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  • Législatives: 165 recours déposés auprès du Conseil constitutionnel

     

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    Cent soixante-cinq (165) recours relatifs aux résultats  des élections législatives ont été déposés, au terme du délai légal, auprès  du Conseil constitutionnel par des candidats et partis ayant participé au scrutin  du 10 mai 2012, a-t-on appris vendredi de source proche de cette institution. 

     

    Des partis politiques et des candidats libres,"même parmi ceux qui ont  obtenu un bon résultats" aux élections, ont déposé des recours pour divers motifs,  a indiqué à l'APS la même source.         

    Le Conseil constitutionnel rendra public, dans un communiqué, les décisions  prises quant à ces recours, a-t-elle ajouté.            

    Contactées par l'APS jeudi, la majorité des formations politiques, y  compris le parti qui a réalisé le meilleur score aux législatives, le Front  de libération nationale (FLN), ont confirmé avoir déposé des recours devant  le Conseil constitutionnel.         

    La loi organique portant régime électoral donne le droit à tout candidat  aux élections législatives ou parti politique ayant présenté des listes de candidats  à ces élections de contester la régularité des opérations de vote en introduisant  un recours.         

    La requête en question doit être déposée dans les quarante-huit (48)  heures qui suivent la proclamation des résultats.         

    Le règlement fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel  stipule que ce dernier arrête et proclame les résultats des opérations de vote  des élections législatives. Il statue sur les recours le concernant dans les  formes et délais prévus par la loi organique relative au régime électoral.         

    Passé ce délai, le Conseil constitutionnel statue, selon le même règlement,  sur le recours dans les trois (3) jours. S'il estime le recours fondé, il peut,  par décision motivée, soit annuler l'élection contestée, soit reformuler le  procès-verbal des résultats établis et proclamer le candidat qui est régulièrement  élu.         

     

    El Watan avec APS
  • Les vieux réflexes


    source le soir dz

    Les vieux réflexes ont décidément la vie dure à Oran. Des citoyens venus retirer de simples documents d’état civil se sont vu exiger leur… carte de vote !
    A ceux qui ont protesté et dénoncé l’illégalité d’une telle exigence, le guichetier, impassible, s’est contenté d’un simple «au suivant».

  • no moment

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  • SNPSP EN GREVE

    500 médecins devant le ministère de la Santé pour demander le départ de Ould Abbas 4

    Par Hamida Mechaï le 14/05/12 à 13h27 

     
	Plusieurs médecins devant le ministère de la Santé

    Près de 500 médecins, venus de plusieurs wilayas, ont observé un sit-in, ce matin lundi 14 mai devant le Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière. Ils ont répondu à l’appel de l’intersyndicale des professionnels de la santé qui regroupe le SNPSSP, le SNPSP, le SNAPSY ainsi que le SNPEPM, une intersyndicale récemment scellée en plein mouvement de grève des praticiens de la santé observé depuis maintenant presque deux mois. la suite

    Ould Abbès annonce 30 millions de Dollars pour l’acquisition des vaccins Réagissez

    En visite d’inspection et de travail ce lundi dans la wilaya de Ain Defla, le ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière a annoncé l’acquisition de vaccins pour un montant de 30 millions de Dollars.

     

    Ain Defla : Ould Abbès raille les professionnels de la santé contestataires Réagissez

    Interpellé par la presse locale sur le déficit important en encadrement spécialisé dans la wilaya de Ain Defla, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès , en visite d’inspection et de  travail ce lundi dans cette wilaya trouvera l’occasion  rêvée pour ironiser sur certains professionnels de la santé lesquels, selon lui, «vont de l’autre coté à des fins lucratives et reviennent atteints du syndrome de l’épuisement (burn-out) semblables à des citrons pressés» a-t-il dit.

  • Deux grands perdants de ces élections : Bouteflika et le FFS.

     

    Commentaire d’Addi Lahouari à la « lettre à Hocine Aït Ahmed » de Saïd Radjef

    Bonjour Said,

    Très belle lettre, belle analyse. Il a été difficile en effet aux démocrates de critiquer le FFS en raison de la ligne qu’il a défendue depuis 1963 et aussi du respect qu’a la population algérienne d’Est en Ouest pour Aït Ahmed.
    Mais revenons à ces élections et à leurs résultats où il y a eu deux grands perdants: Bouteflika et le FFS.

    1. Le plus grand perdant de ces élections, c’est Bouteflika. Il me semble qu’il y a un courant dans l’armée qui veut que le scénario égyptien se produise en Algérie pour sortir le pays des conséquences de l’annulation des élections de décembre 1992. L’armée veut se racheter du coup d’Etat de janvier 1992 et être du côté de la population. Elle espère et attend un soulèvement que craint Bouteflika parce qu’il en serait la principale victime. Bouteflika tablait sur des résultats favorables aux islamistes, ce qui donnerait une Assemblée nationale similaire à celle de l’Egypte ou de la Tunisie d’aujourd’hui, ce qui ferait l’économie d’un soulèvement. Les militaires ne l’entendent pas de cette oreille. Ils veulent un soulèvement et pour cela ils ont fait élire le FLN pour exaspérer les jeunes et démentir Bouteflika qui parlait d’un véritable changement à la dimension de celui du 1er Novembre 1954. Les militaires ont fait apparaître Bouteflika comme un menteur. La leçon à retenir est que Bouteflika n’a aucune prise sur l’administration qui s’avère être contrôlée par le DRS. Ould kablia est fidèle à Bouteflika mais il obéit aux ordres du DRS qui a réparti les quotas. En Algérie, c’est toujours le pouvoir réel qui a le dernier mot.
    Je ne dirais pas que les islamistes sont des perdants parce ces islamistes de Boujerra et de Menasra sont les islamistes du régime et ils sont prêts à n’importe quelle mission que leur confie le régime.

    2. Le deuxième perdant, et cela fait mal pour tous les démocrates, c’est le FFS qui est ramené par le DRS à la taille du PT. De mon point de vue, soit le FFS se retire de cette fausse Assemblée nationale soit il se discrédite complètement. Le FFS ne pouvait que perdre dans des élections où les conditions politiques ni en amont (l’offre électorale) ni en aval (le déroulement et les procédures) ne sont réunies pour un scrutin représentatif des vrais courants politiques de la société et de leurs poids respectifs. Il faut que le FFS se retire pour préserver son image car il va y avoir du nouveau. Le régime algérien est usé et l’Algérie a besoin d’un régime nouveau. C’est ce que pensent des militaires qui n’attendent que le soulèvement pour effacer le coup d’Etat de 1992.

    Lahouari Addi

  • Les pays étrangers unanimes sur le succès des élections législatives

    Après les pressions, les louanges !

    Les grands pays ont été unanimes à saluer le déroulement des élections législatives algériennes. Malgré les protestations de nombreux partis politiques et surtout de l’Alliance de l’Algérie verte, donnée grande favorite du scrutin, les capitales occidentales n’ont émis aucune réserve notable sur le déroulement du scrutin et sur son résultat, qui a pourtant surpris, y compris les vainqueurs eux‑mêmes. Elles ont préféré retenir l’essentiel. lire la suite:http://www.tsa-algerie.com/politique/apres-les-pressions-les-louanges_20724.html
  • Élire une Assemblée, pourquoi ?

