Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

LES PRATICIENS DE SANTE', DONNEZ VOTRE AVIS. - Page 35

  • Algérie-France : entre histoire et politique

     

    Par : Mustapha Hammouche

    Le candidat à sa succession à la tête de l’UMP avait inventé l’incident où un enfant musulman aurait empêché un camarade d’école de manger son pain au chocolat en invoquant le Ramadhan. Bien avant le geste obscène de l’ancien ministre français de la Défense, Gérard Longuet, Christian Estrosi avait lancé une “vive l’Algérie française” qui aurait fait pâlir de jalousie n’importe quel survivant parmi les anciens de l’OAS.
    Il a certainement fallu que Jean-François Copé aille chercher loin dans les potins de cours de récréation, puisque les deux derniers Ramadhan se sont passés en pleines vacances scolaires. Mais c’est le propre des apôtres de la haine : pour les avoir subis et continuer à les subir, nous savons que la “pensée” fascisante ne recule pas devant la mystification la plus grossière : chez nous, l’on a fait croire que l’armée seule tuait et que Dieu a inscrit son nom sur le ciel du stade olympique où le FIS tenait un meeting. Et il s’est trouvé des masses qui, par commodité ou par lâcheté, ont repris à leur compte ces incongruités.
    C’est donc cela la droite “décomplexée” ! Une droite qui ne s’embarrasse pas de manier le tisonnier pour entretenir le feu de la haine d’extrême droite espérant ainsi en tirer les marrons électoraux.
    Depuis les premiers signes de crise sociale, cette raison sommaire recourt “sans complexe” à l’amalgame, comme celui qui fait des Français et des immigrés d’origine musulmane une catégorie qui est “naturellement” vouée à la violence. En plus de menacer leur emploi, ils mettent en péril la sécurité des Français “de souche”.
    C’est dans ce contexte où le racisme “ne se cache plus”, comme dit une vieille formule publicitaire vantant une marque de chaussettes, que François Hollande émet le communiqué par lequel la France reconnaît le massacre du 17 Octobre 1961. À droite, on cultive la mémoire à la carte : on se souviendra longtemps qu’au soir de l’élection d’un président socialiste, des drapeaux “pas français” dépassaient de la foule en fête, place de la Bastille.
    De ce côté-ci, des voix qui ne veulent pas rater l’occasion d’exhiber leur patriotisme “radical”, on demande plus : la repentance de l’État français de tous les crimes coloniaux commis en Algérie. Ça ne mange pas de pain et on se lave de ce soupçon compromettant d’être possiblement “pro-Français” qui pèse sur tout Algérien qui s’exprime. On remarquera que la quête de vérité n’inspire pas la même ferveur que la quête de repentance. Vérité en deçà de la Méditerranée, erreur au-delà.
    Et vice-versa. De l’autre côté, la France trouve qu’elle s’est trop repentie : de la collaboration, de l’esclavage… L’amalgame aidant, on va demander pardon à ceux qu’on accable de son haut niveau de chômage et d’insécurité. En ces temps d’extrême, où l’opportunisme a partout pris le dessus sur l’intelligence, l’Histoire, on le voit, est otage de la politique. Et, paradoxalement, la coopération.

  • no moment

    Dilem du 04 Novembre 2012

  • Plaidoyer pour une densification de l’espion au mètre carré diplomatique !

     

    Par Hakim Laâlam  
    Email : hlaalam@gmail.com
    Arrivée aujourd’hui à Alger du ministre français Arnaud
    Montebourg. Nous surveillerons très attentivement…

    … son bras !

    Je lis un brin amusé que le consulat américain à Benghazi attaqué le 11 septembre dernier était en fait un «véritable nid d’espions US». Et alors ? Qu’est-il attendu de cette révélation stupéfiaaaaaaante ? Que l’on excusât l’assassinat en son sein de l’ambassadeur et de trois agents consulaires américains par des hordes intégristes ? Tiens donc ! Et depuis quand les consulats et ambassades ne sont pas des nids d’espions à la solde de leurs pays ? J’espère que les ambassades et consulats de mon pays à travers le monde sont de vrais nids d’espions, sinon j’aurais quelques inquiétudes supplémentaires sur l’état de notre diplomatie ! En vérité, nous donnons parfois – souvent même — certaines informations sans en mesurer l’impact réel. Reprendre une dépêche sur la nature de la composante d’un consulat, relayer une info vraie ou supposée sur la présence dans une représentation diplomatique étrangère de barbouzes en nombre, c’est fatalement donner un alibi à l’ignoble, absoudre une boucherie effroyable et cautionner l’assaut des barbus et de leurs troupes armés contre ce consulat à Benghazi. C’est l’islamisme que l’on aide en se faisant le porte-voix de ces révélations. Car en écho à leur publication sur grands tirages, il faut juste tendre un peu l’oreille pour entendre ceci : «Ah bon ! Un nid d’espions ! Eh bien, si c’est comme ça, l’ambassadeur et ses acolytes n’ont eu que ce qu’ils méritaient !» Désolé, mais une ambassade est le lieu quasi naturel d’évolution d’un espion ! Et c’est le fait que pendant longtemps, nos ambassades ont été désertées par les gens du renseignement et emplies par ceux du «trabendo» et du change au noir qui explique notre déconnexion du reste du monde, notre isolement, et notre stupéfaction de découvrir affolés, sur le tard, des trucs et des machins que le renseignement est censé nous apprendre à temps, avant les autres. Je plaide, pour ma part, pour une féroce densification de l’espion au mètre carré diplomatique dans nos ambassades. Je le revendique même ! Ça nous aurait peut-être évité de découvrir trop tard que c’étaient des djihadistes maliens d’Al Qaïda qui avaient sonné à la porte du consulat algérien à Gao, et pas le livreur de pizzas ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
    H. L.

  • Sandy n'est pas passé par Tlemcen et Souk-Ahras...


    Par Maamar Farah
    Dans des reportages diffusés sur différentes chaînes de télévision, nous avons vu comment les Américains de New York vivent l'après-ouragan Sandy : pannes d'électricité et de gaz, pas de chauffage, magasins fermés, transports paralysés. Mais il est une pénurie qui nous a particulièrement interpellés, c'est celle de l'essence.
    Les stations sont prises d'assaut et les queues s'étendent sur des centaines de mètres... Un chauffeur de taxi, à bout de nerfs, hurle qu'il est là depuis six heures du matin ! Ça se voit qu'il ne vit ni à Tlemcen, ni à Souk-Ahras, là où les pénuries de carburant durent depuis une année et plus ! Pourtant, aucun ouragan n'a frappé ces deux wilayas. Minute... Attendez, on me parle à l'oreillette : oui, c'est ça ! Je m'en doutais : le typhon «Destruktor» est passé par là...
    maamarfarah20@yahoo.fr
    «Il n'y a que deux sortes de chauffeurs de taxi : ceux qui puent le tabac, et ceux qui vous empêchent de fumer.»
    (Pierre Desproges)

  • Le bras d’honneur de trop

    c'est le peuple qui vous fera le bras d'honneur mr hollande

    honnetement je pense que le gouvernement saura agir mais nous le peuple si nous faisons ce geste fort croyez moi que la classe politique française le vivra très mal !
    Les dirigeants français ont l'habitude de venir en Afrique et voir des gens en tenues folkloriques danser et les acclamer NOUS Algériens allons marquer une rupture avec ça ! Il faut TOURNER LE DOS au président français durant sa parade en signe de mépris
    Faites circulez cette information sur Facebook et autres réseaux sociaux pour que dans 1 mois la France soit humiliée à Alger

    madmax

    Comme François Hollande ne dit rien de ce geste eh bien à nous de répondre !
    Lorsqu'il paradera dans les rues d'Alger tournons lui le dos !
    Que tous les algeriens lui tourne le dos
    Nous avons 1 mois pour organiser cette action symbolique via les réseaux sociaux pour informer la population

    madmax

    source:libetre dz

  • Hillary Clinton veut rallier l’Algérie à une possible opération militaire au Mali


    http://algerienetwork.com/algerie/wp-content/uploads/2012/10/hillary_bouteflika.jpg

    La secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, a rencontré, ce lundi 29 octobre à Alger, le président Abdelaziz Bouteflika. Suite à son entretien, elle a déclaré avoir eu « une discussion approfondie » sur le Sahel, et en particulier le Mali, dont le nord est occupé par des groupes islamistes. Les Etats-Unis cherchent à obtenir le soutien de l’Algérie à une éventuelle intervention militaire au Mali. Alger n’exclut plus ce principe mais il est peu probable que l’Algérie participe directement à une opération armée. Lors de son voyage de quelques heures à Alger, Hillary Clinton a rencontré son homologue Mourad Medelci, puis le président Bouteflika, avec qui elle a déjeuné. Officiellement, il s’agissait de consolider le partenariat économique et sécuritaire et d’échanger sur les grands sujets de l’actualité régionale et internationale. C’est finalement le nord du Mali qui a été au cœur des entretiens. L’indispensable feu vert de l’Algérie L’un des principaux objectifs de ce voyage de la secrétaire d’Etat américaine était effectivement de convaincre l’Algérie de soutenir une éventuelle intervention militaire internationale dans le nord du Mali. Même si les Américains sont, eux-mêmes, réticents à ouvrir un nouveau front militaire et quand bien même ils souhaiteraient régler la situation par la négociation, l’idée d’une intervention militaire africaine fait son chemin. Mais pour cela, le soutien de l’Algérie est « incontournable », disent les experts. L’Algérie, en effet, est une puissance militaire majeure de la sous-région ; elle dispose d’une expertise en matière de renseignement et de contre-terrorisme – elle a combattu pendant dix ans le Groupe islamique armé (GIA), dont Aqmi est une émanation – et elle partage, avec son voisin malien, près de 1 400 km de frontière. Si elle ne ferme pas sa frontière sud, la lutte, au nord du Mali, risque d’être vaine. Aujourd’hui, selon de nombreux experts, le ravitaillement des groupes armés se fait essentiellement via l’Algérie. Par ailleurs, l’Algérie doit également donner l’autorisation de survol de son territoire et ses aéroports – notamment celui de Tamanrasset – sont précieux car ils pourraient être sollicités. Ce sont là autant d’arguments qui pourraient expliquer cette visite de la secrétaire d’Etat américaine – même si rien n’a vraiment filtré des entretiens – et qui ont, sans doute, fait dire à un responsable du département d’Etat, à bord de l’avion de Mme Clinton, que « l’Algérie étant l’Etat le plus puissant du Sahel, elle est devenue un partenaire crucial » et que « l’Algérie doit être au centre de la solution à la crise malienne », a-t-il insisté. Une participation militaire algérienne peu probable L’Algérie est hostile par principe à toute présence étrangère – surtout occidentale – dans cette région du Sahel. Elle craint également que le nord du Mali ne devienne un bourbier qui aurait, immanquablement, des répercussions sur son territoire, ou encore que l’opération ne tourne à l’enlisement. Le premier risque, notamment, c’est qu’une fois boutés hors des villes de Gao, Tombouctou et Kidal, les groupes armés se replient sur le sud algérien d’où ils viennent, pour la plupart. Et puis, vivent en Algérie des populations berbères et des Touaregs (50 000) qu’il faut également ménager. Le chef touareg algérien, Mahmoud Guemama, député de Tamanrasset – région frontalière du nord malien – a estimé, ce lundi 29 octobre, qu’une intervention étrangère dans la région causerait « beaucoup de problèmes aux Touaregs » et qu’Alger devait continuer à s’y opposer et « à privilégier le dialogue ». L’Algérie, certes, privilégie la négociation et la solution politique. Nous savons, via une médiation discrète, qu’Alger entretient des contacts avec Ansar Dine et avec son chef, Iyad ag Ghali. Mais l’Algérie reconnaît aussi qu’il y a des gens avec lesquels on ne peut pas discuter – les « terroristes » – et qu’il faut donc utiliser la force contre eux. De fait, l’Algérie dit « oui » à la lutte contre le terrorisme mais n’aime pas parler d’intervention militaire. Elle serait – dit-on – plutôt favorable à des frappes précises menées par les Américains plutôt qu’une intervention massive de troupes de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). France et Etats-Unis « main dans la main » Pourquoi les Etats-Unis s’impliquent-ils, aujourd’hui, sur ce dossier, à travers cette visite d’Hillary Clinton ? Lors de l’Assemblée générale de l’ONU, à New York, fin septembre, la secrétaire d’Etat américaine avait dit au président français, François Hollande : « Le Mali, c’est vous ! », autrement dit : « On vous laisse gérer ce dossier et on vous suivra. » Alors, aujourd’hui, les Américains agissent-ils, d’une certaine manière, pour le compte des Français, afin de tenter d’amadouer les Algériens ? C’est une question qui se pose. En tout cas, ce qui est certain c’est que cette visite à Alger d’Hillary Clinton s’est faite en coopération et même en coordination avec la France. « On est conscient qu’il faut aider la France et on travaille main dans la main avec elle », confiait à RFI, cet après-midi, un diplomate américain. Nous savons que les Etats-Unis sont peut-être mieux placés pour faire pression sur l’Algérie. Sur le dossier malien, les Américains ont une ligne assez prudente qui ne déplaît pas à Alger. Par ailleurs, il existe une étroite collaboration militaire et sécuritaire entre les deux pays et puis, bien sûr, il n’y a pas le passif lié à la colonisation comme celui qui existe entre la France et l’Algérie. Echéances électorales et onusiennes Ce déplacement d’Hillary Clinton peut aussi s’expliquer par l’élection présidentielle américaine qui aura lieu dans quelques jours, le 6 novembre. Ce n’est pas un hasard si la secrétaire d’Etat américaine est apparue, aujourd’hui, aux côtés du président Bouteflika. Le Mali est devenu un sujet d’actualité américaine. Mitt Romney – adversaire républicain de Barack Obama – en a parlé lors du dernier débat présidentiel. Les deux hommes sont aujourd’hui au coude à coude dans les sondages et le président américain doit montrer que son gouvernement reste ferme en matière de lutte contre le terrorisme et montrer sa détermination. Certains évoquent aussi une autre raison : l’assassinat de l’ambassadeur américain, Christopher Stevens, en Libye, début septembre, qui a marqué les esprits. Pour beaucoup, il est lié avec ce qui se passe au Mali car, derrière cet assassinat, se trouve la main d’Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique). Autre échéance : celle des Nations unies. Le 12 octobre, l’ONU a demandé aux Africains de lui soumettre, avant le 26 novembre, un plan détaillé, en vue d’une intervention armée. Les Etats-Unis et la France sont disposés à fournir un appui logistique, mais il leur faut aussi multiplier les efforts pour arracher le soutien de l’Algérie.
    source

