boutef - Page 13
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no moment :boutef 1er resquilleur,il à toujours été un resquilleur dans tout les domaines.
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Scandale à l’université : Grève à la faculté de médecine de Sidi Bel Abbès
La faculté de médecine de Sidi Bel Abbés a été paralysée dimanche 30 octobre, pour la deuxième journée consécutive, par un mouvement de grève initié par des étudiants en médecine, en chirurgie dentaire et en pharmacie.
Tôt le matin, un sit-in a été observé devant les locaux de l’administration alors que les principaux accès ont été bloqués. Les grévistes ont tenu à dénoncer, à travers ce mouvement de protestation, la falsification de procès-verbaux de notes finales d’examens, notamment ceux de la filière médecine (biochimie), ayant conduit à l’ajournement d’une dizaine d’étudiants alors qu’ils étaient portés admis.
Par contre, un certain nombre d’étudiants ont été admis en troisième année alors qu’ils étaient recalés, d’après des documents authentifiés remis El Wantan.
Ce mouvement de protestation fait suite, rappelons-le, au sit-in observé jeudi dernier au niveau de la faculté, dont l’accès principal a été couvert de banderoles hostiles à l’administration universitaire.
Des banderoles sur lesquelles on pouvait lire : « Non à la hogra », «Non à la vente des notes», « Où est la dignité de l’étudiant ». Une commission d’enquête composée de quatre membres et institué par le recteur de l’université a entamé aujourd’hui son travail à l’effet de faire la lumière sur cette scabreuse affaire. Elle devrait rendre ses conclusions
dans les plus brefs délais, a indiqué ce matin le vice recteur chargé de la pédagogie.
Mammeri Abdelkrim
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L’avocate de Khelifa accuse
Ajournements dans le traitement du dossier
Par : Lokmane-Khelil Samia
Anita Vasisht reproche à la fois à la justice algérienne, britannique et française de tergiverser dans le traitement de l’affaire Khalifa et soupçonne les gouvernements de ces pays d’empêcher son dénouement. Elle demande la conduite d’une enquête indépendante sur tout le dossier, à laquelle seraient associés des experts des trois pays.
Anita Vasisht semble aussi impuissante que son client. Elle attend, comme lui, depuis plus d’une année maintenant, que la Haute-Cour britannique entende Abdelmoumen Rafik Khelifa et prenne une décision définitive concernant son extradition vers l’Algérie. à la question de savoir si elle a le droit de saisir cette institution pour accélérer le traitement de l’affaire, elle dit qu’elle ne peut rien faire. “La programmation d’une audition est du ressort exclusif de la Haute-Cour”, répond-elle, un brin défaitiste. “Encore aujourd’hui, aucune date n’est avancée. Pendant ce temps, M. Khelifa est toujours incarcéré”, observe l’avocate. L’ancien milliardaire a introduit un recours auprès de la Haute-Cour, en avril 2010, aussitôt après la décision du Home Office de le renvoyer en Algérie.
Le ministère britannique de l’Intérieur ayant, à travers son feu vert, avalisé le verdict du tribunal de première instance, rendu dix mois auparavant. Mais depuis, un suspense intenable entoure le traitement de cette affaire par la justice britannique.
Arrêté en 2006 par la brigade économique de Scotland Yard, l’ex-golden boy ne connaît pas encore son sort. à Alger où il s’est rendu dernièrement, William Hague, secrétaire d’état au Foreign Office, a admis l’existence de lenteurs concernant l’examen du dossier. Il s’est bien gardé, toutefois, de donner l’impression que son gouvernement pourrait jouer un rôle dans son traitement et être éventuellement à l’origine des retards. “Je comprends que cette affaire s’est prolongée dans le temps. Mais l'affaire continue à évoluer à travers les tribunaux britanniques. Il ne serait pas correct de ma part de me prononcer sur le résultat probable”, a-t-il expliqué dans une interview à El Watan. Pourtant, selon Anita Vasisht, l’existence d’un deal entre les autorités algériennes et britanniques, en rapport avec la gestion du dossier, n’est pas du tout exclu. L’existence d’un tel arrangement semble corroboré par la lune de miel que vit le couple algéro-britannique actuellement.
Cette entente s’exprime à travers la signature de contrats de vente d’armement, une coopération étroite dans la lutte contre Al-Qaïda (qui comprend le renvoi en Algérie d’un certain nombre de nationaux impliqués dans des affaires de terrorisme en Grande-Bretagne), des projets d’investissements… Il y a quelques années pourtant, les rapports n’étaient pas aussi amicaux. Des câbles de WikiLeaks, rendus publics ces derniers mois, révèlent qu’en 2007 les responsables de l’ambassade du Royaume-Uni à Alger se sont plaints à leurs homologues américains de “l’hypocrisie” des autorités algériennes, qui, publiquement, réclament Khelifa, mais ne font rien pour obtenir son retour de Grande-Bretagne.
Andrew Henderson, qui était à l’époque ambassadeur à Alger, avait même inséré une mise au point dans la presse pour rectifier la date où il a reçu officiellement la demande d’extradition de Khelifa de la part du ministère algérien de la Justice. Il s’agissait, d’après lui, du 19 novembre 2007, alors que plusieurs mois auparavant Tayeb Belaïz, garde des Sceaux, annonçait que le dossier était entre les mains des Britanniques.
Anita Vasisht pense que, même aujourd’hui, le gouvernement algérien ne veut pas voir Khelifa de retour et fait tout son possible, avec l’aide de Londres, pour éviter son transfert. Paris serait également mise à contribution pour étouffer l’affaire. à ce sujet, l’avocate de Khelifa se dit interpellée par une déclaration récente de Ali Benouari, ex-ministre délégué au Trésor, qui a accusé ouvertement la France d’être derrière la banqueroute du groupe Khalifa. Il n’est pas le premier à incriminer Paris.
Mohamed Guernaout, expert financier et ancien cadre de la Banque d’Algérie, aurait, selon les câbles de WikiLeaks, révélé à l’ex-ambassadeur américain John Ford l’existence d’un “deal entre les dirigeants algériens et le renseignement français —sur la liquidation de la banque El Khalifa — pour laisser le champ libre aux banques françaises en Algérie”. L’avocate de l’ex-milliardaire se demande pourquoi les médias français, qui étaient si prompts à jeter l’opprobre sur le groupe Khalifa au début des années 2000 et à précipiter sa chute, se sont abstenus de relever les soupçons qui pèsent aujourd’hui sur l’implication du gouvernement français dans ce qu’elle considère comme une mise à mort. Elle s’interroge, également, sur le retard pris par la justice de ce pays à rendre son verdict, dans sa part du dossier. En Algérie, Me Vasisht relève l’existence de tergiversations identiques, à la Cour suprême où les dossiers de recours des individus condamnés à Blida en 2007 n’ont pas encore été examinés. “Quatre ans après le procès d’El Khalifa Bank, des décisions n’ont toujours pas été rendues”, observe l’avocate. Elle qualifie toute cette situation de “kafkaïenne”. à ses yeux, le parcours judiciaire cahoteux de l’affaire Khalifa en Algérie, en France et en Grande-Bretagne confirme les soupçons selon lesquels les politiques ont une prise sur le dossier.