    Par : Mustapha Hammouche

    Le RND s’est dit satisfait de sa relative défaite. Un peu comme s’il acceptait la règle du jeu : après sa razzia sur l’APN en 1997, le FLN n’en finit pas de lui rendre la monnaie de sa pièce (199 contre 47 sièges en 2002, 136 contre 61 en 2007 et 22 contre 68 aujourd’hui).
    Mais ce n’est pas la fin du monde ; le système a besoin du RND, dans la proportion à laquelle il le taille. Et les législatives sont faites pour cela : pour redimensionner les partis politiques en fonction du rôle qu’on veut leur confier. Nul ne peut prétendre ignorer ce statut d’accessoires dévolu aux partis politiques. Et si certains poussent des cris d’orfraie devant leur maigre récompense, c’est juste parce qu’ils veulent faire semblant d’ignorer la véritable utilité des partis politiques dans le fonctionnement du système algérien. À l’évidence, le FLN et le RND sont les seuls à assumer cette fonction. Il faut dire qu’ils ont solidairement le beau rôle de partis majoritaires et de pouvoir. Certains petits partis se mettent en réserve dans une posture d’opposition “constructive”, en attendant qu’on pense à eux pour de plus valorisantes positions.
    Il n’est donc pas crédible de se scandaliser de l’opacité ou de l’irrégularité d’une élection cette fois-ci, à laquelle on a participé en connaissance de la nature du système. La démocratie, ce serait quand on gagne et l’arbitraire quand on perd.
    Il faut peut-être rappeler à ce qui nous tient lieu de classe politique que leur participation même est un acte de défiance à l’égard de l’électorat dont ces “leaders” déçus revendiquent les voix : les Algériens n’ont pas voté, sinon pour 35,24%. Car des 42,90 % votants, il faudrait retrancher les 1 668 507 d’électeurs qui sont allés glisser un bulletin nul ou blanc pour s’éviter les représailles bureaucratiques, soit 7,66%. Ce qui donne une abstention réelle de 64,76%. Ceci, en donnant crédit aux chiffres officiels !
    Mais qui représente alors les deux tiers d’électeurs qui se sont abstenus ? Sûrement pas les candidats qui se sont présentés, et leurs partis, qui, dans ce divorce entre le système et la majorité silencieuse, vraiment majoritaire pour le cas, ont pris le parti du système ?
    Et pour vider le vote de son sens, s’il en avait encore un, Belkhadem nous annonce — histoire de rassurer ses amis du RND — que  “la constitution du futur gouvernement est du ressort du seul Président et elle n’est pas tributaire d’une majorité ou d’une minorité parlementaire”. Il appelle cela le régime présidentiel. Aberration juridique, puisque dans le régime présidentiel, il y a une stricte séparation de l’Exécutif et du législatif et le Parlement peut bloquer la décision du Président quand elle n’est pas conforme aux vues de la majorité. Notre régime n’est pas parlementaire non plus, justement parce qu’en pareil cas, le gouvernement est nécessairement issu de la majorité.
    Nous sommes tout simplement sous régime autocratique. Et s’il y a une institution paradoxale, c’est bien le Parlement. Et l’électeur, en plus d’avoir compris la nature du système, a compris la vanité de la mise en scène législative.

  • no moment

    VDilem du 14 Mai 2012

  • L’intersyndicale reprend la protestation

     

    Sit-in devant le ministère de la Santé

     

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    L’Intersyndicale de la santé publique a maintenu son appel à un rassemblement, aujourd’hui, devant le ministère de la Santé. Quatre syndicats du secteur ont adhéré à cet appel. Les sympathisants et adhérents du SNPSSP, du Snapsy, du SNPSP et du SNPP attendent une réponse du ministère de la Santé qui a fermé toutes les portes du dialogue avec ses partenaires sociaux.

     

    En plus de la politique de la fuite en avant qu’il prône depuis le début du mouvement de protestation, le ministre est en pleine campagne de désinformation», accusent les syndicats. Djamel Ould Abbès multiplie les sorties médiatiques, avec des déclarations commentant les revendications des syndicats du secteur. Les réduisant à une quête purement  matérielle, le ministre de la Santé a coupé court à toute lueur d’espoir quant à l’aboutissement des réclamations des syndicats du secteur qui concernent, en priorité, l’ouverture du dossier de la révision des statuts particuliers régissant les différentes catégories des travailleurs, sachant que l’actuel statut, «conçu par la tutelle sans consultation des partenaires sociaux», entrave l’évolution des praticiens dans leur carrière et maintient la confusion concernant le statut des établissements de santé publique, créant des lacunes dans la prise en charge du malade.

    Ce point est largement développé par les différents syndicats qui sont montés au créneau à maintes reprises, cherchant toujours une réponse auprès de la tutelle qui, elle, campe sur sa position. «C’est le statu quo depuis l’installation du ministre», constate le président du SNPSSP. Bien que des réunions de conciliation aient été tenues suite aux différents mouvements de protestation, rien n’a été fait depuis l’installation du ministre à la tête de ce département. Il avait pourtant promis, en 2010, l’ouverture du dossier de l’amendement du statut, comme cela a été fait par le ministère de l’Education nationale. Les syndicats des professionnels de la santé se disent également «outrés» par les propos rapportés par les médias concernant les menaces du ministre de divulguer «les salaires des praticiens et les augmentations qu’ils ont perçues».

    M. Ould Abbès déroute le débat. «Il ne s’est jamais agi d’un problème d’argent. Nous exigeons la concrétisation des accords concernant le statut des praticiens, les mesures incitatives pour le service civil et l’application de la carte sanitaire, brouillée aujourd’hui avec le détournement des établissements de santé publique de leur vocation réelle», explique le docteur Yousfi. L’Intersyndicale réclame aussi le respect des libertés syndicales «aujourd’hui bafouées». Outre les ponctions sur les salaires des grévistes et l’interdiction d’accès au ministère, les syndicats du secteur doivent également faire face à l’attitude de M. Ould Abbès qui a clairement déclaré qu’il ne les reconnaît plus comme partenaires sociaux. A souligner que les spécialistes sont en grève ouverte depuis le 29 avril dernier.
    Le secteur de la santé traverse également une crise sans précédent de rupture de stocks de médicaments et de difficulté dans la prise en charge des malades. «Le pourrissement à un stade avancé», commente un syndicaliste.

     

    Fatima Arab
  • grève snpsp 2012

     

  • Ould Abbès rencontre les syndicats du secteur de la santé : « Je vous accompagne pour l’obtention de vos droits »

     

    El Watan

     

         

     

     

    Ould Abbès rencontre les syndicats du secteur de la santé : « Je vous accompagne pour l’obtention de vos droits »

     

    Un gouvernement, qui n’a pas d’oreille pour écouter, n’a pas de tête pour gouverner », cette sentence émane de Djamel Ould Abbès, ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière.