     

  • Un autre 1er novembre aux couleurs du régime, loin des aspirations démocratiques

     


    Zehira Houfani Berfas 
    In Le Quotidien d’Algérie
    Le 01 novembre 2012

     

    Il n’y a pas de meilleure école que la dictature pour pervertir le patriotisme

     

    N’est-ce pas que notre pays illustre parfaitement cette maxime puisqu’il est victime d’un désamour collectif dû à la mauvaise gouvernance de ses dirigeants successifs?

     

    Qu’est-il advenu de la terre de la « Révolution exemplaire », l’Algérie, depuis son indépendance? Du registre de la reconnaissance universelle pour sa « grandeur » et la bravoure de son peuple, à celui de l’indigence et de l’humiliation, le règne de M. Bouteflika a achevé le maigre filon d’espoir repêché de l’hécatombe de la décennie noire.

     

    Qui ne se souvient des premières déclarations du président Bouteflika, quand il annonçait devant la presse mondiale sa volonté de guérir l’Algérie et de la hisser à nouveau au sein des nations respectables. En l’écoutant, bien des Algériens, émergeant du chaos de la sale guerre, ont voulu croire à l’homme « providentiel » qui allait ressouder les liens brisés de la société algérienne, et mettre hors d’état de nuire ses détracteurs. Il disait alors, vouloir «restituer à l’Algérien la fierté d’être Algérien ». Ah, la fierté! Quel préjudice pour un peuple que de la perdre, surtout après l’avoir si chèrement payée comme ce fut le cas de notre peuple. La recouvrer, fut sa grande promesse de président à un peuple à blessé et à genoux! Une promesse hélas vite rompue, car dans les faits, l’homme « providentiel » n’était qu’un leurre et le peuple algérien comprend à ses dépens que son régime ne fera que prolonger le drame du pays, et poursuivre la mise en berne du peu qui restait des symboles de la fierté nationale.

     

    D’un mandat à l’autre, la mal-vie s’amplifie et la corruption aussi

     

    Durant les 2 premiers mandats sensés guérir la République, le régime a répandu à la grandeur du pays la pandémie de l’irresponsabilité et de la corruption, exilant ou décapitant, au passage, les plus brillants de nos esprits, au profit de la culture de la peur, de la médiocrité et de l’« aplat-ventrisme » si chers aux dictatures vieillissantes. Quant à l’image respectable de l’Algérie, il n’y a qu’au bal annuel des ministres que cette Algérie virtuelle fait surface, le temps d’une rencontre. Elle n’a rien à voir avec la jungle qu’est devenue l’Algérie, celle du « citoyen lambda », où le droit et la justice sont décrétés hors-la-loi. C’est le pays d’un peuple dépouillé et maltraité par ses gouvernants. Un peuple mal éduqué, mal logé et mal soigné, tandis que les responsables et leurs familles dilapident ses richesses et jouissent des bienfaits des systèmes de santé et d’éducation des pays développés.

     

    L’Algérie réelle ne figure pas dans les bilans complaisants et autres statistiques biaisées exhibés par les ministres, avec la double bénédiction d’une presse muselée ou complice et des « élus » grassement corrompus par le trésor public.

     

    Le seul bilan, qui reflète cette Algérie subie au quotidien fait état :

     

    - de la mal vie et du désarroi des gens,
    - de la faillite de nos services publics,
    - du désastre de notre économie et de notre environnement,
    - de la piètre qualité de nos universités, qui ne rivalisent même plus avec les pays pauvres d’Afrique,
    - du délabrement de notre système de santé,
    - de l’indigence de notre éducation,
    - de la fuite de nos richesses matérielles et humaines,
    - de nos enfants qui se jettent à la mer pour échapper à leur prison,
    - et pour couronner le tout, de la corruption généralisée par votre régime couvert indûment du plus fabuleux trésor que le pays n’ait jamais possédé.

     

    Voilà où en est l’Algérie qui débourse des fortunes pour être tournée en dérision par ses propres gouvernants. Sinon, comment peut-on si mal faire avec autant de richesses et ne jamais rendre des comptes?

     

    Des promesses qui finissent en mépris

     

    Après la terrible guerre fratricide, les discours du président et ses couffins bondés de promesses ont eu l’effet d’un baume sur le cœur, le temps d’un répit, pour des populations meurtries qui n’en espéraient pas moins de vous : la paix pour une Algérie enferrée à la violence, la justice pour un peuple tyrannisé, une vie décente pour les millions de victimes de la « hogra » érigée en norme nationale, et enfin, de l’espoir pour la jeunesse désespérée. Mais rien de tout cela ne sera au rendez-vous ni du 1er, ni du 2e et assurément pas du 3e mandat, que le président s’est octroyé contre tout bon sens, en violant la constitution, au lieu d’instaurer la première base d’une bonne gouvernance qui mette le pays sur la voie démocratique.

     

    Berné encore une fois, le peuple se retrouve inutile et ballotté entre d’une part, un pouvoir répressif, imbu de la puissance des pétrodollars, qui peut tout acheter, et d’autre part une élite plus souvent qu’autrement intéressée, complice et/ou indifférente, ainsi qu’une opposition pour le moins phagocytée. Le délabrement des valeurs est tel dans le pays que la classe dirigeante, chapeautée par M. Bouteflika, ne s’encombre plus de scrupules et verse ouvertement dans un rôle de prédateur des richesses nationales, qu’elle se partage copieusement avec un tout-venant de multinationales, et autres spéculateurs internationaux, bien au fait de sa corruption. Et bien sûr, seul le peuple algérien en fait les frais, dans le silence assourdissant de ses « élites ».

     

    De pareilles attitudes au plus haut niveau de l’État portent atteinte à la dignité de notre pays et dévalorisent le peuple aux yeux de ses partenaires. Comment, dès lors, prétendre à la défense des intérêts suprêmes de la nation? Impossible, notre réalité est là pour en témoigner. Qui peut comprendre qu’un pays comme l’Algérie manque de pomme de terre! C’est une insulte à notre mémoire et à notre histoire. Ce n’est pourtant qu’une des multiples aberrations que vivent les Algériens. N’importe qui ferait mieux avec un aussi fabuleux butin que celui de l’Algérie. Qui peut comprendre l’interdiction faite à un peuple de créer ses propres télévisions alors qu’il a accès à celles des autres, qu’importe le contenu? Qui peut comprendre qu’un pays comme l’Algérie devienne aussi dépendant de l’étranger puisqu’il est le plus gros importateur de produits alimentaires en Afrique?

     

    C’est bien plus que de la négligence, on n’est pas loin de la trahison, pourtant personne ne semble concerné pour s’insurger sérieusement, sans doute convaincu, que l’impunité est la marque du pouvoir, comme le montrent les nombreux scandales d’atteinte aux intérêts supérieurs de la nation. Bien que rapportés régulièrement par la presse, ils ne reçoivent jamais de traitement adéquat puisque les concernés sont visiblement au-dessus des lois. Quelles conséquences désastreuses sur le comportement collectif. Ne dit-on pas que le meilleur enseignement se communique par l’exemple. Et tout comme la corruption, on conclut aisément que le régime communique par les mauvais exemples.

     

    Dans la foulée des révoltes de janvier 2011 et la chute de Benali qui avait produit un séisme au sein de tous les régimes totalitaires de la région, les Algériens ont cru que leurs dirigeants prendraient conscience de leur désastreuse gouvernance et agiraient en conséquence. Ce n’était qu’un rêve, le régime n’a pas hésité à faire preuve de mépris en ignorant les revendications démocratiques, suivant sa propre feuille de route. Les réformes promises aux Algériens durant la période de trouble par un régime « paniquant » se sont révélées vides de sens, sans le moindre impact sur la vie sociale et politique du pays. Après la mascarade d’élections pour un parlement artificiel d’aucune utilité pour le pays et la création d’une flopée de nouveaux partis qui ajoutent à la confusion et aident à couvrir le régime, le peuple se retrouve encore une fois, dépouillé de ses droits, à la veille du 58e anniversaire de sa Révolution pour l’indépendance et l’état de droit.

     

    Le changement n’a de sens que dans la disparition du pouvoir actuel

     

    Aujourd’hui, tout un chacun sait que le changement politique en Algérie n’est plus qu’une question de temps. On se demande si sursaut il y aura jamais chez la classe politique. Alors que les Algériens s’interrogent angoissés où va leur pays et qu’un concert de voix s’accordent pour dire la gravité de la situation, le régime fidèle à lui-même, ne démord pas de sa fuite en avant, et semble tout à fait imperméable au désarroi des populations, des jeunes en particulier, qu’il se contente d’arroser de quelques miettes du butin des pétrodollars. Nous savons tous que l’histoire, c’est comme la vie, elle ne revient pas en arrière. Et notre crainte, en tant que peuple, est que cette histoire s’écrive, encore une fois, à notre insu. Au moment où l’impuissance se fait sentir, on se prend à rêver d’un sursaut patriotique collectif qui sauvera l’Algérie de ses détracteurs internes et externes. N’est-ce pas, la dernière chance pour les compatriotes qui ont à cœur les intérêts de la nation de mettre fin au système politique perverti qui a fait table rase des valeurs universelles et livré le pays au pillage et à l’anarchie, sous la gouverne de M. Bouteflika. Serions-nous capable, en tant que peuple, longtemps cadenassé par l’ignorance et la misère de nous affranchir enfin de la tutelle abusive des fossoyeurs de notre liberté. Nous sommes jeunes, riches et apte à écrire une nouvelle page de notre histoire, sans aucune mainmise de ceux, que l’âge, l’incompétence et l’usure du pouvoir, ont transformé en force de nuisance pour l’intérêt général. Si l’heure est grave, comme l’observent de nombreux experts, notamment à cause du contexte international, c’est aussi l’occasion pour nous Algériens de nous réapproprier nos espaces de liberté, notre histoire usurpée pour mieux affronter les défis qui se posent à notre pays, à commencer par sortir l’Algérie indemne et unie de ce régime. Qui réussira le pari de coordonner tous les appels au changement pacifique pour donner vie à la citoyenneté algérienne? Indice : Écriture d’un chapitre glorieux pour l’histoire des générations futures, en référence au chapitre du 1er novembre 1954, écrit par nos parents. L’épreuve commence ce 1er novembre 2012 et nul algérien-ne ne doit se sentir inutile, impuissant.

  • Facebook mission Guerre Mondiale Illuminati Nouvel Ordre mondial Bildelberg Club du Siecle

  • abdeka el mali surmon de guerre de boutef.

    “Réconciliation nationale” version malienne ?

