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  • Les révélations de WikiLeaks sur les coulisses de la diplomatie américaine


    Hillary Clinton, le 4 janvier 2010 à Washington.

    Le site spécialisé dans la diffusion de documents officiels WikiLeaks a obtenu 250 000 télégrammes diplomatiques, venus du département d'Etat à Washington et de toutes les ambassades américaines dans le monde. Le Monde y a eu accès.

    Wikileaks déclenche une tempête dans les capitales mondiales

    Pourquoi "Le Monde" publie les documents WikiLeaks

    Manning, le militaire à l'origine des fuites

  • no,s moment,s!!!!!!!


    Lundi 11 Novembre 2002

    Dimanche 10 Novembre 2002

    Samedi 09 Novembre 2002

    Jeudi 07 Novembre 2002

    Mercredi 06 Novembre 2002

    Mardi 05 Novembre 2002

    Lundi 04 Novembre 2002

    Dimanche 03 Novembre 2002

  • no moment

  • La Suisse approuve un durcissement du renvoi des criminels étrangers

    La Suisse se dirigeait vers une acceptation de l'initiative sur le renvoi automatique des criminels étrangers, réclamé par la droite dure, un an après le vote décrié sur les minarets.

    La Suisse se dirigeait vers une acceptation de l'initiative sur le renvoi...

    Les Suisses ont approuvé dimanche l'initiative de la droite populiste sur l'expulsion automatique de criminels étrangers, un vote qui suscite déja de vives réactions d'indignation, un an après l'interdiction de construction des minarets.
    Selon un décompte des voix définitif dans les 26 cantons de la Confédération, le oui en faveur du durcissement de la politique de renvoi pour les criminels étrangers l'emporte avec 52,9% des voix contre 47,1% de non.
    Le contre-projet présenté par le gouvernement a quant à lui été repoussé à 54,2%.
    Seuls les électeurs de cantons essentiellement francophones dont Genève, le Jura, Bâle-Ville, Fribourg, Vaud et Neuchâtel, ont dit non au tour de vis réclamé par le parti de droite dure, l'UDC.
    Le renvoi des criminels étrangers est déjà possible en Suisse sous certaines conditions mais le texte proposé par l'UDC va plus loin en proposant un retrait automatique du droit de séjour des étrangers inculpés sans prendre en compte la gravité des délits, le renvoi fonctionnant autant pour des crimes graves que pour les cas d'"abus de l'aide sociale".
    Le vote a été immédiatement qualifié de "journée noire pour les droits humains en Suisse" par Amnesty International.
    La Section suisse de l'organisation s'est déclaré profondément choquée par le résultat du scrutin. "Des dispositions violant les droits humains n'ont rien à faire dans notre Constitution. Les initiants ont une nouvelle fois abusé du droit d'initiative dans le but d'augmenter leur capital politique par des propos xénophobes", indique l'ONG dans un communiqué.
    Les Verts se sont quant à eux déclaré "consternés de devoir constater une nouvelle violation du principe d’égalité devant la loi inscrit dans la Constitution fédérale".
    "C'est un jour très noir pour la Suisse car on a heurté une grande partie de la population étrangère de notre pays à qui on a manqué de respect", a commenté pour sa part le secrétaire général de l'Organisation suisse d'aide aux réfugiés (OSAR), Beat Meiner interrogé par l'AFP.
    "Si on l'applique, on aura de gros problèmes avec l'Union européenne qui n'acceptera jamais" qu'on renvoie ses ressortissants. "On va être condamné par le Conseil de l'Europe à chaque fois que l'on voudra renvoyer un étranger pour une bagatelle", a-t-il dit.
    Pratiquement un an jour pour jour après l'interdiction de la construction des minarets dans la Confédération, l'UDC s'est pour sa part félicité des résultats du vote.
    "C'est un premier pas sur la voie de la sécurité qui démontre la préoccupation de la population à l'égard de la politique d'émigration de la Suisse", indique le parti dans un communiqué.
    La campagne de l'UDC a été de fait soutenue par une débauche d'affiches ouvertement xénophobes dans un pays qui compte 21,7% d'étrangers. "Ivan S., violeur et bientôt Suisse?", proclamait l'une d'entre elle sur un profil de moustachu musclé à mine patibulaire.
    Le Conseil Fédéral (gouvernement) a indiqué pour sa part à Berne que la "majorité des votants ont clairement exprimé que la criminalité des étrangers est pour eux un problème sérieux" et "exécutera le mandat qui lui a été confié".
    Néanmoins la ministre de la justice Simonetta Sommaruga a tenu à rappeler que les étrangers "fournissent une contribution essentielle à la vie économique, sociale et culturelle du pays".
    Le deuxième sujet de la votation de dimanche, une initiative du PS "Pour des impôts équitables" dans un pays considéré comme un havre fiscal a été pour sa part plus largement rejetée avec 58.5% des voix.
    Cette initiative était réclamée par le parti socialiste pour mettre un terme à la concurrence fiscale entre cantons cherchant à attirer les grosses fortunes.

    AFP
  • WikiLeaks: le New York Times publie les notes diplomatiques américaines

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    Le quotidien américain The New York Times a publié dimanche sur son site internet un très long article dans lequel est révélé le contenu de près de 250.000 documents diplomatiques amér
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    Le quotidien américain The New York Times a publié dimanche sur son site...

    Le quotidien américain The New York Times a publié dimanche sur son site internet un très long article dans lequel est révélé le contenu de près de 250.000 documents diplomatiques américains communiqués par le site WikiLeaks.
    La publication de ces documents a été immédiatement condamnée par la Maison Blanche, qui a affirmé que cela mettait des vies en danger.
    Il s'agit "d'un quart de million de câbles diplomatiques américains confidentiels", écrit le quotidien, selon lequel ces notes "offrent un panorama inédit des négociations d'arrière-chambre telles que les pratiquent les ambassades à travers le monde".
    Certains de ces documents sont très récents, puisqu'ils datent "du mois de février", ajoute le New York Times.
    Rejoignant les dires du dirigeant de WikiLeaks, Julian Assange, le quotidien indique que ces documents touchent à un très grand nombre de sujets.
    "Les documents que nous nous apprêtons à publier concernent tous les grands sujets dans tous les pays du monde", avait prévenu M. Assange dimanche.
    En prélude à cette publication, Washington a multiplié les contacts avec ses partenaires pour amortir le choc des affirmations, parfois crûes, contenues dans ces câbles.
    Les autorités américaines ont prévenu plus d'une dizaine de pays, dont les alliés stratégiques que sont l'Australie, la Grande-Bretagne, le Canada, Israël et la Turquie.
    Elles ont rejeté samedi soir toute négociation avec WikiLeaks, en affirmant que le site internet spécialisé détenait ces informations en violation de la loi américaine.

    AFP
  • Egypte : énième putsch par les urnes

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    Quelque 40 millions d’Egyptiens sont invités à élire, aujourd’hui, un nouveau Parlement à l’occasion d’un scrutin que tout le monde présente comme joué d’avance. Faute de concurrent sérieux, cette élection servira uniquement à asseoir, pour cinq années supplémentaires, la domination du Parti national démocratique (PND) de l’octogénaire Hosni Moubarak, au pouvoir depuis 1981. Par peur de représailles, les Frères musulmans, la seule force politique capable jusque-là de faire contrepoids aux candidats du PND, ont décidé de ne se présenter, en effet, que dans 130 circonscriptions sur les 508 que compte le pays.