    Ce dernier a rencontré, hier, tous les syndicats du secteur et leur a fait part de sa volonté de privilégier la voie du dialogue et de la concertation en vue de trouver, ensemble, des réponses « concrètes », « réalistes » et « pertinentes » à même d’œuvrer à la réhabilitation de l’ensemble des personnels du secteur de la santé. Face aux dix-sept syndicats, toutes spécialités confondues, activant dans le secteur de la santé, M. Ould Abbès s’est engagé à prendre en charge toutes les revendications légitimes du corps médical.

     

    Une crise et des turbulences

     

    Il a reconnu ouvertement que le secteur vit une crise grave et connaît depuis plus de trente ans des turbulences : « Ma mission consiste, entre autres, à écouter et résoudre vos problèmes. Ma carrière politique est derrière moi, donc je n’ai pas d’autre objectif, à part celui de gérer un secteur qui est ma famille d’origine. » Peiné de voir les médecins revendiquer vainement leurs droits, M. Ould Abbès a promis de renforcer la dignité des praticiens et de l’ensemble des personnels du secteur : « Je ne veux plus voir les blouses blanches manifester dans la rue.

     

    La préservation de la dignité des patients doit rester au cœur de nos préoccupations communes. Le respect du patient et du praticien vont de pair et la dignité du praticien et celle du patient vont également de pair. »Pour gagner la sympathie du partenaire social, M. Ould Abbès joue toutes ses cartes : « En tant que ministre de la Santé, membre d’une équipe gouvernementale, je me dois d’être à vos côtés, de vous soutenir et de vous accompagner pour l’obtention de vos droits légitimes dans le cadre bien compris des lois fondamentales qui régissent notre pays, sachant que seul le Coran est immuable. »

     

    Le nouveau ministre est donc prêt à révolutionner le secteur de la santé. Il promet monts et merveilles et compte réaliser ce que ses prédécesseurs – « ô combien ils étaient nombreux » – n’ont pas pu faire. M. Ould Abbès va réviser la loi sanitaire, il promet la refondation de la doctrine de prévention médico-sanitaire, l’élaboration de la nouvelle carte sanitaire nationale, la détermination des besoins de formation des praticiens médicaux spécialisés de santé publique, les besoins en personnels paramédicaux ainsi que le développement, l’organisation et la normalisation des services de réanimation médicale au niveau national et également une politique nationale du médicament, qui passe par l’encouragement et le soutien à la production locale, afin de réduire la dépendance vis-à-vis de l’étranger. Les partenaires sociaux seront associés à part entière, selon le représentant du gouvernement, à toutes les questions en rapport avec le système national de santé et son développement futur.

     

    « J’instaure le dialogue. De mon côté, il n’y aura aucun diktat et de votre côté, il n’y aura ni chantage ni imposition. Nous allons, ensemble, trouver des solutions à tous les problèmes », a lancé M. Ould Abbès à l’adresse des syndicats. Le ministre revendique un respect mutuel et veut surtout rétablir la confiance entre son département et le corps médical dans son ensemble.

     

    Par ailleurs, le ministre a annoncé le rétablissement de la prestation de serment au cours d’une cérémonie solennelle pour mieux souligner la noblesse de la mission de chaque lauréat. Il parle aussi de l’humanisation des hôpitaux. De l’avis du ministre, une enveloppe colossale a été débloquée par le gouvernement pour le secteur de la santé : « Nous avons les moyens matériels et techniques.

     

    Il nous appartient seulement d’exploiter judicieusement le gisement de productivité disponible pour proposer des soins adéquats et de niveau appréciable. Nos malades doivent être pris en charge et traités en Algérie. » Notons que la réunion d’hier était un contact inaugural, qui sera suivi d’une série de rencontres restreintes avec les représentants de chaque corps spécifique. Ces rencontres débuteront dimanche. Au menu également, une réunion avec les professionnels du médicament, tous secteurs confondus, public et privé.

     

    Par Nabila Amir

  • http://www.algerie360.com

    Ils ont envahi le siège de la daira de Bir El Djir pour réclamer leurs salaires,Les encadreurs des bureaux de vote ont eu gain de cause

    Ils étaient plus d’une centaine à manifester hier, devant le centre culturel de Bir El Djir, dénonçant le retard enregistré dans leur payement. Il s’agit des éléments recrutés par les services

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:39 | Pas de commentaires

     

    Alors que le MPA est pressenti pour intégrer le gouvernement,Le RND garderait le Premier ministère et le FLN la présidence de l’APN

    C’est dans la tradition politique de la quasi-totalité des pays : après chaque élection nationale, le gouvernement en exercice présente sa démission. Libre ensuite, à celui qui a la prérogative

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:32 | Pas de commentaires

     

    Législatives du 10 mai 2012: Ali Fawzi Rebaine dénonce une fraude généralisée

    Bien qu’il s’est dit ne «pas être en colère», le président du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebaine, fulminait hier contre les résultats des législatives du 10 mai dernier, lors d’une conférence

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:30 | Pas de commentaires

     

    Ouyahia, Belkhadem, Babès, Sellal… Spéculations sur le futur Premier ministre

    Que va faire le pouvoir de la «victoire» du FLN qui, avec l’appoint du RND, dispose d’une majorité absolue au parlement rendant inutile «l’alliance présidentielle» étendue aux islamistes du

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:25 | Pas de commentaires

     

    Les islamistes affirment ne pas reconnaître les résultats du scrutin : «Nous attendrons les décisions du Conseil constitutionnel»

    Aucun des partis islamistes qui ont participé aux élections législatives ne veut reconnaître les résultats données par le ministère  l’Intérieur, et, tous disent attendre les décisions du Conseil

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:25 | Pas de commentaires

     

    Les contestations des résultats des législatives continuent,Il n’y a pas que les islamistes qui râlent

    Les résultats des élections législatives du 10 mai dernier qui ont consacré la prédominance au FLN avec 220 sur 462, dont 145 réservés aux femmes, continue, après les islamistes, de susciter l’ire

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:20 | Pas de commentaires

     

     

     

    Devant la non prise en charge de leurs revendications,Les adjoints d’éducation menacent de renouer avec la grève

    Rien n’est encore acquis pour les adjoints d’éducation, qui bien qu’ils aient opté pour le gel de la grève depuis une semaine, attendent toutefois les réponses de la tutelle sur le

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:13 | Pas de commentaires

     

    La nouvelle Assemblée sera installée, le 23 mai Des promesses et des doutes

    Les nouveaux élus s’engageront-ils à concrétiser les promesses faites aux citoyens et à les représenter au sein du Parlement auprès des instances supérieures ? A voir le taux d’absentéisme

    algérie | Dimanche 13 mai á 22:04 | Pas de commentaires

     

    Association Algéro-Pakistannaise pour une usine de Phosphate

    Un projet nouveau de transformation de phosphate pour la production d’engrais, d’une capacité annuelle de 35 millions de tonnes, »est en train d’être discuté avec des partenaires étrangers »,

    algérie | Dimanche 13 mai á 21:59 | Pas de commentaires

     