    Par : Mustapha Hammouche

    La position de l’Algérie face à la virtualité d’une intervention militaire au Nord-Mali est trop subtile pour que nous puissions la comprendre. C’est pour cela que notre gouvernement ne prend pas la peine de nous l’expliquer. Ceux qui n’ont pas le privilège d’accéder “aux sources officielles qui ont requis l’anonymat” sont alors réduits à guetter les déclarations de Laurent Fabius et d’Hillary Clinton pour tenter de saisir la profondeur du point de vue national.
    Après avoir été opposé à cette intervention, notre pays s’est donc montré plus compréhensif. Il convient finalement d’une solution militaire aux conditions que soit préalablement tentée une solution politique, que son armée ne soit pas sollicitée pour opérer hors de nos frontières et que nulles troupes étrangères ne stationnent ou transitent par notre territoire.
    Mais à part cela, l’Algérie a participé, à Bamako, à une réunion autour des aspects stratégiques concernant l’intervention au Nord et à une réunion d’experts pour la définition de ses aspects opérationnels. Ce qui nous replonge en plein mystère.
    Malgré cela, et aux dires des analyses “sourcées” des confrères, Hillary Clinton se serait déplacée à Alger pour enregistrer notre position et pour nous dire qu’elle la comprend. Et tout en signalant l’utilité de notre expérience “unique” et le caractère déterminant de notre potentiel de lutte antiterroriste, elle serait repartie sans rien nous demander de spécial. Du coup, les pressions de moyenne puissance de la France perdraient de leur effet devant la compréhension de l’hyperpuissante Amérique. Il faudrait donc noter la réalisation diplomatique qui aboutit à redessiner, à notre avantage, le rapport de force international autour de l’idée d’intervention au Nord-Mali. N’est-ce pas ?
    Sauf que l’intervention a été décidée.
    La France l’a voulue, l’État malien, malgré son piteux état, l’a demandée, la Cédéao, malgré la faiblesse de ses moyens, s’y prépare et le Conseil de sécurité l’a avalisée. En en précisant les délais de préparation.
    Du point de vue international, “la solution politique” préconisée par l’Algérie est donc bien dépassée. Pour l’Europe et pour les États-Unis, le Nord-Mali est bien en phase de se transformer en base terroriste. Et s’il y avait moyen de “solution politique” avec Al-Qaïda, il l’aurait justement démontré. Douze des concessions unilatérales ne sont pas parvenues à nous soulager de la menace et de la nuisance des groupes islamistes. Seule l’efficacité coûteusement accumulée de nos forces de sécurité a permis de réduire progressivement la capacité de nuisance des groupes islamistes qui continuent à faire ce qu’ils peuvent en matière de crimes.
    Bien sûr, la question Azawad est une question politique. Qui appelle certainement “une solution politique”. Mais maintenant qu’Ansar Eddine est homologué pour s’exprimer dans la presse algérienne, voici ce qu’a déclaré son porte-parole qui vient de concéder une interview à un site algérien d’information : “Ceux qui veulent combattre Al-Qaïda doivent se tourner vers la religion et là, se demander s’ils doivent combattre Al-Qaïda, la religion.”
    Il paraît que pour la paix au Sahel, il serait incontournable de négocier avec ce partenaire. Comme “la réconciliation” avec les éléments du GSPC le fut pour la paix en Algérie.

  • Extension du domaine de la lutte

     

     

     

     

    Il y a quelques mois, un mur avait été érigé en travers d’une route près d’El Tarf, au bout du monde. Ce mur d’El Frine, du nom du village protestataire, avait constitué une première, et non pas uniquement pour cette technique inédite de coupage de route. En effet, les mécontents avaient manifesté, entre autres, contre la dégradation de l’environnement, particulièrement des lacs de la région. Après cette première protestation, une autre a eu lieu hier à Tigzirt pour l’accès aux soins. Cette autre première, une marche populaire pour revendiquer d’être mieux soignés et desservis en centres de santé, repose la question des évolutions asymétriques, où il se confirme que la population avance beaucoup plus vite que ses dirigeants.

    Pendant que les gouvernants s’attardent sur le passé en se gargarisant de luttes où ils n’étaient même pas présents, la population s’organise autour du futur, lançant de grands chantiers, comme la dépollution, l’accès à l’énergie, à internet, à l’information et à la santé, le désenclavement régional et le maillage routier. Ces nouveaux domaines de protestation marquent l’extension des territoires de la lutte, tout en révélant encore l’échec du modèle de développement. Là où députés et partis politiques sont exclus du débat pour absentéisme, ministres et walis transformés pour incompétence en standards téléphoniques accueillant demandes et revendications des citoyens, violentes ou pas.

    Avec sur un podium de marbre glacé, un président emmuré devant son miroir ENTV qui lui rappelle en permanence qu’il est le plus beau. Ceux qui ont marché à Tigzirt ne se sont pas trompés ; il n’y a aucun hôpital digne de ce nom, pas même à Alger. En 13 ans de règne, le président Bouteflika n’aura pas réussi à construire un grand hôpital, à l’accès libre et aux normes internationales. Ce qui prouve bien qu’il est malade. Mais pas bête. Il n’ira jamais se soigner à Tigzirt.

     

    Chawki Amari
  • Un ministère des Moudjahidine, pourquoi faire ?

    ministère moudjahidines

     

    Par | octobre 31, 2012 1:15

     

     

     

     


     

    Ce n’est pas une question anodine. En 2012, ils sont nombreux à se demander pourquoi dans leur pays, tout un ministère est dédié aux anciens combattants de la Révolution. 50 ans sont passés après l’Indépendance, et cette institution continue à exister.

     

    Les gouvernements changent, les ministres sautent, les Présidents de la République meurent, mais le ministère des Moudjahidine demeure toujours immuable. Mieux encore, il consomme des budgets immenses qui dépassent largement ceux des autres secteurs, pourtant névralgiques et important pour le développement du pays. Ainsi, au moment où les jeunes Algériens souffrent le martyr à cause du chômage et divers autres fléaux sociaux, l’Etat offre chaque année des milliards de dollars à ce département ministériel qui gère les «affaires du passé». Un simple décompte, basé sur les montants dévoilés par les successives lois de finances, nous apprend que les autorités ont accordé pas moins de 17 milliards de dollars entre 2005 et 2013 ! Ce budget est-t-il réellement justifié alors que l’on dénombre que 100.000 moudjahid affiliés à l’Organisation nationale des moudjahidine ?

     

    Pour de nombreux algériens, il s’agit d’un véritable gâchis surtout lorsqu’on sait que le pays souffrent de plusieurs déficiences dans des secteurs clés comme ceux de la Santé, de l’Enseignement Supérieur et l’Emploi. Il est à signaler qu’en 2011, la loi de finances a accordé à ce ministère un budget de 169, 614 694 milliards de dinars, soit près de 1,6 milliard d’euros. Ce budget est nettement supérieur aux budgets de plusieurs secteurs stratégiques à l’image de l’Agriculture, l’emploi, l’industrie, la Justice et les Transports ! Pour l’année 2013, la loi de Finances, qui a été récemment adoptée au Parlement, va offrir 221 050 281 000 DA, à savoir près de 2 milliards d’euros, à ce département ministériel. Ce budget dépasse largement celui de l’Aménagement du territoire, Tourisme et Artisanat, Postes et TIC, Habitat et urbanisme, Pêche, Culture, Communication, Travaux publics et Industrie et promotion des investissements !

     

    Mais à quoi servira tout cet argent ? D’abord à payer les pensions de tous les Moudjahidines, des pensions qui font presque deux fois le SNMG. Ensuite à couvrir les frais des multiples avantages dont jouissent les Moudjahidines. Des avantages qui ne cessent de se multiplier. Pour preuve, depuis le 15 mars dernier, les pouvoirs publics ont offert le  remboursement à 100 % des frais médicaux des moudjahidine et des ayants droits, sans aucune exception. On le voit bien, les Moudjahidine profitent bien des richesses nationales. On ne peut en dire autant pour les autres catégories de la population algérienne. Et cinquantenaire de l’Indépendance ou pas, rien n’indique que ce traitement de faveur accordé par l’Algérie aux Moudjahidines disparaitra un jour.  Tant pis alors pour cette jeunesse oubliée, délaissée, et abandonnée à son triste sort…

  • 1er Novembre

     

    Les faux Moudjahidine : ces fossoyeurs de l’Indépendance…

     

    Par | octobre 31, 2012 1:19

     

    moudjahidines

     

     


     

    Les joies de l’Indépendance n’ont pas étouffé ce scandale. Et de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer ces «faussaires de l’Histoire». Les faux Moudjahidine, ces personnes qui n’ont jamais contribué à la libération du pays mais qui bénéficient tout de même de tous les avantages inhérents à ce statut,  ont défrayé à maintes reprises la chronique. En 2008, un député du parti de l’opposition, le RCD, Nouredine Ait Hamouda, a jeté un véritable pavé dans la marre en annonçant que les faux Moudjahidine seraient au moins 20000.

     

    Tous ces faussaires touchent le plus normalement du monde des pensions qui font rêver les Algériens. Selon Nouredine Ait Hamouda, l’Etat est complice dans ce mensonge et cette manipulation car il entretiendrait savamment ce «clientélisme» pour s’assurer un soutien populaire. Nouredine Ait Hamouda, fils du colonel Amirouche, un véritable héros de la guerre d’Indépendance, est allé jusqu’à mettre en cause «le chiffre d’un million et demi de morts durant la guerre d’Indépendance». «Un chiffre qui n’est pas crédible», a accusé l’ex député de l’opposition lequel n’a pas manqué de s’attirer les foudres de la «famille révolutionnaire». Ces derniers ont même exigé sa déchéance du mandat parlementaire pour avoir diffamé des Moudjahidine. Mais la polémique ne s’est pas arrêtée car même le ministre des Moudjahidine, Chérif Abbas, a reconnu récemment que son département a suspendu pas moins de 12 000 dossiers de faux moudjahidines ! Un chiffre qui se rapproche de celui avancé par le député Nouredine Ait Hamouda.

     

    Mais ces statistiques sont loin de correspondre à la réalité. Preuve en est, le président de l’association des grands invalides de guerre de Libération nationale, Mohamed Bouhafsi estime, lui, à près de 85 000 les dossiers de demande de reconnaissance de la qualité de moudjahid qui sont bloqués depuis des années au niveau de la commission ministérielle du ministère des Moudjahidine ! Ce chiffre effarant ne surprend pas Benyoucef Mellouk. C’est par cet ancien chef de service du contentieux au ministère de la Justice que le scandale est arrivé en 1992.  En effet, Benyoucef Mellouk a dévoilé des preuves de l’existence de magistrats faussaires : 132 dossiers de magistrats faussaires et de faux Moudjahidine,  ainsi que 328 noms de personnes dont les dossiers avaient disparu. Mais depuis ces révélations, la vie Benyoucef Mellouk s’est transformée en cauchemar et lui et sa famille ont subi des pressions inqualifiables. Licencié, puis emprisonné, cet homme de 68 ans continue, aujourd’hui même, à subir des menaces et des intimidations. Sa volonté de mener jusqu’au bout son combat ne plait à certains décideurs qui tentent d’empêcher par tous les moyens que la lumière soit faite sur le dossier des «faux moudjahidine».

     

    Les poursuites judiciaires durent maintenant depuis 18 ans et opposent Benyoucef Mellouk à deux anciens ministres, à savoir Mohamed Djeghaba, ancien ministre des Moudjahidine, et Mohamed-Salah Mohamedi, ancien ministre de l’Intérieur. “Les historiques de la Révolution et les moudjahidine authentiques connaissent le dossier. Il faut qu’ils se prononcent tant qu’ils sont vivants”, avait récemment affirmé l’inépuisable sexagénaire qui ne baisse pas les bras, malgré toutes les intimidations, et espère toujours faire aboutir ce scandale

  • Demain Novembre, en sommes-nous dignes ?

     

     

     

    Demain sera le temps de la zerda,

     

    Les faux seront en première ligne.

     

    Ce sera à qui aura le bon morceau
    Le gros morceau bien saignant
    Faux révolutionnaires,
    Faux moudjahidine,
    Faux patriotes,
    Faux frères.
    Demain sera le bal des vampires
    Les martyrs ne reviendront plus
    Ni demain ni un autre jour
    Ils ont étaient mille fois assassinés
    Par les faux frères,
    Les faux patriotes,
    Les faux moudjahidine
    Les faux révolutionnaires
    Et notre lâcheté…
    Demain sera Novembre
    Le temps du bilan,
    Le temps de mesurer les ravages
    De notre démission,
    De nos multiples trahisons.
    Il ne suffisait pas de chasser le colon.
    Il fallait aussi barrer la route
    Aux détrousseurs de cadavres
    Embusqués au dernier rang.

    ————
    Hocine Mahdi

  • U.S. pushes Algeria to support military intervention in Mali

     

     

     

     

    29 octobre 2012

     

    By Anne Gearan,

     

    ALGIERS — The United States joined France in a diplomatic lobbying campaign Monday to win key Algerian support for an emergency military intervention in northern Mali, whereal-Qaeda-linked militants are waging a terror campaign that the Obama administration warns could threaten other nations.

    Secretary of State Hillary Rodham Clinton could not persuade Algeria’s longtime authoritarian leader to quickly back plans for an international military intervention that he fears would backfire.