Celui-ci est loin d’être, pour elle, le résumé d’un banal crime économique. Défendant la thèse du complot, elle reprend à son compte les propos récents de Abdelatif Benachenhou, qui était ministre des Finances au moment du démantèlement du groupe Khalifa, et qui aujourd’hui fait planer le doute sur les raisons qui ont conduit les autorités à procéder de la sorte. “Il n'est pas dans l'intérêt de l'Algérie de traîner des banques de cette réputation devant les juges sans motif d'accusation clair”, a-t-il affirmé il y a quelques semaines. Face à ce genre d’allégations, Me Vasisht pense qu’il est nécessaire d’ouvrir une enquête indépendante sur la genèse et la conduite de toute cette affaire qu’elle décrit comme “exceptionnellement complexe et politiquement sensible”. à son avis, cette investigation doit être confiée à des experts politiques en droit, dans le domaine bancaire et des droits de l’Homme, des trois pays impliqués dans le dossier.
S. L.-K. -
« J'ai été victime de Bouteflika et ses ministres »
Interview d'Abdelmoumen Khalifa au Soir d'Algérie
Abdelmoumen Khalifa et Bouteflika part1 par maghrebb
Le Matin
Abdelmoumen Khalifa s'est exprimé, hier, pour la première fois depuis le commencement du « scandale El Khalifa Bank » et le démantèlement de son groupe. Dans un entretien fleuve accordé au Soir d'Algérie, à Londres, l'homme se qualifie de « victime ». Victime « de la convoitise de ceux qui dirigent le pays et de leur incapacité totale à être utiles à l'Algérie ». Son déclin, il l'attribue au premier responsable de l'Etat. Et si Abdelmoumen Khalifa s'est décidé à parler, c'est parce que le moment est propice à ce genre de déclarations. « Pourquoi j'ai gardé le silence ? Parce que j'ai d'abord pensé à mon pays. L'Algérie nous appartient, c'est là-bas que sont mes racines. Mon cur est en Algérie. Et lorsque mon pays connaît des dérives, et elles sont importantes, il ne s'agit pas de l'enfoncer encore plus. Cependant, il n'est pas non plus question de se taire lorsque la plus grande dérive se situe au plus haut sommet de l'Etat. J'ai donc attendu que des évolutions se produisent pour parler et dire ce que j'ai vécu. Aujourd'hui, il y a des enjeux qui me paraissent essentiels pour l'avenir du pays et il me semble urgent que des changements s'opèrent », a-t-il précisé. Sur les enjeux réels, pas un mot. Par contre, sur les changements, il est on ne peut plus clair. « Il faut changer la direction du pays. Je parle du Président de la République. J'estime en effet que la Présidence de la République est entre de très mauvaises mains. Cet homme a créé un Etat de non-droit en cinq ans. Ce sont des forces du mal qui se sont abattues sur le pays et qui ont généré un Etat voyou. Situation catastrophique, gestion anarchique des affaires de l'Etat, décisions anachroniques ont amené le pays dans une situation d'illégalité absolue, et c'est ce que les Occidentaux appellent un Etat voyou () Le Président actuel met directement en péril l'avenir de la nation. C'est pour cela que j'ai décidé de ne pas me taire. Je m'interdis de voir mon pays malmené de la sorte tout en restant passif. » Abdelmoumen Khalifa estime que le Président de la République est « incapable de gérer l'Algérie ».
Pour le patron du groupe Khalifa, le chef de l'Etat, le Chef du gouvernement et le ministre des Finances ont « politisé l'affaire Khalifa () Je suis un opérateur économique et je ne m'explique pas que des hommes politiques apportent des appréciations et des jugements sur mes activités ». Abdelmoumen Khalifa accuse le « clan présidentiel » d'être l'instigateur de la cabale contre le groupe Khalifa en France. Cette campagne avait pour but, selon lui, « de préparer et légitimer tout ce qui devait se faire après ». En clair, la liquidation de la banque et le démantèlement du groupe. Sur le chapitre de ses relations avec Abdelaziz Bouteflika, Abdelmoumen Khalifa est ferme. « Je n'ai jamais fait la campagne électorale de Bouteflika. Ensuite, ce que j'ai réalisé, je l'ai fait pour
l'Algérie et non pas pour Bouteflika () Il savait ce que je pensais de lui. Je ne me suis jamais gêné pour dire à haute voix et à ses proches ce que je pensais de lui et de sa gestion. Je l'affirme encore aujourd'hui, Bouteflika est le plus grand imposteur qu'ait connu l'Algérie. Il est tout à fait incapable de se soumettre à un débat libre. Je le mets au défi de mettre en débat sa politique face à son ou ses opposants, comme cela se passe dans les pays démocratiques. C'est quasiment impossible. Lorsqu'il est arrivé alors que l'Algérie était détruite, il a promis monts et merveilles aux Algériens sans rien réaliser de ce sur quoi il s'était engagé », assure M. Khalifa.
Quant aux problèmes de la banque et du groupe, Abdelmoumen Khalifa certifie qu'ils n'existaient pas avant que les autorités ne l'aient « sorti de la gestion de la banque », le 3 mars 2003. Il assure qu'avant cette date « toutes les opérations s'effectuaient le plus normalement du monde ». Cependant, le « golden boy » algérien ne donne aucun chiffre. Il remet en cause ceux avancés par Ahmed Ouyahia et Abdelatif Benachenhou sur le préjudice porté au Trésor public. « Parlons chiffres. Le Chef du gouvernement en a avancé un relatif au manque à gagner de l'Etat suite à l'affaire El Khalifa Bank. Son ministre des Finances a avancé un autre chiffre. Il y a là un problème. Manque à gagner pour l'Etat ? Lequel ? » Il arguera par le fait qu'aucun client de la banque n'ait porté plainte contre l'institution du groupe Khalifa. Par contre, il avancera le montant de 100 millions de dollars perdus chaque mois par
El Khalifa Bank à partir du 27 novembre 2002, date à laquelle la Banque d'Algérie a bloqué les opérations de commerce extérieur d'El Khalifa Bank.
Synthèse Samar Smati.
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au clan oujda,aux moudjahidines tawaine,au non élus ,aux généraux corrumpus
A ceux qui nous gouvernent...
Par|à la police hagarineMessieurs les pourris au pouvoir à Alger depuis 50 ans. Vous êtes le clan de Boussouf, Boumediene et Bouteflika, le vrai clan des vrais 3 B. Vous avez fait quoi pour cette pauvre Algérie ?
Avez-vous…
Créé le FLN et l’ALN ? Non.
Combattu les Français avec des armes ou même avec un crayon ? Non.
Négocié l'indépendance de l'Algérie ? Non.
Aidé les combattants du FLN de l'intérieur avec de l’argent et des armes ? Non.
Protégé les leaders du FLN et de l ALN avec les moyens dont vous disposiez ? Non.
Avez-vous…
Mené des opérations contre les armées françaises ? Non.
Eté blessés pendant la guerre d'Algérie contre la France ? Non.
Eté arrêtés ou capturés par les forces armées françaises? Non.
Eté torturés ? Non
Avez-vous…
Préparé les manifs du 17 octobre en France ou celle du 11 décembre ? Non.
Eté kidnappés par les services spéciaux français ? Non.
Eté l'objet d'une opération d'élimination de la part des services secrets français ? Non.
Versé votre sang pour cette pauvre Algérie ? Non.
Avez-vous…
Respecté la volonté des Algériens après 1962 ? Non.
Respecté les droits humains les plus élémentaires des Algériens? Non.
Permis l'émergence d'un pays Algérie fort de ses hommes et ses richesses ? Non.
Respectez la légalité ? Non.
Permis un enseignement digne aux enfants algériens ? Non.
Permis l’expression libre des Algériens pour leur épanouissement ? non
Avez-vous…
Instauré une justice équitable et impartiale en Algérie ? Non.