    Mais pour s’assurer de la majorité absolue, le parti au pouvoir a chargé une armée de voyous d’instaurer un climat de terreur dans les quartiers des grandes villes pour pousser les candidats indépendants (c’est l’étiquette sous laquelle se sont présentés les Frères musulmans) à se retirer de la compétition électorale. Des centaines de leurs sympathisants ont d’ailleurs été arrêtés ces derniers jours. Vendredi, quelques heures avant la fin de la campagne officielle, des milliers de personnes sont d’ailleurs descendues dans la rue, dans diverses régions d’Egypte, pour protester contre les restrictions et les violences qui ont accompagné le processus électoral. Les manifestations ont dégénéré en violents affrontements avec les forces de l’ordre dans plusieurs villes, ce qui confirme l’idée que l’Egypte est assise sur une bombe sociale qui est prête à exploser à n’importe quel moment.

    A l’instar de nombreux pays arabes, le pouvoir égyptien s’appuie sur l’argument de la menace islamiste pour accentuer son contrôle sur la société, réprimer les populations et se maintenir aux commandes. La preuve, les Frères musulmans ne sont pas les seuls à subir le harcèlement de la police politique aux ordres de Moubarak. Les partis modernistes traditionnels ainsi que la jeune formation de Mohamed El Baradai, le Mouvement national pour le changement, n’ont également pas droit à la parole. Si les islamistes n’avaient pas existé, il est évident que le pouvoir égyptien les aurait inventés. Le péril islamiste, apparaît-il encore aujourd’hui, continue à servir de prétexte pour empêcher surtout l’émergence d’une véritable alternative démocratique en Egypte.

    Ce énième coup d’Etat par les urnes que s’apprête à commettre le PND confirme aussi – à ceux qui jusque-là pouvaient encore en douter – que Hosni Moubarak ne reculera devant rien pour s’offrir, l’an prochain, un sixième mandat présidentiel ou, à tout le moins, faire de son fils Gamal son principal et unique successeur. Et tout cela se fera avec la bénédiction de l’Occident.

    Zine Cherfaoui
  • Youcef Yousfi : l'Algérie va intensifier l'exploration pétrolière pour qui!!!! ses maitres USA, france ect, pas pour l'amelioration de la misére algerienne

     

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       	L'Algérie va "intensifier l'effort d'exploration pour accroître" ses  réserves d'hydrocarbures, selon le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi.

    zoom | © lesafriques.com

    L'Algérie va "intensifier l'effort...

      

    L'Algérie va intensifier l'effort d'exploration pour  accroître ses réserves d'hydrocarbures, assurer des revenus suffisants pour  le développement et "garantir la sécurité énergétique du pays à très long terme",  a affirmé dimanche le ministre de l'énergie et des Mines, Youcef Yousfi.

    Dans un entretien à l'APS, Youcef Yousfi a confié qu'un certain nombre d'actions seront prises pour améliorer  la sécurité énergétique de l'Algérie, avec l'intégration des énergies renouvelables dans cette stratégie. "Le renchérissement du prix du pétrole et les obligations de préservation  de l'environnement" participent, selon le ministre, de cette stratégie  de développement et de diversification des sources d'énergie.

    Pour le successeur de Chakib Khalil, l'Algérie recèle encore des potentialités "très importantes en hydrocarbures  et c'est notre tâche de les mettre à jour", a-t-il souligné, avant de préciser  que dans le domaine minier, il s'agit également "d'exploiter et valoriser les  potentiels miniers en intensifiant l'exploration". 

    Par ailleurs, Youcef Yousfi refuse de remettre en cause la politique d'investissements  à long terme adoptée par Sonatrach, en dépit de la morosité actuelle des marchés  gaziers et pétroliers. "Les investissements réalisés par Sonatrach pour le renforcement  de ses capacités de production et d'exportation de gaz naturel, s'inscrivent  dans une vision à long terme et ne dépendent pas de conjonctures ou de circonstances particulières et ponctuelles", a-t-il dit.

    A ce propos, il ne manquera pas de souligner que "la rentabilité de ses projets ne peut-être évaluée  que sur une période de 20 à 30 ans. La production de GNL issu des trains de  liquéfaction en construction n'interviendra que dans un horizon de deux à trois  ans", a-t-il souligné, avant de préciser que "nous sommes optimistes quant au  timing de nos projets car la croissance de la demande devrait bientôt être au rendez-vous avec le redémarrage de l'économie des principaux pays consommateurs".   

    Sur la situation vécue récemment par le groupe pétrolier Sonatrach,  dont certains cadres sont poursuivis en justice, le ministre soulignera que  cela "nous impose de renforcer le contrôle interne à Sonatrach et dans tout  le secteur à travers de nouvelles dispositions dont certaines ont été mises  en oeuvre". 

    D'autre part, le contrôle interne en vigueur à Sonatrach "est périodiquement diagnostiqué"   et sera adapté, en cas de besoin, a fait savoir le ministre de l'énergie et des mines.

    "C'est dans notre intérêt de continuer à le  faire, afin de mieux maîtriser nos activités, rendre plus efficaces nos opérations,  utiliser de manière plus rationnelle nos ressources et veiller à protéger l'image  de notre secteur et de notre pays. Il encourra aussi à sécuriser nos responsables  et gestionnaires dans l'exercice de leurs fonctions", a déclaré dans ce sens Youcef Yousfi. 

    El Watan
  • qui à assassine' le fils d'un candidat aux législatives au pays du pharaon!!!!,je vous le donne en mille -moubarek clan-

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    Egypte : le fils d’un candidat indépendant aux législatives assassiné
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    le 28.11.10 | 15h38 2 réactions
    Le fils du candidat indépendant aux législatives en Egypte,  Sayed Sayed Mohammad a été assassiné dans le nuit de samedi 27 à dimanche 28 novembre.
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    Le fils du candidat indépendant aux législatives en...

    Le fils du candidat indépendant aux législatives en Egypte,  Sayed Sayed Mohammad a été assassiné dans le nuit de samedi 27 à dimanche 28 novembre.
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    Le fils du candidat indépendant aux législatives en Egypte, Sayed Sayed Mohammad, a été assassiné dans la nuit du samedi 27 à dimanche 28 novembre, dans la circonscription de Matariya au nord-est de la capitale.

    Le jeune assassiné Amr Sayed Sayed, âgé de 24 ans, était en train de coller des affiches pour le compte de son père lorsqu'il a été surpris par des individus.  Ils l’ont  poignardé  à mort et le jeune homme n'a pu survivre à ses blessures.  Les deux agresseurs ont été arrêtés, par la suite, par la police cairote. Et ce qui a été avancé comme une rumeur la matinée du début du scrutin a été confirmé par le ministère de l'Intérieur. Dans un communique rendu public dimanche, il a bel et bien confirmé la mort du jeune homme.

    Par aileurs, plusieurs affrontement ont été signalés à travers tout le territoire du pays. Un homme a également été blessé, dimanche, par balle lors d'affrontements entre partisans de différents candidats dans le delta du Nil. La police a fait usage de gaz lacrymogènes à Qena (Haute-Egypte) pour mettre fin à des affrontements entre sympathisants de candidats rivaux.