    “I very much appreciate the president’s analysis, based on his long experience, as to the many complicated factors that have to be addressed to deal with the internal insecurity in Mali and the terrorist and drug-trafficking threat that is posed for the region and beyond,” Clinton said after a lengthy meeting with President Abdelaziz Bouteflika.

    Clinton said the United States and Algeria agreed to keep talking, along with potential sponsors of the antiterrorism force, including the United Nations.

    Clinton was seeking agreement from Bouteflika at the start of an unrelated diplomatic trip to the Balkans. French President Francois Hollande is expected to visit Algeria in December, with a goal of finalizing regional support for a military mission early next year.

    proposed international force to confront the militants is considered impossible without Algerian support. But Algeria has been reluctant to agree to the creation of such a coalition, whose troops could push extremists out of Mali and back across its own borders.

    “They’re beginning to warm to the idea, to talk through how it might work,” a State Department official said before the meetings.

    Algeria is the strongest country in the North African region known as the Sahel, with unmatched military and intelligence resources. Many of the Islamist militant groups in the region originated in Algeria, where secular government forces fought Islamic militias in a civil war in the 1990s.

    The spreading terrorism campaign and humanitarian crisis in Mali have drawn unusual attention in Washington over the past month. Republican presidential candidate Mitt Romney mentioned the Mali conflict at the start of last week’s foreign policy debate with President Obama, and several Cabinet officials are involved in planning for an African intervention force.

    Officials have linked a group called al-Qaeda in the Islamic Maghreb to the attack at the U.S. diplomatic mission in Benghazi, Libya, last month. AQIM’s leaders are based in northern Mali, where they seized territory following a military coup that shattered the government last spring.

    Many Western powers fear that the Sahara desert nation could become like Afghanistan before the 2001 terrorist attacks: a base for radical Islamist fighters to train, impose hard-line Islamic law and plot terrorist attacks in the region or beyond. The Islamists in Mali have access to a flood of weapons from bordering Libya.

    Defense Secretary Leon E. Panetta said last week that the Pentagon is working with allies on a plan to deal with al-Qaeda-linked militants in Mali and elsewhere in North Africa, with U.S. assistance likely to center on intelligence and logistical support.

  • chronique des années de cendres…

    Dossier spécial 1er novembre : 1954-2012,

    Par | octobre 31, 2012 1:55
    unseulhroslepeuple
     
     

    Tout a commencé cette nuit. Le destin de l’Algérie a pris une autre tournure lorsque des hommes, assoiffés de liberté, ont osé défier, un certain 1er novembre 1954, la toute puissante France coloniale.

    Au début personne ne les a pris au sérieux et la presse française s’est contentée, à l’époque, de les qualifier de hors-la-loi. Les forces armées du colonisateur croyaient pertinemment qu’elles allaient rapidement mater cette révolte pour en finir avec ce rêve fou d’une Algérie indépendante. Mais les fils de la Toussaint, forts de leur patriotisme inébranlable, ont fait preuve d’un courage et d’une détermination sans faille. De leur maquis, ils ont secoué l’histoire et les certitudes des colonisateurs. Et c’est ainsi que naît une Révolution. La Révolution Algérienne qui va libérer tout un peuple du joug colonial. Le combat de la liberté et de la dignité prend tout son sens en dépit d’une guerre meurtrière et sanguinaire qui durera de longues années.

    Aujourd’hui, en 2012, l’Algérie fête son cinquantenaire de l’Indépendance. 58 années se sont écoulées également depuis cette fameuse nuit du 1er novembre 1954. Quel héritage nous lègue dés lors ce chapitre glorieux de notre histoire nationale ? Quel est le rapport qu’entretiennent les Algériens, notamment les jeunes, avec cet évènement historique majeur et fondateur de l’identité algérienne ?  Pour répondre à ces questions, algérie-focus.com vous dresse la chronique de ces années de cendres…

    Dossier préparé par Abdou S.

  • boutef aussi sait le faire avec le sourire

    France : un ex-ministre de la défense fait un bras d’honneur à l’Algérie

     

     

    6a00e54fc9c75988340120a6b31bc6970b500wi.jpg

     

    In Algérie-Focus

     

    Par   | octobre 31, 2012

     

    Gérard Longuet, l’ancien ministre de la défense interrogé par la chaîne française Public Sénat sur la reconnaissance par la France des crimes coloniaux, n’a rien trouvé de mieux que de répondre par un bras d’honneur.

     

    Lors de sa présence dans une émission de la Chaîne Public Sénat, Gérard Longuet aurait fait ce dérapage : un bras d’honneur. Pourquoi ? Alors qu’il est sur le plateau, au moment du générique de l’émission, une dépêche AFP relayant la demande du ministre algérien des moudjahidine sur la reconnaissance par la France des crimes commis pendant la colonisation est tombée. La réaction de l’ancien ministre français à cette dépêche a été radicale.

     

    Gérard Longuet interrogé par une journaliste de BFM TV sur ce geste déplacé, l’homme politique a confirmé ce mercredi 31 octobre qu’il avait fait ce geste en réaction à la demande d’Alger sur cette reconnaissance.

     

    AB

  • “LETTRE OUVERTE A ÉRIC ZEMMOUR”

    Salim Laïbi : LA FAILLITE DU MONDE MODERNE – Extraits


    Via http://www.mecanopolis.org

    C’est avec un grand plaisir que nous publions en exclusivité sur Mecanopolis un deuxième extrait du livre de notre camarade, frère et ami Salim Laïbi : LA FAILLITE DU MONDE MODERNE.

    Ce livre, dont la sortie est initialement prévue pour le 6 novembre prochain, peut d’ores-et-déjà être commandé par nos lecteurs aux EDITIONS FIAT LUX.

    « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et n’aperçois- tu pas la poutre qui est dans ton œil ? Ou comment peux-tu dire à ton frère : Laisse-moi ôter une paille de ton œil, toi qui as une poutre dans le tien ? Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère. »

    Chapitre 7, versets 3 à 5, Évangile selon Saint Matthieu. CHAPITRE IX

    LETTRE OUVERTE A ÉRIC ZEMMOUR

    « Pardonner une offense et c’est la porte ouverte à toutes. » Publilius Syrus.

    Incontestablement et de toute évidence, l’islam est présenté depuis quelques années comme l’ennemi public numéro un. Utilisé à tout-va comme un écran de fumée pour camoufler toutes les trahisons commises au cours de décennies de décisions politiques irréfléchies et catastrophiques, qui nous ont conduits là où nous sommes aujourd’hui : plus de 3 millions de chômeurs à temps plein, plus de 10 millions de Français vivant sous le seuil de pauvreté et des caisses vides, un pays en faillite et endetté à hauteur de 2 500 milliards d’euros. C’est la stratégie du bouc émissaire qui a été imaginée et mise au point et qui servira à expier les fautes et les péchés des transgresseurs, moyennant un sacrifice, celui du minaret derrière lequel voudrait se cacher la forêt luxuriante des prévaricateurs plus que jamais avides, à la veille de leur chute. Plusieurs trublions médiatiques se sont attaqués à l’islam, pourtant vous ne trouverez aucun musulman à la tête de l’État (les seuls Maghrébins ayant eu accès à des postes ministériels cette décennie sont tous francs-maçons et se comptent sur les doigts d’une seule main), aucun bougnoule dans l’organigramme de HSBC, Goldman Sachs ou UBS. Aucun melon n’est impliqué dans la construction de l’UE et des choix ultralibéraux de ses élites. On ne trouve la signature d’aucun bicot au bas du mini traité de Lisbonne imposé contre l’avis même du peuple, dit souverain, car le Maghrébin est exclu de la vie politique occidentale.

    Dans la liste de ces agitateurs, on peut citer Caroline Fourest, Riposte laïque, Finkie le clown, H. Chalghoumi, Mohamed Sifaoui, Guy Millière, Frédéric Encel, Nadine Morano, le perfide P. Val, É. Lévy, Claude Guéant… et j’en passe. Éric Zemmour est le plus emblématique, car il concentre toutes les tares possibles dans un si petit corps.

    Dans l’émission de Canal plus Salut les Terriens, présentée par Thierry Ardisson le 6 mars 2010, Éric Zemmour faisait gratuitement19 la promotion de son dernier livre Mélancolie française. Il y a déclaré très calmement que les Français issus de l’immigration étaient plus contrôlés que les autres, parce que la plupart des trafiquants sont Noirs et Arabes… c’est un fait. En pleine forme, ce même 6 mars, il récidivera en affirmant sur la chaîne France Ô que les employeurs ont le droit de refuser des

    Arabes ou des Noirs. Il ira encore plus loin en citant L’islam dans les prisons, de Farhad Khosrokhavar, dont il écorchera le nom et qui confirmerait que 70 à 80 % des prisonniers seraient musulmans, selon une enquête commandée par le ministère de la Justice. Zemmour sera évidement soutenu par le laquais de la CIA Robert Ménard.

    La fiche wikipédia de notre génie français nous liste ses activités médiatiques. À l’instar de ses confrères, il est doué du don d’ubiquité : « Z & N », émission de débat sur Paris Première, le vendredi à 22 h 50. Ça se dispute, émission de débat le samedi à 11 h 36 sur I-Télé. Le Figaro Magazine, Zemmour y publie une chronique hebdomadaire. Le Forum de l’Histoire, sur la chaîne Histoire. Z comme Zemmour, chronique quotidienne dans la matinale de RTL. Le spectacle du monde, Éric Zemmour réalise une chronique de deux pages sur des thèmes d’actualité dans ce mensuel français qui traite de politique et de culture. Zemmour est partout en même temps ; il distille sa propagande à une très grande échelle malgré sa profonde médiocrité.

    É. Zemmour a été relaxé des poursuites pour diffamation raciale concernant les propos qu’il a tenus dans Salut les Terriens. Ses mots ont été jugés « choquants » mais pas « diffamatoires ». L’UMP surfera sur cette relaxe en l’invitant le 2 mars 2011. Il sera convié par Hervé Novelli et ovationné par les élus UMP présents à la convention nationale des réformateurs libéraux. On était en pleine période de débat sur l’identité nationale, burqa, minarets puis viande halal…

    Entrons dans le vif du sujet. Pour ma part, je suis entièrement d’accord pour reconnaître à Zemmour le droit de dire qu’en France, une grande majorité des prisonniers sont d’origine maghrébine. Je le sais, j’ai travaillé en milieu carcéral aux Baumettes de Marseille. Zemmour devrait néanmoins ajouter que ce pourcentage concerne les prisons proches des quartiers sensibles et que le pourcentage exact est de 50-80 % et non 70-80 %. Il faut aussi qu’il explique quelles sont les origines d’un tel déséquilibre, d’une telle anomalie statistique. Car la jeunesse française d’origine maghrébine est une fabrication franco-française ! La jeunesse maghrébine native n’a rien à voir avec les beurs des ghettos ; elle est constituée de surdiplômés, cultivés et emplissant les universités occidentales par suite d’une politique de fuite des cerveaux. Faut-il lui rappeler que les hôpitaux français fonctionnent grâce à un contingent de FFI (ou Faisant Fonction d’Interne) maghrébins sous payés et exploités ! Les stratégies urbaines de cantonnement et de ghettoïsation ont été délibérément choisies et appliquées par des Français natifs. Loin de moi la moindre velléité de pleurnichaillerie qui me dégoutte au plus haut point, mais les faits sont têtus et ils doivent être analysés tels qu’ils se présentent. Quand, en tant que chirurgien dentiste libéral, gagnant correctement ma vie, j’ai énormément de mal à trouver un logement, il faut commencer à se poser les bonnes questions. Qu’en sera-t-il alors d’un jeune de cité, paumé dans une banlieue sulfureuse, se débattant comme il peut à la recherche d’un emploi ou d’un logis ? Je ne veux même pas l’imaginer. Mais Zemmour n’en a cure.

    Je reste tout de même très attaché à la liberté d’expression de M. Zemmour, afin qu’il puisse nous expliquer ses théories et observations. La liberté de parole doit être préservée, elle est un signe de supériorité intellectuelle car lorsque l’on a raison, on ne craint pas la contradiction. Elle a certes des limites, celles du respect de la dignité d’autrui. On n’insulte pas les gens, on respecte leurs croyances. On peut débattre mais avec civilité, sagesse et bonne foi sans aucune volonté d’injure ou d’humiliation.