Mis en place des institutions étatiques de droit ? Non.
Formé les agents de l'Etat au respect et l’application de la loi ? Non.
Utilisé les richesses de l'Algérie pour le bien des Algériens ? Non.
Avez-vous…
Conscience du mal que vous avez fait ? Non.
Avez-vous au moins une conscience ?
Osiris Dzeus
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no moment
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Ces vieux carcans ,usurpateurs qui ne servent à rien,seulement à regner par la dictature.
Train de vie fastueux de l’Etat
Les salaires mirobolants de ceux qui nous gouvernent !
zoom | © Souhil. BLa tripartite (gouvernement-UGTA-patronat) qui se tiendra ce jeudi à Alger prévoit dans son agenda de traiter de l’augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG). Une augmentation de 2000 à 3000 DA n’est pas à écarter, comme c’est de coutume lors des dernières tripartites.
Des augmentations insignifiantes qui seront présentées comme importantes et qui seront, bien entendu, vite rattrapées par la hausse récurrente et généralisée des prix. Le gouvernement et ses partenaires invoqueront, comme d’habitude, la nécessité d’ajuster les salaires selon la productivité et expliqueront que les travailleurs algériens sont bien rémunérés quand la richesse produite reste dérisoire.Des affirmations qui sont, par ailleurs, justes, mais dans un autre contexte autre que celui d’une économie de rente qui caractérise notre pays.Des affirmations, tout aussi justes, lorsqu’elles sont appliquées, d’abord, et aussi, par les décideurs et tous ceux qui font ou défont les lois ou les exécutent. Et en scrutant le train de vie de l’Etat, l’on se rend compte que la rigueur et l’austérité sont réservées exclusivement à la masse des travailleurs. Sinon, comment expliquer des salaires mirobolants pour les hauts cadres de l’Etat, défiant toutes les lois économiques !
Le Premier ministre, qui présidera la tripartite, a un salaire net de 500 000 DA, selon des sources au ministère des Finances, soit près de 34 fois le SNMG, et le chef de l’Etat, qui validera en dernier ressort les décisions prises, a un salaire mensuel de 800 000 DA, soit 54 fois le SNMG ! A titre comparatif, le salaire mensuel du président français est de près de 20 000 euros, soit 14 fois le SMIC (13 65 euros) et des voix de l’opposition promettent déjà de le réduire de 20 à 30% en cas victoire lors de la présidentielle de 2012. Un ministre français touche quant à lui 11000 euros, soit 8 fois le SMIC quand nos ministres s’offrent des salaires moyens de 350 000 DA, soit près de 24 fois le SNMG.
Outre les prises en charge multiples, gratuité du logement, véhicule, repas, déplacements et autres avantages, qui se justifient, par ailleurs, certains usent et abusent des commissions pour arrondir les fins de mois, comme en attestent les multiples procès et scandales liés à la corruption et dont la presse nationale en fait souvent état ces derniers temps.
De l’avis de nombreux analystes et financiers du pays, le train de vie de l’Etat algérien est toujours aussi fastueux au moment où de larges couches de la société sombrent dans la précarité et la pauvreté. Les couches moyennes sont plus que jamais laminées par la hausse vertigineuses des prix. Depuis 2004, des augmentations de 100% ont étés accordées aux parlementaires et de même pour les fonctionnaires et hauts cadres de l’Etat depuis 2008.Un secrétaire d’Etat touche actuellement 270 000 DA et un secrétaire général d’une institution 210 000 DA, au moment où la fiscalité ordinaire en dehors des hydrocarbures (1.500 milliards de dinars) n’arrive même pas à couvrir la masse salariale des fonctionnaires, au nombre de 1 500 000, environ. Et comme la répartition des budgets n’obéit à aucune logique économique et ne découle d’aucune richesse produite, autant alors redistribuer la rente de manière plus équilibrée. Une redistribution qui obéit actuellement à des considérations politiques et de confortement des positions acquises des uns et des autres comme en attestent les augmentations pour les parlementaires en 2004 pour les besoins d’un acquiescement général lors de la révision constitutionnelle qui a cassé le verrou de la limitation des mandats.
Pour une institution comme l’APN, dont le président est rémunéré comme un ministre ou le président du Sénat qui s’offre quelque 600 000 DA, de quelle «productivité» peut-on affubler ces deux institutions lorsque leurs locataires ne font qu’avaliser les lois de l’Exécutif et qu’aucune commission d’enquête sérieuse n’a vu le jour sur les innombrables cas de corruption qui ont vu le jour. C’est dire que la question des salaires doit être prise dans sa globalité et à tous les niveaux pour la cohérence des justificatifs qui s’annoncent. Le train de vie de l’Etat ne doit pas s’éloigner de celui des Algériens et l’idée de l’uniformisation des véhicules prise l’année dernière peut en constituer un premier pas vers cette rigueur dans la gestion des deniers publics.
Mahmoud Mamart
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no moment: boutef ne reconnait pas zenga!
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un peu d'humeur
Général Médiène
Bouteflika / Médiène : qui va tuer qui ?
Moines de Tibhirine / 10 juillet 2009 par Catherine GracietLes révélations d’un général français accusant l’armée algérienne d’avoir tué les moines de Tibhirine relancent la lutte que se livrent le président Bouteflika et le patron de la sécurité militaire, le général (…) AlgérieBouteflika, l’apprenti dictateur
Portrait / 9 avril 2009 par Catherine GracietAbdelaziz Bouteflika a été réélu président de la République algérienne aujourd’hui. Portrait d’un grand diplomate et fin stratège politique qui a viré apprenti dictateur en cours de route. Algérie
"Le grand jeu" ou les dessous de la dernière présidentielle algérienne
Généralissime / 7 avril 2009 par Catherine GracietA 72 heures de la réélection de Bouteflika, Bakchich publie des extraits du « Grand Jeu ». Censuré en France, le film de Malek Bensmaïl décrypte le duel entre Bouteflika et Ali Benflis en 2004. Algérie
Ouyahia, le remaniement algérien !
Mouvement / 26 juin 2008 par La princesse enchantéeUn mini remaniement ministériel et un changement de Premier ministre qui sont passés comme une lettre à la poste. Rien ne change sous le ciel bleu d’Alger où l’on continue de préparer cahin-caha la prochaine élection présidentielle prévue en avril (…) Algérie
Entre Boutef’ et les généraux, rien ne va plus
Algérie / 26 février 2008 par Catherine Graciet, Nicolas BeauAffaibli par ses problèmes de santé et discrédité, le président Bouteflika lorgne pourtant sur un troisième mandat. Sauf que les Algériens ne semblent pas galvanisés par cette perspective. Quant à l’armée et les services, ils ne veulent pas en entendre (…) Algérie -
CNT REPOND A BOUTEF
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En qualité de chef suprême des forces armées
Dites quelque chose Monsieur le Président…
le 28.08.11 |
Dites quelque chose Monsieur le Président… Ils sont certainement nombreux les Algériens à vouloir faire cette remarque au chef de l’Etat.
Ils veulent savoir si Abdelaziz Bouteflika est véritablement sensible à leurs inquiétudes et à leurs souffrances. Ils veulent savoir si le chef de l’Etat, et chef suprême des armées, tient bien le gouvernail du bateau Algérie. Un bateau qui tangue au grès d’un terrorisme «résiduel» terriblement nuisible et un agenda de réformes politiques parsemé de pointillés…
Nos jeunes officiers et civils, explosés par la horde terroriste à l’Académie militaire de Cherchell ce vendredi, n’ont pas eu les honneurs de la République. Le président Bouteflika n’a eu aucun mot de gratitude à leur égard ou de soutien à leurs familles. Nos dix-huit compatriotes, ravis à la fleur de l’âge, ont eu, comme les centaines de victimes du terrorisme ces dernières années, un silence troublant en guise d’oraison funèbre.