    Abdellah Djaballah menace de faire la révolution

    Abdellah Djaballah, le président du parti islamiste Front de la Justice et du Développement (FJD), créé récemment, a dénoncé dimanche le scrutin législatif du 10 mai en Algérie qui a mis les

    algérie | Dimanche 13 mai á 21:52 | Pas de commentaires

     

    CNISEL, Mohamed Seddiki : “Le rapport final sera connu dans 2 ou 3 jours”

    En attendant la validation et l’investiture des nouveaux locataires de l’hémicycle du boulevard Zirout Youcef et une plus grande visibilité des 145 parlementaires femmes, l’heure est à la décantation

    algérie | Dimanche 13 mai á 21:28 | Pas de commentaires

     

    Les états-Unis félicitent l’Algérie

    La Secrétaire d’Etat américaine, Mme Hillary Clinton, a exprimé samedi ses félicitations au peuple algérien pour les élections législatives, tout en souhaitant le renforcement des relations entre

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    Un projet nouveau de transformation de phosphate pour la production d’engrais, d’une capacité annuelle de 35 millions de tonnes, « est en train d’être discuté avec des partenaires étrangers

    algérie | Dimanche 13 mai á 21:22 | Pas de commentaires

     

    Flambées des prix des viandes rouges,La Fédération des consommateurs lance une campagne de boycott

    La tendance sur les prix des viandes rouge est toujours en hausse à travers les différents marchés. La Fédération algérienne des consommateurs(FAC) va lancer à la fin du mois courant une campagne

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    Ils organisent un Sit-In le 28 MAI,Les souscripteurs AADL reviennent à la charge

    Les premiers souscripteurs à la formule de l’Agence pour l’amélioration et le développement du logement (AADL) renouent encore une fois avec la contestation. Ils annoncent l’organisation

    algérie | Dimanche 13 mai á 20:16 | Pas de commentaires

     

    Au lendemain de la déclaration d’Ould Abbas,Les syndicats de la santé comptent manifester aujourd’hui à Alger

    Les déclarations du ministre de la Santé faites hier à un quotidien national arabophone ont soulevé la colère des professionnels de la santé. Ils sont aujourd’hui plus que déterminés à aller

    algérie | Dimanche 13 mai á 20:13 | Pas de commentaires

     

    Chargés par Aqmi d’espionner les étrangers de l’Hotel Sheraton,Cinq terroristes arrêtés à Oran

    Cinq terroristes ont été arrêtés cette semaine à Oran par les services de sécurité, a-t-on appris de source sécuritaire. Les mis en cause, âgés entre 23 ans et 40 ans, ont été appréhendés

    algérie | Dimanche 13 mai á 20:11 | Pas de commentaires

     

    législatives 2012,Washington, Londres, Bruxelles et Moscou saluent la transparence du scrutin

    La secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton a exprimé, samedi, ses félicitations au peuple algérien pour les élections législatives, tout en souhaitant le renforcement des relations entre

    algérie | Dimanche 13 mai á 20:06 | Pas de commentaires

     

    Déçus,ils multiplient les contacts avec les autres partis,Les islamistes menacent de bouder l’APN

    Le raz-de-marée du FLN, qui a décroché 220 sièges à la prochaine Assemblée populaire nationale, est mis à l’index par des formations politiques. Des partis qui ont pour nom El-Adala de Adbellah

    algérie | Dimanche 13 mai á 20:03 | Pas de commentaires

     

     

    Les islamistes surpris par leur défaite aux élections en Algérie

    Les partis islamistes en Algérie n’ont pas réussi à ravir la direction

  • Une enquête du Snpsp dément les propos du ministre de la santé

     

    Pénurie de quatre vaccins dans la région centre

    Par : Malika Ben

    L’enquête révèle que quatre vaccins ne sont pas disponibles dans les structures de santé publique : HBV contre l’hépatite B, Tetra Hib contre le tétanos, la diphtérie, la coqueluche… DT enfants et DT adulte qui sont des rappels contre le tétanos et la diphtérie.

    La pénurie de médicaments, y compris ceux destinés aux malades du cancer, est au centre de la polémique depuis de longs mois déjà. Syndicats, associations et professionnels de la santé n’ont pas cessé de tirer la sonnette d’alarme, alors que de son côté le ministère de tutelle a minimisé la situation et s’est même trouvé un bouc émissaire, à savoir certains distributeurs qui ont d’ailleurs été sanctionnés.
    La pénurie n’a pas épargné les vaccins destinés à la prévention des enfants de certaines maladies. En fait, habitués à faire vacciner leurs enfants dès l’âge de trois mois au niveau des polycliniques de leur quartier, les mamans ont été à maintes fois refoulées de ces centres de proximité pour indisponibilité de vaccins.
    Le comble est que ces mêmes vaccins sont disponibles et en quantité suffisante au niveau des cliniques privées. Le seul hic est que la prestation gratuite au secteur public est facturée à 2 000 dinars chez le privé ! Une enquête menée par le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) vient confirmer si besoin est cette pénurie tant dénoncée d’un côté et démentie de l’autre. Selon l’enquête réalisée par les bureaux de wilaya du SNPSP au niveau de la région centre du pays, la pénurie des vaccins est bel et bien récurrente. Les principales structures de santé publique à même de fournir la prestation de vaccination des enfants, à savoir les PMI, les salles de soins, les unités de dépistage scolaire et de médecine du travail, font face à cette pénurie, soulignent les résultats de l’enquête du SNPSP.
    Au chapitre des vaccins non disponibles dans les wilayas du Centre, le document du SNPSP cite quatre  différents vaccins destinés aux nouveau-nés et aux enfants, jusqu’à l’âge de 18 ans pour les immuniser de nombreuses maladies parfois mortelles. Le principal est le vaccin contre l’hépatite virale de type B (HBV) qui doit être administré au nouveau-né à trois reprises : à la naissance, au premier mois et au cinquième mois. De même pour le Tetra Hib qui immunise contre le tétanos, la diphtérie, la coqueluche et l’hémophilus influenzé B.
    Le calendrier vaccinal national recommande une dose à 3 mois, 4 mois, 5 mois et 18 mois. Autres vaccins dont la pénurie a été également avancée par les représentants du SNPSP, le DT enfants et le DT adultes. Administré à l’âge de six ans, c'est-à-dire à la première année de sa scolarisation, le DT enfant est en fait un rappel du vaccin contre la diphtérie et le tétanos.
    Quant au DT adulte, c’est également un rappel du vaccin contre la diphtérie et le tétanos entre l’âge de 11 et 13 ans puis 16 et 18 ans, et enfin tous  les dix ans. “Ce vaccin peut être également utilisé chez la femme enceinte à partir du cinquième mois pour lutter contre le tétanos néonatal du nouveau-né.” Il y a quelques semaines, le ministre de la Santé a démenti la pénurie en soulignant qu’il y a peut-être une tension au niveau d’un centre ou deux mais on ne peut parler selon lui de pénurie, mais de mauvaise distribution et organisation. Ne voulant pas prendre de risques, les parents préfèrent mettre la main à la poche et payer les frais de la vaccination chez le privé.