    Ce postulat étant posé, il faut que Zemmour accepte ce qui va suivre, c’est-à-dire un récapitulatif non exhaustif du banditisme juif, tel que nous le connaissons aujourd’hui. Je dirais même que, statistiquement, si on utilisait le Chi 2 par exemple, on pourrait trouver plus de corrélation entre le banditisme et le judaïsme qu’avec l’islam, étant donné la faible importance de la population juive en nombre. Limite que je ne franchirai pas car un bandit est juste une racaille de plus sur terre et ne peut être forcément juif. Je ne parle évidemment pas des talmudistes qui ont légiféré clairement pour légitimer la rapine des goyim tout juste bons à être volés, trompés, violés, et esclavagisés par l’usure. Ilme paraît donc juste d’énumérer quelques grandes figures, très grandes figures, du banditisme juif. Il n’est pas question ici de vols de scooters ou de sacs à main mais de crimes ô combien crapuleux et aux conséquences parfois planétaires. La liste qui suit se fera au gré de la mémorisation des crapules, les noms seront donnés ainsi que les chefs d’inculpations.

    Nous éviterons de parler de Judas, l’homme de sinistre mémoire – n’en déplaise à Botul – qui vendit son maître et prophète pour quelques vulgaires deniers. Nous éviterons de citer les courriers historiques comme ceux d’Ivan le Terrible répondant en des termes secs au roi polonais Sigismond- Auguste en 1550 interdisant aux juifs de rentrer et vivre dans son royaume20. Ce serait gênant et l’endroit ne s’y prête pas. Enfin, nous éviterons aussi de parler de la famille proche de Zemmour qui s’en chargea lui-même dans l’émission de Ruquier sur France 2. Famille de bandits et de mafieux qui ont terrorisé le XIe arrondissement de Paris. En 2002, un documentaire a été réalisé par Henri-Claude de la Casinière, sur les cinq frères Zemour, titré Z comme Zemour21 (seul un des cinq ne sera pas impliqué dans leur criminelle ascension). Un petit « M » différencie ces deux familles qui étaient pourtant liées par le sang. Nous éviterons donc de dire que ces assassins ont tué des dizaines de personnes lors de leurs règlements de comptes avec les Atlan (autre grande famille mafieuse parisienne juive avant l’arrivée des Zemour). Ils étaient impliqués dans la traite des blanches, proxénétisme, drogue, escroqueries, fraude aux assurances… Ça commence bien !

    Parlons plutôt de B. Madoff et de ses 60-80 milliards de dollars volés dans la plus grande pyramide de Ponzi de l’histoire. Citons les Stéphane Alzraa, Gilles Bénichou… amis du commissaire corrompu Michel Neyret. Escrocs de haut vol, les cousins Alzraa et Bénichou sont millionnaires et passés maîtres ès arnaque à la taxe carbone. Cette arnaque s’élève à plusieurs « milliards » d’euros appelée aussi Carrousel à la TVA. Ils s’essayent aussi à la contrebande de cigarettes. Ils rémunéreront grassement le commissaire contre une centaine de fiches de recherches d’Interpol. Ils font partie de la mafia juive lyonnaise comme l’a déclaré M. Neyret à son épouse Nicole. Samy Souied est un autre malfrat israélien impliqué dans ce caroussel de TVA et qui se fera assassiner dans les rues de Paris22. Dans la famille mafia juive on a également Manu Dahan, arrêté récemment en Espagne pour « tentative d’extorsion de fonds et séquestration ». Autrement vous avez le robin des bois de la famille, Gilbert Chikli, en fuite en Israël après avoir détourné 20 millions d’euros en ayant eu le culot de donner une interview sur France 2. Il a même tenté d’arnaquer l’Élysée !

    Une autre fraude à la TVA sera découverte à Rennes avec un préjudice pour le Trésor public de 20 millions d’euros. Le concept est le même, déclarer des ventes fictives pour récupérer une TVA sonnante et trébuchante. La fraude sera montée par des hauts fonctionnaires dans les locaux mêmes de la… GLNF ! Qui a parlé de complot maçonnique ? Le cerveau s’appelle Rubens Lévy23. Les millions d’euros disparaissent comme de vulgaires poules ! Mais en filigrane, la situation est très sérieuse puisqu’elle implique des services secrets étrangers, un assassinat, un enlèvement et torture ainsi que l’établissement de vrais-faux papiers de la part de nos hauts fonctionnaires illuminés : cartes de police, passeports simples et diplomatiques.

    On peut également citer la gigantesque arnaque des affaires Sentier I et II. Ce sont des arnaques aux assurances qui consistent à déclarer des sinistres qui n’ont jamais existé. Mais c’est aussi une filouterie qui consistait à envoyer des chèques en Israël afin de les encaisser sous un autre nom, du fait que c’est le seul pays au monde qui légalise la falsification de chèque. Des valises de chèquespasseront la frontière française grâce à des porteurs au-dessus de tout soupçon, des rabbins loubavitchs !

    Oui, il existe une pègre, une mafia24 que l’on appelle juive comme existent ses cousines chinoise, napolitaine ou albanaise. Prenons Meyer Lansky ou Benjamin « Bugsy » Siegelbaum (homme d’une violence inouïe, initiateur de la French Connection) ou son héritier Alvin Malnik. Mais également Arnold Rothstein, Lony Zwillman, Dutch Schultz… membres de la « Jewish Big Six » de la côte Est- américaine ! Mais les USA ont offert au monde une ribambelle d’autres criminels juifs comme Louis « Lepke » Buchalter, Jacob « Gurrah » Shapiro et son frère Meyer, Abraham Reles, Harry Strauss (soldat de Reles et responsable d’une centaine d’assassinats) ou tout simplement la Murder Incorporated, un gang de nettoyeurs principalement juifs et qui a à son actif plus de 2 000 meurtres… Ajoutons à cette liste Joey Amberg, Harry Kazner, Albert Tannenbaum, Mendy Weiss, Pretty Levine, Gangy Cohen, Joseph Epstein, Albert Louis Greenberg, Morris Rosen, Gus Greenbaum, Charlie Birger (parrain du Missouri), David Berman, Tibor Rosenbaum rabbin et trésorier de la mafia US dont le représentant israélien fut Amos Manor, le chef du contre-espionage, Samuel Flato-Sharon, Sam Rothberg, Louis Boyar, le célèbre Jack Ruby (trafiquant d’armes et mafieux), …

    Attention, que l’on ne se méprenne pas. Il n’est pas question pour la mafia juive américaine, ou Kosher Nostra25, de drogue, armes, jeux, pornographie, corruption, prostitution et trafic d’alcool ! Il est question de financement de campagne électorale jusqu’au soutien de deux candidats à la présidentielle Herbert Hoover et Franklin Roosevelt26 contre quelques largesses dès l’élection gagnée. Selon l’adage du pile je gagne, face tu perds, le duo Luciano/Lansky sera toujours gagnant. Ces deux parrains ont même créé un état criminel et mafieux à Cuba lors de l’élection du général Fulgencio Batista en 1952, soutenu et protégé par la CIA. Batista et Lanski seront amis proches. Il convient de dire que Lansky travaillait aussi pour la CIA ! N’est-ce pas sublime ! Il est capital de savoir que la mafia italienne a été créée par Giuseppe Mazzini, le révolutionnaire italien franc-maçon du 33e degrè. C’est la maçonnerie mondiale qui l’a créée et qui l’instrumentalise comme bras armé. La mafia sera d’ailleurs toujours considérée par la justice italienne, et ceci dès sa naissance, comme une société secrète et non un groupe de simples bandits.

    L’aventure cubaine sera une tentative de normalisation des activités criminelles de Meyer Lansky dans une gigantesque machine à blanchir. On appelait Cuba à l’époque « Le bordel des USA » ! Ils ont même osé une conférence de la mafia dans un hôtel cubain avec plus de 1 000 participants, animée par Franck Sinatra et dans laquelle la vie de Bugsy a été exigée pour des raisons d’argent. Pendant plus de 10 années, le crime organisé cubain a été tenu par un juif russe ! La cocaïne arrivait directement dans l’aéroport « militaire » de Cuba ! L’État cubain va même s’associer avec Lansky dans la construction des dizaines d’hôtels de luxe venant abriter les activités illégales de la mafia. Et lorsque le peuple se révoltait, Batista le massacrait avec l’assentiment de la mafia et de la CIA. Pendant que l’on torturait le peuple, Lansky continuait la construction de dizaines d’hôtels de luxe. Lorsqu’il comprendra qu’il a tout perdu avec l’arrivée de F. Castro, avec la CIA, il tentera de le tuer en multipliant les actes terroristes et en envahissant la Baie des cochons. Pour finir, M. Lansky demandera la nationalité israélienne afin de terminer ses vieux jours sur l’Île de la Tortue27, que représente cette construction illégitime et scélérate qu’est l’entité sioniste.

    Revenons à notre continent. Qu’en est-il de Jacques Crozemarie, accessoirement frère la truelle ? Il détourna avec ses congénères Michel Simon et Pascal Sarda des millions d’euros en faisant croire qu’il avançait dans la recherche contre le cancer ! Quelle ignominie ! Il a été condamné malgré deux pétitions, l’une de 700 et l’autre de 1 000 signatures de personnalités de haut vol qui assuraient les juges de son intégrité légendaire.

    Qu’en est-il de l’épidémie de pédophilie si répandue dans la communauté de M. Zemmour ? N’est- ce pas R. Polanski, réalisateur de cinéma qui fut condamné pour avoir drogué et sodomisé une gamine de 13 ans et qui lui a offert 500.000 $ pour qu’elle retire sa plainte ? Ce génie universel ultime a été défendu par toute une ribambelle de racailles sous de fallacieux prétextes. La même accusation a été dirigée contre feu M. Polac28, écrivain et homme de télé, qui décrivit dans ses mémoires les faits abjects que nous lui reprochons. Idem pour Daniel Cohn-Bendit, agitateur allemand qui se vantait chez Pivot de se livrer à des attouchements avec des enfants de moins de deux ans ! Maurice Gutman, élu municipal UMP de Mesnil-Saint-Denis et membre du Crif, a été condamné en 2010 pour les mêmes faits. Il s’est fait piéger par l’émission de France 2, Les infiltrés ; il draguait une gamine de 12 ans et ce n’était pas sa première fois ! On peut même aller jusqu’en 1937 pour débusquer un énième détraqué en la personne de Léon Blum qui dans son livre Du Mariage29, ne trouvait pas l’inceste si avilissant et abject !

    L’affaire Didier Schuller, c’est tout de même autre chose que les wech wech. Membre de la GLNF, il sera impliqué dans les affaires des HLM des Hauts-de-Seine, l’affaire Schuller-Maréchal, financement occulte de parti politique… Lors de sa fuite en République Dominicaine, il sera protégé par l’ambassade des USA ! Quant au couple P. Balkany, la justice les condamnera à 15 mois de prison avec sursis pour avoir utilisé des salariés de la mairie à leur profit ! Il aura le culot de demander une remise gracieuse (230.000 €) que Thierry Breton lui accordera. Je vous le dis, on est entourés de vermines !

    Est-il utile d’évoquer ici le cas de DSK ? À lui seul, il devrait inspirer plus de modestie et de contrition à notre petit furet audiovisuel. Parlons de Thierry Gaubert, fils d’Armand Goldenberg, il sera reconnu coupable en mai 2012 d’abus de confiance et d’abus de biens sociaux. Il est actuellement mis en examen dans l’affaire Karachi pour subornation de témoin mais aussi pour être impliqué dans l’affaire du financement de l’élection présidentielle de Balladur, suite aux allégations de sa propre femme. Encore une fois, il n’est pas question ici de menus larcins mais plutôt de milliards d’euros détournés et de meurtres.

    Dans la galaxie délinquante juive, mon préféré est S. Dassault Bloch. Ce filou a été condamné pour avoir acheté les voix de ses électeurs en 2008 et perdra la mairie ! Pour l’anecdote, il a été condamné pour avoir pratiqué la chasse avec une carabine à lunette, juché sur un 4×4 dans sa propriété de 850 hectares à Rambouillet ! Une des stratégies de la défense consistera à rappeler que Dassault fut déporté à Drancy30 ! La grande classe. Il sera également condamné à trois ans de prison avec sursis dans l’affaire belge Agusta, beaucoup plus sérieuse et grave, pour corruption active.

    Que dire de Sarközy et ses innombrables casseroles ! Rappelons rapidement les affaires Karachi, Bettencourt, l’affaire des travaux de son loft, le financement libyen de sa campagne électorale, la folle affaire Tapie… Que dire d’un J.-F. Copé, patron de l’UMP et certainement futur candidat à la prochaine présidentielle. N’est-ce pas lui qui exploitait la shoah quand Martin Hirsch l’épinglait dans des conflits d’intérêt. Copé que l’on voit dans les photos de famille de Ziad Takieddine, escroc notoire du fisc français, barbotant dans sa piscine antiboise, recevant des montres à 15.000 euros et des voyages touristiques gratuits. Évidemment tout ceci n’est qu’un énième complot…

    Marc Rich de son vrai nom Marc David Reich est un milliardaire multi-passeports qui a été condamné aux USA avec 50 chefs d’inculpation. Il fuira en Suisse à l’instar de son coreligionnaire Roman Polanski et figurera parmi les 10 personnes les plus recherchées du FBI. Il sera gracié pour on ne sait quelle raison, quelques heures seulement avant que Bill Clinton ne quitte la présidence. Ce ne sera pas la première fois puisque qu’il récidivera avec l’affaire des « Quatre de New Square » dans laquelle quatre rabbins ont créé une fausse école juive pour toucher un prêt gouvernemental de 40 millions de dollars. Leurs peines seront commuées là encore malgré la gravité des faits.