Dieu reconnaîtra les siens, pas la République… Et ce n’est pas le jeûne qui a empêché Abdelaziz Bouteflika de rompre la parole juste après la rupture du f’tour. Même amoindri, le chef de l’Etat a tout de même trouvé la force et le temps pour bombarder les auteurs de l’attentat contre le siège des Nations unis à Abuja au Nigeria, en les condamnant avec «la plus grande fermeté». Le président Bouteflika a été plus sensible aux 18 victimes nigérianes qu’à nos 18 officiers. C’est un constat que tous les Algériens ont fait.
Le chef de l’Etat est si prompt à réagir aux malheurs qui adviennent aux autres et ne pipe mot quand la malédiction frappe à ses portes. Avant Abuja, il y a eu en effet le double attentat en Norvège qui a fait plus de 80 morts.
Là aussi, notre président a dû réchauffer les cœurs des Vikings du nord en condamnant également avec «la plus grande fermeté» «ces actes odieux (…) et lâches». Le roi de Norvège, Harald V, a dû apprécier, malgré son affliction compréhensible pour le sort de ses bons sujets. Sans doute que les Algériens auraient très apprécié que Bouteflika écourta son f’tour et s’en alla à l’Académie de Cherchell remonter le moral des troupes.
Abuja, Oslo… Cherchell
Un moral qui était ce jour-là dans les rangers de nos officiers choqués par ces invités-surprises qui ont ébranlé leur forteresse. Mais, les 18 officiers de l’Académie de Cherchell ne sont ni des fonctionnaires des Nations unies à Abuja ni des sujets respectés du roi en Norvège. C’est juste des civils et des militaires algériens. Et cela ne semble pas suffire pour mériter les hommages présidentiels, pas même un petit mot de condoléances. Après tout, le terrorisme tue tous les jours en Algérie, semble dire le Président… La vérité est que le chef de l’Etat fait preuve d’un détachement «physique» et psychologique à toute épreuve vis-à-vis des Algériens et de leur quotidien. Après les avoir «soûlés» avec ses discours kilométriques quand sa voix portait, Bouteflika a tiré le frein à main.
Il ne parle que quand il est obligé de le faire. Aux étrangers de préférence. Ces rares apparitions publiques et ses petites phrases lâchées à l’ouverture de la foire où ailleurs, furent des moments difficiles pour lui.
On sentait que l’homme accomplissait des corvées protocolaires. Sans plus. Mais comment se taire face à cet attentat spectaculaire commis à l’intérieur même de la prestigieuse Académie de Cherchell et qui a fait près d’une vingtaine de victimes ? On ne peut pas se taire tout simplement. Le président Bouteflika l’a pourtant fait. Comme d’habitude…
Hassan Moali
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no moment
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boutef et ses sinistres bouriquots de la classe.
50 ans d’indépendance confisquée, de mensonges et de démagogie : en voici le résultat !!!
L’indice mondial 2011 de l’innovation : l’Algérie se classe dernière parmi 125 pays !
El Watan le 07.07.11 | 09h37
C’est une véritable déconfiture !…
C’est une véritable déconfiture ! L’Algérie vient d’être classée dernière au monde par l’Indice mondial de l’innovation (GII). Notre pays se retrouve tout bonnement à la 125ème place et clôture ainsi ce classement mondial réalisé par l’INSEAD, une des écoles supérieures de commerce les plus grandes et les plus renommées à l’échelle mondiale !
L’Algérie, dernier pays au Monde en matière d’innovation ! C’est le terrible constat dressé par l’édition 2011 de l’Indice mondial de l’innovation (GII), publié conjointement par l’INSEAD et ses experts partenaires : Alcatel-Lucent, Booz & Company, la Confédération des industries indiennes (CII) et l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle.
Selon le communiqué de presse de l’INSEAD, les experts partenaires du GII « ont participé au projet en apportant leur concours aux recherches et en contribuant à la diffusion des résultats. En outre, pour la première fois en 2011, un comité consultatif composé de neuf praticiens et spécialistes de différents pays, rassemblant des connaissances et des compétences uniques dans le secteur de l’innovation, a été créé pour appuyer les activités de recherche et la diffusion des résultats ».
Par ailleurs, le rapport du GII « contient des chapitres analytiques présentant des tendances mondiales récentes en matière d’innovation qui ne peuvent guère être restituées par des indicateurs traditionnels. Ces sections ont été élaborées par les experts partenaires, qui sont tous des acteurs de pointe dans le domaine de l’innovation. Les sujets abordés comprennent les innovations abordables en Inde; un éclairage sur l’innovation en Amérique latine; les villes intelligentes et durables; la portée mondiale de la recherche-développement; et les indicateurs se rapportant à la créativité et aux secteurs concernés par le droit d’auteur », souligne encore le communiqué de presse de l’INSEAD.
Dans ce contexte, les résultats de l’édition 2011 de l’Indice mondial de l’innovation (GII) ont révélé que la Suisse a pris la tête du classement cette année, gagnant trois places par rapport à l’édition 2010. La Suède et Singapour suivent respectivement aux deuxième et troisième rangs.
Il est à signaler également que six États européens (dont la Finlande, 5e, le Danemark, 6e, les Pays Bas, 9e, et le Royaume Uni, 10e) se retrouvent parmi les 10 pays les plus innovants au monde. Dans ce top 10, on retrouve aussi deux économies asiatiques (Hong Kong, Chine, 4e) et deux pays nord-américains (les États Unis d’Amérique, 7e, et le Canada, 8e).
L’Algérie, quant à elle, enregiste les plus mauvais scores au monde ! Elle se retrouve en queue de peloton des 125 pays, répartis sur tous les continents, étudiés par ce rapport mondial. Notre pays est ainsi carrèment dépassé par des pays en guerre à l’image du Soudan et d’autres touchés par une profonde crise politique comme la Côte d’Ivoire !
Selon cet indice mondial, des pays à faibles revenus comme le Ghana, le Bénin ou même le Niger font mieux que l’Algérie en matière d’innovation. Enfin, cet Indice mondial de l’Innovation prouve que l’Algérie est dépourvue d’un facteur « clé de la croissance économique ». et en l’absence d’un « environnement favorable à l’innovation », l’Algérie ne pourra jamais booster sa « compétitivité ».
Abderrahmane Semmar
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no moment
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Jusqu’au dernier dictateur arabe….boutef et sa clique
boutef 1er
Les intellectuels arabes comme l’écrivain algérien Boualem Sansal et les scientifiques arabes ne sont pas très écoutés en Arabie. Pourtant dans le passé, ils ont maintes fois donné des signaux d’alerte à leurs concitoyens pour chercher à les faire réagir. Malheureusement, les gouvernements de la Ligue arabe s’assuraient toujours que leurs opinions n’aient pas d’échos. Même en Occident, elles étaient volontairement ignorées.
Un exemple frappant est le rapport des Nations Unies de 2002 traitant du développement humain chez les arabes. Il a été préparé et rédigé par un groupe d’intellectuels arabes sous la direction d’un statisticien de renommée internationale, l’égyptien Nader Fergany. Les constatations de ces chercheurs ont démontré combien il sera difficile pour les Arabes de s’adapter à la démocratie.