    Au nord du Caire, la police est encore intervenue contre des manifestants qui s'étaient rassemblés pour protester contre l'interdiction faite aux délégués d'un candidat d'entrer dans les bureaux de vote pour surveiller le scrutin. Les élections législatives égyptiennes se déroulent, ainsi, dans un climat trés tendu. Les partis politiques qui ont pris part à cette élection redoutent de violents affrontement vers la fin de l’opération de vote.
    Hacen Ouali


     

     

  • La verité pour la liberté d’Omar Omani

    http://verite-scandale-ipa.com/live/index.php

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    Le 13 Octobre 2010 le tribunal correctionnel de Sidi M’Hamed en première instance condamne Monsieur Omar Omani, représentant des laboratoires Indien et Indonésien Sérum Institute of India et Biofarma à 6 années de prison ferme.

    Monsieur Omar Omani est incarcéré à la prison de Serkadji à Alger depuis le 10 Janvier 2010 sur ordre du juge d’instruction sous le régime de la détention provisoire dans le cadre de l’instruction de l’affaire des vaccins importés soit disant « périmés ».

    A travers ce site nous souhaitons rétablir la vérité sur une affaire qui a été très médiatisée en Algérie mais dont l’information qui a été partagée par les medias ne reflétait pas la véracité des  faits  comme le disait si bien Georges  Bernanos : « être informé de tout et condamné ainsi à ne rien comprendre tel est le sort des imbéciles ». Nous voulons partager l’information avec l’opinion publique algérienne, les journalistes qui voudront bien nous écouter ainsi que le monde politique algérien. Nous voulons faire comprendre que cette affaire est purement et simplement une machination qui essaye de détruire un homme et tout ce qu’il a construit depuis 25 ans dans son pays. Chaque argument et chaque position pris sera accompagnée de documents officiels, contrats de fourniture de vaccins, contrats de services, factures (date de facturation, date de livraison, arrivée à l’aéroport d’Alger, date de production, date d’expiration des produits), contrôle qualité des vaccins.

    Vous comprendrez enfin comment cette affaire des vaccins supposés  « périmés » n’est qu’une affabulation pour tromper l’opinion publique et travestir l’essentiel vous comprendrez  de plus qu’il est impossible d’importer des vaccins périmés et  que si des vaccins avaient été importés périmés puis livrés à l’Institut Pasteur d’Algérie, la chaîne des responsabilités serait longue, fournisseur, douane indienne, douane algérienne, ministère de la sante algérien (responsable du dédouanement des produits), représentant du laboratoire, Institut Pasteur d’Algérie (acceptant de réceptionner des vaccins périmés)…

    Ce que nous souhaitons vous faire savoir est que dans cette affaire, comme la plupart des personnes l’appellent, l’affaire des cadres de l’Institut Pasteur d’Algérie, à ce jour, la seule personne incarcérée est la seule personne ne faisant pas partie de l’institution Pasteur Algérie et ce depuis 9 mois… Les condamnations ayant fait l’objet de prison ferme pour les cadres de l’Institut Pasteur n’ont pas fait l’objet de mandat d’arrêt… La seule personne incarcérée est Monsieur Omar Omani, représentant des laboratoires indiens et indonésiens. Le bouc émissaire, un maillon faible sur lequel on porte le chapeau de  l’ensemble des responsabilités. A aucun moment lors du procès Mme la juge n’a indiqué à Monsieur Omani qu’il était responsable de quelqu’une infraction, celle-ci a néanmoins décidé de le condamner à 6 années de prison ferme…

    Afin que vous compreniez mieux ce qui est reproché par la justice algérienne à Monsieur Omar Omani, nous vous invitons à vous rendre aux rubriques suivantes : instruction puis procès. Nous démontrerons pourquoi Monsieur Omani est la victime d’une erreur judiciaire, comment certains faits qui lui sont reprochés ne peuvent pas l’être et nous allons vous révéler les réels montants de ces fameux quatre contrats et vous expliquez comment le soit disant préjudice subit de deux milliards de dollars relaté par la presse est grotesque.

    Nous invitons à travers ce site à la réflexion, l’analyse critique et au dialogue, vous aurez la possibilité d’exprimer vos opinions, de donner vos commentaires, nous nous efforcerons de répondre à l’ensemble de vos questions. Nous sommes partisans de la transparence et de l’échangeNous nous battrons sans relâche pour la liberté d’un homme juste. et bien évidemment nous voulons que la justice soit rétablie et qu’enfin Monsieur Omani puisse rejoindre les siens.

      http://verite-scandale-ipa.com/live/index.php
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  • L’ENTV continue d’entretenir le mensonge Abane Ramdane “tombé au champ d’honneur”

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     À l’ENTV, on ne badine pas avec les vérités “officielles”. En témoigne un récent reportage consacré par la Chaîne 4 d’expression amazighe au chahid Abane Ramdane, dans le cadre d’une série consacrée aux grandes figures de la Révolution. L’auteur du reportage, par ignorance ou par conformisme, avait ainsi expliqué que l’architecte de la Révolution algérienne était “tombé au champ d’honneur”. Une version officielle livrée en 1957 dans le quotidien El Moudjahid de l’époque. Pourtant, tout le monde sait qu’Abane Ramdane a été exécuté au Maroc par strangulation sur ordre de Abdelhafid Boussouf.
    L’auteur du reportage aurait pu s’épargner l’infamie de ce mensonge en se rapportant aux multiples témoignages historiques rapportés par les acteurs de la Révolution.  Décidément, à l’ENTV, les mensonges ont la peau dure.  

  • L’Égypte ou la “démocratie” à la nord-africaine (oziris) toutamkhamoun et boutef alias ati.....

    Par : Mustapha Hammouche

    C’est aujourd’hui que les Égyptiens vont renouveler leur assemblée. Depuis que les dictatures d’Afrique centrale et de l’Ouest sont de plus en plus contraintes à des élections relativement ouvertes, l’Égypte et les autres pays d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie) sont les dernières “démocraties” où les résultats restent parfaitement prévisibles. D’ailleurs, les sondages y sont généralement interdits et, de toute manière, inutiles.
    Le Parti National “démocratique” ne pourra donc qu’améliorer son score actuel de 311 députés pour l’amener vers les deux-tiers (sur 518 sièges) qui autorisent la maîtrise constitutionnelle du pays. Le résultat est assuré par le contrôle administratif total des opérations, la répression brutale de l’opposition et le refus catégorique de toute observation internationale.
     Depuis Nasser, le régime s’emploie à distraire ses sujets dans l’enchantement d’être citoyens de “la Mère du Monde” et à les bercer de l’illusion d’être les ressortissants “élus” du creuset d’une antique civilisation. Mais, dans un pays où le Smig officiel, maintenu depuis 1984 à… quatre euros (oui, quatre euros par mois !), vient d’être tout juste porté à…cinquante euros (400 livres), le discours mystificateur a atteint ses limites. Les limites de la… faim : près de quarante pour cent des Égyptiens vivent sous le seuil de pauvreté.
    Les causes de substitution comme celle de voir son président co-présider la mort-née UPM ou celle d’être les plus forts d’Afrique en football, font ce qu’elles peuvent mais sans leurrer le quidam égyptien sur la portée effective de son vote. Résultat : aux dernières législatives (2005), et presque exactement comme en Algérie, en 2007, ils n’étaient que 10% d’électeurs à se présenter aux bureaux de vote, une participation révisée par un taux officiel de…26%.
    En matière d’autoritarisme politique, nous sommes frères. Et même frères jumeaux, tant les procédés discrétionnaires se ressemblent. Jusque dans l’argumentaire de l’arbitraire à huis clos : le refus de l’ingérence que Moubarak a opposé à la demande d’envoi d’observateurs internationaux, ou la menace brandie par le président de “l’Assemblée du peuple” : “Les pressions des États-Unis (pour une élection plus ouverte) risquent de nous amener vers un État théocratique (allusion faite au risque de prise de pouvoir par les Frères musulmans, principale force d’opposition organisée). Les Occidentaux semblent sensibles à l’argument, à en juger par la formule mémorable de Sarkozy : “En Algérie, c’est Bouteflika ou les talibans”. Des dictatures “démocratiques” comme remparts aux dictatures islamistes ! Mais des dictatures qui se substituent à l’islamisme qui les contestent en manifestant une vigilance et une intolérance zélées envers les “déviances” et les autres pratiques religieuses. La répression des Coptes du Caire a tout l’air d’un prix de consolation décerné aux Frères musulmans écartés du processus électoral officiel. On connaît les dégâts que continue à générer cet intégrisme d’État, conçu comme un intégrisme de substitution au projet théocratique.
    Une atmosphère de laborieuse fin de règne plane sur les pays d’Afrique du Nord où des régimes usés s’accrochent par tous les moyens au pouvoir, sur des peuples politiquement bâillonnés et socialement accablés.

