International à Paris (JI, 17.11.08)
- “Il est nécessaire de renforcer les échanges avec l’Algérie pour lutter contre le terrorisme” (Liberté, 04.10.08)
- France Telecom ne veut plus du marché algérien (EK, 18.09.08)
- Montant total des projets suivis au courant de 2007 par les entreprises françaises (Liberté, 13.08.08)
- La France veut sa part du gaz algérien (EW, 30.07.08)
- Discours d’adieu de l’ambassadeur de France à Alger (Liberté, 16.07.08)
- Relations algéro-françaises : Bajolet parle de surenchère et de fonds de commerce (QO, 16.07.08)
- France : Les conclusions d'un «livre blanc» sur le Maghreb (QO, 30.06.08)
- Xavier Driencourt nouvel ambassadeur de France à Alger (Liberté, 29.06.08)
- Des travailleurs saisonniers algériens cet été en France (QO, 28.06.08)
- En visite en Algérie, Fillon signe un accord sans précédent(NouvelObs, 22.06.08)
- Algérie-France: Accords sur le nucléaire et la défense (QO, 22.06.08)
- Fillon évoque « un brevet de confiance » entre les deux pays (EW, 22.06.08)
- Fillon et tous les dossiers (QO, 21.06.08)
- F. Fillon: « La France attachée au rôle de l’Algérie au sein de l’UPM » (EW, 21.06.08)
- France-Algérie : La mémoire au menu des discussions (QO, 21.06.08)
- Tout en invitant à la prudence Kouchner appelle les Français à continuer de travailler en Algérie (EW, 10.06.08)
- L'accord sera signé ce mois à Alger : Option pour le nucléaire français, aussi (QO, 01.06.08)
- Borloo: « L’Algérie, un pays attractif pour les investisseurs étrangers » (EW, 31.05.08)
- Bajolet promu coordinateur des renseignements à l’Elysée (EW, 27.05.08)
- Bouteflika invité au sommet de la francophonie (QO, 27.05.08)
- Le Canada veut faire adhérer l’Algérie à la Francophonie lors du sommet du Québec (EK, 25.05.08)
- La Méditerranée de Sarkozy en difficulté (QO, 24.05.08)
- Rebuffade européenne pour Sarkozy ? (QO, 20.05.08)
- Kouchner a plaidé pour l'Union pour la Méditerranée : Alger se donne encore le temps (QO, 13.05.08)
- Kouchner évoque l’existence de « projets algériens » dans l’Union pour la Méditerranée (EW, 13.05.08)
- Kouchner à Alger : L'Union pour la Méditerranée et le reste (QO, 12.05.08)
- Bernard Kouchner: c'est dans un "esprit de renouveau" que je me rends en Algérie (APS, 12.05.08)
- Qu’est-ce qui fait courir M. Kouchner ? (EW, 12.05.08)
- Un conseiller de Sarkozy disqualifie le processus de Barcelone: «C'est tout sauf du partenariat» (QO, 11.05.08)
- Sarkozy dépêche Kouchner à Alger pour parler Union pour la Méditerranée (Liberté, 10.05.08)
- Manœuvres autour du projet du président français (Liberté, 10.05.08)
- Le message de Bouteflika à la France (QO, 10.05.08)
- Michèle Alliot-Marie à propos de l’Union Pour la Méditerranée (EW, 08.05.08)
- Alliot-Marie sonde les intentions de Bouteflika (Liberté, 08.05.08)
- Alliot_marie au sujet de la libre circulation des personnes (SA, 07.05.08)
- Comment et pourquoi la France veut exclure l'Algérie de l'Union pour la Méditerranée (SA, 07.05.08)
- Michèle Alliot-Marie en éclaireur à Alger pour déblayer le terrain de la confiance (EW, 06.05.08)
- Accord franco-algérien sur la lutte contre la criminalité organisée(EW, 05.05.08)
- Michèle Alliot-Marie à Alger: Sécurité et Union pour la Méditerranée(QO, 05.05.08)
- Michèle Alliot-Marie attendue demain à Alger (EW, 04.05.08)
- Le ministre français de l'Intérieur lundi à Alger (QO, 03.05.08)
- A Tunis, Nicolas Sarkozy vante son projet d'Union pour la Méditerranée (Le Monde, 30.04.08)