    M B

  • tous les partis contestent la fraude massive du FLN ET RND

     

    Législatives : Mohand Said conteste la victoire du FLN

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    Lors d’une conférence de presse qu’il a organisé aujourd’hui, dimanche, au siège son parti à Alger, le président Parti de la Liberté et de la Justice a fortement contesté les résultats du dernier scrutin, et particulièrement «la victoire» du FLN.

    Mohand Said dont le parti ne sera pas représenté dans la nouvelle formation parlementaire  met en doute le faite que le FLN a  réussi à rafler  220 sièges en dépit de  la crise qu’il traverse actuellement.  «Le FLN est divisé au moins en trois courants. Il est inadmissible qu’il puisse avoir un tel résultat dans de pareilles conditions », estime Mohand Said devant un parterre de journalistes.  «Une situation qui contraste étrangement avec le discours de son secrétaire général si sûr de lui-même au point de promettre en pleine campagne, une surprise», ajout-t-il plus loin.

    Le PLJ attire l’attention sur le taux élevé des bulletins nuls qui augmente de plus de 80% par rapport à 2007 (il passe de 961000 à 1668000). « Il s’agit d’un message fort adressé par une partie des électeurs au pouvoir et aux partis politiques », estime le président du parti.

    Pour Mohand Said  alors qu’ils s’attendaient à avoir un meilleur avenir, les citoyens ont été déçus par les résultats du scrutin et se sont plus éloignés de la vie politique. «Je crains qu’il y ait des répliques sur l’avenir du pays », dit-il.

    Le président du PLJ refuse par ailleurs de qualifier d'echec le fait que son parti n'ait obtenu aucun siège lors des législatives du 10 mai.

    «Nous n’avons pas échoué. Nous nous sommes présentés aux législatives mais surtout pour la construction du parti" a-t-il argumenté.

    « La division des sièges de cette façon nous a emmené à réfléchir sur la possibilité de quitter la scène politique », reconnaît Mohand Said en faisant allusion de la "victoire" du FLN. Et de préciser que «toutes les alternatives sont possibles, parmi lesquelles se retirer de la scène politique où se regrouper avec d’autres formations politiques ».

    La porte-parole du Parti des Travailleurs, Louiza Hanoune, avait appelé samedi les partis à constituer en front commun. Le bureau national du PLJ est convoqué pour une réunion extraordinaire jeudi prochain afin d’étudier l’intérêt de poursuivre ou non l’activité politique partisane dans l’état des données actuelles.

    Le PLJ, affirme son président, était certain d’avoir des sièges notamment dans les wilayas de M’sila, Sétif et El Oued.  Interrogé sur le nombre exact de siège qui aurait été enlevé à son parti, Mohand Said répond « nous sommes entrain d’étudier les PV pour le savoir ».
     

    Mina Adel
  • Le chef de la mission d’observation de l’UE en...

    «Il y a un souci de transparence…»

     

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	Le chef de la mission d’observation de l’UE en Algérie, José Ignacio Salafranca (à gauche).

    zoom | © Souhil. B. 

     

    Le refus des autorités de communiquer à la mission les données relatives au fichier électoral demandées ne correspond pas à la volonté affichée de transparence.

    Nous regrettons cette situation. Le fichier électoral est un élément important de toute mission d’observation. C’est pour cela que nous avons demandé l’accès à ce fichier», a déclaré, hier à l’hôtel Sofitel d’Alger, l’Espagnol José Ignacio Salafranca, président de la mission d’observation électorale de l’Union européenne (UE) venue pour les législatives du 10 mai. Il a rappelé que certains partis avaient exprimé des inquiétudes par rapport à l’opacité de ce fichier classé «donnée sécuritaire», d’après le prétexte avancé par Daho Ould Kablia, ministre de l’Intérieur.

    «Dans le mémorandum signé avec les autorités algériennes, nous avons demandé l’accès au fichier électoral. Nous avons respecté la décision du ministère de l’Intérieur de ne pas le communiquer, mais il y a un souci de transparence. Le but de notre présence ici n’est pas d’interférer ou d’exiger (…). Nous ne sommes pas ici pour donner des leçons. Nous sommes venus pour présenter une évaluation impartiale des élections, du cadre juridique, du rôle de l’administration et des médias. Notre mission ne consiste pas à interférer dans le processus électoral. Nous ne sommes pas des arbitres», a-t-il dit, rappelant que la demande d’accès au ficher électoral est permise dans tous les pays où l’observation électorale se fait.

    La mission de l’UE a remarqué que les listes électorales ont été élaborées et révisées dans les communes sans qu’une consolidation nationale ne soit prévue par la loi. «Les copies des fichiers délivrées par l’administration, sous la forme d’un fichier communal sous un format électronique non imprimable et non copiable, ne sont pas exploitables et ne permettent pas un contrôle effectif de la fiabilité du dit fichier. Ceci affecte la confiance de certains partis et des organisations de la société civile», est-il observé.

    La mission a estimé qu’une plus grande transparence serait assurée lorsque l’accès systématique à toutes les étapes du processus de compilation et de consolidation des résultats sera assuré aux représentants des candidats et des partis. «Même si la loi ne le prévoit pas, il était souhaitable d’autoriser la présence des partis dans les commissions électorales de wilaya. Cette demande nous a été accordée. Nous avons demandé la publication des procès-verbaux consolidés par bureau de vote pour dissiper les inquiétudes au niveau national. Nous pensons que c’est une demande légitime, fondée sur notre méthodologie. La transparence est le but que nous voulions transmettre», a soutenu José Ignacio Salafranca. «La mission souhaite la publication de l’ensemble des résultats par commune et par bureau de vote lors de la proclamation des résultats par le Conseil constitutionnel et par le ministre de l’Intérieur. Cela renforcerait la transparence et donc la crédibilité des élections», a-t-il ajouté.

    «L’établissement de nombreux partis, à trois mois du scrutin, n’a pas permis à la population de se familiariser pleinement avec leurs programmes et objectifs», a souligné la mission. Après la révision de la loi sur les partis en décembre 2011, le ministère de l’Intérieur a agréé une vingtaine de partis à la chaîne. Depuis son arrivée au pouvoir en 1999, le président Abdelaziz Bouteflika avait bloqué l’agrément de nouveaux partis sans aucune explication.

    «nos observateurs toujours présents sur le terrain»

    Que pense la mission de l’UE des réserves de la Commission nationale de surveillance des élections (commission Seddiki) qui a dénoncé l’annonce des résultats du scrutin alors que les opérations de dépouillement des bulletins se poursuivaient toujours ? «Le ministre de l’Intérieur a annoncé des résultats préliminaires. Seul le Conseil constitutionnel a le droit de proclamer les résultats définitifs, selon la législation algérienne. En ce moment précis, il y a encore du travail qui se poursuit au niveau des commissions électorales de wilaya. Nos observateurs y sont toujours présents», a répondu José Ignacio Salafranca. La vérification et l’addition des procès-verbaux après dépouillement au niveau national permettront, selon lui, de savoir si les résultats du scrutin du 10 mai ont été manipulés ou non.