  • Élection et démocratie en Afrique La Côte-d’Ivoire, un exemple à suivre


    Déchirée par la guerre civile, la Côte-d’Ivoire vient de donner une belle leçon de démocratie à tous les autres pays africains en réussissant à organiser entre les deux tours de l’élection présidentielle, une confrontation télévisée entre les deux candidats en lice, Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo. Le débat a permis non seulement aux deux postulants à la présidence ivoirienne d’expliquer leurs programmes électoraux respectifs, mais aussi de lancer des appels au calme aux militants des deux bords et à la compétition saine.
    Ce qui reste, du point de vue de beaucoup d’observateurs, un bel exemple de démocratie et de respect  de l’avis de l’autre à suivre dans toute l’Afrique, y compris chez nous où  l’on ne cesse de vanter les mérites de la “démocratie” algérienne.

  • no moment



       
     

  • Gestion et responsabilité pénale

     

    Par : Salim Tamani

    Des cadres dirigeants se retrouvent en taule pour avoir souvent obéi à des instructions verbales venues “d’en haut” sans que les donneurs d’ordre soient inquiétés.

    Le procès en appel des anciens cadres de la CNAN, au-delà du verdict rendu, a posé la problématique de l’acte de gestion. Pour un cadre dirigeant d’une entreprise publique, cette affaire illustre, au-delà des responsabilités que l’on peut établir sur tel ou tel dossier, la difficulté de gérer et de prendre des décisions. Dans le cas du naufrage de bateaux en rade au port d’Alger, les avocats de la défense ont mis en lumière une chose qui paraît normalement évidente mais que l’accusation n’a visiblement pas prise en compte. Les anciens cadres de la CNAN ne sont pas des armateurs et ils ne peuvent être jugés, du moins, seuls dans un dossier qui pourrait concerner plusieurs secteurs d’activités.
    Dans les affaires liées à la mauvaise gestion qui ont concerné dans leur majorité des cadres de l’État, la justice a eu la main lourde. Il est vrai que dans une conjoncture où il y a eu lieu de lancer des messages forts à tous ceux qui seraient encore tentés de dilapider les deniers publics, les procès finissent souvent par des verdicts chargés mais avec ce goût d’inachevé que ce ne sont pas toujours les véritables coupables qui sont condamnés. Des cadres dirigeants se retrouvent en taule pour avoir souvent obéi à des instructions verbales venues “d’en haut” sans que les donneurs d’ordre soient inquiétés.
    Alors, une question : quel choix s’offre-t-il donc aux dirigeants d’entreprise lorsqu’ils sont confrontés à des situations où il faut prendre des décisions, qui pourraient être contradictoires avec les intérêts mêmes de la société, mais qui sont dictées par des injonctions ? Démissionner ou assumer ? Difficile de choisir lorsqu’ils n’ont pas souvent le choix face à des hiérarchies qui sont beaucoup plus préoccupées par la gestion de leurs carrières politiques. Dans ce cas, il serait difficile de demander à un cadre dirigeant d’une entreprise publique de prendre la moindre initiative, sachant que son avenir à la tête de l’entreprise est parfois mieux garanti par son immobilisme que par le sens de la créativité, même si certains cadres abusent de ce genre de situation pour argumenter ou expliquer leur totale inactivité.

  • Réponse sur " Ali Koudil, une victime de la mafia politico-financière? "

    1. S. Omar dit :

      En tant qu’ancien cadre de la CNAN, actuellement en retraite et proche collaborateur de Mr Ali Koudil, PDG à l’époque de notre société, je tiens à témoigner qu’il est une victime du système corrompu. Dès son arrivée il fut confronté à deux problèmes majeurs :
      1. la mainmise de la mafia du syndicat sur le port, sous couvert de la protection des malheureux dockers. Elle avait mis sous coupe réglée tous les importateurs privés. Pas une seule marchandise ne sortait sans le versement de la tchippa. L’antenne du DRS du port était au courant de ces malversations et certains d’entre eux (pas tous pour être honnête), participaient à ce racket.
      2. La question de l’assurance de la flotte de la CNAN. A son arrivée, il fut scandalisé de voir la flotte assurée par des agences étrangères en Europe. Et l’un des intermédiaires était le neveu je crois d’un ancien ministre qui serait le même qui est impliqué dans le trafic de l’autoroute est-ouest et actuellement en fuite. Lorsqu’Ali Koudil décida que notre flotte devait être assurée par la société nationale d’assurance, ce fut le grand scandale. Je me rappelle qu’il fut assailli d’appels en très « haut lieu » pour le faire revenir sur sa décision téméraire. Même un ponte de l’UGTA s’était déplacé à la CNAN pour le dissuader. Ce jour-là, j’avais compris qu’il venait de signer sa mise à mort.

      Vous comprendrez donc pourquoi Mr Koudil a été condamné à 15 ans de prison pour une affaire qui ne le concernait pas. Les principaux responsables à comparaitre au tribunal sont les gardes-côtes. Or ceux-là sont intouchables. C’est El Djeich.
      Allah Yastarna.

  • Fuites sur Wikileaks : les USA se préparent «au pire»



    Crédits photo : SAUL LOEB/AFP

    Washington s'attend à des fuites massives de documents retraçant des discussions entre des diplomates américains et des gouvernements étrangers.

    Après l'Afghanistan et l'Irak, le prochain sujet de divulgation du site WikiLeaks pourrait concerner les relations diplomatiques des Etats-Unis. Lundi dernier, le site spécialisé dans la révélation de documents confidentiels avait promis une prochaine publication sept fois plus volumineuse que les 400.000 documents confidentiels récemment publiés sur la guerre en Irak, sans donner plus de précision.

    Mercredi, un porte-parole du Pentagone a estimé que les fuites seraient publiées en fin de semaine ou en début de semaine prochaine. Et Philip Crowley, le porte-parole du département d'Etat, a convenu se préparer «au pire scénario». Washington pourrait être embarrassé par la divulgation de ces documents, qui ont été rédigés par ses diplomates. En particulier s'ils mettent en cause des partenaires étrangers des Etats-Unis.