- La France perd pied en Afrique (QO, 27.04.08)
- Le projet d’union pour la Méditerranée en débat (EW, 24.03.08)
- Union pour la Méditerranée : un projet flou, flou, flou (QO, 20.03.08)
- Un secrétaire d'Etat français, demain à Alger (QO, 20.03.08)
- Sarkozy vend la Méditerranée au rabais aux Européens (Rue89, 14.03.08)
- Le Nord cogite, le Sud attend (QO, 12.03.08)
- L’Algérie attend le contenu opérationnel de l’union pour la Méditerranée (JI, 12.03.08)
- Shimon Pérès applaudit la « fascinante » idée d’Union méditerranéenne et le soutien de Sarkozy à Israël (LM, 10.03.08)
- Le marché des assurances désormais ouvert aux entreprises françaises (JI, 08.03.08)
- Union méditerranéenne: Le fragile compromis franco-allemand (EW, 06.03.08)
- Union méditerranéenne: Sauver les apparences (QO, 06.03.08)
- François Fillon prochainement à Alger (EW, 06.03.08)
- Bernard Bajolet, ambassadeur de France à Alger, à El Khabar (EK, 27.02.08)
- Couacs franco-allemands (QO, 26.02.08)
- Alger - Paris: Le dossier de l'émigration n'avance pas (QO, 20.02.08)
- Paris déconseille le Sud algérien à ses ressortissants (JI, 20.02.08)
- Michel Rocard, ex-Premier ministre français, à El Khabar (EK, 13.02.08)
- L'Union pour la Méditerranée rattrapée par le Proche-Orient (QO, 11.02.08)
- Claude Estier: Mitterrand a tiré vers le haut la relation franco-algérienne (QO, 09.02.08)
- Hubert Védrine: Le « traité d’amitié » était une fausse-bonne idée(EK, 07.02.08)
- Paris ne reviendra pas sur l'Union méditerranéenne (QO, 02.02.08)
- La Coface maintient le classement du risque Algérie en 2008(Liberté, 23.01.08)
- Le visa biométrique pour la France à partir du 5 février à Oran (QO, 20.01.08)
- Le point de vue de Bernard Bajolet, ambassadeur de France à Alger (TSA, 16.01.08)
- La France mesure jour après jour le degré « du risque Algérie » (EK, 16.01.08)
- Sarkozy revient sur son déplacement à Alger (Liberté, 09.01.08)
- Lancement à Paris de la «Fondation pour le monde méditerranéen»(QO, 12.12.07)
- Gilbert Meynier: Des « excuses » seraient dérisoires (EW, 11.12.07)
- Union Méditerranéenne : Paris revoit sa copie (EW, 09.12.07)
- Les coulisses de l'Union méditerranéenne (QO, 09.12.07)
- Merkel torpille le projet d’union méditerranéenne (EW, 08.12.07)
- La frilosité des investisseurs gagne le secteur énergétique (EW, 08.12.07)
- Azouz Begag: « Sarkozy n'est pas l'homme d'aucune excuse ni repentance » (EK, 08.12.07)
- O. Besancenot: La France a commis des crimes en Algérie, elle doit s’en excuser (EK, 08.12.07)
- Ils exigent une réaction après les propos tenus par Kouchner à Alger (EW, 08.12.07)
- Constantine sans flamme pour Sarkozy (Libération, 06.12.07)
- Le discours de Sarkozy prononcé à Constantine (Nouvelobs, 06.12.07)
- Fin de la visite controversée de Sarkozy en Algérie (EW, 06.12.07)
- M. Harbi: Sarkozy n'a pas été entièrement conséquent (QO, 06.12.07)
- Finalement sa visite s’est déroulée comme il l’avait souhaité(Liberté, 06.12.07)
- L’ONM demande des excuses et des indemnisations (Liberté, 06.12.07)
- Union méditerranéenne: Les contours du projet définis, selon Paris(EW, 06.12.07)
- Sarkozy reçoit les harkis à l’Elysée (SA, 06.12.07)
- La dérobade de Sarkozy (EW, 05.12.07)
- Discours de Abdelaziz Bouteflika (Présidence, 05.12.07)
- Peu de mots pour un paquet de contrats (EW, 05.12.07)
- Consensus et contrats Sarkozy : un dosage calculé (QO, 05.12.07)
- A. Belkhadem : “C’est satisfaisant, mais pas suffisant” (Liberté, 05.12.07)