Le rapport conclut que le monde arabe en comparaison avec l’Occident a trois grands manques : en éducation, dans le respect de la liberté et dans l’accès des femmes au travail.
Les statistiques démontrent le triste retard du monde arabe. Le produit domestique brut total des 330 millions d’Arabes est moindre que celui des 47 millions d’Espagnols. Per capita, les dépenses en éducation dans les pays arabes ont été de 20% dans les années ’80 et de 10% dans les années ’90, de celles des pays industrialisés. Les documents scientifiques émis dans ces pays (par million de personnes) ont été près de 2% de ceux des pays industrialisés. Le monde arabe a traduit 330 bouquins par année, soit le cinquième de ce qui s’est fait en Grèce. Au point de vue de la liberté individuelle, les pays arabes sont les derniers sur les échelles de comparaison. A l’aube du 21ième siècle, il y avait plus de 60 millions d’adultes illettrés en Arabie, dont la majorité sont des femmes. On prédit que dans 10 ans, le Yemen sera le premier pays du monde à manquer d’eau. Et encore….
Ce bilan désastreux est celui des dictatures des pays arabes. Voilà ce que les despotes qui les dirigent qualifient de « stabilité ». En réalité, cela ressemble plus à des sociétés prises dans un sable mouvant.
Nos gouvernements occidentaux portent aussi le blâme pour ces chiffres honteux. Au lieu de favoriser la transformation des sociétés arabes pour les aider à sortir leurs habitants de la misère, nos leaders politiques ont flatté et cajolé leurs dirigeants-oppresseurs, n’agissant ainsi que pour assurer et protéger l’alimentation en pétrole de nos pays respectifs. Que les peuples arabes n’aient pas de droits fondamentaux, que la corruption soit généralisée au vu et au su de tous, que leurs femmes soient illettrées et non respectées, que leurs familles demeurent dans la misère, que leurs jeunes n’aient pas l’éducation nécessaire pour obtenir des emplois motivants, que l’intolérance soit prêchée dans les mosquées, etc… rien de tout cela n’était important car seule l’alimentation en pétrole comptait et… compte toujours.
Aujourd’hui, les jeunes arabes n’en peuvent plus. Ils se soulèvent et crient leur faim de liberté et leur besoin d’accès au monde moderne. S’ils réussissent à obtenir une vraie démocratie pour leur pays, ils en seront les premiers bénéficiaires et le monde se portera mieux. Mais soyons réalistes, ce ne sera pas facile. Il y aura beaucoup de soubresauts, mais le temps fait bien les choses et finalement ils prévaudront et réussiront à s’adapter. Ce n’est pas une mince tâche qui les attend. C’est le prix de la liberté.
Ils devront être vigilants pour empêcher que de nouveaux tyrans viennent les tromper, reprennent le pouvoir et confisquent leur nouvelle démocratie, comme ce fut le cas pour les jeunes algériens de 1990 qui après avoir réussi leur révolte ont vu les généraux ressaisir le pouvoir suite aux élections démocratiques de 1992 et le conserver jusqu’à ce jour.
Appuyons ces révolutionnaires qui vont changer non seulement leur monde mais aussi le nôtre. Appuyons-les aujourd’hui, demain et après-demain car ils sont sérieux. En effet, les jeunes Égyptiens et les jeunes Tunisiens nous le démontrent encore chaque jour. Ils n’acceptent pas n’importe quoi de ceux qui les dirigent temporairement et restent dans la rue pour exiger des changements réels, profonds et durables.
Les autres contestataires de Lybie, de Bahreïn, d’Oman et du Yémen combattent toujours. Ce matin, les dépêches nous rapportent que l’Arabie Saoudite défend toute manifestation dans le pays et que l’armée de Bouteflika apeure les jeunes et les empêche de manifester à Alger et à Oran. N’est-ce pas là la démonstration que la liberté n’existe pas dans ces pays ? Ces actions irraisonnables auront à la longue un effet boomerang qui fera en sorte que ceux qui, à ce jour, demeurent supporteurs des régimes actuels, se retourneront à leur tour contre les autocrates qui les persécutent.
Supportons-les. Que nos dirigeants politiques collaborent avec eux, et avec les autres qui s’ajouteront dans les mois prochains, pour assurer que le grand chambardement de tout le monde arabe devienne une réalité. Faisons en sorte que ce peuple arabe qui a déjà été grand, puisse se débarrasser des parasites qui l’ont entraîné dans les entrailles de l’enfer où il se trouve, et qu’il ait les instruments pour le redevenir.
L’objectif final de cette lutte sera atteint, comme l’a écrit Sansal : « … lorsque tombera le dernier dictateur et que sera brisé ce machin absurde, l’Arabie Saoudite, club de faux princes arrogants et cruels, qui se pose en gardien de la mythique race arabe et du véritable islam, et que disparaîtra la Ligue arabe, club fantoche mais combien pernicieux avec sa vision raciale et raciste du monde ».
C’est possible !
Claude Dupras -
boutef et le drs reste pantois!!!!
BOUTEFLIKA, BENSALAH, ZIARI, BESSAÏEH, OUYAHIA ET BELKHADEM
Seconde réunion secrète
Abdelaziz Bouteflika a présidé une autre rencontre avec les plus hauts responsables de l’Etat au niveau de la présidence. Elle a eu lieu, avant-hier, lundi, dans l’après-midi, et dans le plus grand secret, avons-nous appris de source bien informée.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Y ont pris part le président du Sénat, Abdelkader Bensalah, le président de l’Assemblée populaire nationale, Abdelaziz Ziari, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le président du Conseil constitutionnel, Boualem Bessaïeh, ainsi que le ministre d’Etat, représentant personnel du président de la République, Abdelaziz Belkhadem. Ce sommet de la haute hiérarchie institutionnelle intervient après celui tenu dans les mêmes conditions entre les mêmes responsables, mercredi puis jeudi dernier. Et, bien entendu, rien n’a filtré publiquement de ce conclave. Mais leur nature, de même que la proximité dans le temps de ces réunion ne laissent plus de doute quant à l’importance des décisions que s’apprête à prendre Bouteflika. Comme nous l’annoncions dans l’une de nos précédentes éditions, Bouteflika prépare une révision constitutionnelle. «Le président prend ainsi l’avis des principaux responsables sur la situation générale du pays, et les implications induites par la nouvelle conjoncture internationale », nous confie notre source. Avant de préciser : «Pour sûr, une révision de la Constitution est à l’ordre du jour. Mais pas dans les formes spectaculaires sur lesquelles on spécule ici ou là. Il s’agira de la révision de quelques articles seulement. » D’ailleurs, cette même révision était annoncée par Bouteflika en 2008 puis en 2009, déjà. «Les changements les plus probables concerneraient un renforcement des prérogatives du Parlement et du Premier ministre.» Le retour également à la limitation des mandats présidentiels ? «Seul le président le sait, pour le moment», se contente de répondre notre source. Une autre question aurait été évoquée lors de ces réunions autour de Bouteflika : «Une éventuelle dissolution de l’Assemblée populaire nationale. Mais ceci dépendra de l’évolution de la situation.»