    Inutile d’insister outre mesure sur Goldman Sachs, qui n’ont d’égal dans leur gigantisme, que la maison Rothschild. Groupe de malfaiteurs dont les crimes sont innombrables et se chiffrent en « centaines de milliards de dollars » ! Ils dépassent de loin Bernie Madoff… Son patron actuel, Lloyd Blankfein dit tout haut qu’il se prend pour dieu, mais il ne parle pas du même Dieu que le nôtre, puisqu’il est question de Mammon. Ses basses besognes vont entraîner le monde vers une troisième guerre mondiale et ce zozo de Zemmour nous bassine avec ses histoires de Maghrébins et de Noirs. Goldman Sachs ne sera pas seul pour détruire la planète, spéculer sur la nourriture, trafiquer les comptes des nations… il y a également d’autres banques juives comme J. & W. Seligman & Co, Kuhn Loeb & Co (Jacob Schiff), Lehman Brother, August Belmont & Co, M. M. Warburg & Co, …

    Pour les aider dans leurs tâches sacrées, les USA vont mettre à la tête des institutions les plus importantes, des personnalités de la même confession. A. Greenspan, ami d’Ayn Rand, sera patron de la Fed dix-huit années durant. Il sera remplacé par l’incompétent B. Shalom Bernanke qui inondera le monde de son billet de singe, mais on aura aussi DSK au FMI, Paul Wolfowitz à la Banque Mondiale, Tim Geithner au Trésor US et j’en passe. Les responsables du désastre de la financiarisation du monde sont justes là sous vos yeux.

    Restons aux USA et parlons de M. H. Kissinger, plus grand criminel au monde devant l’Eternel puisqu’il a organisé une quantité incalculable de coups d’états, de guerres et massacres dans le monde entier. Qu’en est-il d’un G. Soros qui spéculera sur les monnaies du Sud-Est asiatique au début des années 90, ruinant des économies entières ? Sans omettre de parler des actions subversives que ce sayan mène avec ses révolutions colorées afin d’imposer son paradigme de l’Open Society ! Financer et pousser aux révoltes des pays étrangers avec comme conséquences de nombreux morts, il faut vraiment être sabbataïste ou frankiste pour en être fier. Un autre milliardaire trouble, fait aussi partie de la grande fraternité truellique (GLNF), Arcady Gaydamac. Pure création du Mossad, il deviendra milliardaire par la force de ténébreux esprits. Compagnon de route d’un autre puissant parrain du crime organisé, Mikhaïl Tchernoï, ils dévaliseront la banque centrale Russe, de plusieurs dizaines de millions de dollars ! Gaydamak sera poursuivi en 2001 par la justice française pour « blanchiment d’argent», «blanchiment aggravé», «abus de biens sociaux», «abus de confiance», «fraude fiscale » et « commerce d’armes illicite ». Il prendra lui aussi la fuite vers l’Île de la Tortue. Vivotent dans cette nébuleuse diabolique des personnages comme Roman Abramovitch, Jozef Karam, Boris Berezovski, ainsi que le géant mondial Lev Leviev du diamant sanguinolent… Il est question avec ces quelques personnages de centaines de milliards de dollars, de 80% de la production russe d’aluminium, de trafic d’armes… Toute cette clique de malfrats a pignon sur rue en Israël en raison de sa proximité et de ses accointances avec Ariel Sharon et passe en France même pour des victimes- démocrates-de-la-tyrannique-Russie-chrétienne-et-antisém…

    Remontons légèrement dans le passé de la guerre coloniale algérienne. Bacri-Busnach ne sont-ils pas les escrocs qui ont aggravé le contentieux de la dette française en corrompant aussi bien le consul Deval que le misérable « diable boiteux » ! Incident qui finit par la guerre avec ses millions de morts.

    Rien de bien spécifique ou de grave par rapport à ce qui a précédé. Les Bacri et Busnach seront initiés maçons à la loge Napoléon31 à Livourne, ce qui scelle définitivement le lien avec le complot mondial.

    Une autre gigantesque escroquerie se fera sur le dos de la Shoah puisque de fausses victimes déclareront avoir été lésées par les nazis afin de pouvoir toucher le pactole32. L’arnaque a duré des années et a coûté des millions d’euros à l’Allemagne. Une honte sans nom. Un autre congénère de Zemmour s’illustrera par sa mythomanie lors de son récit hypermédiatisé concernant un passage dans des camps de la mort. Herman Rosenblat33 et son histoire de pomme va faire pleurer l’Amérique entière avant de vite déchanter devant l’ampleur de la manipulation. Et puisque la mémoire des crimes contre l’humanité est imposée quotidiennement concernant la seconde guerre, qu’en est-il du crime monstrueux fait contre les Noirs africains.

    Concernant l’esclavagisme et la traite triangulaire, de nombreux juifs participèrent au trafic d’esclaves. On possède les noms des bateaux ainsi que ceux de leurs propriétaires : L’« Abigail- Caracoa » d’Aaron Lopez, Moses Levy, Jacob Crown, Isaac Levy et Nathan Simpson. Le « Nassau » et le « Four Sisters » de Moses Levy. Les « Anne » et « Eliza » de Justus Bosch et John Abrams. Le « Prudent Betty » de Henry Cruger et Jacob Phoenix. Le « Hester » de Mordecai et David Gomez. Le « Elizabeth » de Mordecai et David Gomez. L’« Antigua » de Nathan Marston et Abram Lyell. Le « Betsy » de Wm. De Woolf. Le « Polly » de James De Woolf. Le « White Horse » de Jan de Sweevts. L’« Expedition » de John et Jacob Roosevelt. Le « Charlotte » de Moses et Sam Levy ainsi que Jacob Franks et enfin le « Franks » de Moses et Sam Levy.

    Un petit mot sur l’escroc Claude Lipsky que l’on appela l’« escroc du siècle » avant que l’affaire Madoff ne se soit ébruitée. Il a arnaqué 450 familles de militaires français dans des investissements fictifs, en passant par des banksters suisses. La fraude est estimée à plus de 40 millions d’euros et autant de drames familiaux et de souffrances. Un autre mot concernant Julien Soufir34, juif français qui a égorgé un malheureux chauffeur de taxi palestinien à Tel-Aviv juste parce qu’il voulait « se payer » un Arabe. Mais avant cela, il a poignardé et tué un commissaire français en 2002, Alexis Marsan, lors d’une manifestation du Crif en soutien à l’entité sioniste scélérate. Said Bourarach quant à lui a été assassiné par une horde de brutes féroces. Ce simple gardien de supermarché a été roué de coups et noyé par six personnes de la communauté de Zemmour. Pas un mot dans les médias, du moins sur l’appartenance confessionnelle des assassins. Imaginez une seule seconde un scénario inverse avec des délinquants ou des criminels maghrébins ou noirs… Après une hypermédiatisation de ce fait divers, qui ne se souvient pas de ce qu’il s’est passé dans l’affaire tragique dite du Gang des barbares ?

    À Marseille, je peux vous conter deux histoires récentes fortes intéressantes. Celle du pharmacien Bruno Barkate, escroc-pyromane qui a essayé de brûler les archives de la sécurité sociale pour faire disparaître ses doubles facturations qui se montent à des centaines de milliers d’euros ! Il se fera kidnapper par ses complices et fera la une des journaux provençaux. Une autre fraude à la sécurité sociale vient d’éclater. Il serait question d’un dentiste qui massacrerait les dents de ses patients dans le but de réaliser le maximum de céramiques, que la CMU paiera. Je vous laisse imaginer le patronyme du présumé coupable…

    Une autre affaire bien plus sérieuse intéresse la communauté juive marseillaise puisqu’elle touche le vice-président du consistoire et du Crif, Sylvain Ammar35, dit Zvi pour les intimes et réputé comme étant le plus grand marchand de sommeil à Marseille, entre autres étiquettes honorables. Soupçonné depuis déjà longtemps d’escroquerie à la TVA ou de commercialisation de fausses Nike, il sera impliqué dans une sombre histoire de meurtre d’un commercial monégasque, Olivier Plançon. Pendant que ce dernier gisait dans son véhicule en se vidant de son sang, M. Ammar a estimé judicieux de récupérer des cartons de la voitureau lieu d’appeler les urgences ! Quand la justice voudra comprendre ce qui s’est passé, il criera au… complot qui, vous le savez désormais, a bon dos !

    On verra même des coreligionnaires de M.Zemmour spécialisés dans le trafic d’organes! Décidément ! Cinq rabbins de New Jersey36 ont été impliqués dans une grande affaire de trafic d’organes aux USA, réseau ayant ses ramifications jusqu’en Israël et en Suisse. Ils seront inculpés également de corruption et d’extorsion de fonds. Le rabbin Levy Izhak Rosenbeaum37 plaidera coupable. Il sera dénoncé grâce à l’infiltration d’un homme d’affaires véreux juif, Solomon Dwek, ancien spéculateur immobilier déshonoré et arrêté par le FBI et confronté à une peine de prison pour une fraude s’élevant à 50 millions de dollars. Un autre juif, Moshe Harel, sera l’un des principaux suspects cités dans le trafic d’organes humains pratiqué au Kosovo en 2008, dans le cadre de la clinique Medicus de Prishtina. Il a été arrêté en Israël ; malheureusement ce pays n’extrade pas ses ressortissants.

    L’idéologie talmudique permet ce genre de comportements comme le confirme clairement Chabad Lubavitch ou rabbi Yitzhak Ginsburgh dans la célèbre revue Jewish Week du 26 avril 1996. À la question : « Si un Juif a besoin d’un foie, pouvez-vous prendre le foie d’un non-juif innocent ignorant pour le sauver ? La Torah le permettrait probablement. La vie juive a une valeur infinie, Il y a quelque chose infiniment plus saint et unique de la vie juive que la vie non-juive38. » Consternant !

    Quittons ce monde glauque et sataniste du trafic d’êtres humains pour faire un tour dans un autre trafic, celui des cachets d’ecstasy. À la fin des années 1990, des juifs hassidiques, Sam Gold et Yosef Zimmerman, feront les mules pour Jackie, un dealer d’ecstasy israélien. Encore une fois, la ruse qui consiste à utiliser des rabbins pour passer des marchandises prohibées et illégales est utilisée sans état d’âme.

    La dernière affaire Elmaleh-Lamblin démontre encore une fois la puissance de la mafia juive et ses tenaces tentacules internationales. Il est question cette fois-ci de blanchiment d’argent de la drogue marocaine, de trafic de cette même drogue, de lingots d’or… Sont impliqués : un certain Jacob Azeroual, son père Michel, des Chétrit, Mardoché et Judah Elmaleh, Nessim Elmaleh (responsable chez HSBC Genève), Issac Khaski, Steve Ohana,… Il est question de plusieurs centaines de millions d’euros comme toujours.

    C’est à ce moment précis que nous pouvons apprécier à sa juste valeur le talent d’humoriste d’Alain Finkielkraut lorsqu’il affirmera sans rougir et avec son aplomb légendaire : « Le peuple juif est fondamentalement saint. » !

    Quant à l’Israël, c’est la plus grande fumisterie de l’histoire puisqu’il est question du vol de la terre d’un peuple, sous prétexte de références bibliques assimilées à un acte notarié ! Cette mascarade que l’on nomme démocratie possède illégalement la bombe atomique (200-400 missiles) mais également celle à neutrons, à hydrogène et des missiles de croisière de longue portée. Ceci a été rendu possible après le vol des plans à la France, par un complot qui est passé au dessus du général de Gaulle, comme l’expliquera si bien Pierre Péan dans son livre Les deux bombes (1991). Effectivement, la centrale de Dimona ressemble comme deux gouttes d’eau à son homologue française… Le missile Jéricho a été fabriqué grâce notamment à Dassault dès 1961 et ce, malgré les ordres contraires du général de Gaulle ! Ceci constitue un acte extrêmement grave de trahison ! Cette affaire à elle seule pourrait suffire à clouer le bec des anticonspirationnistes, si seulement ils étaient dotés de cerveaux.