    José Ignacio Salafranca a regretté la non-accréditation d’observateurs nationaux représentant de la société civile aux élections. «Bien que la société civile soit active sur les réseaux sociaux, la mission constate qu’elle n’est pas en mesure de jouer un rôle significatif (observation, sensibilisation des électeurs) dans le processus électoral», est-il souligné.

    La mission européenne d’observation considère les législatives du 10 mai comme «un premier pas du processus de réformes». «Un processus qui devra aboutir, après la révision de la Constitution, à la consolidation et à l’approfondissement de la démocratie et des droits de l’homme, en accord avec les légitimes aspirations du peuple algérien (…). Il faut se féliciter du fait que les élections se sont déroulées de façon pacifique. L’organisation a été généralement efficace grâce à la bonne préparation technique et logistique et grâce à l’expérience des fonctionnaires», a déclaré José Ignacio Salafranca. Il a qualifié de «grand progrès» la présence plus importante de femmes dans la future APN (141 sur 462 députés, soit 31,4%).

    L’ambassadeur de Turquie à Alger s’est interrogé, lors de la séance de questions-réponses, sur le fait que l’administration n’ait rien communiqué de la clôture des bureaux de vote jusqu’à l’annonce des résultats par le ministre de l’Intérieur.

     

    Fayçal Métaoui
  • Washington pense que "les choses se sont bien déroulées et calmement"

     

    Rafik Tadjer, TSA, 11 mai 2012

     

    Les États-Unis ont réagi avec prudence, ce vendredi 11 mai, au déroulement des élections législatives algériennes. « Nous avons encadré une équipe d'observateurs envoyés par le NDI [NDLR : National Democratic Institute] pour être au cœur des élections algériennes. Comme vous le savez, le NDI couvre les pré-élections pour ensuite publier un rapport, et ils nous fera aussi part du déroulement des élections », a déclaré la porte-parole du département d'État, Victoria Nuland, lors d’un point de presse.

    Mme Nuland, qui répondait à une question d’un journaliste, a ajouté : « à ma connaissance, nous n'avons encore aucun résultat rendu public mais nous pensons que les choses se sont bien déroulées et calmement, etc. Néanmoins, nous attendons toujours le rapport final », a-t-elle ajouté.

  • Les explications, les maladresses et les lapsus de Dahou Ould-Kablia



    Hamid Guemache, TSA, 11 mai 2012

    « En 1991, c’était un vote sanction. En 2012, c’est un vote refuge ». C’est en ces termes que le ministre de l’Intérieur Dahou Ould Kablia a expliqué la victoire écrasante du FLN aux élections législatives lors de l’annonce vendredi des résultats officiels des législatives du 10 mai. L’ex-parti unique a remporté 220 sièges sur 462, loin devant le RND (68 sièges) et l’Alliance de l’Algérie verte (48 sièges). En décembre 1991, le FLN avait été battu par l’ex-FIS lors du premier tour des législatives qui ont ensuite été annulées.
    En annonçant les résultats, Ould Kablia a minimisé les incidents enregistrés durant le scrutin. « Le scrutin s’est déroulé dans le calme et la transparence. Les incidents enregistrés ne peuvent pas entacher la crédibilité de l’élection », a-t-il dit. Le ministre de l’Intérieur a quasiment ignoré la majorité des Algériens, près de 58 %, qui n’ont pas voté. Il a estimé que le taux de participation de 42,36 % était « acceptable » et ressemblait à ceux enregistrés dans les pays développés. « Les Algériens sont habitués au boycott des élections », a-t-il expliqué, avant de reprocher aux Algériens résidant à l’étranger d’avoir fait baisser le taux de participation. « La faiblesse de la participation de nos compatriotes à l’étranger a fait baisser le taux de participation », a-t-il fait remarquer. En Algérie, le taux de participation a dépassé 44 %. M. Ould Kablia a démenti l’incendie d’urnes à Biskra. « Trois ou quatre urnes ont été fracassées par des jeunes, mais leurs contenus n’ont pas été touchés ».

    Le ministre de l’Intérieur a estimé que le MSP était responsable de ses propos au sujet des cas de fraude. « Il y a des instances de recours », a-t-il dit. M. Ould Kablia a également contredit Ahmed Ouyahia qui a brandi la menace de l’intervention étrangère en cas d’échec de ce scrutin. « Je ne crois pas à la menace étrangère. Personne ne peut dicter sa politique à l’Algérie ». Pour les électeurs dont les noms n’étaient pas inscrits sur les listes électorales, le ministre de l’Intérieur a dit que c’était de leur faute. « Celui qui n’a pas voté depuis trente ans ne peut pas nous reprocher cela », a-t-il dit en faisant allusion au FFS dont une candidate n’a pas voté à Alger. Son nom ne figurait pas sur la liste électorale.

    Interrogé sur la différence de participation entre le nord et le sud du pays, M. Ould Kablia a donné une réponse surprenante : « les gens du Sud sont plus patriotes, plus libres. Les gens du Nord ont peut-être profité de la journée pour sortir. Le vote n’est pas obligatoire en Algérie ». Sur le vote des militaires, le ministre de l’Intérieur a commis un autre lapsus : « on ne peut pas faire injonction aux militaires pour voter. Si c’était une élection présidentielle, peut-être ! ».

    M. Ould Kablia est revenu sur la demande refusée aux observateurs européens d’accéder au fichier électoral. « On ne leur a jamais refusé l’accès au fichier électoral. Les observateurs voulaient qu’on leur remette ce fichier sur un support, un CD ou une clé USB. Nous avons refusé de leur remettre le fichier. Aucun pays au monde ne peut le faire ». Le ministre de l’Intérieur a annoncé que 6 ou 7 partis seraient agréés après les législatives.

  • Algérie-Législatives : La CNSEL s’étonne de l’annonce des résultats avant la fin des dépouillements

       


    Yazid Ferhat, Maghreb Emergent, 12 Mai 2012

    Les résultats des élections législatives du 10 mai, annoncés hier par le ministre de l’Intérieur, suscitent les appréhensions de la Commission nationale de surveillance des élections (CNSEL). Celle-ci affirme que les résultats ont été proclamés alors que de nombreuses wilayas n’avaient pas accompli l’opération de dépouillement, et fait état de nombreuses irrégularités.