Ziari, Ouyahia et Belkhadem en conclave nocturne à l’APN
Avant-hier lundi, également, une autre réunion restreinte et secrète s’est tenue dans le bureau du président de l’APN, Abdelaziz Ziari, qui a reçu, jusqu’à une heure tardive, le Premier ministre Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem, le ministre d’Etat représentant personnel du président. Une longue séance de travail a regroupé ces trois hommes «autour de plusieurs questions », nous confie-t-on de bonne source. «Comme le veut le protocole, c’est Ziari, président de l’Assemblée et troisième personnage de l’Etat, qui reçoit. Il s’agit donc d’une séance de travail officielle au sujet de textes législatifs. Ce qui suffit pour comprendre le caractère urgent de la chose», commente encore notre source, qui croit savoir qu’il «s’agit essentiellement du code communal». Le texte en question, actuellement en débat au niveau de l’Assemblée, a été préparé dans une conjoncture qui n’a plus rien à voir avec celle d’aujourd’hui. «Ce texte, qui prévoit une hégémonie certaine de l’administration sur les élus, ne cadre plus avec le nouveau contexte national et international et doit être impérativement revu et de façon substantielle. » Selon notre interlocuteur, «les trois hommes se sont, entre autres, penchés sur la meilleure manière de rattraper le coup». Retrait du texte ? Rectificatifs à travers la procédure des amendements ? Une chose est sûre, en tout cas, le code communal, tel qu’envoyé à l’APN, est une copie à revoir.
Report de la réunion du gouvernement
Ahmed Ouyahia a finalement reporté la réunion du gouvernement qui devait se tenir en deux jours, hier et aujourd’hui «à une date ultérieure», selon une source proche du Premier ministère. «La visite du Premier ministre tunisien, hier à Alger, et qui n’était pas programmée de longue date, a tout chamboulé. Mais ce n’est pas tout. Il y a d’autres priorités en ce moment, particulièrement le code communale à rattraper. »
K. A. -
La fortune cachée des dirigeants Algériens en Suisse dépasse les 700 millions d'euros !
zoom | © D.RSelon une chaîne de télévision suisse germanophone,...
Selon les révélations de la chaîne de télévision suisse germanophone "Arena", les avoirs financiers des dirigeants Algériens en suisse dépassent les 700 millions d'euros. Cette chaîne suisse a diffusé cette information au cours d'une émssion, dont un résumé est disponible sur Youtube, consacrée aux fortunes des régimes arabes placées dans les banques suisses.
907 millions de francs suisses, l'équivalent de plus de 700 millions d'euros, ce montant représente les sommes d'argent en provenance de l'Algérie et placées en sécurité dans des banques suisses, signale notre confrère Algérie-focus qui reprend les informations révélées par l'émission diffusée récemment sur la chaine suisse "ARENA". En effet, un reportage de cette chaine a passé en revue toutes les fortunes des régimes arabes qui se retrouvent dissimulées dans les coffres-forts des banques suisses.
Mais contrairement à ce que l'on croit, ce n'est pas le Guide libyen, El-Geuddafi, qui détient la plus grande fortune déposée dans les banques suisses. Et pour cause, une grande partie de ces 4 milliards d’euros déposés en Suisse a été retirée des banques de la Confédération helvétique après les embrouilles du colonel Khadafi avec les autorités de Bern.
Aujourd'hui, Mouammar Kadhafi ne disposerait, selon la chaîne "Arena", que de 633 millions d’euros dans ses comptes secrets en Suisse. Dans ce contexte, c'est le régime syrien qui se retrouve en tête du peloton car il possède les plus importants avoirs financiers en suisse. En effet, plus d'un 1,4 milliard euros reviennent au clan Assad qui dirige d'une main de fer la Syrie depuis 40 ans.
Abderrahmane Semmar
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ces guignols qui nous gouvernent.
Sit-in et marche sur l’APN hier à Alger
Grève des gardes communaux en Algérie : Le gouvernement nous a trahis !
Des milliers de gardes communaux ont manifesté hier dans la capitale algérienne leur colère et leur crainte pour leur devenir. Ils ont marché de la place des Martyrs au siège de l’Assemblée populaire nationale pour crier leur révolte et exprimer leur sentiment d’abandon en scandant « le gouvernement nous a trahis ».
Comme pour rappeler que 90 % des gardes communaux sont issus du corps des Patriotes que les autorités avaient cautionné lors de la période du terrorisme.
M. Abdelaziz Ziari, président de l’APN, qui a reçu hier une délégation des gardes communaux, a déclaré à la presse « avoir porté au président de la République leurs revendications ». Cette déclaration intervient au moment où les gardes communaux ont décidé de poursuivre leur mouvement de protestation, en organisant un sit-in à la place des Martyrs (Alger) jusqu’à satisfaction de leurs revendications. Des milliers de gardes communaux, entre 300 et 4 000 selon les organisateurs, certains en uniforme et d’autres en tenue civile, ont marché hier de la place des Martyrs au Boulevard Zirout-Youcef, afin de faire valoir leurs doléances auprès des responsables du pays. 3
Les gardes communaux venus des quatre coins du pays n’en démordaient pas et étaient déterminés à aller jusqu’au bout de leur démarche. Arrivés devant le siège de l’APN, les protestataires criaient à tue-tête : « le gouvernement nous a trahis, Bouteflika est la seule issue ! ». Entre-temps, des délégués des gardes communaux ont été reçus par les parlementaires. « Haggarine, serrakine ou iqoulou wataniyine (oppresseurs, voleurs mais se disent nationalistes !) », scandaient les manifestants entourés par un impressionnant dispositif policier. « Nous travaillons depuis 16 ans et notre salaire de base ne dépasse pas les 12 000 DA », s’écrie A. Brahim, originaire de la wilaya de Skikda qui a perdu son œil droit et est victime d’une paralysie faciale suite à un attentat terroriste. « Nous travaillons 24h/24 mais nous sommes assurés pour seulement 8h ! », fulmine, avec rage, son collègue de Tiaret qui, lui, a eu la vie sauve mais pas un capitaine de l’ANP et un jeune soldat, lors d’un accrochage avec des terroristes au cours de l’année 1999. « Nos revendications sont légitimes, réelles mais ne sont pas politiques », entonnent les gardes communaux qui réclament une retraite anticipée et 500 millions de centimes pour les heures pour lesquelles ils n’ont pas été assurés.
Les gardes communaux dénoncent, à ce propos, les « licenciements abusifs », dont certains ont été victimes. Abdelkader, 61 ans, de la wilaya de Saïda, porte encore les séquelles des balles qui lui ont transpercé la jambe gauche suite à un accrochage avec un groupe terroriste en 1996. « Y’en a marre ! », s’époumone Abdelkader, père de quatre enfants.
En 1999, un accrochage a opposé les forces combinées de sécurité (Gendarmerie, ANP et gardes communaux), à des terroristes. Un capitaine de l’ANP y a laissé sa vie et plusieurs terroristes ont été éliminés. « Moi, j’en ai abattu trois (terroristes, Ndlr) », se rappelle-t-il, alors que, torse nu, il nous montre les traces des sept balles qui lui ont transpercé le corps, ce qui l’a plongé dans un coma de 7 mois. Un autre témoigne les larmes aux yeux : « Lorsque j’ai intégré le corps de la garde communale en 1994, mon fils venait seulement de naître ». « Je ne l’ai pas vu grandir, il n’a aucune notion de l’amour paternel ; lorsqu’il me voit il me fuit. Pouvez-vous supporter cela ? », déclare-t-il éploré. « Nous travaillons 24h/24 mais nous n’avons droit qu’à 21 jours de congé ; pourquoi les autres corps constitués ont eu des valorisations salariales mais pas nous ? », s’interroge, avec amertume, un manifestant. Un autre enchaîne : « Certains d’entre nous n’ont pas perçu leurs salaires depuis 3 mois ».Si certains ont la chance de travailler même pour un salaire dérisoire de 12 000 DA, d’autres, en revanche, se sont retrouvés au chômage alors qu’ils ont des familles qu’il faut faire vivre. C’est, entre autres, le cas d’Ahmed, 41 ans, père de 4 enfants et originaire de Saïda. Les protestataires ne semblent pas accorder de crédit aux promesses du ministère de l’Intérieur de les intégrer, après dissolution de ce corps, dans d’autres corps constitués. « Nous voulons nos droits et, ensuite, nous décamperons. Nous en avons assez ! », s’égosille un manifestant en prévenant que des milliers de ses collègues sont prêts « à aller plus loin si nos revendications ne sont pas satisfaites ». Notons qu’au début du mois en cours, le ministre de l’Intérieur avait laissé entendre qu’il y aurait examen en vue de redéploiement des gardes communaux vu que la situation sécuritaire s’est nettement améliorée.