- Alger a accueilli Sarkozy sans grand enthousiasme (Liberté, 04.12.07)
- Le discours de Nicolas Sarkozy (Nouvel Obs, 04.12.07)
- Rencontre patrons algériens-MEDEF (QO, 04.12.07)
- Naissance d’une Instance algérienne de lutte contre la pensée coloniale (EW, 04.12.07)
- Ould Abbès à propos des mines antipersonnel de la période coloniale (JI, 04.12.07)
- Les mines du colonialisme continuent de tuer (EW, 04.12.07)
- La diplomatie des affaires en marche (EW, 03.12.07)
- La France doit-elle revisiter son passé colonial ? (EW, 03.12.07)
- Une visite qui rapporte gros (QO, 03.12.07)
- Sarkozy à Alger: A quel temps conjuguer l'avenir ? (QO, 03.12.07)
- À son retour, il recevra les rapatriés d’Algérie à l’Élysée (Liberté, 03.12.07)
- N. Sarkozy: “Il nous faut avancer sur du concret” (Liberté, 03.12.07)
- Bouteflika-Sarkozy: Ce qui les rapproche, ce qui les oppose (Liberté, 03.12.07)
- GDF va investir 1 milliard en Algérie (Challenges, 03.12.07)
- E. Balibar: « Nos sociétés doivent faire ensemble leur histoire commune » (EW, 02.12.07)
- Nicolas Sarkozy préconise « un traité d’amitié simplifié » (EW, 02.12.07)
- Ce qu’attend Bouteflika de Sarkozy (Liberté, 02.12.07)
- La mini-crise entre Alger et Paris est dépassée... (QO, 01.12.07)
- Sarkozy, convaincu par Bouteflika, déclare l’incident clos (JI, 01.12.07)
- Cherif Abbas aurait-il commis un dérapage sémantique ? (JI, 29.11.07)
- Algérie-France: De l’eau dans le gaz ? (SA, 27.11.07)
- Jean-Pierre Tuquoi : « La situation n’est pas bloquée » (EW, 25.11.07)
- Georges Labica: Il n’y a pas grand-chose à attendre de Sarkozy(EK, 25.11.07)
- A la veille de la visite de Sarkozy en Algérie Medelci s'entretient avec Kouchner (QO, 25.11.07)
-
Quand les services américains jouaient avec l'OAS
par Salem Ferdi, Le Quotidien d'Oran,
L'OAS aurait négocié, en juin 1962, sous la houlette des Etats-Unis, avec des «modérés» du FLN, des garanties pour les pieds-noirs qui décideraient de rester en Algérie. C'est ce qu'affirme l'hebdomadaire Le Point en se basant sur un document «très confidentiel» du colonel EMG Musy, chef de la section des renseignements, au service de l'état-major général suisse, intitulé «l'intervention des services américains en Algérie». En fait, cela part de faits établis. Abderrahmane Farès, qui a pris en avril 1962 la charge de l'exécutif provisoire s'était adressé aux «Européens» d'Algérie en lançant un appel à la paix et au rejet de la violence. C'est dans ce contexte qu'il a entrepris via Jacques Chevalier des contacts avec des dirigeants de l''Organisation armée secrète (OAS) pour arriver à l'arrêt des violences meurtrières qu'elle a engagées. Il n'a jamais été question de négocier un accord politique avec l'OAS. Le document sur lequel s'appuie Le Point paraît très clairement marqué par la guerre froide qui opposait l'Est et l'Ouest. Il est exclu qu'Abderrhamane Farès ait essayé de jouer les «modérés» du FLN et de se substituer à sa direction. Mais le document renseigne clairement que les Américains et les Occidentaux en général étaient soucieux du positionnement d'un «pays qui allait inévitablement vers l'Indépendance» et qui pouvait être, «selon l'évolution, pro ou antioccidental». Or, l'objectif de la manœuvre était de «contribuer à ce qu'il soit aussi proche que possible de l'Occident». Le document souligne que les «services américains constataient que «l'ingérence de Moscou se manifestait avec une fréquence accrue» et que la position de l'Otan s'affaiblissait en Méditerranée occidentale...».