    La Commission nationale de surveillance des élections (CNSEL) remet en cause les résultats officiels, communiqués hier par le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Daho Ould Kablia. Dans un communiqué rendu public, hier après-midi, les membres de la Commission se disent étonnés « que le ministre de l’Intérieur annonce les premiers résultats des élections, le vendredi 11 mai à 15 heures, au moment où de nombreuses commissions de wilaya, comme celles d’Alger, Oran, Mostaganem, Bejaia n’avaient pas encore terminé le dépouillement et la consignation des résultats dans des PV de dépouillement ». Près d’une heure avant la conférence de presse de M. Ould Kablia, les membres de la Commission étaient réunis, pour étude et évaluation préliminaire du déroulement du scrutin. L’annonce des résultats par le ministre de l’Intérieur a suscité « des interrogations sur la transparence et l’honnêteté de ces élections », estiment les rédacteurs du communiqué signé par le Président de la Commission, Mohamed Seddiki. Entre autres dépassements évoqués, le CNSEL fait état également « l’interdiction faite aux présidents des Commissions communales de surveillance et aux superviseurs des partis politiques d’entrer dans les bureaux de vote », ainsi que la « non délivrance des PV de dépouillement aux représentants légaux des partis dans la majorité des communes ». La CNSEL a également noté « l’important phénomène de vote par procuration » dans différentes régions du pays. La Commission de M. Seddiki a même relevé des « atteintes à l’intégrité physique et des insultés proférés à l’encontre de candidats, notamment à Mostaganem et Tizi Ouzou, dont certains sont hospitalisés », ajoute le communiqué. « Un rapport d’évaluation sera remis aux parties concernées et porté à l’attention de l’opinion publique », promet la CNSEL.

  • no moment

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  • Élections législatives : le quitus de l’Union européenne

    Les observateurs se sont montrés prudents quant aux accusations de fraude

    Par : Mohamed Mouloudj

    “Nous saluons l’organisation d’un scrutin ordonné qui s’est généralement déroulé dans le calme depuis l’ouverture jusqu’au dépouillement”. C’est ce qu’ont déclaré, hier, les membres de la mission d’observation électorale de l’Union européenne lors d’une conférence de presse.
    “Le nouveau cadre électoral a introduit des éléments de transparence par rapport aux scrutins précédents, notamment à travers les nouveaux mécanismes de contrôle que sont les commissions de surveillance et de supervision des élections”, ont encore souligné les conférenciers.  Pour M. José Ignacio Salafranca, chef de la mission, les accusations formulées par la Commission nationale de surveillance des élections (Cnsel) et la Coalition de l’Algérie verte, ne peuvent constituer un élément qui pourrait influencer le cours de l’opération de vote. La Cnsel a accusé le ministère de l’Intérieur d’avoir rendu publics les résultats avant l’achèvement des dépouillements dans plusieurs wilayas, comme Bouira et Oran. La coalition islamiste a accusé “de grande manipulation des résultats”.  M. Salafranca a estimé, sans grande conviction, qu’il est tout à fait normal que le ministère rende publics ces résultats, car “seul le Conseil constitutionnel détient le pouvoir de validation des résultats”. “Il y a des mesures additionnelles de transparence qui pourraient être prises afin de renforcer la confiance dans le processus”, a-t-il ajouté. À titre d’exemple, il a cité l’accès systématique des partis politiques au fichier électoral national. Concernant le fichier électoral que la mission européenne avait exigé “dans le souci de transparence”, M. Salafranca a regretté “de ne pas pouvoir pu accéder au fichier”, en estimant que “ce fichier est essentiel dans toute opération transparente”. À rappeler que le ministère de l’Intérieur a refusé l’accès aux observateurs européens au fichier national électoral sous prétexte que le fichier “comprend des informations secrètes et personnelles des électeurs dont le nombre est de 21 millions”.    
    “Le scrutin législatif de mai 2012  marque la première étape d’un cycle électoral important”, a encore indiqué le conférencier, ajoutant que “les réformes électorales ont apporté un certain progrès en matière de transparence et d’établissement de mécanismes de contrôle”. Le chef de la mission s’est félicité, par ailleurs, de l’élection d’une centaine de femmes à l’hémicycle, précisant que “les réformes mériteraient d’être approfondies”.

  • La faute

     

    Par : Mustapha Hammouche

    Le FLN aurait tort de pavoiser après ce score de “Russie Unie”. Il vient révéler combien le pouvoir veut continuer à pousser le pays dans la voie exactement inverse à celle que recommande la perspective historique conçue par ses fondateurs.
    À l’issue du vote, Ould-Abbès, en plastronnant naïvement du fait que “le FLN a cinquante-huit ans, ne l’oublions pas”, rappelle que l’histoire politique de l’Algérie indépendante est l’histoire d’un détournement clanique par la violence d’une révolution populaire et que l’appropriation autoritaire du sigle est la principale expression de ce coup de force permanent.
    Belkhadem, qui semble plus conscient des menaces que charrie ce dangereux résultat, a tout de suite appelé à l’alliance la plus large, histoire de partager l’inquiétude que doit paradoxalement susciter chez lui la rafle outrancière de sièges parlementaires. Après avoir longtemps revendiqué la mise en adéquation de la fonction de Premier ministre avec le rapport de force parlementaire, le chef du FLN est aujourd’hui prêt à agréer la reconduite de Ouyahia à la tête du gouvernement. “La constitution du futur gouvernement est du ressort du seul président de la République et elle n’est pas tributaire d’une majorité ou d’une minorité parlementaire”, atteste-t-il. Cette victoire, c’est un peu la victoire qui tourne à la mise à nu et qui en fait la future cible du mécontentement populaire, parfois silencieux, mais jamais rentré, depuis bien longtemps.
    Le pouvoir, ou peut-être le système, en choisissant de fonctionner avec le soutien de quelque 20% des Algériens en âge d’élire et d’être élus, creuse sa propre trappe. On ne peut concilier la crédibilité d’une victoire à 40% quand “des militants” chargés de surveiller le vote pour le compte du parti gagné avoue être là “parce qu’ils vont être payés”.
    La corruption des voix et de l’encadrement du scrutin vient couronner la corruption économique consistant à fermer les yeux sur l’activité informelle, la prodigalité de crédits, la distribution de privilèges. La fracture systémique entre l’Algérie de l’économie rentière et ses ramifications informelles et l’Algérie de l’économie laborieuse repoussée à la périphérie de la vie politique est illustrée par ce paysage parlementaire.
    Cette appropriation sectaire du pouvoir, de ses fonctions symboliques comme l’APN qui, comme chacun le sait, n’est pourtant pas une source de pouvoir, et ses points de distribution de rente n’est pas l’aboutissement de la fraude électorale d’un jour. En l’espèce, l’APN formée jeudi dernier est le résultat d’une décennie de normalisation par l’argent et par la répression, par la marginalisation administrative, l’exclusion des voix dissonantes et de monopole autoritaire de la parole. Même s’il n’y a pas d’illusion à se faire sur la sincérité des chiffres officiels. Malgré le témoignage des superviseurs et des observateurs européens. Au demeurant, si l’observation internationale avait quelque vertu moralisante, on l’aurait constaté en Syrie ; les observateurs n’y voient même pas les morts !
    En croyant avoir rétabli l’ordre politique, le système vient peut-être de faire la faute de trop : il confirme de manière provocante son irrédentisme conservateur.
    Dangereusement.