    Je pourrais continuer ainsi longtemps encore, au risque d’infliger au lecteur déjà sonné par ce qui précède, une énumération quasi interminable et fastidieuse des prouesses de la pègre juive ; je ne peux que renvoyer ceux qui voudraient approfondir le sujet aux travaux d’Hervé Ryssen. Il convient donc maintenant de faire la somme de tous ces crimes monstrueux aussi bien par leur gigantisme que par leur ignominie. On parle de plusieurs centaines de milliards de dollars évaporés, de trafics d’êtres humains, de faillites, guerres, coups d’états, drogues, ventes d’organe, pornographie… Si on additionnait le total des crimes de toute la jeunesse africaine, on n’arriverait pas à la cheville d’un Madoff ou d’un Blankfein. Il est utile et essentiel de noter que dans la majorité des cas les coupables juifs sont déjà très bien installés et nantis, voire carrément riches ; ce qui n’est jamais le cas du petit Maghrébin ou Sénégalais du 93.

    Ainsi, il est temps que M. Zemmour se décide à fermer sa grande gueule et commence à faire le ménage dans sa communauté, car s’il y a bien lieu d’effectuer des contrôles répétitifs au faciès, ce serait sur le sien et sur celui de ses semblables, surtout lors des passages en douane de ses coreligionnaires hassidim.

    SALIM LAÏBI, in LA FAILLITE DU MONDE MODERNE

    Lire le premier extrait publié sur Mecanopolis

    Reproduction autorisée avec indication des sources

    Notes :

    19 Toute autre activité commerciale devra payer le droit de passer à la télé. La vente de livres est une activité commerciale comme une autre et pourtant, propagande oblige, elle est exonérée de droits de passage dans les médias mainstream.

    20 « Ne pas permettre aux Juifs de se rendre dans nos États, car Nous ne voulons voir dans Nos États aucun mal, Nous voulons au contraire que Dieu accorde aux hommes dans Nos États de vivre dans la paix, sans aucun trouble. Et toi, Notre frère, désormais ne Nous écrit plus à propos des Juifs. » in. Alexandre Soljénitsyne, Deux siècles ensemble, 2002, Paris, Fayard, p. 27.

    21 Est-ce que Zemmour a fait un choix délibéré lorsqu’il a choisi le titre de sa chronique à RTL en prenant le même : Z comme Zemmour ? Faudra lui poser la question.

    22 <http://fortune.fdesouche.com/30267-du-rififi-dans-le-milieu-juif>.
23 <http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/fraude-a-la-tva-proces-fleuve-a-rennes-01-11-2009-635433.php>.

    24 Un partie des informations qui vont suivre proviennent du livre de M. Hervé Ryssen, La mafia juive, Paris, Baskerville, ISBN 978- 952455929, 395 pages, 26 €.
25 Appelée également Yiddish Nostra.
26 Voir ce documentaire fort intéressant de la chaîne Arte sur ce lien : <http://www.dailymotion.com/video/xsoirq_la-mafia-juive-et- italienne-a-cuba-meyer-lansky_news>.

    27 Zone de non-droit où s’agglutinaient naguère pirates et flibustiers

    28 Lire le texte ici : <http://www.pedopolis.com/pages/les-affreux/michel-polac/>.
29 « Je n’ai jamais discerné ce que l’inceste a de proprement repoussant, et sans rechercher pour quelles raisons l’inceste, toléré ou prescrit dans certaines sociétés, est tenu pour un crime dans la nôtre, je note simplement qu’il est naturel et fréquent d’aimer d’amour son frère ou sa sœur » In, Du Mariage, 1937.
30 <http://www.liberation.fr/france/0101209503-le-chasseur-dassault-au-tribunal-le-pdg-est-juge-pour-un-safari-illegal-sur-sa-propriete>.

    31 Lucien Sabah, La franc-maçonnerie et l’antisémitisme, article paru dans la Revue des études juives, janvier 1996, 155, fasc. 1-2. 32 <http://www.liberation.fr/monde/01012301438-vaste-escroquerie-menee-par-de-fausses-victimes-des-nazis>.

    33<HTTP://WWW.DAILYMOTION.COM/VIDEO/XRPTK3_LE-PHENOMENE-HERMAN-ROSENBLAT-UN-SURVIVANT-DE-LA-SHOAH-BALANCE- TOUT_FUN>.

    34 <HTTP://WWW.YOUTUBE.COM/WATCH?V=FV_FJB6PRHW>.
35 <http://www.newsofmarseille.com/affaire-plancon-zvi-ammar-sexplique/>.

    36 <http://www.youtube.com/watch?v=MlgOvHqYYPE>.
37 <http://www.diatala.org/article-trafic-d-organe-de-reins-le-juif-levy-izhak-rosenbaum-plaide-coupable-96720654.html>. 38 <http://www.youtube.com/watch?v=MarXKQ8mnuc>.

  • Les intempéries bloquent la capitale : A qui la faute ? à boutef

     


    En à peine quelques heures de chutes de pluie, la capitale s’est retrouvée sous les eaux. Plusieurs quartiers, habitations et routes ont été inondés.

    Les dernières pluies qui se sont abattues sur la capitale ont provoqué des inondations dans plusieurs communes. Les averses, qui n’ont duré que quelques heures seulement, ont levé le voile sur de graves manquements dans l’entretien des réseaux d’assainissement. Les élus locaux, en cette fin de mandat, hâtent le pas pour rattraper les derniers privilèges ; l’état du réseau d’assainissement est pour ainsi dire le cadet de leurs soucis.

    A Bab Ezzouar, particulièrement à la cité du 5 Juillet, les résidents se sont retrouvés, dès les premières heures de la matinée, coincés dans leurs immeubles tant les espaces alentour étaient submergés par les eaux. Les autorités locales se sont illustrées par leur absence. «Cela fait plusieurs années que nous subissons ces inondations, sans que les autorités locales ne daignent prendre en charge l’entretien des avaloirs», déplorent les habitants de Bab Ezzouar, qui n’ont pu rejoindre leur travail qu’en début d’après-midi.

    A Alger-Plage, ce sont les sempiternels débordements des égouts qui ont prévalu durant toute la matinée d’hier. Plusieurs maisons du quartier Ihadene ont été inondées. D’importants axes routiers ont été également bloqués. La circulation routière a été totalement interrompue sur le CW119 et le CW149. Ce n’est qu’en début d’après-midi que la circulation a retrouvé un semblant de fluidité.

    Pratiquement toutes les trémies ont été submergées par les eaux de pluie à Aïn Naâdja, à El Hamma (Jardin d’essai) et à Bab Ezzouar. Le tramway s’est arrêté pendant plusieurs heures à Cinq Maisons. La route reliant Bachedjerrah à Haï El Badr a été fermée à la circulation dès 6h à cause du débordement des eaux de l’oued de Haï El Badr, qui a occasionné de multiples désagréments aux habitants des quartiers qui se trouvent sur ses berges. A hauteur du carrefour proche de la sortie du tunnel de Oued Ouchayeh, la chaussée s’est transformée en une gigantesque mare. Plusieurs automobilistes qui empruntent habituellement ce tronçon ont été contraints de rebrousser chemin et de contourner la localité pour atteindre leur destination.

    La montée des eaux a même empêché certains automobilistes résidant la cité AADL d’aller vers Haï El Badr ou vers la pénétrante de la rocade sud. Le chauffeur d’un minitruck ainsi qu’un conducteur d’une automobile de marque Hyundai ont été assistés par des passants qui les ont aidés à dégager leurs véhicules des flots.

    L’absence d’agents d’Asrout, de la direction des travaux publics (DTP) et de l’hydraulique est déconcertante. Dans quelques quartiers de la capitale, leurs interventions tardives n’ont pas été d’un grand secours pour les habitants qui se sont retrouvés à lutter à mains nues face aux torrents. Une situation qui n’est pas nouvelle. A chaque automne, Alger subit la paralysie dès les premiers orages violents. Les autorités publiques se rejettent mutuellement la balle sur la question de l’entretien et de la modernisation des réseaux d’assainissement.
    A quand la prise en charge sérieuse et définitive de ce dossier ?

    Saci Kheireddine Elwatan
    Le 29.10.12

  • De Gaulle et l’Algérie. Lettre du général à ses collaborateurs.

     

    • 22
       
      Share

    Lettre du général de Gaulle à ses collaborateurs
    (26-12-1959)

    Nous employons en Algérie 500 000 hommes au service d’ordre armé. Les rebelles emploient au maximum 30 ou 40 000 hommes à l’insurrection armée. Nous appuyons nos forces de moyens matériels écrasants par rapport à ceux de la rébellion (aviation, hélicoptères, camions, armements, concours de la marine…). En qualité militaire, nos cadres,
    nos états-majors, notre commandement sont incomparablement mieux formés que les malheureux analphabètes de l’insurrection.

    Nous dépensons chaque année 1 000 milliards en Algérie sous toutes sortes de formes pour la lutte en Algérie. Le FLN dépense environ 30 milliards. Par le combat, les exécutions sommaires, les exécutions légales, nous tuons dix fois plus d’adversaires que ceux-ci ne nous tuent de musulmans (de toutes espèces) ou de Français. Nous détenons dans les camps et les prisons 80 000 adversaires tandis que le FLN n’en détient pour ainsi dire pas. La crainte est dans notre âme beaucoup plus que celle des fellaghas.

    Nos moyens de propagande : radio, journaux, affiches, tracts, argent, écoles, secours sanitaires, centres de formation…, sont d’une puissance beaucoup plus grande que celle des moyens FLN. Notre influence et notre action diplomatiques sont hors de toute proportion avec celles du GPRA, etc. Et cependant, malgré toutes les affirmations, promesses et illusions, l’ensemble de la population musulmane n’a pas du tout «basculé» de notre côté, ni en Algérie, ni dans la métropole, ni à l’étranger.

    A en croire les rêveurs ou les fumistes, il suffirait d’être les plus forts pour que les musulmans nous rallient. Quelles forces supplémentaires nous faudrait- donc pour qu’ils le fassent ! Il est parfaitement vrai que notre écrasante supériorité militaire finit par réduire la plus grande partie des bandes. Mais moralement et politiquement, c’est moins que jamais vers nous que se tournent les musulmans algériens.

    Prétendre qu’ils sont français, ou qu’ils veulent l’être, c’est une épouvantable dérision. Se bercer de l’idée que la solution politique c’est l’intégration ou la francisation, qui ne sont et ne peuvent être que notre domination par la force que les gens d’Alger et nombre de bons militaires appellent «l’Algérie française», c’est une lamentable sottise. Or, étant donné l’état réel des esprits musulmans et celui de tous les peuples de la terre, étant donné les 150 000 hommes morts en combattant contre nous en Algérie, … il est tout simplement fou de croire que notre domination forcée ait quelque avenir que ce soit.

    Signé : le général de Gaulle, 26 décembre 1959

    (in J.R. Tournoux, Jamais dit, édition Plon pages 207-208).

  • la tortue = internet algerienne

    Autre blague de la semaine : Internet: Le haut débit de 8 mégas pour 50% des ménages en 2015

     
    Horizons
    31 octobre 2012
     
     

    Internet aura un débit minimum de deux mégas à l’horizon 2015, a annoncé, hier, un responsable du ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication (MPTIC) lors de l’installation de la commission nationale du large bande (haut et très haut débit). 

    Cet organisme devra d’ailleurs élaborer dans ce sens un plan d’action efficient et le soumettre au gouvernement pour adoption avant la fin de l’année en cours, a fait savoir le ministre de la Poste et des TIC, Moussa Benhamadi qui a procédé à l’ouverture officielle de la première réunion de ladite commission.

    «Nous devrions progressivement nous débarrasser des câbles en cuivre et les remplacer par la fibre optique, mais nous ne pourrons pas généraliser la fibre optique en même temps.

    Nous visons d’abord, à l’installer au niveau des nouvelles cités, des zones industrielles et institutions», a déclaré le ministre lors d’un point de presse. Aussi, la commission est appelée à émettre des recommandations sur lesquelles se basera le plan d’action.

    L’objectif étant de passer à l’utilisation du haut et du très haut débit. «A l’horizon 2015, il est prévu de mettre en place des mesures pour que le débit de 2 mégas soit à la portée de tous et de mettre à la disponibilité de celui qui le souhaite un débit de 8 mégas», a expliqué le conseiller du ministre, M’hamed Dabouz. Selon lui, 50% des ménages en bénéficieront. Actuellement, la tendance est à l’utilisation du 512 Kbits par seconde, a noté M. Dabouz.

    Le très haut débit de 100 mégas sera déployé, a-t-il dit, au niveau des réseaux communautaires à savoir les secteurs de l’éducation nationale, l’enseignement supérieur, la santé et la formation professionnelle. Les centres universitaires et de recherche auront droit à 1 giga, selon la nécessité, a précisé le conseiller du ministre. Mais pour cela, il est nécessaire d’étendre le large bande.

    Les communes sont appelées à participer à l’installation de la canalisation en fibre optique et de tirer profit en les louant à des opérateurs qui exercent dans les services (internet et téléphonie mobile). Ce projet d’installation de câble est également ouvert au privé et aux investisseurs étrangers. Des appels d’offres sont prévus dans ce cadre.