UN DOCUMENT MARQUE PAR LA GUERRE FROIDE
D'après le document, De Gaulle était persuadé que «le nouveau gouvernement de l'Algérie indépendante serait axé sur Paris, Washington» et il pressentait un «éclatement inévitable du FLN». Il cherchait même à y contribuer pour que «ce soit une tendance FLN modérée qui arrive au pouvoir après l'indépendance». Cette manœuvre américaine de faire émerger un courant «modéré» au sein du FLN était appuyée en France par des «milieux financiers et industriels ayant de gros intérêts en Algérie…». Il est intéressant aussi de noter qu'Abderrhamane Farès est présenté comme incarnant une «tendance bourgeoise» au sein du FLN. Lui, Chawki Mostefaï (qui a été chargé par le GPRA de négocier avec Jean-Jacques Susini l'arrêt des violences et de la terre brûlée) et Ferhat Abbas représentent, selon le document, ce qui pourrait être le «front de la bourgeoisie algérienne» par opposition au «front révolutionnaire». On est plus dans des analyses politiques que dans le renseignement. Il n'est pas exclu que les Américains aient cherché à utiliser des dirigeants de l'OAS en perdition pour chercher une présumée «aile modérée du FLN afin de favoriser à Alger l'instauration d'un régime pro-occidental». Pourtant, en juin 1962, même si l'OAS continuait ses assassinats et destruction, il était évident qu'elle avait définitivement perdu la partie. Il est de ce fait étonnant d'apprendre que les Américains pouvaient croire à un «rapprochement» entre le FLN et l'OAS. Pourtant, selon le document, les «représentants des États-Unis à Alger, avant tout le consul général américain de cette ville, sont intervenus «téléguidés par Washington, appuyés dans leur action par les agents de la CIA (Central Intelligence Agency) et nantis de fonds secrets importants». Selon le rapport des services secrets suisses, la tentative de «rapprochement» a été menée via l'ancien maire d'Algérie et ancien secrétaire d'Etat français à la défense Jacques Chevalier et Jean-Jacques Susini, le n°2 de l'OAS. En réalité, il était totalement exclu qu'un accord – autre que relatif à la cessation des assassinats – puisse être conclu avec le FLN. L'intérêt du document est de montrer que les Etats-Unis appréhendaient l'indépendance de l'Algérie qu'ils jugeaient inéluctable et prospectaient dans toutes les directions pour éviter qu'elle ne tombe dans le camp soviétique. Ainsi, Jean-Jacques Susini était hébergé au consulat général américain et le consul lui avait «donné toutes les assurances pour son départ au cas où l'affaire ne réussirait pas». Fortement appuyé financièrement, Susini a eu de premiers contacts au début de juin.» Dans une déclaration au Point, Jean-Jacques Susini nie avoir été hébergé par le consulat américain ou avoir reçu des fonds de lui. Selon lui, les contacts avec les Américains avaient été établis par Jacques Chevalier, l'ancien maire d'Alger qui lui aurait dit avoir les «contacts avec les Américains… Ce sont des contacts étroits, au niveau politique comme au niveau financier.