    M. H.
    musthammouche@yahoo.fr

  • no moment

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  • no moment

    Dilem du 13 Mai 2012

  • “À la recherche du temps perdu”

    Par : Mustapha Hammouche

    Le pouvoir et les participants à l’élection d’aujourd’hui n’ont pas caché leur appréhension devant le fort taux d’abstention annoncé.
    Depuis le vote des lois dites de réformes par l’Assemblée sortante lors de sa session d’automne, le régime maintient, malgré toutes les objections quant à leur contenu rétrograde, que celles-ci vont contribuer à l’approfondissement de la démocratie. Le procédé est conforme à la technique du martèlement communicationnel qu’il emploie pour imposer sa propre représentation de son action. La réconciliation nationale, le troisième mandat et d’autres actes d’autorité avaient ainsi bénéficié de ce procédé de tirs de barrage contre toute critique du fait accompli invariablement présenté comme fait de progrès. Il sera, cependant, plus difficile, dans le cas d’une opération électorale, de manipuler à l’outrance le taux de participation quand celui-ci reste à un niveau plancher, comme pressenti.
    L’intervention de dernière minute du président de la République, survenue après la clôture de la période réglementaire de campagne, et après ses successives interventions vouées à la promotion d’une élection enfin “transparente”, confirme l’inquiétude du régime de voir l’électorat lui renvoyer le message de discrédit que renfermerait une abstention massive.
    Avant-hier, à Sétif, Bouteflika semblait prendre acte des limites de l’argumentaire démocratique quand il émane de son régime.
    Les trésors d’assurance quant à la sincérité de l’intention réformiste et à la régularité du scrutin n’ont pas eu d’effet mobilisateur au cours de la campagne électorale. Il décide alors de recourir à la virtualité d’une rupture générationnelle qui serait à même de passer “le témoin” aux jeunes, sa génération ayant “fait son temps”. Malheureusement, outre que la promesse n’est pas illustrée par le choix qui s’offre aux électeurs en cette occasion électorale, l’exercice de ses prérogatives de nomination n’a pas exprimé une réelle volonté d’intégration de la jeunesse dans la vie publique. Même lorsque de plus jeunes cadres accèdent à des responsabilités, ils sont préalablement soumis à la condition de formatage clanique.
    Pour certaines fonctions gouvernementales, diplomatiques et militaires, leurs détenteurs ont dépassé les délais de retraite depuis de longues années. Mais, surtout, leur durée est due à la seule conception patrimoniale des fonctions de l’État. Celle-ci fonctionne, dans le système, comme un blocage quand il s’agit d’envisager l’arrivée au pouvoir — ou même parmi le pouvoir — de compétences ou de forces dont on n’a pas vérifié l’appartenance à la culture politique du sérail.
    Il est regrettable, au demeurant, qu’une nouvelle génération de dirigeants ne se conçoive que comme successeur par nécessité d’une autre génération parvenue à l’âge de la retraite.
    Depuis cinquante ans, l’impératif d’alternance et d’intégration de nouvelles générations a été méprisé au motif de la légitimité révolutionnaire. Des générations de potentiels ont été sacrifiées sur l’autel de l’ostracisme clanique hérité des guerres de pouvoir de l’avant et de l’après-Indépendance. Ayant fait l’impasse sur la jeunesse de l’Indépendance et sur celle de 1988, on se retrouve contraint de chercher une passerelle entre les jeunes de 1954… et ceux de 2014 ! Est-ce encore possible ?

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    Dilem du 12 Mai 2012

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  • Le réseau euro-méditerranéen des droits de l'homme très critique envers les autorités algériennes

     

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    A l’issue des élections législatives, « présentées comme une preuve du processus d’ouverture démocratique,  les libertés d’association, de rassemblement et d’expression n’ont pas été au rendez-vous» relève le  réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH), dans un communiqué rendu public, ce vendredi 11 mai. 

     

     « Les élections législatives qui se sont déroulées hier, 10 mai 2012, ont été présentées comme la preuve d’un ‘processus d’ouverture démocratique’ ».  Le rapport fait référence dans son communiqué « à la période précédant les élections marquée par des atteintes graves et systématiques à la liberté de rassemblement, d’association et d’expression en Algérie.

    Kamel Jendoubi, président du REMDH note que : « ces atteintes répétées aux libertés des Algériens ne font que contredire les annonces des autorités faisant état de ‘réformes politiques’ et d’‘ouverture démocratique’ ».

    Le réseau déplore  les arrestations des jeunes travailleurs recrutés dans le cadre du pré emploi lors de leur rassemblement le 7 mai dernier , le cambriolage de  la maison de syndicats autonomes au lendemain de l’annonce de la création d’une confédération syndicale - la Confédération nationale autonome des travailleurs algériens (CNATA)- …»

    En faisant référence aux dernières élections législatives, le REMDH rappelle que «  l’exercice des libertés d'association, de rassemblement et d'expression est un élément fondamental à la tenue d’élections libres et transparentes dans un contexte pacifique ».

    L’organisation appelle les autorités algériennes à : Garantir les libertés des citoyens algériens de se rassembler et manifester pacifiquement à Alger et dans les autres régions du pays, se conformer aux dispositions du Pacte International pour les droits civils et politiques (PIDCP), en particulier promouvoir la liberté d’expression et d’association , garantir les libertés syndicales, en permettant entre autres l’enregistrement légal de nouveaux syndicats.

    « En dépit des ‘réformes politiques’ annoncées par les autorités algériennes, les nouvelles lois adoptées en janvier 2012 marquent une régression notable en matière des libertés fondamentales et ce en violation flagrante des engagements internationaux pris par l’Algérie, notamment des dispositions du Pacte international relatif aux droits civils et politiques des Nations unies (PIDCP » fait-on remarquer dans le  communiqué.

    En outre , le REMDH demande à l’UE par le biais  de sa  mission d’observation électorale en Algérie de « réagir publiquement et fermement à la dégradation de la situation des droits humains en Algérie et d’appeler les autorités à cesser les entraves à l’exercice des libertés de rassemblement, d'association et d’expression, qui constituent une violation des engagements internationaux pris par l’Algérie ».

     

    Hamida Mechaï

     

    voir aussi
    Le communiqué du REMDH

     

     
  • Carnaval fi dechra : en direct El Watan

     

    Algérie : Législatives 2012
     
    jeudi 10 mai 2012
    10h20
     
    elwatan:

    Bouira : Des dizaines de jeunes, chauffés à blanc ont pris d’assaut ce matin,vers 8h15 les deux centres de vote sis au chef lieu de la commune de Saharidj, sis à 50km à l’est de la wilaya de Bouira, apprend-on de sources locales.
    Selon les mêmes sources, toutes les urnes des deux centres implantés au niveau des deux écoles Khaber Mohamed et la nouvelle école primaire ont été incendiés.
    Les manifestants ont également, ajoutent nos sources, barricadés tous les chemins de la ville à l’aide des pneus enflammés et autres troncs d’arbres. Un renfort impressionnant des forces antiémeutes est dépêché sur place.

    10h35
     
    Commentaire de la part de gaxpery

    Bonjour. Pouvez fournir les taux de participations ?

     lire la suite :http://lequotidienalgerie.org/2012/05/10/carnaval-fi-dechra-en-direct-el-watan/