    Wassila Ould Hamouda

  • drs,corruption c'est eux qui ont légalisé informel et le change de devise

    La corruption en Algérie, ses sources et quelques moyens de s’en défaire

     

    Badreddine BENYOUCEF

    Pour avoir vécu plus de douze années en Algérie et ayant occupé de petits postes de responsabilités, on a touché de très près la question et on espère obtenir de la part du lecteur le crédit d’en parler.

    Que nous dit le Petit Larousse à propos de corruption : Action de corrompre ; état de ce qui est corrompu ; pourrissement !… et il ajoute : infraction de ceux qui trafiquent de leur autorité, ou de ceux qui cherchent à les corrompre…

    Il est donc très intéressant de relever que même ceux qui tentent d’obtenir une faveur quelconque en essayant de corrompre la personne détenant l’autorité, ont la même responsabilité de celui qu’ils ont en face d’eux. Il est très utile de préciser ce point car on a tendance à crucifier la personne qui détient l’autorité et placer en victime celui qui tente d’obtenir une faveur quelconque. Le second est quelque fois plus coupable que le premier. Il tente d’obtenir une faveur quelconque alors qu’il sait parfaitement qu’il n’en a pas le mérite.

     

    D’où provient la corruption ?

    Il suffit juste de poser une question de base :

    Qu’est-ce qui pousse une personne détenant l’autorité à verser dans la corruption ?

    En effet, voilà une personne très bien installée (directeur à quelque niveau que ce soit, chef de service, maire, et j’en passe…) à verser dans une combine qui risque de lui faire perdre ses privilèges et l’envoyer quelque fois en prison… Tout simplement parce que dans la majorité des cas, la personne détenant l’autorité n’est pas à sa place… Elle est arrivée à ce poste par des moyens malhonnêtes. Soit par despotisme, soit par cooptation quelconque soit justement par corruption… Elle sait qu’elle n’est pas à sa place, qu’elle peut à tout instant y être éjectée et elle n’a comme seul objectif que celui d’en profiter au maximum de la situation présente.

    On cite juste un cas vécu. Un conflit agricole avait éclaté en 1988 dans la wilaya de Batna. De part notre petit poste de responsabilité (président des aviculteurs de la wilaya), on a eu à gérer ce conflit qui avait paralysé l’activité. On a eu juste l’idée d’en référer au directeur des services agricoles, je ne le cite pas, il se reconnaîtra. Il venait d’être installé à la tête de la wilaya et la rencontre a été plus que houleuse. Lors de l’entrevue, il s’est avéré que le directeur était un simple technicien de l’agriculture qui connaissait juste le ministre de l’agriculture qui venait également d’être nommé à la tête du ministère !…

    On peut imaginer le cheminement de ce directeur. Lorsque son copain ministre a été installé, il lui téléphone. Il prend rendez-vous et le voilà dans le cabinet ministériel devant son copain-ami. On peut même imaginer la discussion :

    - Bonjour Moh, je suis content de ta nomination. (Forcément, ils se tutoient)

    - Bonjour, Tahar, merci, c’est juste un poste de responsabilité quelconque que je n’ai même pas demandé !…

    Et là, on parle de tout et de rien. Le ministre demande au technicien de lui relater sa situation dans la petite station d’expérimentation où il n’était qu’un simple technicien et voilà que le zouave s’engage :

    - Tu sais Moh, je commence à en avoir marre de ce poste, ça fait tout de même 15 ans que je me tartine les parcelles et je voudrais juste essayer autre chose.

    - Je te comprends mon ami. Il est temps que tu passes à autre chose.

    Et voilà comment notre zouave se retrouve directeur des services agricoles de la 5ème wilaya du pays.

    Et c’est un cas vécu. Si vous voulez les véritables noms des intéressés, on est tout disposés à vous les transmettre.

    Dès lors, comment voulez-vous que ce pseudo directeur exerce convenablement son nouveau métier. Tout d’abord, à la base, vous convenez avec moi qu’il ne peut pas le faire, simplement pour une question de compétence. Ensuite, il va user de tous les artifices pour s’accrocher à son poste dont la sacro-sainte corruption. Ce n’est pas un cas isolé. L’Algérie est truffée de « Tahar » qui occupent des postes qui ne leur reviennent pas.

    Pour notre part, l’affaire s’était terminée en justice (simplement pour avoir soulevé la supercherie) et devant la dissémination quasi automatique de personnes occupantes des postes qui ne leur revenaient pas, on avait fini par nous désister de la nôtre. Le vers était dans le fruit et qu’il ne servait à rien de combattre un fléau désormais ancré dans le tissu économico-social de l’Algérie.

    La gravité de tout cela est assez dramatique pour le pays. Ce directeur dont on parlait, n’avait donc aucune compétence pour émettre des idées novatrices pour développer l’agriculture dans la wilaya de Batna. Il ne pouvait même pas les imaginer dans ses rêves les plus fous. Une simple exécution d’une directive nationale pouvait devenir une montagne insurmontable pour cet infortuné. Il avait sous sa responsabilité de véritables ingénieurs qui connaissaient inévitablement sa situation de copain du ministre et qui s’en délectaient.

    Alors, le passe temps favori de ce pseudo directeur était de « faire semblant » et surtout de chercher tous les moyens légaux et illégaux pour s’enrichir. Il savait qu’il n’était que temporaire à ce poste et qu’il lui fallait en profiter au maximum.

    Et une telle situation se retrouvait un peu partout et à tous les niveaux de responsabilité. Même à des postes internationaux la nomination des algériens est devenue une chasse gardée. Il n’y a qu’à voir les patronymes des algériens désignées à la FAO au PNUD, à l’UNESCO et autres institutions.

    Enfin, le plus grave dans ce maelstrom, c’est que même les personnes qui sont à leurs postes ne croient plus en l’avenir du pays. Ils sont au courant de ce que l’on vient de décrire. Ils savent qu’il suffit d’un peu de connaissance et de moyens pour s’en sortir de n’importe quelle situation. Sinon, comment expliquer que notre khalifa national n’a pas encore été extradé vers le pays « qui le réclame depuis de longues années.»

    Ou sinon comment expliquer le cas de cette dame, receveuse de la Poste dans une commune près d’Annaba, qui file avec des milliards. Que voulait-t-elle de plus cette dame ? Il y a des millions d’algériens, sans doute honnêtes qui rêvent sans doute d’occuper un poste de receveur des postes. Alors, pourquoi cette dame avait-elle décidé un jour de rafler la recette de la poste qu’elle dirigeait. Tout simplement ce manque de confiance dans l’avenir du pays.

    Et les solutions ???

    Tout d’abord, il faut juste dire qu’il ne s’agit pas d’une simple affaire. Il faut sans doute deux ou trois générations pour se défaire de ce cancer social. Mais, les solutions ne doivent passer que par :

    - l’application stricte de la Loi. Et surtout l’exécution réelle des sanctions qui doivent être aggravées. Par exemple, le maire corrompu qui accorde un marché à milliards à son copain entrepreneur sans passer par un appel d’offres légal, doit goûter, pour de longues années à la prison. Malheureusement, on assiste très souvent à une parodie de procès qui font la fortune de nos avocats et le coupable s’en tire avec simplement une ou deux années de prison.

    Au sujet du laxisme des décisions de justice et de leurs applications, on a goûté à toutes les turpitudes. Un seul exemple pour avoir une petite idée : Lors du procès du scandale de la BADR où des véreux avaient dilapidé des milliards et s’étaient enfuis au Maroc pour enrichir toute une région, on a pu vivre l’impensable. Lors du procès qui s’était déroulé à Cheraga, il y avait eu dans la semaine, un match de football que notre équipe nationale devait disputer à Blida au stade Chaker. Savez-vous ce que les avocats des prévenus avaient demandé à la courageuse présidente du tribunal ? Simplement d’accorder une autorisation de sortie aux larrons afin qu’ils puissent assister au match de football !…

    - la seconde mesure qui semble idoine, c’est de saisir tout simplement les biens mal-acquis et ce quelque soit la couverture que les corrompus ont utilisé pour préserver ces biens. Une villa au nom de l’épouse, juste une enquête qui montrera que l’épouse n’avait aucun moyen pour s’acheter cette villa, on saisi ladite villa. Aussi simple que cela. On pourra même élargir le cercle de connaissance du corrompu et enquêter sur l’enrichissement brutal d’un cousin, d’un copain ou d’un employé du corrompu et « saisir le bien répertorié ». C’est l’une des mesures radicales qui aura un impact certain auprès des candidats à la corruption.

    - Enfin, créer comme on l’entend ici où là un comité central contre la corruption et l’encadrer par des algériens au dessus de tout soupçon. Tout d’abord, on devra prendre des personnes qui se soumettront à l’évaluation de leur patrimoine avant recrutement. Il est même prudent de prendre des personnes d’un certain âge qui « ont déjà fait leurs vies », c’est à dire qu’elles doivent être à l’abri du besoin. Et enfin établir un cahier de charges assez drastique. Au besoin mettre en place une disposition qui les dessaisirait de tous leurs biens s’ils venaient à laisser passer des corrompus entre les gouttes de pluie. Et enfin, placer ce comité de salut public allais-je dire, sous l’autorité exclusive du chef de l’Etat. En quelque sorte, se prévaloir d’hommes incorruptibles et aptes à extraire cette gangrène qui empoisonne le pays.

    Ce sont les seuls moyens qui nous paraissent utiles et aptes à éradiquer ce mal dont les conséquences sont assez dramatiques pour le pays et inhibent dans l’œuf tout effort de développement.

    Badreddine BENYOUCEF, Nîmes France

  • la capitale sera déplacée à ain oussara ou illizi!!!!

    Alger, capitale urbaine

    Par : Mustapha Hammouche

    L’opération de ravalement des façades sur les grandes artères du centre d’Alger se poursuit. C’est toujours réjouissant de voir qu’un chantier de la capitale n’est pas encore interrompu. Mais, après les effets de cette dernière journée de pluie, on peut se demander si c’est vraiment par les façades qu’il fallait commencer.
    Quand il pleut, Alger semble posée à même un sol tassé, sans aménagement de drainage. Elle surnage, pendant que ses automobilistes et piétons barbotent à travers des torrents et des mares qui se forment dès les premières averses.  Il y a quelques jours à peine, le wali d’Alger exposait son plan de développement urbain, ravivant l’espoir qu’enfin la ville sera progressivement dotée des structures, des espaces et de l’organisation urbaine digne d’une grande cité méditerranéenne et qu’elle recouvre son attrait, sa fonctionnalité et sa convivialité. Mais à la première intempérie, se pose la question de savoir si son déficit d’aménagement actuel n’hypothèque pas déjà son développement. En principe, l’aménagement précède la construction. Et Alger souffre de deux tares fondamentales : elle n’est pas aménagée pour faciliter la circulation, en sous-sol, des eaux de pluie et peut-être des eaux usées ; elle n’est pas aménagée en surface pour permettre une fluidité de la circulation des hommes et des véhicules. C’est là le résultat de plusieurs années de désinvolture urbanistique et de déficit d’entretien de réseaux d’assainissement. Si la partie visible de cet état d’abandon, les façades, a fini par susciter l’intervention des pouvoirs publics, les lendemains d’orages font penser qu’il n’en a pas été de même pour la partie souterraine du problème.
    L’extension de la capitale, par allocations et lotissements successifs de terrains à bâtir, s’est faite sans projection cohérente de l’ensemble urbain. La voirie même semble être le résultat de plans de lotissement et d’aménagement d’ensembles habitables qui se sont ajoutés les uns aux autres dans un processus d’extension qui s’est réalisé au fil des initiatives.
    Et comme, faute de planification urbaine, chaque projet s’ajoute à un fait accompli qui l’a précédé et ignore la nature des intentions ultérieures, aucun espace “aménagé” ne tient compte de l’espace voisin. Ce qui est valable pour l’aspect urbain l’est certainement pour l’aspect assainissement. L’immense espace “urbain” de la capitale est constitué d’une multitude d’espaces qui se sont toujours ignorés. Mais une ville n’est pas la somme de cités accumulées dans le temps. Ni le Alger historique ni ses excroissances post-Indépendance ne sont indemnes des errements d’une croissance qui se résume en un  amoncellement de cités et d’infrastructures qui relèvent d’initiatives à courte vue, voire d’initiatives d’urgence. Certes, la pression permanente de la question du logement n’a pas toujours autorisé les délais de maturation et la posture prospective que nécessite la gestion du développement de grandes villes. Cette pression, en politisant l’acte de construire, a ôté leur pouvoir aux instances de conception et de gestion urbaine. La dictature des chiffres et des délais “politiques” est l’origine de l’anarchie et de la précipitation urbanistique nationale. Mais justement les circonstances politiques donnent l’occasion, aujourd’hui, de revenir aux fondements du développement urbain. À Alger et ailleurs.