     

    «Des mois à étudier les fuites» potentielles

    «Nous avons passé des mois à étudier les fuites qui pourraient avoir lieu et l'impact potentiel (...) Nous sommes en contact avec nos postes dans le monde, qui ont commencé à informer les gouvernements que la publication de documents est possible dans un avenir proche», a affirmé Philip Crowley à la presse. «Ces révélations (...) vont créer des tensions dans les relations entre nos diplomates et nos amis dans le monde», a-t-il regretté, déplorant une initiative «nuisible à notre sécurité nationale».

    «Nous ne savons pas ce qui va être publié», a toutefois assuré Philip Crowley. «Nous savons depuis le début que WikiLeaks a en sa possession des câbles du département d'Etat». Les câbles, qui sont les messages internes à la diplomatie, «comprennent des discussions que nous avons avec des responsables gouvernementaux et des citoyens privés», a encore expliqué le porte-parole.

    Le département d'Etat et celui de la Défense ont mis sur pied des groupes qui seront chargé d'analyser les fuites après leur publication et travailleront de concert.

    LIRE AUSSI :

    » WikiLeaks révèle l'horreur de la guerre en Irak

    » Wikileaks, une machine à scoops efficace mais opaque

    » PORTRAIT - L'étrange monsieur Assange

    » Afghanistan : des données secrètes accablantes publiées

  • Ali Koudil, une victime de la mafia politico-financière?

     

    «Nous sommes en prison depuis bientôt six années pour quelque chose qu’on n’a pas fait. Notre condamnation a eu lieu sur la base de faux témoignages. Ce sont des témoignages qui ne sont pas crédibles. Croyez-moi, Monsieur le président, j’ai passé six années en prison en train de lire l’arrêt de renvoi, mais je n’ai point trouvé de chefs d’inculpation à l’origine de notre condamnation à quinze années de prison ferme.» L’ex-Pdg de la Cnan, Ali Koudil, a tenu en haleine l’assistance durant deux heures. Son passage à la barre a replongé l’assistance dans la nuit du 13 au 14 novembre 2004.
    Abder Bettache – Alger (Le Soir) – Très attendu par l’opinion publique nationale, le procès, après cassation auprès de la Cour suprême, des ex- cadres de la Cnan poursuivis dans l’affaire du naufrage des navires le Bécharet l’échouage de Batnaa été ouvert hier au niveau de la cour d’Alger. Le procès n’a débuté, véritablement, que vers 15h30. Dans la matinée, a eu lieu la lecture de l’arrêt de renvoi qui a duré plus de deux heures. Dans une salle exiguë, peu aérée et en l’absence de sonorisation, le greffier a passé plus de 120 minutes à faire lecture du volumineux arrêt de renvoi. Ainsi, durant toute la matinée, prévenus, représentant du ministère public, défense et membres du jury du tribunal criminel étaient suspendus aux lèvres du greffier. Ce dernier ne termine sa lecture qu’après 13h45. Cette «étape» franchie, le président du tribunal criminel suspend la séance et fixe rendez-vous à l’assistance pour 14h. L’ex-P-dg de la Cnan, Ali Koudil, était le premier prévenu appelé à la barre. Le magistrat lui rappelle les chefs d’inculpation tout en l’invitant à donner des explications sur le contenu des griefs retenus contre lui. Dans la salle, un silence religieux s’y instauré. La famille du prévenu écoutent attentivement l’intervention de l’ex- patron de la Cnan. En parfait bilingue, Ali Koudil tente d’expliquer au président du tribunal criminel son rôle en sa qualité de Pdg de la compagnie Cnan. L’intervention dure depuis quinze minutes, quand soudain, le président du tribunal, et sur un ton ferme, invite l’un des avocats du prévenu à s’éloigner de son client. Le magistrat reproche à la défense d’avoir soufflé des réponses à son client. Clash ! L’altercation s’installe. Miloud Brahimi monte au créneau et engage un bras de fer avec le magistrat. Le ton est monté d’un cran. La polémique s’installe. Premier mesure : le président du tribunal suspend la séance. Les travaux ne reprendront qu’une heure après.
    «Des gens ont témoigné contre nous par esprit de vengeance»
    A la reprise, Ali Koudil poursuit son témoignage. Il explique au président du tribunal le fonctionnement de la façade maritime et le rôle de chaque intervenant dans l’enceinte portuaire. Il relate des faits jusque-là inconnus de la justice. Le rôle des gardes-côtes en qualité «de police du port et de la mer» et de l’Entreprise portuaire d’Alger (EPAL) en sa qualité de «propriétaire des lieux (enceinte portuaire)». Il cite, également, le rôle du comandant de bord du Béchar qui avait toute latitude, conformément au code maritime, de prendre toutes les décisions, allant dans le sens de la sécurité de son équipage. Enfin, il relate les derniers moments vécus avec l’ex-ministre des Transports, le défunt Mohamed Maghlaoui, avant que le Béchar ne sombre. «J’ai dit au ministre où sont les hélicoptères, qu’il faut sauver ces gens. Que me répond le ministre ? Les hélicoptères ne peuvent pas décoller», assène Ali Koudil. L’assistance est tenue en haleine. Les avocats de la défense suspendus au témoignage de leur client ne posent point de question. Le prévenu assure parfaitement sa défense et poursuit : «Quel intérêt a-t-on à laisser seize de nos collègues mourir et à se retrouver ensuite durant six années en prison ? Nous sommes en prison pour quelque chose qu’on n’a pas fait. Des personnes ont témoigné contre nous par simple esprit de vengeance.» Et en guise d’argument, l’ex-pdg de la Cnan cite les témoignages qui ont «pesé» dans sa condamnation et celle de ses collègues ici présents. Il nomme le commandant de bord Laker, un ex-syndicaliste affilié au syndicat Snomar. «Ce personnage a été licencié par l’entreprise après avoir été traduit devant la commission de discipline pour manquement à la discipline. Son témoignage n’est basé sur aucune preuve tangible. Je vous cite également le cas des gardes-côtes. Ces derniers ont une grande responsabilité dans cette affaire. Puisqu’ils considèrent que le Béchar était en danger, pourquoi n’ont-ils pas alors pris la décision de le faire entrer avant qu’il y ait catastrophe ? Ne sont-ils pas les policiers de la mer ? Dans le cas échéant, l’article 942 du code maritime auquel ils ont fait référence est clair. Rien ne peut se faire sans l’aval des gardes-côtes», martèle Ali Koudil. Poursuivant son témoignage, l’ex- patron de la Cnan porte à la connaissance de la composante du tribunal criminel que trois facteurs ont précipité le drame. Il s’agit de la «force de la tempête, qui a empêché les remorqueurs de sortir du point du mouillage du navire le Béchar et de la réaction tardive de l’équipage». Hier, en ce premier jour du procès de l’affaire des ex-cadres de la Cnan, les zones d’ombre qui ont jusque-là caractérisé cette affaire commençaient à s’éclaircir. Le passage à la barre de Ali Koudil a donné au procès sa véritable dimension.
    A. B.

  • Qui tirera l’Algérie du fond du puits?

      Par Adel H.

    Il y a aujourd’hui trois générations en Algérie : celles et ceux qui ont été témoins ou acteurs du combat pour l’indépendance (65 ans et plus), celles et ceux qui ont grandi avec l’indépendance (40-65 ans) et dont certains étaient enfants en 62 et gardent un certain souvenir de l’Algérie de l’époque coloniale, et enfin celles et ceux qui sont nés après la mort de Boumédiène et qui n’ont connu qu’une Algérie déchirée par l’exclusion et la violence et livrée en pâture aux opportunistes et incompétents de tout bord.