Younès Djama
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alger miné par des voyous du pouvoir act=2
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no comment......!!!!!!
Alors qu’aucun officiel ne s’est adressé aux Algériens
Le pouvoir tente de rassurer en priorité la communauté internationale
Il y a moins de deux jours, quelques milliers d’Algériens descendaient dans la rue, Place du 1er Mai à Alger, mais aussi dans d'autres villes du pays, pour dénoncer le régime en place, la corruption et demander un changement démocratique. Certes, beaucoup d'autres sont restés chez eux ou ont...Lire la suite de Le pouvoir tente de rassurer en priorité la communauté internationale14/02/2011 à | 7 commentairesRéagirIl a annoncé la levée prochaine de l’état d’urgence et un retour à l'Etat de droit
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Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, a accordé, lundi 15 février un entretien à la radio française Europe 1. Commentant les dernières manifestations en Algérie, M. Medelci a tenté de minimiser leur portée. Selon lui, les soulèvements récents en Tunisie et en Égypte...14/02/2011 à | 64 commentairesRéagirUnanimes sur le constat de succès de la manifestation du 12 février
Les membres de la CNCD divergent sur les actions à entreprendre
La manifestation organisée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie le samedi 12 février a été couronnée de « succès » malgré l’interdiction des autorités. Sur ce point tous les membres présents lors de la réunion d’évaluation tenue ce dimanche 13 février sont tombés...13/02/2011 à | 23 commentairesRéagirElle estime que la marche de la CNCD est un échec
Louisa Hanoune : « Bouteflika n’est ni Ben Ali, ni Moubarak »
La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, a estimé dimanche 13 février à Alger que le président Bouteflika « n’est ni Moubarak, ni Ben Ali ». Il « détient le pouvoir de prise de décisions pour restaurer la confiance entre les citoyens et le...13/02/2011 à | 61 commentairesRéagirFortunes des dirigeants algériens à l'étranger
Une pétition appelle la Suisse à geler des avoirs algériens
Un groupe d’intellectuels algériens vient de lancer une pétition pour demander au Conseil Fédéral Suisse de geler les avoirs financiers des dirigeants algériens dans des comptes bancaires suisses. « Nous avons appris, par des sources proches du pouvoir algérien que, alertés par la décision salutaire,...13/02/2011 à | 21 commentairesRéagirElle s'est réunie ce dimanche
La CNCD appelle à une nouvelle marche samedi prochain
La Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) a décidé de poursuivre la contestation en appelant à une marche populaire samedi prochain à Alger, de la place du 1er Mai à la place des Martyrs. La décision a été annoncée à l’issue d’une réunion de plusieurs heures...13/02/2011 à | 56 commentairesRéagirEn soutien à la marche du 12 février
Des Algériens manifestent à Montreal
Environ deux cents Algériens ont manifesté samedi dans les rues de Montréal à l'appel du Collectif de soutien aux luttes du peuple algérien pour la démocratie, contre le régime du président Abdelaziz Bouteflika, a constaté une journaliste de l'AFP. "Ni corruption, ni soumission", ont scandé les...13/02/2011 à | 6 commentairesRéagirRécit d’une journée de manifestation à Alger
« Vous ne voulez pas qu'on marche, et vous ne voulez pas qu'on reste là ! »
Pas de marche mais un rassemblement. Ce samedi, matin, la Place du 1er Mai était bien trop petite pour accueillir les Algériens qui ont répondu à l'appel de la CNCD. Pour la première fois depuis longtemps, on a vu réunis des jeunes des quartiers populaires et ceux de familles plus aisées, des militants...12/02/2011 à | 118 commentairesRéagirDahou Ould Kablia à TSA
« Tous les manifestants arrêtés ont été relâchés »
Le ministre de l’Intérieur Dahou Ould Kablia a indiqué, samedi 12 février, dans une déclaration à TSA que toutes les « personnes arrêtées lors des manifestations qui ont eu lieu samedi à la place du 1er Mai Alger ont été relâchées ». Les manifestants arrêtés lors du rassemblement à Alger...12/02/2011 à | 6 commentairesRéagirManifestation pour la démocratie
Plus de 300 interpellations à Alger, Oran et Annaba
Plus de 300 personnes ont été interpellées samedi au cours de manifestations dans plusieurs villes du pays auxquelles avait appelé la CNCD pour réclamer un changement démocratique et le départ du système actuel, selon un bilan de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH). Le...12/02/2011 à | 6 commentairesRéagirTrois questions à Mostepha Bouchachi, président de la LADDH
« Nous avons brisé le mur du silence et de la peur »
Quelle est la suite à donner à votre mouvement pour le changement et la démocratie après la manifestation d’aujourd’hui ? La coordination va se réunir dans les prochains jours pour décider sur la suite du mouvement. La manifestation d’aujourd’hui n’est que le début. Le...12/02/2011 à | 94 commentairesRéagirManifestation pour la démocratie
EN DIRECT : la marche du 12 février à Alger (SUITE)
15h05. Retour au calme à la Place du 1er Mai. La police a réussi à disperser la foule, après un début d’affrontements avec les manifestants. Un mouvement de foule a permis aux forces antiémeute d’occuper la place où étaient rassemblés les manifestants. Les accès à cette place sont désormais fermés....12/02/2011 à | 22 commentairesRéagirManifestations en Algérie
Rassemblements empêchés à Constantine et Annaba
Des jeunes, dont une majorité d'étudiants de l'Institut de la nutrition, de l'alimentation et des technologies agroalimentaires (INATA), ont été dispersés samedi sans incidents, alors qu'ils tentaient de se rassembler au centre-ville de Constantine. Leurs banderoles appelant au changement et à la démocratie...12/02/2011 à | 0 commentairesRéagirMarche pour la démocratie
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Oran : le rassemblement la CNCD empêché, plusieurs arrestations
12 h 30. Les manifestants tentent de tenir un rassemblement à proximité de l’ex-Place d’armes au centre-ville. Sans succès. La police, fortement présente, réussit à chaque fois à les disperser. Au moins 25 personnes ont été arrêtées par les services de sécurité, selon les organisateurs du...12/02/2011 à | 0 commentairesRéagirMarche pour la démocratie
EN DIRECT : la marche du 12 février à Alger
12 h 30. Un groupe d’une centaine de personnes a rejoint les manifestants à la place du 1er Mai, en scandant des slogans hostiles au pouvoir. Plusieurs journalistes ont été arrêtés puis relâchés par la police qui empêche toujours les manifestants de marcher en direction de la Place des Martyrs. Plusieurs...12/02/2011 à | 15 commentairesRéagirA la veille de la marche du 12 février
La chute de Moubarak devrait insuffler une nouvelle dynamique à la contestation en Algérie
Après avoir résisté pendant 18 jours aux manifestations de rue puis à la mobilisation pacifique exceptionnelle des Égyptiens, le président Moubarak a fini par céder. Vendredi, il a quitté le pouvoir, contraint par la rue et lâché par Washington, son principal allié. Après Ben Ali le 14...11/02/2011 à | 27 commentairesRéagirMarche du 12 février à Alger
Des bus en provenance de plusieurs wilayas empêchés d’accéder à Alger
A la veille de la marche qui sera organisée samedi 12 février par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) à Alger, des bus en provenance de plusieurs wilayas en ont été arrêtés ce vendredi 11 février au niveau des barrages de police dressés à l’entrée de la capitale, selon un...11/02/2011 à | 12 commentairesRéagirDes manifestants blessés et d’autres arrêtés
Le siège du RCD à Alger assiégé par la police
Les forces antiémeute ont assiégé, vendredi en fin de journée le siège du RCD, l’un des partis qui ont appelé à la manifestation de ce samedi 12 février, a-t-on appris auprès de témoins sur place. Plusieurs dizaines de policiers encerclent depuis 17 heures le siège de ce parti à la rue Didouche Mourad...11/02/2011 à | 32 commentairesRéagirMarche du 12 février
Le réseau euro-méditerranéen des droits de l’homme appelle Alger à autoriser les marches
Le Réseau Euro‑méditerranéen des droits de l’homme (REMDH) a condamné vendredi 11 février le refus des autorités algériennes d’autoriser la tenue de la marche de la CNCD samedi 12 février à Alger. Il appelé les autorités à respecter « le droit du peuple algérien de manifester...11/02/2011 à | 0 commentairesRéagir -
no moment
Dilem du Dimanche 13 Février 2011 | Vu 1908 fois -
no moment
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sougueg fareregh rouh t'rouh ,quitte la ville , retourne chez toi!!!!!