-
ConocoPhillips va demander à son tour le remboursement de la TPE à Sonatrach
Samy Injar, Maghreb Emergent, 20 Mars 2012
A l’annonce de l’arrangement entre Sonatrach et ses partenaires Anadarko et Maersk, avec à la clé 4,4 milliards de dollars, de nombreuses voies algériennes ont exprimé leur inquiétude de voir d’autres compagnies étrangères intervenant sur l’amont algérien réclamer à leur tour le remboursement de la taxe sur les profits exceptionnels (TPE). C’est fait ; le texan ConocoPhillips va engager une démarche en ce sens.
Les autorités algériennes et la direction de Sonatrach n’auront pas à attendre très longtemps avant de se retrouver face à un nouveau litige en liaison avec le prélèvement de la TPE, la taxe sur les profits exceptionnels introduite en 2006 et collectée par Sonatrach pour le compte de l’Etat algérien. Une source sûre a affirmé à maghrebemergent.info en marge du symposium du FCE sur l’économie algérienne cette semaine, que la compagnie Texan ConocoPhillips avait pris la décision d’engager une requête auprès de Sonatrach afin de recouvrer des « versements » de taxe indûment prélevés par la partie algérienne. La même source assure que d’autres compagnies se préparent aussi à engager des procédures similaires afin de bénéficier du remboursement d’une partie de la TPE. Il s’agit plus exactement des montants de la taxe sur les profits exceptionnels correspondant à une activité antérieure à la date de promulgation de cette taxe. Les juristes des compagnies étrangères se seraient en effet jetés sur le contenu du dossier Anadarko-Maersk- Sonatrach pour retrouver les points similaires qui permettent à leurs employeurs d’obtenir le même « arrangement » que les deux compagnies américaine et danoise. Une source près de Sonatrach s’est déclarée confiante sur l’issue d’une éventuelle requête de ConocoPhilips « Cette compagnie est marginalement concernée par l’application de la TPE. Dans tous les cas les montants en jeu ne sont pas comparables avec ceux du litige avec Anadarko et Maesk ». Les spécialistes algériens de l’énergie, regroupés en nombre à l’hôtel Aurassi la fin de la semaine dernière, étaient perplexes au sujet de la décision algérienne de concéder un arrangement à Anadarko et à Maersk sur ce dossier de la taxe sur les profits exceptionnels. « Un haut responsable de Sonatrach m’affirmait il n’y a pas encore longtemps qu’il était certain de remporter un arbitrage international dans cette affaire » rapporte notamment un économiste spécialiste des questions énergétiques.
ConocoPhillips, pas un acteur majeur en Algérie
ConocoPhillips est présent sur le bloc 405A du bassin de Berkine. Il est opérateur sur le gisement de Menzel Lejmat Nord, participant à 3,7% sur celui de Ourhoud et détient 16,9% dans le consortium qui doit développer le très prolifique gisement d’El Merk devant entrer en production dans le courant de cette année. Le ministre algérien de l’énergie et des mines a affirmé ce lundi matin sur les ondes de la radio chaîne 3 que la taxe sur les profits exceptionnels n’était pas concernée par les amendements que va connaître la fiscalité pétrolière afin d’attirer à nouveau les compagnies étrangères sur le domaine minier algérien. Certains observateurs considèrent d’ailleurs que l’arrangement avec Anadarko et Maersk ne peut se justifier que de ce seul point de vue « apaiser le climat des affaires dans l’industrie pétrolière algérienne qui a été longtemps empoisonné par le conflit sur l’effet rétroactif de cette taxe qui s’est ajouté au fait qu’elle écrémait les gains des compagnies étrangères ». Le 10 mars dernier un communiqué annonçait que les litiges entre l’Etat algérien et le danois Maersk d’une part et Sonatrach et Anadarkp d’autre part allaient être réglé suite à l’acceptation de la partie algérienne de verser l’équivalent de 4,4 milliards de dollars en quantité physique de pétrole aux deux compagnies. Une disposition dans le contrat de partenariat entre les deux compagnies et Sonatrach leur assurait la stabilité fiscale. ConocoPhillips et les autres compagnies étrangères qui comptent demander des compensations similaires ne connaissent pas encore, toutefois, les motivations juridiques précises de l’accord du 10 mars dernier.