    Les premiers ont chassé l’occupant mais n’ont pas su instaurer un État de droit et ont laissé l’Armée prendre le contrôle du pays. Les seconds ont été façonnés par le système boumédiéniste (Boumédiène, mauvais étudiant d’El-Azhar ou mauvais disciple de Frantz Fanon?) et ce sont eux qui se sont affrontés dans un climat de violence extrême entre 1990 et 2000. C’est la génération qui a été le plus marquée par le système sur le plan idéologique (nationalistes, socialistes marxisants, islamistes, berbéristes) et qui en porte toutes les stigmates.

    Quant à la troisième génération, celle des hitistes et des harraga, elle erre comme une âme en peine dans une Algérie dévastée, prostrée, incapable de réagir, si ce n’est en se jetant à la mer dans une embarcation de fortune ou en se faisant exploser devant un commissariat.

    «Où va l’Algérie?», se demandait Boudiaf, il y a plus de 40 ans. «Qui tirera l’Algérie du fond du puits?», dirions-nous aujourd’hui. L’Algérie, un immense gâchis. Notre pays, malgré tout…

  • Bousculade entre avocats canadiens pour défendre les danseurs fugueurs

    j'aimerai bien entendre un officiel algerien parler de ce scandale!!!!! ou monsieur réné la taupe ouyahia!!!!!!!

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    C’est à une véritable bataille que se livrent des avocats montréalais pour offrir leurs services aux huit fugueurs du Ballet national qui ont demandé l’asile au Canada. C’est à qui arrivera le premier !

     

    Montréal (Canada). De notre envoyé spécial

     

    Plusieurs avocats spécialisés en immigration et en demande d’asile tentent de se rapprocher des huit danseurs à travers des membres de la communauté installés à Montréal. Une aubaine pour ces membres du barreau québécois. Comme les danseurs ont déposé leur demande de refuge, dont le type sera défini par la Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada, ils sont déjà pris en charge par le système d’aide aux demandeurs d’asile pour la couverture médicale et le logement, entre autres. Ils pourront aussi bénéficier de l’aide juridique qui consiste en
    la prise en charge des frais d’avocats jusqu’à un certain seuil.

    L’introduction d’une demande d’asile leur permettra de séjourner légalement au Canada après l’expiration de leurs visas, dans six mois. Selon les délais que prendra leur demande, leur séjour pourrait s’étaler sur plusieurs années avant d’avoir une réponse définitive qui pourrait être un refus assorti d’un ordre de déportation (expulsion). Il n’est pas rare de rencontrer des expulsés algériens sur les vols entre Alger et Montréal. Entre temps, si leur situation change – un mariage par exemple – ils pourront passer au statut de résidant.Mais tout dépendra du dossier que préparera leur avocat. L’un des éléments sur lequel va se baser leur demande est certainement la menace qu’ils auraient reçue de la part d’un diplomate algérien au Canada. Un membre du ballet a accusé à tort, dans les médias algériens, l’ambassadeur d’Algérie au Canada, Smaïl Benamara, d’avoir provoqué leur fugue par ses menaces de représailles s’ils tentaient de rester au Canada. Ce dernier, rentré depuis en Algérie et ne connaissant pas apparemment qui est qui, a pris un autre diplomate pour l’ambassadeur. Ceci ne diminuant en rien la gravité de la menace.

    Les danseurs étaient les invités exceptionnels du Festival du monde arabe de Montréal, à l’initiative de l’ambassade d’Algérie à Ottawa. «Nous n’avions aucune volonté de programmer cette troupe, mais l’ambassadeur était très enthousiaste. Nous lui avions dit que le délai était court, mais il a très bien réussi à remplir la salle. On était surpris : le public était à 90% algérien», a affirmé hier au journal La Presse le directeur du Festival du monde arabe, Joseph Nakhlé. Selon les huit fugueurs restés au Canada et qui se sont confiés à El Watan, l’ambassadeur algérien ne les a pas menacés et a essayé de les raisonner.

    Un autre diplomate, qui serait du consulat d’Algérie à Montréal, leur aurait dit d’un ton menaçant : «Même si vous vous enfuyez à Vancouver (dans l’extrême ouest canadien) on vous ramènera tous menottés.» Il est clair que par solidarité, l’ambassadeur d’Algérie au Canada ne «vendra» pas son collègue. Réagissant à cette information, une source du consulat algérien a réfuté ce scénario et affirmé que la représentation montréalaise «n’est mêlée ni de près ni de loin à cette histoire». Prônant l’apaisement, la même source a rappelé que personne n’a été ou ne sera inquiété pour ses déclarations. «Vous pouvez vérifier auprès des personnes qui sont rentrées en Algérie», a-t-elle ajouté. «D’ailleurs, même ceux qui sont restés sont les bienvenus en Algérie, leur pays, s’ils décident de rentrer», conclut la même source.  

    Samir Ben Djafar
  • L'Algérie parmi les 15 pays au monde qui fournissent le plus de migrants

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       	Plus de 2 millions d'Algériens vivent à l'étranger. Les immigrés représentent en tout 6,7 % de la population Algérienne. 

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    Plus de 2 millions d'Algériens vivent à...

    L'Algérie fait partie des 15 pays qui fournissent le plus de migrants au monde. C'est ce qu'il ressort de l'étude internationale sur la part et le nombre des immigrés dans la population mondiale réalisée par l'Institut national français des études démographiques (Ined) et rendue publique mercredi. 

    Les immigrés représentent 6, 7 % de la population Algérienne ! Et pour cause, pas moins de 2, 1 millions d'Algériens vivent à l'étranger, précise cette étude qui souligne également que notre pays se retrouve au 15e rang des pays fournisseurs de migrants dans le monde. 

    Cette liste de pays comprend entre autre l'Egypte (2,2 millions), le Maroc (2,6 millions), la Turquie (3 millions), l'Inde (9 millions) et le Mexique, premier pays fournisseur de migrants, qui compte plus de 10 millions de ces ressortissants installés à l'étranger.

    D'autre part, les Etats-Unis comptent 42,8 millions d'immigrés en 2010, loin devant la   Russie (12,3), l'Allemagne (9,1), l'Arabie Saoudite (7,3), le Canada (7,2), la   France (6,7), le Royaume-Uni (6,5) et l'Espagne (6,4), selon cette étude qui  définit un immigré comme une "personne née dans autre pays que celui où elle  réside".  

    Enfin, au total, les immigrés seraient 214 millions en 2010, soit 3,1% de la population mondiale.     Proportionnellement à leur population, les pays du Golfe sont les plus  attractifs et les immigrés y sont parfois majoritaires. A titre d'exemple, les immigrés forment 86% de la population au Qatar, 70%  aux Emirats arabes unis, 69% au Koweït.   

    Abderrahmane Semmar
  • A la une 32 % des jeunes Algériens rêvent d'émigrer

     

       	       	Selon une étude réalisée par l’institut Gallup auprès des jeunes dans le monde arabe, 32 % des Algériens aimeraient s’installer définitivement dans un autre pays. 

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    Selon une étude réalisée par...

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    Selon une étude réalisée par le prestigieux organisme américain l’institut Gallup auprès des jeunes dans le monde arabe, 32 % des Algériens aimeraient s’installer définitivement dans un autre pays.  

     

    Le désir des Algériens de quitter leur pays pour s’installer à l’étranger est loin d’être un mythe. C’est, malheureusement, bel et bien une réalité palpable qui se vérifie au quotidien.