Émeutes en Algérie : "ces dépassements sont regrettables", affirme Abdelaziz Bouteflika
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"Aucune revendication ne saurait autoriser l'atteinte aux personnes et aux biens. Ces dépassements sont regrettables. Ils surviennent alors que le pays n'a jamais autant réalisé pour rattraper ses retards et répondre aux diverses attentes sociales de la population", a réagi Abdelaziz Bouteflika, lors d'un Conseil des Ministres tenu jeudi à Alger, à propos des récentes émeutes qui ont ébranlé le pays au début de cette année.
Néanmoins, selon le communiqué du Conseil des ministres, le Chef de l'Etat reconnait que "les récentes manifestations sont, sans aucun doute, l'expression d'inquiétudes et d'impatiences chez nos compatriotes". "Il est donc de notre devoir d'en tenir compte et d'y répondre par des efforts accrus", souligne-t-il.
"II y a quelques années, mon engagement à prendre en charge les attentes et les espérances de notre peuple comptait déjà comme priorité, la paix, la concorde et la réconciliation nationale. Ces deux exigences vitales se concrétisant progressivement, l'horizon nouveau étant la relance du développement", relève encore Abdelaziz Bouteflika.
Le Chef de l'Etat a également demandé à ses ministres de "répondre aux besoins de notre peuple avec une prise en charge affinée des urgences et une qualité de service et de prestations publiques meilleures, et de rassurer aussi nos compatriotes, face aux effets de la crise économique mondiale".
Selon les dépêches de l'APS, "le président de la République s'est incliné à la mémoire des victimes des récents troubles" avant d'entamer les travaux du Conseil des Ministres "par un examen des évènements survenus dans le pays".
Abderrahmane Semmar
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n:4 boutef -
boutef
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Bouteflika : " La France n'a pas accepté l'indépendance algérienne...et Mohamed VI est un incapable" (WikiLeaks)
En 2007 le président Abdelaziz Bouteflika considérait que "La France n'a jamais vraiment accepté l'indépendance algérienne" et tente de régler ses comptes avec l'Algérie "en appuyant le Maroc", selon des mémos diplomatiques américains diffusés par WikiLeaks.
Lors d'une rencontre avec Frances Fragos Townsend, conseillère du président George W. Bush pour les affaires de sécuries Français, Bouteflika a ajouté que "du fait du poids de leur histoire coloniale au Maghreb, sont incapables de jouer un rôle constructif dans le conflit" du Sahara, selon ces mémos rendus publics vendredi soir par le journal Le Monde.
En novembre 2009, le président algérien critique le roi du Maroc, Mohammed VI. "Il n'est pas ouvert, et manque d'expérience", aurait-il dit, alors qu'il semble apprécier son frère, Moulay Rachid, avec lequel il affirme avoir "plaisanté et discuté agréablement" lors d'une rencontre à Séville, en Espagne, selon un autre mémo américain.
Concernant le Sahara, "si je pouvais résoudre le problème je le ferais", a-t-il aussi assuré. "Mais je ne peux pas parler à la place des Sahraouis". Ce qu'il faut c'est que "le Maroc et le Polisario trouvent une solution, et ils peuvent le faire avec l'aide des Américains", aurait ajouté le président algérien.
En février 2008, selon un autre télégramme émis après un entretien avec un diplomate américain, Abdelaziz Bouteflika a jugé qu'au lieu de faire preuve d'une approche "élégante" en acceptant une indépendance du Sahara occidental qu'ils auraient pu "contrôler" ou "superviser", les Marocains souhaitent en réalité "un Anschluss, comme Saddam Hussein avec le Koweït".
Côté marocain, toujours selon des télégrammes américains, les critiques sont aussi légion contre l'Algérie. Là-bas, expliquent des responsables marocains en juin 2009 au représentant personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, le pouvoir est toujours entre les mains de généraux dogmatiques, "pétrifiés" à l'idée du plan d'autonomie pour le Sahara présenté par Rabat. -
non lieu pour l'algerie (petrole,base americane,flouss)wikealks ,vous me rappelez le singe sémela panique
Boumerdès : Un singe sème la panique à Ammal
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Ces derniers jours le paisible village de Mizer, sis à un kilomètre à l’est du chef-lieu de la commune de Ammal (Boumerdès), vit des moments de panique indescriptible. Et pour cause, un singe vient quotidiennement, tôt le matin, semer la terreur au sein de la population, les enfants surtout.
Le primate s’invite dans les cuisines des habitations pour se servir allègrement. L’animal entre dans les maisons par les fenêtres laissées ouvertes. Les habitants trouvent du mal le chasser car il n’accepte de repartir qu’après avoir fini de se servir. En partant, il emporte, à chaque fois, quelques galettes de pain.
Le singe visite aussi l’école du village. Il vient déconcentrer les petits écoliers, pendant les cours, en s’accrochant aux barreaux des fenêtres pour imiter leurs gestes. Ce qui fait un grand plaisir aux chérubins. Mais cela devient dangereux lorsque le simien cherche coûte que coûte à s’emparer de leurs cartables à la sortie des classes.
Lorsque les enfants résistent, il devient très agressif. Par conséquent les petits innocents, notamment ceux de préscolaire, refusent de rejoindre les bancs de l’école.Le directeur de l’établissement a eu à intervenir à plusieurs reprises pour le chasser. Ce qui a valu de légères blessures au niveau des jambes.
Selon le directeur, les réclamations orales faites au maire de Ammal et les rapports rédigés à l’attention de la direction de l’éducation concernant ce danger n’ont pas eu d’écho. A noter que le singe, s’est échappé d’un camion immatriculé dans la wilaya de Jijel au niveau des Gorges de Ammale, sur la RN5.
H.Dahmani
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l'état abandonne ses responsabilite's envers le peuple algerien