    Et au moment où toute l'Algérie suit attentivement le feuilleton rocambolesque des six danseurs fugueurs du Ballet National au Canada,  une étude internationale intitulée ‘‘The Silatech Index: Voices of Young Arabs’’ (L’indice Silatech: La voix des jeunes arabes), basée sur un sondage Gallup réalisé auprès d’un échantillon de jeunes des deux sexes dans les 22 pays membres de la Ligue des États arabes, révèle que "32% des jeunes Algériens affirment vouloir émigrer vers un autre pays s’ils en avaient la possibilité".

    Ils sont donc pas moins de 3 jeunes Algériens sur 10 qui affirment vouloir se réinstaller de manière permanente dans un autre pays. Les auteurs de cette étude internationale affirme ainsi que l'Algérie se trouve parmi  "les pays qui risquent de perdre le plus grand pourcentage de jeunes" ! 

    Le désir de partir des jeunes Algériens représentent, par ailleurs, une véritable menace pour l'avenir de l'Algérie qui risque des lors de se vider de ses ressources humaines indispensables à son développement. A l'image des Iles Comores où 58 % des jeunes veulent partir, de la Tunisie (44 %), Maroc (37 %) et le Liban (36 %), l'Algérie est largement au-dessus de la moyenne régionale du Monde Arabe qui est de 30 %. 

    De cette étude, il ressort également que seuls les pays du Golfe affichent les taux les plus faibles de jeunes désirant émigrer : les Emirats arabes unis (2%), le Koweït (2%), Bahreïn (4%) et l’Arabie Saoudite (7%). Ces pays sont pratiquement les seuls dans le Monde Arabe qui ne risquent pas de perdre leurs jeunes.  

    Abderrahmane Semmar
  • 1000 chercheurs algériens aux Etats-Unis

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    Le nombre de scientifiques algériens résidant aux Etats-Unis varie entre 600 et 1000 qui activent, essentiellement, dans les universités, les instituts de recherche relevant du département d’Etat américain, ainsi que les laboratoires privés.

    La Fondation algéro-américaine pour la culture, l’éducation, la science et la technologie a pour président (chairman) le docteur Elias Zerhouni, qui est également l’un des trois ambassadeurs spéciaux des Etats-Unis pour la science et la technologie nommés en novembre 2009 par le président Barack Obama.
    C’est dans ce contexte que la Fondation algéro-américaine pour la culture, l’éducation, la science et la technologie (Faacest) organisera les 3 et 4 décembre à Alger, en collaboration avec le ministère algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, une conférence pour un partenariat entre la communauté scientifique algérienne établie aux Etats-Unis et son homologue en Algérie, a indiqué hier à l’APS le président exécutif de cette Fondation, Farid Amirouche.


    Mise en place en janvier 2010, la Faacest rassemble notamment des scientifiques, des universitaires et des médecins algéro-américains. La délégation de cette fondation qui se rendra en Algérie sera composée d’éminents spécialistes algériens en bio-engineering, en sciences médicales, en géophysique et en climatologie, dont deux experts de l’Agence spatiale américaine (NASA). Selon M. Amirouche qui est professeur en bio-engineering et directeur de recherche du laboratoire de biomécanique à l’université de l’Illinois, il s’agit de se pencher sur le projet de création, en Algérie, d’un institut supérieur spécialisé dans les technologies de pointe telles que la bio-ingénierie, la bio-informatique et la bio-mécanique (orthopédie et développement des prothèses notamment), où la formation sera dispensée essentiellement par des enseignants algériens des universités américaines ainsi que des enseignants américains.

    Cet institut devrait être mis en place avec la collaboration académique d’une université américaine parmi les quatre établissements suivants : Massachusetts Institute of Technology (MIT), les universités de Georgetown (Washington DC), de Chicago ou de Delaware. Plusieurs universitaires américains et près de 200 enseignants algériens dans des universités américaines ont déjà manifesté leur intérêt pour enseigner dans cet institut supérieur.
    La formule prévue pour permettre à ces universitaires de prendre part à ce projet est d’opter soit pour des congés sabbatiques des universités où ils exercent, soit en dispensant des cours par visioconférence à partir des Etats-Unis.  

    R. N.
  • L'Algérie infectée par ses tabous

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    Le sida recule dans le monde, mais continue sa progression en Algérie. 600 nouveaux cas ont été enregistrés depuis le début de l’année, montrant une nette propagation du VIH dans la société. Tabous à la peau dure, ruptures de stocks de médicaments récurrentes, échec dans la promotion du dépistage, absence de coordination des actions et baisse des ressources… El Watan Week-end fait le point sur les problématiques du VIH/sida en Algérie, à quelques jours du 1er décembre, Journée internationale de lutte contre le sida.

    Dans les jardins de l’hôpital El Kettar, à Alger, des silhouettes vont et viennent dans une déconcertante banalité. 800 malades atteints de sida sont actuellement traités dans le service infectieux. La détresse qu’enserrent ces lieux n’est perceptible qu’une fois à l’intérieur. A l’entrée de la pharmacie de l’hôpital, Djamel reprend son souffle et s’avoue dépité : «Je viens d’Oran, où une rupture de stock persiste depuis un an, avec l’espoir d’avoir des médicaments, mais la pharmacie refuse de me les donner, ils disent qu’il faut être originaire d’Alger.» Djamel est infecté par le VIH depuis six ans et se traite pour survivre. Il y parvient bien. «Grâce à la trithérapie, la vie continue pour moi», confie-t-il. Face à cette pénurie, il compte se procurer le traitement de France, à raison de 150 000 DA.

    Il en a les moyens. On ne peut pas en dire autant pour d’autres. Mais les personnes vivant avec le VIH en Algérie composent comme elles peuvent et s’arment de courage pour résister au renoncement. Où en est-on, justement en Algérie ? Si la propagation de la maladie a ralenti dans le monde, (selon les dernières estimations de l’Onusida), en Algérie, le VIH se propage et les cas de sida ne cessent d’augmenter. Les chiffres sont éloquents même s’ils ne sont pas révélateurs de la véritable prévalence de la maladie sur le terrain. 600 nouveaux cas ont été décelés depuis le début de l’année (estimations du 30 septembre), portant le nombre de cas cumulés depuis 1985 à 1118 cas de sida et 4745 séropositifs, soit un total de 5863 personnes concernées. Les estimations non officielles parlent de près de 30 000 cas. L’Algérie est un pays à faible prévalence (nombre de personnes touchées dans la population) avec un taux allant de 0,1 à 0,2%. Mais les pays reconnus pour leur forte prévalence ont tous commencé avec des taux aussi faibles avant de se voir propulsés au plus haut point de ce fléau sanitaire. L’Algérie n’est donc pas à l’abri d’une propagation encore plus alarmante du virus, sachant tous les tabous qui bloquent les initiatives de prévention et de lutte.


    Principal problème : le dépistage


    Prostituées, homosexuels, usagers de drogues injectables sont les principales catégories de la société touchées par les affres du sida. Mais les autres tranches de la population ne sont pas en reste. La contamination est facile et toutes les personnes touchées ou susceptibles de l’être n’ont pas le réflexe de faire les tests de dépistage. «Les gens ont peur de faire le pas et sont très mal informés. Beaucoup de personnes vivent avec le VIH sans le savoir et participent donc à sa propagation. Le dépistage est notre grand frein», confirme Othmane Bourouba, président de l’association Aids Algérie. Et pourtant, 75 centres de dépistage sont disponibles sur le territoire national. Mais les tabous qui entourent cette maladie les rendent presque inexistants. Dans une société où le sexe est tabou, et où on feint de ne pas savoir que l’homosexualité existe, il est difficile de sensibiliser. La peur du regard de l’autre, des jugements et les stigmatisations contraignent au silence. Un silence dans lequel le VIH étend ses ramifications désastreuses. L’Etat en est conscient et a d’ailleurs adopté un plan national stratégique de lutte contre le VIH/sida 2008-2010 (PNS) visant justement au renforcement de la prévention et de la promotion du dépistage volontaire. Mais la réalité du terrain résiste à ses stratégies qui restent conceptuelles.

     

    Joindre l’acte à la parole


    Le PNS semble parfait sur le plan théorique, mais il n’empêche pas pour autant «le nombre de cas d’augmenter», témoigne le docteur Akinouche, médecin au service infectieux d’El Kettar. L’application du PNS pose problème. Le comité national de lutte contre le sida attend depuis cinq ans d’être restructuré et la bonne volonté de l’Etat peine à avoir un impact sur la réalité. Un rapport avec le retrait du fonds mondial de lutte contre le sida d’Algérie décidé en 2008 ? Une évidence pour la présidente de l’Association de soutien pour les personnes vivant avec le VIH, Hayet : «Le PNS est très bien fait et c’est notre principale référence, mais le problème de financement ralentit nos activités. L’Etat est concentré sur les traitements, alors que la prévention et le dépistage sont primordiaux pour ralentir la propagation. Le retrait du Fonds mondial qui était notre bailleur de fonds en est la cause.» «Un retrait pas si négatif que ça», selon  Dr Scandar Soufi, président de l’association AnisS : «Ce retrait nous extirpe de la culture de l’assistanat, on doit à présent  bouger et créer nos propres dynamiques.» Pour cela, il faut, évidemment, joindre l’acte à la parole. L’objectif capital étant d’arrêter de considérer cette maladie comme une tare et de détruire tous les tabous qui l’entourent. «Il y a des avancées sur le terrain et le mouvement associatif travaille dur, mais il est vrai que les tabous ralentissent la lutte et affectent la vie des malades», soutient Ahcène Boufenissa, président de l’association solidarité AIDS. Le témoignage de Salim soutient cette idée. Séropositif depuis six ans, il résume non sans émotion : «Je combats très bien la maladie avec mes traitements, mais je ne sais pas avec quoi combattre les jugements blessants et méprisants des autres.»

    Fella Bouredji
     
  • Urgent : Nouveaux affrontements à Dar El Afia (Kouba)

    quand le peuple se soulevera,ni l'armé ni la police ,ni  GIGN algerien ne l'arretera pire encore 5 octobre(manipule') allah yastare el moumnine ,trops hogra.

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    Une très vive tension persiste à Dar El Afia (Kouba) où des affrontements ont repris aujourd’hui entre les brigades anti-émeutes et la population révoltée par la destruction des baraques, laissant les familles sans abri et sous la pluie. A 18h, la route menant des Anassers vers Kouba était bloquée par d’importants renforts de brigades anti-émeutes. La circulation est déviée vers Garidi et les Sources.

  • Oran : Crime contre la science à l’université

    El Watan le 25.11.10 

    C’est un acte gravissime que viennent de subir les chercheurs en génie microbiologique de l’université d’Es Sénia.

    Toutes les collections de souches bactériennes, fruit d’un travail soutenu depuis plus de 25 ans, sont irrémédiablement perdues. Durant la nuit du 23 au 24 novembre, vers 4h, un groupe de criminels a investi les laboratoires des professeurs Nordine Karam et Fatima Zohra El Kébir, qui travaillent respectivement sur les bactéries lactiques d’intérêt biotechnologique et sur la biologie du développement. Les congélateurs et les réfrigérateurs ont été vidés de leur contenu. Des milliers de tubes à essai ont été jetés à terre ; certaines bactéries pathogènes ont subi le même sort. Tous les ordinateurs ont été emportés, brisant les carrières de nombreux universitaires dont les résultats expérimentaux étaient stockés dans leurs disques durs. Pour de nombreux universitaires, c’est le travail de toute une vie qui part ainsi en fumée.
    Les agresseurs, qui ont agi en toute quiétude, ont même utilisé un autoclave pour défoncer les portes. Certains équipements de grande valeur, qui n’ont pu être emportés, ont délibérément été cassés. Une trentaine d’étudiants en doctorat et en magistère se retrouvent totalement bloqués dans leur progression pédagogique. Le professeur Nordine Karam, l’un des spécialistes algériens des bactéries lactiques, est sans doute celui qui a subi les plus grosses pertes. Ayant déjà fait l’objet d’une agression à l’arme blanche il y a de cela 5 ans, le chercheur aura beaucoup de peine à se remobiliser et à reconstituer ses collections de bactéries aussi précieuses qu’originales.
    Yacine Alim
  • parseque chez nous les riches ne payent pas ce sont les fonctionnaire qui payent avec leurs salaires de misére


    Très faible attractivité fiscale en Algérie selon le Paying taxes 2011

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       	L'Algérie n'améliore pas son attractivité fiscale selon le rapport "Paying Taxes 2008", qui compare les régimes fiscaux dans 183 pays, publié par la Banque mondiale, l'IFC (International Finance Corporation) et PricewaterhouseCoopers,

    Dans le nouveau rapport intitulé  "Paying Taxes 2011", qui compare les régimes fiscaux dans plus de 183 pays, publié par la Banque mondiale, la Société Financière Internationale (SFI) et PricewaterhouseCoopers, l'Algérie est épinglée pour son manque d'attractivité fiscale. 

    Selon les auteurs de ce rapport, considéré comme une référence mondiale par les experts de la fiscalité, en Algérie, il n'est pas du tout facile de s’acquitter de ses impôts. Dépourvue d'un système de paiement électronique de l’impôt sur les sociétés et la taxe sur la valeur ajoutée, l'Algérie accable les entreprises par un temps énorme pour effectuer toutes les formalités.

    Ces tracasseries placent l'Algérie à la 116ème place au monde concernant l’amélioration, durant l’année écoulée, des conditions de paiement des taxes ! 

    Quant au nombre d’heures nécessaires pour effectuer son devoir fiscal, l'Algérie est également à la traîne par rapport à d'autres pays africains qui la dépasse largement sur ce chapitre puisque les citoyens des Syechelles, Djibouti, les Comores, Swaziland, la Zambie et la Tunisie mettent moins de 144 heures pour s'acquitter de leurs impôts.

      A la fin, pour ce qui est de la facilité de payer ses taxes, l'Algérie figure à la 168ème position ! Elle se retrouve ainsi au fond de ce classement et très loin derrière le Top 10 mondial dans lequel on trouve 5 pays arabes: Qatar (2ème), les Emirats Arabes Unis (5ème), l’Arabie Saoudite (6ème), Oman (8ème), et Koweït (9ème). 

    L'Algérie se distingue, par ailleurs, par l’une des plus fortes pressions fiscales au monde. Elle pointe au 169ème rang mondial sur un total de 183 pays et est distancée dans ce domaine par presque tous les pays arabes à l'image du Qatar (6ème), Emirats Arabes Unis (7ème), Arabie Saoudite (8ème), Palestine (Cisjordanie et Gaza, 14ème), Jordanie (46ème), Maroc (99ème), Egypte (104ème) et Syrie (105ème). 

    Abderrahmane Semmar